Votre film du mois de Juin 2019
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- AntonChigurh
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
Film du mois :
Films découverts :
Olli Mäki-Juho Kuosmanen : 7/10
Un Condé-Yves Boisset : Abandon
Les Félins-René Clément : 7/10
The Rainmaker (L'idéaliste)-Francis Ford Coppola : 4/10
La dolce vita-Federico Fellini : 6/10
Le Magnifique-Philippe de Broca : 7,5/10
Eden-Mia Hansen-Løve : 6,5/10
En guerre-Stéphane Brizé : 4/10
La Rançon-Ron Howard : 3/10
Compte tes blessures-Morgan Simon : 6/10
M.A.S.H.-Robert Altman : 6/10
Deep Impact-Mimi Leder : 3/10
The Neon Demon-Nicolas Winding Refn : 6/10
A Ciambra-Jonas Carpignano : 6/10
En cloque, mode d'emploi-Judd Apatow : 5,5/10
Sex, lies and videotape-Steven Soderbergh : 8/10
Thunderbolt and Lightfoot-Michael Cimino : 7/10
Watchmen (Director's Cut)-Zack Snyder : 6,5/10
Perfect Blue-Satoshi Kon : 7/10
Once Were Warriors (L'Âme des guerriers)-Lee Tamahori : 7/10
Thunderheart-Michael Apted : 6,5/10
Elephant-Gus Van Sant : 8/10
Captain Phillips-Paul Greengrass : 6,5/10
The Visit-M. Night Shyamalan : 5,5/10
Lovesong-So Yong Kim : 5,5/10
Nick and Norah's Infinite Playlist-Peter Sollett : 6/10
The Babadook-Jennifer Kent : 6,5/10
Talladega Nights :The Ballad of Ricky Bobby-Adam McKay : 6/10
Films redécouverts :
Superbad-Greg Mottola : 6,5/10
Black Snake Moan-Craig Brewer : 6,5/10
South Park : 4/10
Le gamin au vélo-Frères Dardenne : 7/10
Easy Rider-Dennis Hopper : 6/10
Sexcrimes-John McNaughton : 5/10
Documentaires et séries documentaires découvert(e)s :
Game Of Thrones : The Last Watch : 6,5/10
Le Cauchemar de Darwin-Hubert Sauper : 6,5/10
Séries en cours :
Bodyguard : 6,5/10
True Blood : Saison 2 épisode 1
The Knick : Série terminée 8,5/10
The Corner : Mini-série terminée 8/10
Chernobyl : Mini-série terminée 7,5/10
Game of Thrones : Série terminée 9/10
The Office US : Saison 2 épisode 2
Films découverts :
Olli Mäki-Juho Kuosmanen : 7/10
Un Condé-Yves Boisset : Abandon
Les Félins-René Clément : 7/10
The Rainmaker (L'idéaliste)-Francis Ford Coppola : 4/10
La dolce vita-Federico Fellini : 6/10
Le Magnifique-Philippe de Broca : 7,5/10
Eden-Mia Hansen-Løve : 6,5/10
En guerre-Stéphane Brizé : 4/10
La Rançon-Ron Howard : 3/10
Compte tes blessures-Morgan Simon : 6/10
M.A.S.H.-Robert Altman : 6/10
Deep Impact-Mimi Leder : 3/10
The Neon Demon-Nicolas Winding Refn : 6/10
A Ciambra-Jonas Carpignano : 6/10
En cloque, mode d'emploi-Judd Apatow : 5,5/10
Sex, lies and videotape-Steven Soderbergh : 8/10
Thunderbolt and Lightfoot-Michael Cimino : 7/10
Watchmen (Director's Cut)-Zack Snyder : 6,5/10
Perfect Blue-Satoshi Kon : 7/10
Once Were Warriors (L'Âme des guerriers)-Lee Tamahori : 7/10
Thunderheart-Michael Apted : 6,5/10
Elephant-Gus Van Sant : 8/10
Captain Phillips-Paul Greengrass : 6,5/10
The Visit-M. Night Shyamalan : 5,5/10
Lovesong-So Yong Kim : 5,5/10
Nick and Norah's Infinite Playlist-Peter Sollett : 6/10
The Babadook-Jennifer Kent : 6,5/10
Talladega Nights :The Ballad of Ricky Bobby-Adam McKay : 6/10
Films redécouverts :
Superbad-Greg Mottola : 6,5/10
Black Snake Moan-Craig Brewer : 6,5/10
South Park : 4/10
Le gamin au vélo-Frères Dardenne : 7/10
Easy Rider-Dennis Hopper : 6/10
Sexcrimes-John McNaughton : 5/10
Documentaires et séries documentaires découvert(e)s :
Game Of Thrones : The Last Watch : 6,5/10
Le Cauchemar de Darwin-Hubert Sauper : 6,5/10
Séries en cours :
Bodyguard : 6,5/10
True Blood : Saison 2 épisode 1
The Knick : Série terminée 8,5/10
The Corner : Mini-série terminée 8/10
Chernobyl : Mini-série terminée 7,5/10
Game of Thrones : Série terminée 9/10
The Office US : Saison 2 épisode 2
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
.
Dernière modification par 7swans le 23 déc. 24, 14:05, modifié 12 fois.
Point.
- Alexandre Angel
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Re: Votre film du mois de Juin 2019

Le Virginien (Saison 4, 1965-66, de la série crée par Charles Marquis Warren) en cours
Sibyl (Justine Triet, 2019) x S
L'Epoque (Matthieu Bareyre, 2019) xxx S
La Pampa sauvage (Hugo Fregonese, 1966) x+
Parasite (Bong Joon-ho, 2019) xxxx S
Normandie-Niemen (Jean Dréville, 1959) xxx+
Rolling Thunder Review : a Bob Dylan Story (Martin Scorsese, 2019) xxxx (Netflix)
Daniel Darc : Pieces of my Life (Marc Dufaud et Thierry Villeneuve, 2019) xx S
Mon ex-sergent / All night long (cm Harry Edwards, 1924, feat.Harry Langdon, prod. Mack Sennett) xx
Un fameux coup de balais / Feet of Mud (cm Harry Edwards, 1924, feat.Harry Langdon, prod. Mack Sennett) xxx
Semaine anglaise / Saturday afternoon (cm Harry Edwards, 1926, feat.Harry Langdon, prod. Mack Sennett) xxx
La Sirène / The Sea Squawk (cm Harry Edwards, 1925, feat.Harry Langdon, prod. Mack Sennett) xxx
Une Journée à la plage / Picking Peaches (cm Erle C. Kenton, 1924, feat.Harry Langdon, prod. Mack Sennett) xx
Fiddlesticks (cm Harry Edwards, 1927, feat.Harry Langdon, prod. Mack Sennett) xxx
REVISIONS
Faisons un rêve (Sacha Guitry, 1936) xxxx
1941 (Steven Spielberg, 1979) xxx-
Deux filles au tapis / ...All the Marbles (Robert Aldrich, 1981) xxx+
No Direction Home : Bob Dylan (Martin Scorsese, 2005) xxxx
Exodus (Otto Preminger, 1960) xxxx
Films du mois précédents:
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Barème:
0 nul
x visible
xx pas mal
xxx bien
xxxx très bien voire excellent
xxxxx chef d'œuvre
S en salle
+/- variables d'ajustement
Dernière modification par Alexandre Angel le 30 juin 19, 00:08, modifié 22 fois.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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- El Dadal
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
JUIN 2019
FILM DU MOIS
Films découverts:
FILM DU MOIS
Films découverts:
- _ A Touch of Zen (King Hu - 1971)
_ Douleur et gloire (Pedro Almodóvar - 2019)
_ Remo sans arme et dangereux (Guy Hamilton - 1985)
_ Mandy (Panos Cosmatos - 2018)
_ Haine (Dominique Goult - 1979)
Dernière modification par El Dadal le 13 juin 19, 23:09, modifié 5 fois.
- Vic Vega
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
Juin 2019
Film du mois
Les Nus et les Morts de Raoul Walsh
Films découverts
Les Nus et les Morts de Raoul Walsh 8/10
La Solitude du coureur de fond de Tony Richardson 7.5/10
La Leçon de piano de Jane Campion 7/10
Samedi soir, dimanche matin de Karel Reisz 7/10
Billy le menteur de John Schlesinger 7/10
A Bittersweet Life Director's Cut de Kim Jee-woon 6/10
Des gens comme les autres de Robert Redford 6/10
Orgies sadiques de l'ère Edo de Ishii Teruo 6/10
Rolling Thunder Revue de Martin Scorsese 5/10
La Maîtresse du lieutenant français de Karel Reisz 4/10
Un Goût de miel de Tony Richardson 4/10
The Attorney de Yang Woo-Seok 4/10
The Outlaws de Kang Yoon-Sung 4/10
Wrath of silence de Xin Yukun 4/10
Anima de Paul Thomas Anderson 0/10
Séries TV
The Little Drummer Girl de Park Chan-wook 7/10
Films revus (Hors compétition)
Le Bon, la Brute et le Truand de Sergio Leone 9/10
Trainspotting de Danny Boyle 4/10
Film du mois
Les Nus et les Morts de Raoul Walsh
Films découverts
Les Nus et les Morts de Raoul Walsh 8/10
La Solitude du coureur de fond de Tony Richardson 7.5/10
La Leçon de piano de Jane Campion 7/10
Samedi soir, dimanche matin de Karel Reisz 7/10
Billy le menteur de John Schlesinger 7/10
A Bittersweet Life Director's Cut de Kim Jee-woon 6/10
Des gens comme les autres de Robert Redford 6/10
Orgies sadiques de l'ère Edo de Ishii Teruo 6/10
Rolling Thunder Revue de Martin Scorsese 5/10
La Maîtresse du lieutenant français de Karel Reisz 4/10
Un Goût de miel de Tony Richardson 4/10
The Attorney de Yang Woo-Seok 4/10
The Outlaws de Kang Yoon-Sung 4/10
Wrath of silence de Xin Yukun 4/10
Anima de Paul Thomas Anderson 0/10
Séries TV
The Little Drummer Girl de Park Chan-wook 7/10
Films revus (Hors compétition)
Le Bon, la Brute et le Truand de Sergio Leone 9/10
Trainspotting de Danny Boyle 4/10
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
Juin 2019
Découvertes
Long Weekend (Colin Eggleston) : 7,5/10
L'Impossible Monsieur Bébé (Howard Hawks) : 7/10
La Garçonnière (Billy Wilder) : 8,5/10
Parasite (Bong Joon-ho) : 8/10
Bob le flambeur (Jean-Pierre Melville) : 7/10
Léon Morin, prêtre (Jean-Pierre Melville) : 7,5/10
Le Doulos (Jean-Pierre Melville) : 8,5/10
Un flic (Jean-Pierre Melville) : 6,5/10
Zombi Child (Bertrand Bonello) : 5/10
La Griffe du passé (Jacques Tourneur) : 8/10
Le Daim (Quentin Dupieux) : 6,5/10
La Dernière séance (Peter Bogdanovich) : 7/10
1900 (Bernardo Bertolucci) : 6/10
Toy Story 3 (Josh Cooley) : 7,5/10
Yves (Benoit Forgeard) : 5/10
Les Misérables (Ladj Ly) : 7,5/10
First Reformed (Paul Schrader) : 7/10
Braqueurs (Julien Leclercq) : 5,5/10
Un fauteuil pour deux (John Landis) : 6/10
Un prince à New York (John Landis) : 5,5/10
Revisionnages
L'Armée des ombres (Jean-Pierre Melville) : 8,5/10
Le Cercle rouge (Jean-Pierre Melville) : 8,5/10
Invasion Los Angeles (John Carpenter) : 8/10
La Féline (Jacques Tourneur) : 7/10
Le Loup-garou de Londres (John Landis) : 7,5/10
Séries
Spaced (saisons 1 & 2) : 8/10
Découvertes
Long Weekend (Colin Eggleston) : 7,5/10
L'Impossible Monsieur Bébé (Howard Hawks) : 7/10
La Garçonnière (Billy Wilder) : 8,5/10
Parasite (Bong Joon-ho) : 8/10
Bob le flambeur (Jean-Pierre Melville) : 7/10
Léon Morin, prêtre (Jean-Pierre Melville) : 7,5/10
Le Doulos (Jean-Pierre Melville) : 8,5/10
Un flic (Jean-Pierre Melville) : 6,5/10
Zombi Child (Bertrand Bonello) : 5/10
La Griffe du passé (Jacques Tourneur) : 8/10
Le Daim (Quentin Dupieux) : 6,5/10
La Dernière séance (Peter Bogdanovich) : 7/10
1900 (Bernardo Bertolucci) : 6/10
Toy Story 3 (Josh Cooley) : 7,5/10
Yves (Benoit Forgeard) : 5/10
Les Misérables (Ladj Ly) : 7,5/10
First Reformed (Paul Schrader) : 7/10
Braqueurs (Julien Leclercq) : 5,5/10
Un fauteuil pour deux (John Landis) : 6/10
Un prince à New York (John Landis) : 5,5/10
Revisionnages
L'Armée des ombres (Jean-Pierre Melville) : 8,5/10
Le Cercle rouge (Jean-Pierre Melville) : 8,5/10
Invasion Los Angeles (John Carpenter) : 8/10
La Féline (Jacques Tourneur) : 7/10
Le Loup-garou de Londres (John Landis) : 7,5/10
Séries
Spaced (saisons 1 & 2) : 8/10
Dernière modification par Rom le 1 juil. 19, 21:47, modifié 13 fois.
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- Machino
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
Découvertes
Toy story 4 : 9/10
L homme a nulle part de delmer Daves : 8,5/10
La lance brisée : 8,5/10
A star is born vl de bradley Cooper : 8/10
Nevada smith : 7,5/10
Le prince des ténèbres de John Carpenter : 7,5/10
Les veuves de Steve Mcqueen : 7/10
Inherence vice à Paul Thomas Anderson : 6,5/10
John wick 3 : 6,5/10
The exterminator : 5,5/10
Redecouvertes
Invasion Los Angelès : 7,5/10
Séries
L attaque des titans s1 : 9,5/10
L'attaque des titans s2 : 9/10
Film de janvier : rush
Film de février : timbuktu
Film de mars : mektoub my love
Film d'avril : kill la forteresse des samouraïs
Film de mai : week end a zuydcoot
Toy story 4 : 9/10
L homme a nulle part de delmer Daves : 8,5/10
La lance brisée : 8,5/10
A star is born vl de bradley Cooper : 8/10
Nevada smith : 7,5/10
Le prince des ténèbres de John Carpenter : 7,5/10
Les veuves de Steve Mcqueen : 7/10
Inherence vice à Paul Thomas Anderson : 6,5/10
John wick 3 : 6,5/10
The exterminator : 5,5/10
Redecouvertes
Invasion Los Angelès : 7,5/10
Séries
L attaque des titans s1 : 9,5/10
L'attaque des titans s2 : 9/10
Film de janvier : rush
Film de février : timbuktu
Film de mars : mektoub my love
Film d'avril : kill la forteresse des samouraïs
Film de mai : week end a zuydcoot
Dernière modification par C2302t le 30 juin 19, 18:17, modifié 10 fois.
- Demi-Lune
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
FILM DU MOIS DE JUIN 2019

FILMS DÉCOUVERTS OU REDÉCOUVERTS


FILMS DÉCOUVERTS OU REDÉCOUVERTS
- UN AMOUR DE SWANN (Volker Schlöndorff, 1984) — 8/10
SEXE, MENSONGES ET VIDÉO (Steven Soderbergh, 1989) — 8/10
GLORIA (John Cassavetes, 1980) — 7,5/10
QUE LA BÊTE MEURE (Claude Chabrol, 1969) — 7,5/10
LE LAC DES FEMMES (Yoshishige Yoshida, 1966) — 6,5/10
PARASITE (Bong Joon-ho, 2019) — 5,5/10
MOONLIGHT (Barry Jenkins, 2016) — 5/10
LA FEMME DE SEISAKU (Yasuzō Masumura, 1965) — 4,5/10
CHAMBRE AVEC VUE (James Ivory, 1985) — 4/10
MERCI POUR LE CHOCOLAT (Claude Chabrol, 2000) — 4/10
NEVADA SMITH (Henry Hathaway, 1966) — 3/10
FRANCOFONIA, LE LOUVRE SOUS L'OCCUPATION (Alexandre Sokourov, 2015) — 2/10
LA TUNIQUE (Henry Koster, 1953) — 2/10
UN HOLD-UP EXTRAORDINAIRE (Ronald Neame, 1966) — 2/10
KINGDOM OF WAR, LE ROYAUME DES GUERRIERS (Ching Siu-tung, 2008) — 1,5/10
DOMINO (Brian De Palma, 2018) — 0,5/10
- LA MONTAGNE SACRÉE (Alejandro Jodorowsky, 1973) — 9,5/10
IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN (Steven Spielberg, 1998) — 9/10
BRAZIL (Terry Gilliam, 1985) — 8,5/10
PROFESSION : REPORTER (Michelangelo Antonioni, 1975) — 8/10
RETOUR VERS LE FUTUR (Robert Zemeckis, 1985) — 7,5/10
BASIC INSTINCT (Paul Verhoeven, 1992) — 7,5/10
LA DERNIÈRE SÉANCE (Peter Bogdanovich, 1971) — 7/10
ELLE (Paul Verhoeven, 2016) — 5/10
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Dernière modification par Demi-Lune le 23 juin 19, 12:55, modifié 16 fois.
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- Ewok on the wild side
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
Juin 2019


Osterman weekend (Sam Peckinpah, 1983)
Derrière son bazar électronique, ses consoles vidéo et ses écrans de télévision, un agent secret mène le jeu. La vie perdue de son épouse en exige d’autres : celles d’un journaliste et de ses amis travestis en démons, le temps d’une manipulation. La morale de l’histoire est claire quand bien même le film joue sur l’écart entre la rectitude du projet (la vengeance) et la sinuosité du dispositif mis en place pour y parvenir : le pouvoir aussi fort soit-il ne peut résister à la volonté d’engloutissement d’un individu. Par sa nudité théorique, le dernier titre de l’auteur évoque celui de Lang, Le Testament du Docteur Mabuse. Mais les possibilités de la matière, pas plus que le recours à un casting royal, ne rattrapent totalement les errances d’un scénario invraisemblable ni la facture flirtant parfois avec le dénuement. 4/6
Juste avant la nuit (Claude Chabrol, 1971)
Selon les propres mots de Chabrol, le film est comme un gant inversé de La Femme Infidèle. Là où ce dernier est fondé sur le mutisme, les choses devinées ou reconstituées, la démarche consiste ici en une suite d’aveux, significatifs de la mauvaise conscience gâtant le plaisir à la manière du ver dans le fruit et de l’obsession presque puritaine d’un esprit marqué par une éducation judéo-chrétienne. Mais le sens du péché est trop fort pour que la confession délivre du souvenir de la faute, qu’elle la rachète, et l’individu – mari modèle, père exemplaire – trop prisonnier de sa morale pour s’accommoder de demi-mesures. Substituant à sa truculence narquoise un dépouillement assez inhabituel pour lui, l’auteur continue avec cette pénétrante réflexion sur la culpabilité de traquer les tourments métaphysiques. 4/6
Parasite (Bong Joon-ho, 2019)
La famille, ses manques ordinaires et la nature extraordinaire des liens qui l’entraînent dès lors qu’elle est mise en péril : Bong réactive sa préoccupation majeure dans une comédie sociale en forme d’étourdissante pièce montée, qui valide l’adage hitchcockien selon lequel le cinéma est une (énorme) tranche de gâteau. Recombinant et redéployant en permanence les possibilités de son sujet, conjuguant les vertus fabulaires de l’allégorie à l’ivresse d’une implacable mécanique narrative, il emprunte à la farce burlesque et au thriller horrifique sans jamais compromettre la finesse du trait, maintient l’équilibre parfait entre ironie bouffonne et politesse du désespoir, virtuosité pure et substance des personnages, pour mieux dresser le constat féroce de la violence insidieuse des rapports de classe. Une Palme d’Or idéale. 5/6
Le grand embouteillage (Luigi Comencini, 1979)
Il peut sembler facile de voir dans un embouteillage monstre la métaphore d’une société arrivée à un point de non-retour, décomposée par la technique, la vitesse, le conflit et l’individualisme forcené. Mais les paraboles se doivent d’êtres claires. Tout un peuple s’agite, se rebelle, se révèle, se hait, se tue sur ce ruban de macadam immobile, en un ballet polyphonique que n’aurait pas renié l’Altman de Nashville ou d’Un Mariage. Aucune histoire n’est poussée à son terme car il n’y a pas de solution mais une catastrophe n’en finissant jamais de s’étendre, la permanence d’une désagrégation sans issue, l’entassement de myriades de problématiques arrivé au blocage, au point mort. Un film noir, beckettien, volontiers atroce, qui ne craint pas d’exprimer de cruelles vérités sans prendre de ménagement. 4/6
Tous les matins du monde (Alain Corneau, 1991)
Loin de la cour du Roi-Soleil qui pourtant le réclame, Sainte-Colombe, noir, saturnien, taciturne, s’enferme dans son art comme dans un convent, confond sa voix de catacombes et les pleurs de sa viole de gambe. Son disciple Marin Marais devient quant à lui un compositeur illustre, cerné par les honneurs et la gloire. Faut-il se repaître des recours superficiels qu’apporte le siècle ou, au cœur d’une solitude purificatrice, s’enfoncer dans une quête janséniste au risque de faire le malheur d’autrui ? Corneau assume la ligne d’un film austère, presque cartésien par l’apparence, qui cherche à s’inscrire dans les fibres mêmes de la musique. Il lui manque hélas cette forme aventurée faisant l’instabilité du baroque, apte à conjurer le dessèchement et la gravité d’officiant auxquels il n’échappe pas tout à fait. 4/6
Zombi child (Bertrand Bonello, 2019)
Ce pourrait être une nouvelle version de Suspiria revisitée par Claire Denis. L’entreprise donne en tout cas à son auteur l’opportunité de frotter le fantastique au spleen adolescent du teen movie, d’entretenir une forme de douceur éthérée, rêveuse, atmosphérique, tout en récusant le folklore au profit d’un contact presque ethnologique avec le sujet. Si le chaos, les distorsions et l’effroi s’invitent dans ce récit partagé entre passé et présent, culture haïtienne et usages contemporains, c’est pour mieux réinvestir les racines d’une figure (le zombie) et d’une pratique (le vaudou) détournées par l’imaginaire occidental de leur terreau originel : l’espoir d’une cohabitation pacifique entre morts et vivants, l’expression d’un désir transgressif que la douleur des affects peut soudain transformer en cauchemar. 4/6
La route semée d’étoiles (Leo McCarey, 1944)
À la différence d’un John Ford, qui a parfois questionné vivement sa religion, le réalisateur n’accorde pas de place ici au doute fertile qui souvent stimule la croyance dans ce qu’elle a de plus profond. La paroisse de Saint Dominic où est affecté le père O’Malley n’est qu’un cadre appréhendé dans son fonctionnement hiérarchique, administratif, et sur lequel s’appuie la succession des petits drames qui constituent la charpente d’un récit sans la moindre aspérité. Que le film ait remporté un tel succès (couronné d’Oscars) est à la fois peu étonnant, tant est consensuel le sentimentalisme sirupeux qu’il revendique, et quelque peu décevant, si l’on veut bien admettre à quel point le motif de la frustration affective est noyé par la prudence anesthésiante de la facture. Sa suite lui sera fort heureusement très supérieure. 3/6
Le daim (Quentin Dupieux, 2019)
Égaré dans un improbable et sinistre Twin Peaks pyrénéen, où il n’en finit pas d’admirer la veste ringarde par laquelle il accomplit sa mue, Georges disjoncte. L’un des talents les plus sûrs du réalisateur réside dans sa faculté à développer sur un long-métrage une idée qui aurait convenu à un court. Sa méthode repose sur une fascinante distorsion des codes du monde réel, appréhendé avec un sens du détail (objets, répliques, accessoires) qui ancre la normalité la plus concrète dans la logique la plus irrationnelle. En s’enfonçant avec ce héros dans la spirale d’une dérive obsessionnelle et meurtrière, il fait le constat d’un état de solitude maladive propre à conduire tranquillement aux pires extrémités. Et il réinvente encore la roue théorique par ses propres moyens, sans avoir l’air de loucher vers qui que ce soit. 4/6
Le shérif est en prison (Mel Brooks, 1974)
Il est évidemment raisonnable d’écarter par avance le reproche du mauvais goût, faible objection devant ce qui se veut un déferlement d’effets plus gros les uns que les autres. Car la vulgarité est au cœur du propos et nul n’entre dans ce film qui n’ait laissé ses scrupules au vestiaire. Fidèle à sa méthode, Brooks y procède par accumulation et juxtaposition d’emprunts aux registres les plus divers (cartoon, cabaret, western…). L’entreprise s’essouffle cependant assez vite, et on peut regretter que certaines citations a priori savoureuses (Madeline Kahn en Mae West-Dietrich de l’Ouest) ne soient pas exploitées comme elles le méritaient. Reste l’attaque de la ville, jeu avec le carton-pâte des décors qui est finalement un hommage au cinéma, art de l’illusion, et incite à considérer le verre à moitié plein. 3/6
Hulk (Ang Lee, 2003)
Espérant peut-être exploiter la catégorie du "blockbuster d’auteur", Universal et Marvel n’ont pas embauché Ang Lee pour qu’il livre un festival de chemises déchirées et de contre-plongées sur un catcheur vociférant, plongé dans un baril de peinture verdâtre. Il était louable de sa part de jouer les sentiments en accordant une place substantielle à l’histoire d’amour et à des liens filiaux problématiques. Hélas, de références à plusieurs mythes insubmersibles (Frankenstein, Hercule et Zeus, Dr Jekyll & Mr Hyde, King Kong) à un hommage à la BD par quelques coquetteries graphiques, le film étire sur plus de deux longues heures un récit écartelé entre des plages méditatives tournant à l’explication de texte lourde et des scènes où les effets spéciaux n’assurent ni l’émotion ni la sensation du vrai. 3/6
Topsy-turvy (Mike Leigh, 1999)
Surprise : le chroniqueur des classes modestes contemporaines, le peintre des Modern moral subjects plonge dans les fanfreluches guindées de la haute société londonienne de 1885 et se passionne pour la vie de Gilbert et Sullivan, princes de l’opérette exotique qui furent à l’Angleterre victorienne ce qu’Offenbach fut au Second Empire français. Et c’est un délice, un grand gâteau crémeux mais très goûteux, dont l’originalité consiste à transformer le " drame dans les coulisses" en mise en abyme d’une vérité intime : les affres de la création. Sous les décors fastueux, les bibelots en surnombre, les prises de boudoir, salons et loges d’acteurs, s’anime tout un monde chaleureux, drôle et truculent, que l’auteur fait tourbillonner en oscillant avec brio de la parole au chant, de la fiction à l’histoire, du banal au lyrique. 5/6
Derrière son bazar électronique, ses consoles vidéo et ses écrans de télévision, un agent secret mène le jeu. La vie perdue de son épouse en exige d’autres : celles d’un journaliste et de ses amis travestis en démons, le temps d’une manipulation. La morale de l’histoire est claire quand bien même le film joue sur l’écart entre la rectitude du projet (la vengeance) et la sinuosité du dispositif mis en place pour y parvenir : le pouvoir aussi fort soit-il ne peut résister à la volonté d’engloutissement d’un individu. Par sa nudité théorique, le dernier titre de l’auteur évoque celui de Lang, Le Testament du Docteur Mabuse. Mais les possibilités de la matière, pas plus que le recours à un casting royal, ne rattrapent totalement les errances d’un scénario invraisemblable ni la facture flirtant parfois avec le dénuement. 4/6
Juste avant la nuit (Claude Chabrol, 1971)
Selon les propres mots de Chabrol, le film est comme un gant inversé de La Femme Infidèle. Là où ce dernier est fondé sur le mutisme, les choses devinées ou reconstituées, la démarche consiste ici en une suite d’aveux, significatifs de la mauvaise conscience gâtant le plaisir à la manière du ver dans le fruit et de l’obsession presque puritaine d’un esprit marqué par une éducation judéo-chrétienne. Mais le sens du péché est trop fort pour que la confession délivre du souvenir de la faute, qu’elle la rachète, et l’individu – mari modèle, père exemplaire – trop prisonnier de sa morale pour s’accommoder de demi-mesures. Substituant à sa truculence narquoise un dépouillement assez inhabituel pour lui, l’auteur continue avec cette pénétrante réflexion sur la culpabilité de traquer les tourments métaphysiques. 4/6
Parasite (Bong Joon-ho, 2019)
La famille, ses manques ordinaires et la nature extraordinaire des liens qui l’entraînent dès lors qu’elle est mise en péril : Bong réactive sa préoccupation majeure dans une comédie sociale en forme d’étourdissante pièce montée, qui valide l’adage hitchcockien selon lequel le cinéma est une (énorme) tranche de gâteau. Recombinant et redéployant en permanence les possibilités de son sujet, conjuguant les vertus fabulaires de l’allégorie à l’ivresse d’une implacable mécanique narrative, il emprunte à la farce burlesque et au thriller horrifique sans jamais compromettre la finesse du trait, maintient l’équilibre parfait entre ironie bouffonne et politesse du désespoir, virtuosité pure et substance des personnages, pour mieux dresser le constat féroce de la violence insidieuse des rapports de classe. Une Palme d’Or idéale. 5/6
Le grand embouteillage (Luigi Comencini, 1979)
Il peut sembler facile de voir dans un embouteillage monstre la métaphore d’une société arrivée à un point de non-retour, décomposée par la technique, la vitesse, le conflit et l’individualisme forcené. Mais les paraboles se doivent d’êtres claires. Tout un peuple s’agite, se rebelle, se révèle, se hait, se tue sur ce ruban de macadam immobile, en un ballet polyphonique que n’aurait pas renié l’Altman de Nashville ou d’Un Mariage. Aucune histoire n’est poussée à son terme car il n’y a pas de solution mais une catastrophe n’en finissant jamais de s’étendre, la permanence d’une désagrégation sans issue, l’entassement de myriades de problématiques arrivé au blocage, au point mort. Un film noir, beckettien, volontiers atroce, qui ne craint pas d’exprimer de cruelles vérités sans prendre de ménagement. 4/6
Tous les matins du monde (Alain Corneau, 1991)
Loin de la cour du Roi-Soleil qui pourtant le réclame, Sainte-Colombe, noir, saturnien, taciturne, s’enferme dans son art comme dans un convent, confond sa voix de catacombes et les pleurs de sa viole de gambe. Son disciple Marin Marais devient quant à lui un compositeur illustre, cerné par les honneurs et la gloire. Faut-il se repaître des recours superficiels qu’apporte le siècle ou, au cœur d’une solitude purificatrice, s’enfoncer dans une quête janséniste au risque de faire le malheur d’autrui ? Corneau assume la ligne d’un film austère, presque cartésien par l’apparence, qui cherche à s’inscrire dans les fibres mêmes de la musique. Il lui manque hélas cette forme aventurée faisant l’instabilité du baroque, apte à conjurer le dessèchement et la gravité d’officiant auxquels il n’échappe pas tout à fait. 4/6
Zombi child (Bertrand Bonello, 2019)
Ce pourrait être une nouvelle version de Suspiria revisitée par Claire Denis. L’entreprise donne en tout cas à son auteur l’opportunité de frotter le fantastique au spleen adolescent du teen movie, d’entretenir une forme de douceur éthérée, rêveuse, atmosphérique, tout en récusant le folklore au profit d’un contact presque ethnologique avec le sujet. Si le chaos, les distorsions et l’effroi s’invitent dans ce récit partagé entre passé et présent, culture haïtienne et usages contemporains, c’est pour mieux réinvestir les racines d’une figure (le zombie) et d’une pratique (le vaudou) détournées par l’imaginaire occidental de leur terreau originel : l’espoir d’une cohabitation pacifique entre morts et vivants, l’expression d’un désir transgressif que la douleur des affects peut soudain transformer en cauchemar. 4/6
La route semée d’étoiles (Leo McCarey, 1944)
À la différence d’un John Ford, qui a parfois questionné vivement sa religion, le réalisateur n’accorde pas de place ici au doute fertile qui souvent stimule la croyance dans ce qu’elle a de plus profond. La paroisse de Saint Dominic où est affecté le père O’Malley n’est qu’un cadre appréhendé dans son fonctionnement hiérarchique, administratif, et sur lequel s’appuie la succession des petits drames qui constituent la charpente d’un récit sans la moindre aspérité. Que le film ait remporté un tel succès (couronné d’Oscars) est à la fois peu étonnant, tant est consensuel le sentimentalisme sirupeux qu’il revendique, et quelque peu décevant, si l’on veut bien admettre à quel point le motif de la frustration affective est noyé par la prudence anesthésiante de la facture. Sa suite lui sera fort heureusement très supérieure. 3/6
Le daim (Quentin Dupieux, 2019)
Égaré dans un improbable et sinistre Twin Peaks pyrénéen, où il n’en finit pas d’admirer la veste ringarde par laquelle il accomplit sa mue, Georges disjoncte. L’un des talents les plus sûrs du réalisateur réside dans sa faculté à développer sur un long-métrage une idée qui aurait convenu à un court. Sa méthode repose sur une fascinante distorsion des codes du monde réel, appréhendé avec un sens du détail (objets, répliques, accessoires) qui ancre la normalité la plus concrète dans la logique la plus irrationnelle. En s’enfonçant avec ce héros dans la spirale d’une dérive obsessionnelle et meurtrière, il fait le constat d’un état de solitude maladive propre à conduire tranquillement aux pires extrémités. Et il réinvente encore la roue théorique par ses propres moyens, sans avoir l’air de loucher vers qui que ce soit. 4/6
Le shérif est en prison (Mel Brooks, 1974)
Il est évidemment raisonnable d’écarter par avance le reproche du mauvais goût, faible objection devant ce qui se veut un déferlement d’effets plus gros les uns que les autres. Car la vulgarité est au cœur du propos et nul n’entre dans ce film qui n’ait laissé ses scrupules au vestiaire. Fidèle à sa méthode, Brooks y procède par accumulation et juxtaposition d’emprunts aux registres les plus divers (cartoon, cabaret, western…). L’entreprise s’essouffle cependant assez vite, et on peut regretter que certaines citations a priori savoureuses (Madeline Kahn en Mae West-Dietrich de l’Ouest) ne soient pas exploitées comme elles le méritaient. Reste l’attaque de la ville, jeu avec le carton-pâte des décors qui est finalement un hommage au cinéma, art de l’illusion, et incite à considérer le verre à moitié plein. 3/6
Hulk (Ang Lee, 2003)
Espérant peut-être exploiter la catégorie du "blockbuster d’auteur", Universal et Marvel n’ont pas embauché Ang Lee pour qu’il livre un festival de chemises déchirées et de contre-plongées sur un catcheur vociférant, plongé dans un baril de peinture verdâtre. Il était louable de sa part de jouer les sentiments en accordant une place substantielle à l’histoire d’amour et à des liens filiaux problématiques. Hélas, de références à plusieurs mythes insubmersibles (Frankenstein, Hercule et Zeus, Dr Jekyll & Mr Hyde, King Kong) à un hommage à la BD par quelques coquetteries graphiques, le film étire sur plus de deux longues heures un récit écartelé entre des plages méditatives tournant à l’explication de texte lourde et des scènes où les effets spéciaux n’assurent ni l’émotion ni la sensation du vrai. 3/6
Topsy-turvy (Mike Leigh, 1999)
Surprise : le chroniqueur des classes modestes contemporaines, le peintre des Modern moral subjects plonge dans les fanfreluches guindées de la haute société londonienne de 1885 et se passionne pour la vie de Gilbert et Sullivan, princes de l’opérette exotique qui furent à l’Angleterre victorienne ce qu’Offenbach fut au Second Empire français. Et c’est un délice, un grand gâteau crémeux mais très goûteux, dont l’originalité consiste à transformer le " drame dans les coulisses" en mise en abyme d’une vérité intime : les affres de la création. Sous les décors fastueux, les bibelots en surnombre, les prises de boudoir, salons et loges d’acteurs, s’anime tout un monde chaleureux, drôle et truculent, que l’auteur fait tourbillonner en oscillant avec brio de la parole au chant, de la fiction à l’histoire, du banal au lyrique. 5/6
Et aussi :
Les trois couronnes du matelot (Raoul Ruiz, 1983) - 4/6
Pinocchio (Ben Sharpsteen & Hamilton Luske, 1940) - 4/6
Les galettes de Pont-Aven (Joël Seria, 1975) - 4/6
Quatre garçons dans le vent (Richard Lester, 1964) - 4/6
Toy story 4 (Josh Cooley, 2019) - 5/6
La noire de... (Ousmane Sembène, 1966) - 4/6
Films des mois précédents :
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Dernière modification par Thaddeus le 30 juin 19, 15:11, modifié 6 fois.
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
Juin 2019
(films vus, revus et redécouverts)

ASSURANCE SUR LA MORT (Billy Wilder, 1944) 10
DAISY MILLER (Peter Bogdanovich, 1974) 8,5
LOST IN AMERICA (Albert Brooks, 1985) 8
TOY STORY 4 (Josh Cooley, 2019) 8
MASK (Peter Bogdanovich, 1985) 8
LA BELLE ROMAINE (Luigi Zampa, 1954) 7,5
PARASITE (Bong Joon-ho, 2019) 7,5
LES JEUNES FILLES DE SAN FREDIANO (Valerio Zurlini, 1955) 7
THE INSIDE STORY (Allan Dwan, 1948) 7
POURQUOI PAS ! (Coline Serreau, 1977) 7
SLEEPY HOLLOW (Tim Burton, 1999) 7
CONTESTATION GENERALE (Luigi Zampa, 1970) 6,5
SALE DESTIN ! (Sylvain Madigan, 1987) 5,5
FUTUR IMMEDIAT, LOS ANGELES 1991 (Graham Baker, 1988) 5
PLEIN FER (Josée Dayan, 1990) 3
Mes films du mois
(films vus, revus et redécouverts)
ASSURANCE SUR LA MORT (Billy Wilder, 1944) 10
DAISY MILLER (Peter Bogdanovich, 1974) 8,5
LOST IN AMERICA (Albert Brooks, 1985) 8
TOY STORY 4 (Josh Cooley, 2019) 8
MASK (Peter Bogdanovich, 1985) 8
LA BELLE ROMAINE (Luigi Zampa, 1954) 7,5
PARASITE (Bong Joon-ho, 2019) 7,5
LES JEUNES FILLES DE SAN FREDIANO (Valerio Zurlini, 1955) 7
THE INSIDE STORY (Allan Dwan, 1948) 7
POURQUOI PAS ! (Coline Serreau, 1977) 7
SLEEPY HOLLOW (Tim Burton, 1999) 7
CONTESTATION GENERALE (Luigi Zampa, 1970) 6,5
SALE DESTIN ! (Sylvain Madigan, 1987) 5,5
FUTUR IMMEDIAT, LOS ANGELES 1991 (Graham Baker, 1988) 5
PLEIN FER (Josée Dayan, 1990) 3
Mes films du mois
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
JUIN 2019
FILM DU MOIS
Voyage sans retour -- John Farrow

DECOUVERTES
The show-off (Reisner - 1934) : 6,5/10
Voyage sans retour (Farrow - 1950) : 7/10
The unholy garden (Fitzmaurice - 1931) 5.5/10
Men are not gods (Reisch - 1936) : 6/10
Private hell 36 (Siegel - 1954) : 7/10
REVUS
FILM DU MOIS
Voyage sans retour -- John Farrow

DECOUVERTES
The show-off (Reisner - 1934) : 6,5/10
Voyage sans retour (Farrow - 1950) : 7/10
The unholy garden (Fitzmaurice - 1931) 5.5/10
Men are not gods (Reisch - 1936) : 6/10
Private hell 36 (Siegel - 1954) : 7/10
REVUS
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
Film du mois (provisoire)

découvert
redécouvert
revu
Chronique du film sur DVDCLASSIK


Capitaine de Castille (Captain from Castile, 1947) Henry King
Leto (2018) Kirill Serebrennikov

Asako I & II (Netemo sametemo, 2018) Ryûsuke Hamaguchi
Dans l'ombre du loup (Kiryûin Hanako no shôgai, 1982) Hideo Gosha
La maison de la rue Troubnaïa (Dom na Trubnoy, 1928) Boris Barnet

Confession d'un commissaire de police au procureur de la république (Confessione di un commissario di polizia al procuratore della repubblica, 1971) Damiano Damiani
La dame et le toréador (Bullfighter and the lady, 1951) Budd Boetticher
Deux filles au tapis (...All the marbles, 1981) Robert Aldrich
Femme dans un enfer d'huile (Onna goroshi abura no jigoku, 1992) Hideo Gosha
Femmes dangereuses (Mogli pericolose, 1958) Luigi Comencini
Les hommes contre (Uomini contro, 1970) Francesco Rosi
La jeunesse de la bête (Yajû no seishun, 1963) Seijun Suzuki
La légende de Zatoïchi - Les tambours de la colère (Zatôichi kenka-daiko, 1968) Kenji Misumi
La mafia fait la loi (Il giorno della civetta, 1968) Damiano Damiani
La maison de bambou (House of bamboo, 1955) Samuel Fuller
Memories of murder (Salinui chueok, 2003) Bong Joon-ho
Parasite (Gisaengchung, 2019) Bong Joon-ho
Qui a tué le chat ? (Il gatto, 1977) Luigi Comencini
Sandra (Vaghe stelle dell'orsa, 1965) Luchino Visconti

The big fix (1978) Jeremy Paul Kagan
Breaking news (Dai si gin , 2004) Johnnie To
Hana-bi (1997) Takeshi Kitano
Honky tonk freeway (1981) John Schlesinger
Huit millions de façons de mourir (Eight million ways to die, 1986) Hal Ashby
Les lois de l'hospitalité (Our hospitality, 1923) Jack Blystone, Buster Keaton
Long weekend (1978) Colin Eggleston
La panthère noire (The black panther, 1977) Ian Merrick
Les rues de l'enfer (Savage streets, 1984) Danny Steinmann
Shara (Sharasojyu, 2003) Naomi Kawase
Ultimatum (Seven days to noon, 1950) John & Roy Boulting
Un drôle de paroissien (1963) Jean-Pierre Mocky

Crime à distance (The Internecine project, 1974) Ken Hughes
Je suis un autarcique (Io sono un autarchico, 1976) Nanni Moretti
Joseph Andrews (1977) Tony Richardson
Rogue One - A Star Wars story (2016) Gareth Edwards

The chaser (Chugyeogja, 2008) Na Hong-jin
Les coulisses de l'exploit (Eight men out, 1988) John Sayles
Légitime violence (1982) Serge Leroy
The Predator (2018) Shane Black
Star Wars, épisode VIII - Les derniers Jedi (Star Wars, episode VIII - The last Jedi, 2017) Rian Johnson
La volonté du mort (The cat and the canary, 1927) Paul Leni



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Dernière modification par Beule le 1 juil. 19, 08:40, modifié 13 fois.
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
JUIN 2019
Film du mois :
AUCUN
Films découverts :
Anita: Tänze des Lasters, de Rosa von Praunheim : 6/10
La chair de l'Orchidée, de Patrice Chéreau : 6/10
Evil Under the Sun, de Guy Hamilton : 7/10
Liebe ist kälter als der Tod, de Rainer Werner Fassbinder : 5/10
Parasite, de Joon Ho Bong : 7,5/10
The White Crow, de Ralph Fiennes : 7/10
Films revus ou redécouverts :
Blonde Venus, de Josef von Sternberg : 7,5/10
Film du mois, le récapitulatif :
Film du mois :
AUCUN
Films découverts :
Anita: Tänze des Lasters, de Rosa von Praunheim : 6/10
La chair de l'Orchidée, de Patrice Chéreau : 6/10
Evil Under the Sun, de Guy Hamilton : 7/10
Liebe ist kälter als der Tod, de Rainer Werner Fassbinder : 5/10
Parasite, de Joon Ho Bong : 7,5/10
The White Crow, de Ralph Fiennes : 7/10
Films revus ou redécouverts :
Blonde Venus, de Josef von Sternberg : 7,5/10
Film du mois, le récapitulatif :
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L'hyperréalisme à la Kechiche, ce n'est pas du tout mon truc. Alain Guiraudie
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
Films vus / Films revus
HOOSIERS - David Anspaugh (1986) : 8.0/10
THE LOST CITY OF Z - James Gray (2016) : 8.0/10
FAI BEI SOGNI - Marco Bellocchio (2016) : 7.5/10
AMIGO - John Sayles (2010) : 7.0/10
THE BAD NEWS BEARS - Michael Ritchie (1976) : 7.0/10
MURDER ON THE ORIENT EXPRESS - Sidney Lumet (1974) : 7.0/10
LA RAGAZZA DI BUBE - Luigi Comencini (1964) : 7.0/10
BEVERLY HILLS COP III - John Landis (1994) : 7.0/10
UNSANE - Steven Soderbergh (2018) : 7.0/10
20TH CENTURY WOMEN - Mike Mills (2016) : 6.5/10
LA TETE HAUTE - Emmanuelle bercot (2015) : 6.5/10
THE HARD WAY - Michael Dryhurst (TV)(1979) : 6.5/10
CAUGHT - Robert M. Young (1996) : 6.5/10
LAISSEZ TIRER LES TIREURS - Guy Lefranc (1964) : 6.5/10
NUTCRACKER: MONEY, MADNESS & MURDER - Peter Bogart (TV)(1987) : 6.5/10
ALEX OF VENICE - Chris Messina (2014) : 6.0/10
DICIOTTENNI AL SOLE - Camillo Mastrocinque (1962) : 6.0/10
WONDER WOMAN - Patty Jenkins (2017) : 5.5/10
ARMSTRONG - Menahem Golan (1998) : 5.5/10
THE CANADIANS - Burt Kennedy (1961) : 5.0/10
THE PREMONITION - Robert Allen Schnitzer (1976) : 5.0/10
IL CORPO - Luigi Scattini (1974) : 5.0/10
PAULA - Rudolph Maté (1952) : 4.5/10
EUTANASIA DI UN AMORE - Enrico Maria Salerno (1978) : 4.0/10
ARMED RESPONSE - John Stockwell (2017) : 4.0/10
REPRISAL - Brian A. Miller (2018) : 3.5/10
THIS IS YOUR DEATH - Giancarlo Esposito (2017) : 2.0/10
HOOSIERS - David Anspaugh (1986) : 8.0/10
THE LOST CITY OF Z - James Gray (2016) : 8.0/10
FAI BEI SOGNI - Marco Bellocchio (2016) : 7.5/10
AMIGO - John Sayles (2010) : 7.0/10
THE BAD NEWS BEARS - Michael Ritchie (1976) : 7.0/10
MURDER ON THE ORIENT EXPRESS - Sidney Lumet (1974) : 7.0/10
LA RAGAZZA DI BUBE - Luigi Comencini (1964) : 7.0/10
BEVERLY HILLS COP III - John Landis (1994) : 7.0/10
UNSANE - Steven Soderbergh (2018) : 7.0/10
20TH CENTURY WOMEN - Mike Mills (2016) : 6.5/10
LA TETE HAUTE - Emmanuelle bercot (2015) : 6.5/10
THE HARD WAY - Michael Dryhurst (TV)(1979) : 6.5/10
CAUGHT - Robert M. Young (1996) : 6.5/10
LAISSEZ TIRER LES TIREURS - Guy Lefranc (1964) : 6.5/10
NUTCRACKER: MONEY, MADNESS & MURDER - Peter Bogart (TV)(1987) : 6.5/10
ALEX OF VENICE - Chris Messina (2014) : 6.0/10
DICIOTTENNI AL SOLE - Camillo Mastrocinque (1962) : 6.0/10
WONDER WOMAN - Patty Jenkins (2017) : 5.5/10
ARMSTRONG - Menahem Golan (1998) : 5.5/10
THE CANADIANS - Burt Kennedy (1961) : 5.0/10
THE PREMONITION - Robert Allen Schnitzer (1976) : 5.0/10
IL CORPO - Luigi Scattini (1974) : 5.0/10
PAULA - Rudolph Maté (1952) : 4.5/10
EUTANASIA DI UN AMORE - Enrico Maria Salerno (1978) : 4.0/10
ARMED RESPONSE - John Stockwell (2017) : 4.0/10
REPRISAL - Brian A. Miller (2018) : 3.5/10
THIS IS YOUR DEATH - Giancarlo Esposito (2017) : 2.0/10
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- Jack Carter
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Re: Votre film du mois de Juin 2019
FILM DU MOIS

Juin 2019

Parasite Gisaengchung (Bong Joon-Ho, 2019) *
Le Professeur La prima notte di quiete (Valerio Zurlini, 1972) * (version longue, director's cut)
L'Homme qui venait de la mer Umi wo kakeru (Koji Fukada, 2018) *
Rolling Thunder Revue : A Bob Dylan Story (Martin Scorsese, 2019)
La Grande triche The Big Fix (Jeremy Paul Kagan, 1978)
Miracle en Alabama The Miracle Worker (Arthur Penn, 1962)
Wives Hustruer (Anja Breien, 1975)
Le Traitre Il traditore (Marco Bellocchio, 2019) *
Les Galettes de Pont-Aven (Joel Seria, 1975)
Avril Aprili (Otar Iosseliani, 1961)
Cliffhanger (Renny Harlin, 1993) *
Charlotte a 17 ans (Sophie Lorain, 2018) *
Les Conspirateurs du plaisir Spiklenci slasti (Jan Svankmajer, 1996)
Summer of 84' (Anouk Whissell, François Simard, Yoann-Karl Whissell)
Une Intime conviction (Antoine Gaimbault, 2018)
Lady sings the blues (Sidney J. Furie, 1972)
Utoya, 22 juillet Utøya 22. juli (Erik Poppe, 2018)
Les Coulisses de l'exploit Eight men out (John Sayles, 1988)
Domino (Brian De Palma, 2019)
The Last of Us (Ala Eddine Slim, 2016)
* : vu en salles
en noir : films decouverts
en marron : films redecouverts
en rouge : films revus
en orange : series
Janvier : Asako I & II (Ryusuke Hamaguchi)
Fevrier : L'Ami Americain (Wim Wenders)
Mars : Sans toit, ni loi (Agnes Varda)
Avril : Carne (Gaspar Noé)
Mai : Les Oiseaux de passage (Ciro Guerra et Cristina Gallego)

Juin 2019

Parasite Gisaengchung (Bong Joon-Ho, 2019) *

Le Professeur La prima notte di quiete (Valerio Zurlini, 1972) * (version longue, director's cut)
L'Homme qui venait de la mer Umi wo kakeru (Koji Fukada, 2018) *
Rolling Thunder Revue : A Bob Dylan Story (Martin Scorsese, 2019)
La Grande triche The Big Fix (Jeremy Paul Kagan, 1978)

Miracle en Alabama The Miracle Worker (Arthur Penn, 1962)
Wives Hustruer (Anja Breien, 1975)
Le Traitre Il traditore (Marco Bellocchio, 2019) *
Les Galettes de Pont-Aven (Joel Seria, 1975)
Avril Aprili (Otar Iosseliani, 1961)
Cliffhanger (Renny Harlin, 1993) *
Charlotte a 17 ans (Sophie Lorain, 2018) *
Les Conspirateurs du plaisir Spiklenci slasti (Jan Svankmajer, 1996)
Summer of 84' (Anouk Whissell, François Simard, Yoann-Karl Whissell)
Une Intime conviction (Antoine Gaimbault, 2018)
Lady sings the blues (Sidney J. Furie, 1972)

Utoya, 22 juillet Utøya 22. juli (Erik Poppe, 2018)
Les Coulisses de l'exploit Eight men out (John Sayles, 1988)

Domino (Brian De Palma, 2019)
The Last of Us (Ala Eddine Slim, 2016)

* : vu en salles
en noir : films decouverts
en marron : films redecouverts
en rouge : films revus
en orange : series
Janvier : Asako I & II (Ryusuke Hamaguchi)
Fevrier : L'Ami Americain (Wim Wenders)
Mars : Sans toit, ni loi (Agnes Varda)
Avril : Carne (Gaspar Noé)
Mai : Les Oiseaux de passage (Ciro Guerra et Cristina Gallego)
Dernière modification par Jack Carter le 26 nov. 19, 20:04, modifié 6 fois.

Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)