Votre film du mois d'Octobre 2017

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Major Tom
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par Major Tom »

Critères d'évaluation :
  • ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ Chef-d'œuvre
    ★★★★ J'ai trouvé ça très bon
    ★★★ J'ai trouvé ça bien
    ★★ J'ai trouvé ça moyen
    J'n'ai pas aimé
    ■ J'ai détesté
Films découverts :
  • Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve, 2017) ★★
Films revus :
  • Trois hommes à abattre (Jacques Deray, 1980) ★★
    Le Trio infernal (Francis Girod, 1974) ★★
Découvertes séries :
  • Mindhunter (saison 1, David Fincher, 2017) ★★
    Pour moi jusque là, Fincher en séries, ça donnait House of Cards et c'était chiantissime. Un petit retour au cinéma le temps d'un excellent film (Gone Girl) et le voici de retour vers le petit écran, avec quelques craintes : ne perd-t-il pas son temps à faire des séries ? Malgré d'indéniables qualités cinématographiques (je ne pesterai pas si certains élisent certains épisodes "films du mois" :mrgreen: ), la réponse est oui, il ferait mieux de faire des films pour le cinéma. Comme presque toute série, c'est inégal. Certains épisodes sont intéressants, d'autres moyens voire ennuyeux car trop étirés. Ceux réalisés par Fincher sont évidemment incroyables du point de vue de la mise en scène, évidemment, mais je leur reprocherais parfois quelques "tics" de clips vidéos. Mais à la différence d'une série comme True Detective, Fargo ou Twin Peaks, je n'ai aucune envie de m'y replonger (comme cela pourrait m'arriver avec un film de cinéma), et donc j'ai presque un sentiment de perte de temps que je ne ressentirais jamais devant un film de cinéma (qui dure en moyenne 2 heures, contre 10 plombes pour une série). Alors Fincher, pour moi, ça reste d'abord du cinéma et j'aurais plutôt hâte de le revoir sur grand écran que de le voir s'atteler à une saison 2.
Précédemment...
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Dernière modification par Major Tom le 28 oct. 17, 16:23, modifié 3 fois.
Gounou
au poil !
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par Gounou »

GERALD'S GAME (Mike Flanagan) 5/10
BLADE RUNNER 2049 (Denis Villeneuve) 3,5/10
CALMOS (Bertrand Blier) 6/10
DETROIT (Kathryn Bigelow) 6/10
SEX, LIES AND VIDEOTAPES (Steven Soderbergh) 7,5/10

RE :
BLADE RUNNER (Ridley Scott) 9/10
WAR OF THE WORLDS (Steven Spielberg) 7/10
CATCH ME IF YOU CAN (Steven Spielberg) 8/10
MAD MAX BEYOND THUNDERDOME (Georges Miller) 6/10

SERIES :
MINDHUNTER [saison 1] 6/10
Dernière modification par Gounou le 24 oct. 17, 12:57, modifié 12 fois.
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Rick Blaine
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par Rick Blaine »

Octobre 2017

Film du mois :
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Le voleur (Louis Malle - 1967)
Films découverts ou redécouverts :

Le voleur, de Louis Malle (1967) : 9/10

Le charme discret de la bourgeoisie, de Luis Buñuel (1972) : 8/10

Le serpent aux mille coupures, de Eric Valette (2017) : 7,5/10
Le toboggan de la mort (Rollercoaster), de James Goldstone (1977) : 7,5/10

Sauvez le Neptune (Gray lady down), de David Greene (1978) : 7/10
La féline (Cat people), de Jacques Tourneur (1942) : 7/10

Morte sospetta di una minorenne, de Sergio Martino (1975) : 6,5/10

Le collier de fer (Showdown), de R.G. Springsteen (1963) : 6/10

L'accusé (Contratiempo), de Oriol Paulo (2016) : 5,5/10
Prisonnier de la haine (The shepherd of the hills), de Henry Hathaway (1941) : 5,5/10

La dernière grenade (The last grenade), de Gordon Flemyng (1970) : 4,5/10

HHhH, de Cédric Jimenez (2017) : 4/10

Films revus : Hors compétition :

L'empereur du nord (Emperor of the north pole), de Robert Aldrich (1973) : 9,5/10

Divorce à l'italienne (Divorzio All'italiana), de Pirtro Germi (1962) : 9/10
Un éléphant ça trompe énormément, de Yves Robert (1976) : 9/10

Nous irons tous au paradis, de Yves Robert (1977) : 8,5/10
7swans
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par 7swans »

.
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Point.
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cinephage
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par cinephage »

OCTOBRE 2017

FILM DU MOIS:

Long weekend, de Colin Eggleston (1978) 9/10 - Le fantastique australien des années 70 était décidément fécond. Dans cet étrange récit d'un couple en crise qui part camper, la nature, dans son ensemble, fait office de grand méchant et la mise en scène parvient à instaurer une ambiance sacrément dérangeante. Une belle réussite et une sacrée surprise pour moi qui ignorais tout de ce film.

FILMS DECOUVERTS:
Dark Water, de Hideo Nakata (2002) 7,5/10 - Sensiblement plus sombre que son remake US, le film travaille surtout une ambiance sacrément pesante.
Strange Confession, de John Hoffman (1945) 7,5/10 - Cet épisode de Inner Sanctum se révèle d'une certaine actualité, qui évoque le scandale de médicaments sortis trop tôt et mal mis sur le marché...
Jessie, de Mike Flanaghan (2017) 7/10 - Difficile de rebondir sur l'intrigue initiale, du coup le film fait tempête sous un crâne, parfois de façon un peu lourde. J'aime bien la fin très surprenante, en revanche.
Massacre à la tronçonneuse, de Marcus Nispel (2003) 3/10 - Je tente enfin ce remake hasardeux, et les mises en garde n'empêchent pas la perplexité devant la stupidité de l'intrigue, des personnages, et la complaisance imbécile de la mise en scène. Très belle photo, en revanche, assez esthétisante, ce qui est un peu incongru dans un film de ce type...
Funny Games U.S. de Michael Haneke (2007) 8/10 - Un remake aussi remarquablement filmé, dérangeant et sadique, que l'original, quoique l'on aurait préféré un remake plus démarqué de l'original...
The Town that dreaded Sundown, de Charles B. Pierce (1976) 7,5/10 - Entre slasher et film-dossier, le récit d'une ville du Sud des Etats-Unis en panique alors que sévit un étrange tueur masqué et sadique. Tiré d'une histoire vraie...
Mystères d'outre-tombe, de Fernando Mendez (1959) 7/10 - Un conte fantastique et un récit de malédiction infernale inéluctable, qui vaut pour son ambiance et ses scènes de fous déchainés dans un asile à l'ancienne...
Shura, de Toshio Matsumoto (1971) 9/10 - Un véritable bijou en termes de mise en scène et de photographie. Un magnifique conte horrifique et cruel.
Ton vice est une chambre close dont moi seul ai la clé, de Sergio Martino (1972) 6/10 - Entre le giallo et déchirement d'un couple en désamour, sur fond d'histoire fantastique à la Edgar Allan Poe, ce film d'exploitation, malgré quelques bons moments, peine à convaincre totalement, sauf pour la très belle musique de Bruno Nicolai.
De la chair pour Frankenstein, de Paul Morrissey (1973) 4/10 - Intrigue sotte, personnages baclés, photo, mise en scène et musique médiocres... L'équipe Warhol avait une bien piètre opinion du film d'horreur...
Night Key, de Lloyd Corrigan (1937) 7,5/10 - Un film policier bien foutu avec Boris Karloff, où un savant lutte contre un affreux homme d'affaire sans scrupules.
Happy End, de Michael Haneke (2017) 7,5/10 - Le triste portrait d'une famille bourgoise en crise. Très sombre...
Demain et tous les autres jours, de Noémie Lvovsky (2017) 7,5/ - Lvovsky raconte, de façon romancée, son enfance, dans une restitution qui oscille entre fantaisie débridée et tristesse poignante.
A Girl Walks Alone at Night, de Ana Lily Amirpour (2014) 5/10 - Un film à l'approche formaliste (beau noir & blanc, jolie BO rock en contrepoint), mais dont l'absence de fond (la gentille vampire punit les méchants, s'attache aux victimes) et le rythme neurasthénique finissent par lasser...
Schalcken the Painter, de Leslie Megahey (1979) 8,5/10 - Un récit de fantôme ayant pour cadre l'atelier d'un maître flamand. Le travail visuel est absolument formidable.
Blade Runner 2049, de Denis Villeneuve (2017) 8,5/10 - Villeneuve nous offre un bel opus, très joliment filmé, qui, en remake auto-conscient, s'interroge sur le réel, les imitations, et la filiation... Assez passionnant.
Le sens de la fête, Olivier Nakache et Eric Toledano (2017) 9/10 - Une comédie débridée, qui parvient à allier récits intimes, reflexion sociale, et un humour vachard qui tombe très souvent juste. Une comédie qui m'a énormément fait rire, et qui, j'en suis sur, supportera facilement de nombreuses révisions.
Children of the Corn 666 : Isaac's Return, de Kari Skogland (1999) 1/10 - Mon nanard du mois est un sacré calibre... Mal joué, pas écrit, incroyablement mal monté, et en plus sans humour aucun. Mais que fait Nancy Allen dans cette histoire ?? :shock:
Grave Encounters, de Stuart Ortiz & Colin Minihan (2011) 6,5/10 - Found footage assez facile, dans un ancien asile hanté. On se prend quand même au jeu de l'atmosphère effrayante, pour peu qu'on soit bon public...
Frankenstein et le monstre de l'Enfer, de Terrence Fisher (1974) 8/10 - Retour de Fisher et Peter Cushing sur le personnage de Frankenstein. Entre décontraction et horreur plus noire encore qu'auparavant, le film se déguste avec la gourmandise qu'on peut éprouver pour un film qui clôture un bon cycle...
Blue Sunshine, de Jeff Liebermann (1976) 7,5/10 - Un film-enquête sur une contamination horrifique. Assez petit budget, mais l'ensemble se regarde avec le plus vif intérêt.
Cell, de Tod Williams (2016) 6/10 - Un film qui perd un peu de l'ampleur du roman de King, mais se regarde avec amusement...
Ganja & Hess, de Bill Gunn (1973) 4/10 - Film de minorité, à peu de moyens, d'une indéniable originalité de traitement. Reste une oeuvre qui ne verse dans aucun genre spécifique, et dont l'amateurisme reste souvent pénalisant, sauf lors des quelques scènes de dialogues, où les acteurs prouvent alors leur talent.
La longue nuit de l'exorcisme, de Lucio Fulci (1972) 7,5/10 - Sorte de whodunnit rural, ce film de Fulci sur un crime dans un village où se cachent secrets et perversions est d'un grand intérêt. Dommage que la tension ne soit pas toujours au rendez-vous.
13 Ghosts, de William Castle (1960) 7,5/10 - Un pur film d'épouvante, aussi drole que bourré de "trucs" visant à rajouter de l'ambiance. Les amateurs du genre ne peuvent que se régaler.
Yumurta, de Semih Kaplanoglu (2007) 5/10 - Pur exemple de cinéma contemplatif, ce récit aux dialogues rares ne m'a pas convaincu par ses images ou le sujet de son récit. Reste un certain ennui, des scènes assez justes et quelques personnages solidement construits.
How to make a monster, de George Huang (2001) 7,5/10 - Petit film à budget réduit, mais très réjouissant et ludique, notamment pour sa belle créature issue des ateliers de Stan Winston.
Le masque de la mort rouge, de Roger Corman (1964) 6/10 - Malgré une jolie production qui donne la part belle aux couleurs, le film peine à dépasser l'anecdote. Ici un nain se venge d'un tourmenteur, là une vieille meurt de la peste... Price donne malgré tout cela une vraie plus-value au film.
Detroit, de Kathryn Bigelow (2017) 8,5/10 - Une sorte de film dossier à la tension efficace. Bigelow sait mettre en scène, et son film est parfois vraiment saisissant.
Kingsman : The Golden Circle, de Matthew Vaughn (2017) 7/10 - On sent qu'ils se sont fait plaisir sur ce film, qui du coup perd un peu en tension et en inventivité. Reste la maestria visuelle de certaines séquences, et un personnage de vilain campé par une Julianne Moore très inspirée.
Películas para no dormir: Para entrar a vivir, de Jaume Balaguero (2006) 7,5/10 - Sans doute le plus réussi de la collection pour son coté grand-guignolesque. Même si les personnages ne sont pas très malins, ce qui est toujours un peu frustrant, on s'amuse beaucoup devant ce cauchemar en location...
Mise à l'épreuve / Ride Along, de Tim Story (2014) 7/10 - Buddy movie pas fameux, mais qui repose avant tout sur les épaules de Kevin Hart. Ce dernier en impose par son débit incessant et finit par vraiment beaucoup faire rire.
House, de Steve Miner (1986) 6,5/10 - Pure production de sous-genre des années 80, avec son humour potache, ses effets de maquillage bidons mais charmants, son intrigue simplissime, ses séquences d'anthologie (le petit avec la main dans le dos :lol: ). Que du bonheur !
Deranged, de Jeff Gillen & Alan Ormsby (1974) 7/10 - Sorte de film dossier sur Ed Gein (transposé) et premier film sérieux de Tom Savini aux effets sanglants, le film marque pour son coté malsain et craspec, malgré quelques longueurs et maladresses de style.
The Babysitter, de McG (2017) 8/10 - Sorte de film somme, en version contemporaine, du film d'horreur teenager, avec les ados, l'humour, les références et l'univers high school aux codes bien identifiés. Derrière les références, un humour mordant, des comédiens qui s'amusent, et un réalisateur au gout marqué pour le spectaculaire concourrent à faire de ce film une potacherie vraiment sympathique.
Lady in white, de Frank Laloggia (1988) 8/10 - Une histoire de fantômes dans une ambiance Amblin, avec une photographie particulièrement léchée et une ambiance poétique qui donne au film un supplément d'âme. Une grosse découverte pour moi.
Obaltan, de Hyun Mok Yoo (1961) 7,5/10 - Un film dépressif sur les difficultés de l'après-guerre, ou un ex-soldat et sa familles se battent pour leur survie, dans un dénuement épouvantable...
The Goodbye Girl, de Herbert Ross (1977) 7/10 - Sorte de comédie romantique New-Yorkaise liant une ex-danseuse qui élève seule sa fille et un acteur en proie au doute... Les répliques sont très sympa, et les amateurs de Richard Dreyfuss se réjouiront de ce rôle dans lequel il se donne à fond.
The Square, de Ruben Ostlund (2017) 8/10 - J'aime beaucoup l'humour cruel d'Ostlund, sa capacité à mettre en évidence les compromis que l'on passe avec soi-même, à construire des personnages solides qui se révèlent pendant les crises qu'ils traversent...
Mossafer, de Abbas Kiarostami (1974) 8/10 - Paradowalement, je préfère ce film offert en bonus par Criterion. En effet, ici le visuel est super léché et très beau, l'histoire de cet enfant qui veut aller voir un match de foot réussit à être touchante et fonctionne très bien.
Race with the Devil, de Jack Starett (1975) 7,5/10 - Quelle jolie pastille temporelle !! Warren Oates et Peter Fonda en goguette, des satanistes fous, des cascades dans tous les sens, et une intrigue à la délivrance qui ne fonctionne pas si mal.
Rage, de David Cronenberg (1977) 4/10 - Proto-film de contaminé, le film manque de rythme ou de mise en scène, sans doute en raison de son faible budget. C'est une curiosité quand on s'intéresse à Cronenberg, mais ça reste parmi ses films les plus médiocres...
Thor : Ragnarok, de Taika Waititi (2017) 8/10 - Thor trouve un ton qui lui convient, et le film enfile séquences droles et chouettes idées de science-fiction. On s'amuse beaucoup, et certaines séquences sont vraiment visuellement réussies.
V.I.P. de Park Hoon-Jung (2017) 7,5/10 - Un croisement réussi entre film d'espionnage et thriller policier, avec un bad guy particulièrement réussi.
Sorry to give you trouble, de Im Kwon-Taek (1969) 5,5/10 - Une comédie de commande assez falote, jusqu'au dernier quart d'heure qui conclut le film par un final surréaliste et burlesque en diable, avec jumeaux fous, bataille de tartes à la crème, postiches et grosse dame indignée...
It came from beneath the Sea, de Robert Gordon (1955) 5,5/10 - Film de monstre cheap et mal fichu, sauf lorsque jaillit de la mer une pieuvre géante. Mais ces séquences sont rares, et il faut subir une intrigue qui gère son maigre budget comme elle peut.
Les nuits de la pleine lune, d'Eric Rohmer (1984) 5/10 - J'ai beau insister, le monde de Rohmer me résiste et continue à m'exaspérer, malgré quelques trop rares fulgurances ici dues à Fabrice Luchini...
Midnight Runners, de Kim Joo-Hwan (2017) 8/10 - Un beau récit dans lequel des apprentis policiers se retrouvent à devoir sauver des jeunes filles. Le démarrage en comédie hilarante rend l'évolution du film particulièrement attachante, et j'ai été totalement emporté par cette histoire. Le casting fonctionne ici vraiment très bien.
Vanishing Time, de Eom Tae-hwa (2017) 4/10 - Peu convaincu par ce film aux enjeux risibles (une variante du syndrome David Vincent), avec une mise en scène qui élonge les scène émotives et le rehausse d'une musique qui donne envie de guimauve...
Battleship Island, de Ryoo Seung-wan (2017) 8,5/10 - Un formidable film épique comme Hollywood n'en fait plus, au final en forme d'apothéose et au récit melant de nombreux personnages dans un cadre historique d'une fabuleuse cinégénie. Les morceaux d'anthologies s'accumulent, et l'on sort assez ébahi de tout ça...
Propriété interdite, de Sidney Pollack (1966) 7/10 - Croisement du Hollywood classique (James Wong Howe et Edith Head) et du moderne (Coppola au script, Redford ou Charles Bronson...), le film reste fragile et mal équilibré, du coup son final ouvert et indécis souffle le peu d'émotion qu'il avait pu insuffler. Dommage, ça reste une curiosité et un joli film dans lequel éclate la beauté de Natalie Wood, mais ça ne décolle jamais véritablement...
Du sang pour Dracula, de Paul Morrissey (1974) 4/10 - Une espèce d'humour pince sans rire traverse ce film sans jamais vraiment dominer une mise en scène mollassonne... Notons de petites séquences érotiques, de petits moments sanglants, mais le coté absurde des enjeux (le mal qu'a Dracula à trouver des vierges) rend tout cela un peu ridicule.

FILMS REVUS:
L'aventure de Madame Muir, de Joseph L. Mankiewicz (1947) 10/10 - Note à moi-même : ne jamais hésiter à revoir un de mes films préférés. Même si l'envie n'est pas là au départ, je me retrouve toujours totalement emporté...

Films des mois précédent
Spoiler (cliquez pour afficher)
janvier 2011=Incendies (Villeneuve)
février 2011=Portrait of Jennie (Dieterle)
mars 2011=Orgueil et préjugés (Wright)
avril 2011=Murder by Contract (Lerner)
mai 2011=Vincent, François, Paul, et les autres (Sautet)
juin 2011=Les contes cruels du Bushido (Imai)
juillet 2011=Underworld (Von Sternberg)
aout 2011=L'heure suprême (Borzage)
septembre 2011=L'Apollonide, souvenirs de la maison close (Bonello)
octobre 2011=The ox-bow incident (Wellman)
novembre 2011=The Movie Orgy (Dante)
décembre 2011=Mission Impossible : le protocole fantôme (Bird)
janvier 2012=Take Shelter (Nichols)
février 2012=Gentleman Jim (Walsh)
mars 2012=Le miroir (Tarkovski)
avril 2012=Divorce à l'italienne (Germi)
mai 2012=La cabane dans les bois (Goddard)
juin 2012=Les meilleures années de notre vie (Wyler)
juillet 2012=Feux dans la plaine (Ichikawa)
aout 2012=Wichita (Tourneur)
septembre 2012=Baraka (Fricke)
octobre 2012=Les grandes espérances (Lean)
novembre 2012=Man Hunt (Lang)
décembre 2012=Wings (Shepitko)
janvier 2013=Les dimanches de Ville d'Avray (Bourguignon)
février 2013=Wings (Wellman)
mars 2013=Le bossu de Notre-Dame (Wise & Trousdale)
avril 2013=Comme des frères (Gélin)
mai 2013=Walkabout (Roeg)
juin 2013=Kekexili (Chuan)
juillet 2013=Doro no kawa (Oguri)
aout 2013=My Childhood (Douglas)
septembre 2013=Hoop Dreams (James)
octobre 2013=Pique-nique à Hanging Rock (Weir)
novembre 2013=Du rififi chez les hommes (Dassin)
decembre 2013=Heimat, chronique d'un rêve (Reitz)
janvier 2014=Hearts of Darkness: A Filmmaker's Apocalypse (Bahr & Hickenlooper)
fevrier 2014=The Grand Budapest Hotel (Anderson)
mars 2014=Voyage à Tokyo (Ozu)
avril 2014=Untel père et fils (Duvivier)
mai 2014=Seuls sont les indomptés (Miller)
juin 2014=Les harmonies Werckmeister (Tarr)
juillet 2014=La maison des geishas (Fukasaku)
aout 2014=The Act of Killing (Oppenheimer)
septembre 2014=White God (Mundruczó)
octobre 2014=Gone Girl (Fincher)
novembre 2014=Odd Man Out (Reed)
decembre 2014=Le retour (Zvyagintsev)
janvier 2015=Le Soleil brille pour tout le monde (Ford)
février 2015=Le vent (Sjostrom)
mars 2015=Eté précoce (Ozu)
avril 2015=The taking of Tiger Mountain (Hark)
mai 2015=Mad Max: Fury Road (Miller)
juin 2015=Vice versa (Docter)
juillet 2016=Johnny BelindaN(Negulesco)
aout 2015=Selon la loi (Koulechov)
septembre 2015=Gosses de Tokyo (Ozu)
octobre 2015=La baie sanglante (Bava)
novembre 2015=La vie passionnée de Vincent van Gogh (Minelli)
decembre 2015=La chanteuse de Pansori (Kwon-Taek)
janvier 2016=L'ange exterminateur (Bunuel)
février 2016=Le vieux Manoir (Stiller)
mars 2016=Un temps pour vivre, un temps pour mourir (Hsiao Hsien)
avril 2016=Vivre sa vie (Godard)
mai 2016=Nazarin (Bunuel)
juin 2016=Voyage à travers le cinéma français (Tavernier)
juillet 2016=Et tournent les chevaux de bois (Montgomery)
août 2016=Le festin de Babette (Axel)
septembre 2016=La region salvaje (Escalante)
octobre 2016=The Deep Blue Sea (Davies)
novembre 2016=La fille de Brest (Bercot)
decembre 2016=The Mermaid (Chow)
janvier 2017=Le cheval de Turin (Tarr)
fevrier 2017=Loving (Nichols)
mars 2017=The Lost City of Z (Gray)
avril 2017=Saving Sally (Liongoren)
mai 2017=The Tin Star (Mann)
juin 2017=Comme un torrent (Minnelli)
juillet 2017=Le monde lui appartient (Walsh)
aout 2017=Taking off (Forman)
septembre 2017=Trois pages d'un journal (Pabst)
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Demi-Lune
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par Demi-Lune »

FILM DU MOIS D'OCTOBRE 2017


FILMS DÉCOUVERTS OU REDÉCOUVERTS
  • The square (Ruben Östlund, 2017) — 8/10
    Charulata (Satyajit Ray, 1964) — 8/10
    1984 (Michael Radford, 1984) — 7,5/10
    La passion Van Gogh (Dorota Kobiela & Hugh Welchman, 2017) — 7,5/10
    Laissez bronzer les cadavres! (Hélène Cattet & Bruno Forzani, 2017) — 7/10
    Beau travail (Claire Denis, 1999) — 7/10
    Ju Dou (Zhang Yimou & Yang Fengliang, 1990) — 7/10
    Kekexili, la patrouille sauvage (Lu Chuan, 2004) — 6,5/10
    La maison Russie (Fred Schepisi, 1990) — 6/10
    Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve, 2017) — 5,5/10
    PTU, Police Tactical Unit (Johnnie To, 2003) — 5,5/10
    La cérémonie (Nagisa Ōshima, 1971) — 5/10
    Que viva Eisenstein! (Peter Greenaway, 2015) — 4,5/10
    Innocent blood (John Landis, 1992) — 3/10
    Les seins de glace (Georges Lautner, 1974) — 2,5/10
    Pensées mortelles (Alan Rudolph, 1991) — 2/10
    La Bible (John Huston, 1966) — 2/10
    Darkside, les contes de la nuit noire (John Harrison, 1990) — 1/10
    Kingsman : services secrets (Matthew Vaughn, 2014) — 0/10
FILMS REVUS
  • Blade Runner (Ridley Scott, 1982) — 10/10
    Amour (Michael Haneke, 2012) — 9/10
    Les dents de la mer (Steven Spielberg, 1975) — 9/10
    Empire du soleil (Steven Spielberg, 1987) — 8,5/10
    Le chat (Pierre Granier-Deferre, 1971) — 8,5/10
    A.I., intelligence artificielle (Steven Spielberg, 2001) — 8/10
    Une question de vie ou de mort (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1946) — 7,5/10
    Le fugitif (Andrew Davis, 1993) — 6,5/10
    Gosford Park (Robert Altman, 2001) — 5/10
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El Dadal
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par El Dadal »

OCTOBRE 2017

FILM DU MOIS
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Films découverts:
  • _ Le guépard (Luchino Visconti - 1963) Image
    _ Detroit (Kathryn Bigelow - 2017) Image
    _ Voyage à travers le cinéma français (Bertrand Tavernier - 2016) Image
    _ Logan Lucky (Steven Soderbergh - 2017) Image
    _ L'homme aux deux cerveaux (Carl Reiner - 1983) Image
    _ Noix de coco (Joseph Santley & Robert Florey - 1929) Image
    _ Opéra (Dario Argento - 1987) Image
    _ La prisonnière du désert (John Ford - 1956) Image
    _ Joe Kidd (John Sturges - 1972) Image
    _ The Murderer (Na Hong-jin - 2010) Image
    _ Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve - 2017) Image
    _ Happy End (Michael Haneke - 2017) Image
Films revus:
  • _ Zero Dark Thirty (Kathryn Bigelow - 2012) Image
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

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Octobre 2017

Films découverts
Don't Torture a Duckling (Lucio Fulci) : 7/10
L'amant double (François Ozon) : 5.5/10
Pieces (Juan Piquer Simón) : 6.5/10
La fin du jour (Julien Duvivier) : 7.5/10
L'étalon (Jean-Pierre Mocky) : 6.5/10
Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve) : 4/10
Le Crabe-Tambour (Pierre Schoendoerffer) : 6/10
Un petit boulot (Pascal Chaumeil) : 5/10
Scarecrows (William Wesley) : 3/10
The Meyerowitz Stories (Noah Baumbach) : 7/10
Detroit (Kathryn Bigelow) : 6.5/10
Nightmares in a Damaged Brain (Romano Scavolini) : 5.5/10
The Fan (Edward Bianchi) : 5.5/10
Lawman (Michael Winner) : 6.5/10
K-Shop (Dan Pringle) : 5.5/10
Borg McEnroe (Janus Metz) : 4/10
The Square (Ruben Östlund) : 6/10
Sing Street (John Carney) : 4.5/10
1922 (Zak Hilditch) : 6.5/10
Le sens de la fête (Eric Toledano & Olivier Nakache) : 7/10
Prevenge (Alice Lowe) : 5/10
Unexpected (Kris Swanberg) : 5.5/10
Deepwater Horizon (Peter Berg) : 6.5/10
Go (Doug Liman) : 4/10
Bushwick (Cary Murnion & Jonathan Milott) : 4.5/10
Logan Lucky (Steven Soderbergh) : 6/10
The Girl on the Train (Tate Taylor) : 4/10
Pour le réconfort (Vincent Macaigne) : 7.5/10

Films revus
Aliens (James Cameron) : 8.5/10 (=)
Slugs (Juan Piquer Simón) : 6/10 (=)
Frayeurs (Lucio Fulci) : 7.5/10 (=)
L'Au-delà (Lucio Fulci) : 8/10 (=)
Lifeforce (Tobe Hooper) : 6.5/10 (+)

Séries découvertes
The Trip to Spain (Michael Winterbottom) : 7.5/10
White Gold (Damon Beesley) : 6/10
Wet Hot American Summer : Ten Years Later (Michael Showalter & David Wain) : 6.5/10
Big Mouth (Jennifer Flackett, Mark Levin & Andrew Goldberg) : abandonnée
BoJack Horseman - saison 4 (Raphael Bob-Waksberg) : abandonnée

Mes films du mois de Janvier 2005 à Septembre 2017
Spoiler (cliquez pour afficher)
Janvier 2005 : Turkish Delights (Paul Verhoeven)
Février 2005 : Bloody Sunday (Paul Greengrass)
Mars 2005 : The Life Aquatic with Steve Zissou (Wes Anderson)
Avril 2005 : Sweet Sixteen (Ken Loach)
Mai 2005 : Sleuth (Joseph L. Mankiewicz)
Juin 2005 : Man in the Moon (Robert Mulligan)
Juillet 2005 : Flesh + Blood (Paul Verhoeven)
Août 2005 : Bottle Rocket (Wes Anderson)
Septembre 2005 : The Getaway (Sam Peckinpah)
Octobre 2005 : Greed (Erich Von Stroheim)
Novembre 2005 : A History of Violence (David Cronenberg)
Décembre 2005 : The Man Who Would Be King (John Huston)
Janvier 2006 : Der Vierde Man (Paul Verhoeven)
Février 2006 : The New World (Terrence Malick)
Mars 2006 : Bring Me the Head of Alfredo Garcia (Sam Peckinpah)
Avril 2006 : Sorcerer (William Friedkin)
Mai 2006 : Testament (Lynn Littman)
Juin 2006 : The Last Boy Scout (Tony Scott)
Juillet 2006 : The Devil's Rejects (Rob Zombie)
Août 2006 : Breezy (Clint Eastwood)
Septembre 2006 : Tarnation (Jonathan Caouette)
Octobre 2006 : Children of Men (Alfonso Cuaron)
Novembre 2006 : Black Book (Paul Verhoeven)
Décembre 2006 : My Darling Clementine (John Ford)
Janvier 2007 : Casablanca (Michael Curtiz)
Février 2007 : Keane (Lodge Kerrigan)
Mars 2007 : Lonely are the Brave (David Miller)
Avril 2007 : The Prisoner of Shark Island (John Ford)
Mai 2007 : Babe : Pig in the City (George Miller)
Juin 2007 : The Brown Bunny (Vincent Gallo)
Juillet 2007 : Two For The Road (Stanley Donen)
Août 2007 : Ratatouille (Brad Bird)
Septembre 2007 : The Bourne Supremacy (Paul Greengrass)
Octobre 2007 : Requiem pour un Massacre (Elem Klimov)
Novembre 2007 : 24 Hour Party People (Michael Winterbottom)
Décembre 2007 : We Own The Night (James Gray)
Janvier 2008 : Sweeney Todd (Tim Burton)
Février 2008 : La Nuit Américaine (François Truffaut)
Mars 2008 : The Man Who Shot Liberty Valance (John Ford)
Avril 2008 : F...comme Fairbanks (Maurice Dugowson)
Mai 2008 : Mr Smith Goes to Washington (Frank Capra)
Juin 2008 : Block Party (Michel Gondry)
Juillet 2008 : Bridge to Terabithia (Gabor Csupo)
Août 2008 : The Pursuit of Happyness (Gabriele Muccino)
Septembre 2008 : The Mist (Frank Darabont)
Octobre 2008 : Entre les murs (Laurent Cantet)
Novembre 2008 : At Close Range (James Foley)
Décembre 2008 : Faits Divers (Raymond Depardon)
Janvier 2009 : Urgences (Raymond Depardon)
Février 2009 : The Wrestler (Darren Aronofsky)
Mars 2009 : You can't take it with you (Frank Capra)
Avril 2009 : Le Trou (Jacques Becker)
Mai 2009 : Family Life (Ken Loach)
Juin 2009 : La Ronde (Max Ophüls)
Juillet 2009 : Bukowski - Born Into This (John Dullaghan)
Août 2009 : Inglourious Basterds (Quentin Tarantino)
Septembre 2009 : District 9 (Neil Blomkamp)
Octobre 2009 : (500) Days of Summer (Marc Webb)
Novembre 2009 : Once (John Carney)
Décembre 2009 : Avatar (James Cameron)
Janvier 2010 : Mr. Nobody (Jaco Van Dormael)
Février 2010 : Valkyrie (Bryan Singer)
Mars 2010 : Boy A (John Crowley)
Avril 2010 : The Red Shoes (Michael Powell & Emeric Pressburger)
Mai 2010 : Grey Gardens (Albert Maysles, David Maysles, Ellen Hovde & Muffie Meyer)
Juin 2010 : Sixteen Candles (John Hughes)
Juillet 2010 : The Fall (Tarsem Singh)
Août 2010 : This Is It (Kenny Ortega)
Septembre 2010 : Des Hommes et des Dieux (Xavier Beauvois)
Octobre 2010 : The Social Network (David Fincher)
Novembre 2010 : The Dead (John Huston)
Décembre 2010 : Death Wish III (Michael Winner)
Janvier 2011 : Miracle Mile (Steve De Jarnatt)
Février 2011 : On Her Majesty's Secret Service (Peter Hunt)
Mars 2011 : Brief Encounter (David Lean)
Avril 2011 : Punishment Park (Peter Watkins)
Mai 2011 : The Tree of Life (Terrence Malick)
Juin 2011 : Running on Empty (Sidney Lumet)
Juillet 2011 : Music Box (Costa-Gavras)
Août 2011 : The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford (Andrew Dominik)
Septembre 2011 : 7th Heaven (Frank Borzage)
Octobre 2011 : The Plague Dogs (Martin Rosen)
Novembre 2011 : Super (James Gunn)
Décembre 2011 : City of Hope (John Sayles)
Janvier 2012 : Take Shelter (Jeff Nichols)
Février 2012 : Incendies (Denis Villeneuve)
Mars 2012 : Modern Times (Charlie Chaplin)
Avril 2012 : A propos d'Elly (Asghar Farhadi)
Mai 2012 : The Conversation (Francis Ford Coppola)
Juin 2012 : The Myth of the American Sleepover (David Robert Mitchell)
Juillet 2012 : L'Assassin habite au 21 (Henri-Georges Clouzot)
Août 2012 : Scaramouche (George Sidney)
Septembre 2012 : The Tall T (Budd Boetticher)
Octobre 2012 : Anatomy of a Murder (Otto Preminger)
Novembre 2012 : Frankenweenie (Tim Burton)
Décembre 2012 : Le Havre (Aki Kaurismäki)
Janvier 2013 : The White Diamond (Werner Herzog)
Février 2013 : Oslo, 31 Août (Joachim Trier)
Mars 2013 : The Swimmer (Frank Perry)
Avril 2013 : Les Naufragés de l'Île de la Tortue (Jacques Rozier)
Mai 2013 : The Thin Blue Line (Errol Morris)
Juin 2013 : Hôtel Terminus (Marcel Ophuls)
Juillet 2013 : Tous les matins du monde (Alain Corneau)
Août 2013 : Gummo (Harmony Korine)
Septembre 2013 : Calmos (Bertrand Blier)
Octobre 2013 : Le Quai des Brumes (Marcel Carné)
Novembre 2013 : Inside Llewyn Davis (Joel Coen)
Décembre 2013 : A Matter of Life & Death (Michael Powell & Emeric Pressburger)
Janvier 2014 : Tel père, tel fils (Hirokazu Kore-eda)
Février 2014 : The Grand Budapest Hotel (Wes Anderson)
Mars 2014 : Her (Spike Jonze)
Avril 2014 : Underworld U.S.A. (Samuel Fuller)
Mai 2014 : Deux jours, une nuit (Jean-Pierre & Luc Dardenne)
Juin 2014 : Under The Skin (Jonathan Glazer)
Juillet 2014 : Dawn of the Planet of the Apes (Matt Reeves)
Août 2014 : Gallipoli (Peter Weir)
Septembre 2014 : Wonderland (Michael Winterbottom)
Octobre 2014 : Blancanieves (Pablo Berger)
Novembre 2014 : L'Enfance d'Ivan (Andreï Tarkovski)
Décembre 2014 : Whiplash (Damien Chazelle)
Janvier 2015 : Inherent Vice (Paul Thomas Anderson)
Février 2015 : Allemagne Année Zéro (Roberto Rossellini)
Mars 2015 : Soy Cuba (Mikhaïl Kalatozov)
Avril 2015 : Images (Robert Atman)
Mai 2015 : Mia Madre (Nanni Moretti)
Juin 2015 : Inside Out (Pete Docter & Ronaldo Del Carmen)
Juillet 2015 : Les Glaneurs et la Glaneuse (Agnès Varda)
Août 2015 : The One I Love (Charlie McDowell)
Septembre 2015 : Bad Timing (Nicolas Roeg)
Octobre 2015 : Fatima (Philippe Faucon)
Novembre 2015 : Une partie de campagne (Jean Renoir)
Décembre 2015 : Le Bouton de Nacre (Patricio Guzmán)
Janvier 2016 : La Soufrière (Werner Herzog)
Février 2016 : Nashville (Robert Altman)
Mars 2016 : Midnight Special (Jeff Nichols)
Avril 2016 : Everybody Wants Some !! (Richard Linklater)
Mai 2016 : Wuthering Heights (Andrea Arnold)
Juin 2016 : Amy (Asif Kapadia)
Juillet 2016 : Close-Up (Abbas Kiarostami)
Août 2016 : Rester Vertical (Alain Guiraudie)
Septembre 2016 : Aquarius (Kleber Mendonça Filho)
Octobre 2016 : Cléo de 5 à 7 (Agnès Varda)
Novembre 2016 : Into the Inferno (Werner Herzog)
Décembre 2016 : Manchester by the Sea (Kenneth Lonergan)
Janvier 2017 : A Monster Calls (J.A. Bayona)
Février 2017 : Moonlight (Barry Jenkins)
Mars 2017 : Tunnel (Kim Seong-hun)
Avril 2017 : Une journée particulière (Ettore Scola)
Mai 2017 : Tokyo Sonata (Kiyoshi Kurosawa)
Juin 2017 : War for the Planet of the Apes (Matt Reeves)
Juillet 2017 : The Fits (Anna Rose Holmer)
Août 2017 : La double vie de Véronique (Krzysztof Kieslowski)
Septembre 2017 : Good Time (Safdie Brothers)
Dernière modification par Flol le 31 oct. 17, 10:06, modifié 24 fois.
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AtCloseRange
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par AtCloseRange »

deux Hommes en Fuite (Losey) 5/10
Bushwick (Netflix) 5,5/10
Bottom of the World (Sears) 6,5/10
Dernière modification par AtCloseRange le 5 oct. 17, 11:26, modifié 2 fois.
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Vic Vega
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par Vic Vega »

Octobre 2017


Film du mois
Headhunters de Morten Tyldum


Films découverts
L'Empire de la fortune d'Arturo Ripstein 7/10
Headhunters de Morten Tyldum 6/10
Blade Runner 2049 de Denis Villeneuve 6/10


Séries TV
Jekyll 6.5/10
New Girl Saison 1 6/10


Films revus (Hors compétition)
Time and Tide de Tsui Hark 9/10
Dernière modification par Vic Vega le 15 déc. 24, 23:40, modifié 8 fois.
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joe-ernst
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par joe-ernst »

OCTOBRE 2017


Film du mois :

Image


Films découverts :

Bonjour tristesse, d'Otto Preminger : 6/10
Confident royal, de Stephen Frears : 4/10
Drugstore Cowboy, de Gus Van Sant : 6/10
La fête à Henriette, de Julien Duvivier : 6,5/10
Les grandes espérances, de David Lean : 7,5/10
Les inconnus dans la maison, de Henri Decoin : 6,5/10
Je sais où je vais, de Michael Powell et Emeric Pressburger : 7,5/10
Le sang à la tête, de Gilles Grangier : 6/10
The Square, de Ruben Oestlund : 7,5/10



Films revus ou redécouverts :

L'apprentie sorcière, de Robert Stevenson : 7,5/10
Un éléphant ça trompe énormément, d'Yves Robert : 7/10




Film du mois, le récapitulatif :
Spoiler (cliquez pour afficher)
West Side Story, de Robert Wise et Jerome Robbins (janvier 2008)
La harpe de Birmanie, de Kon Ichikawa (février 2008)
Iphigénie, de Michael Cacoyannis (mars 2008)
Douce, de Claude Autant-Lara (avril 2008)
Rocco et ses frères, de Luchino Visconti (mai 2008)
La fille de l'amiral, de Roy Rowland (juin 2008)
Bellissima, de Luchino Visconti (juillet 2008)
Sciuscià, de Vittorio De Sica (août 2008)
Scarface, de Howard Hawks (septembre 2008)
La fureur de vivre, de Nicholas Ray (octobre 2008)
Un goût de miel, de Tony Richardson et Le narcisse noir, de Michael Powell et Emeric Pressburger (novembre 2008, ex-aequo)
Lettre d'une inconnue, de Max Ophuls (décembre 2008)
Colonel Blimp, de Michael Powell et Emeric Pressburger (janvier 2009)
Milk, de Gus Van Sant et Séraphine, de Martin Provost (février 2009, ex-aequo)
L'homme des vallées perdues, de George Stevens (mars 2009)
Justice est faite, d'André Cayatte (avril 2009)
Pour toi j'ai tué, de Robert Siodmak (mai 2009)
Les contes de la lune vague après la pluie, de Kenji Mizoguchi (juin 2009)
L'aurore, de Friedrich Wilhelm Murnau (juillet 2009)
Winchester 73, d'Anthony Mann (août 2009)
Le plus sauvage d'entre tous, de Martin Ritt (septembre 2009)
Le ruban blanc, de Michael Haneke (octobre 2009)
La captive aux yeux clairs, de Howard Hawks (novembre 2009)
Peau d'âne, de Jacques Demy (décembre 2009)
Pépé le Moko, de Julien Duvivier (janvier 2010)
Miss Oyu, de Kenji Mizoguchi (février 2010)
Nos meilleures années, de Marco Tullio Giordana (mars 2010)
Ces messieurs dames, de Pietro Germi (avril 2010)
Sueurs froides, d'Alfred Hitchcock (mai 2010)
AUCUN (juin 2010)
Chevaux de bois, de Rupert Julian et Erich von Stroheim (juillet 2010)
Le diable boiteux, de Sacha Guitry (août 2010)
AUCUN (septembre 2010)
Love, de Ken Russell (octobre 2010)
Topsy-Turvy, de Mike Leigh (novembre 2010)
Le marquis de Saint-Evremond, de Jack Conway (décembre 2010)
Incendies, de Denis Villeneuve (janvier 2011)
Une étoile est née, de George Cukor (février 2011)
Une si jolie petite plage, d'Yves Allégret (mars 2011)
Rabbit Hole, de John Cameron Mitchell (avril 2011)
Shakespeare Wallah, de James Ivory (mai 2011)
Le guépard, de Luchino Visconti (juin 2011)
The Beloved Rogue, d'Alan Crosland (juillet 2011)
America, America, d'Elia Kazan (août 2011)
Et maintenant, on va où ?, de Nadine Labaki (septembre 2011)
AUCUN (octobre 2011)
AUCUN (novembre 2011)
Le goût du saké, de Yasujirô Ozu (décembre 2011)
Le mécano de la General, de Buster Keaton (janvier 2012)
AUCUN (février 2012)
AUCUN (mars 2012)
AUCUN (avril 2012)
AUCUN (mai 2012)
Her Night of Romance, de Sidney Franklin (juin 2012)
AUCUN (juillet 2012)
AUCUN (août 2012)
Nouveau souffle, de Karl Markovics (septembre 2012)
Un singe en hiver, d'Henri Verneuil (octobre 2012)
Week-end, d'Andrew Haigh (novembre 2012)
Brighton Rock, de John Boulting (décembre 2012)
Yossi, d'Eytan Fox (janvier 2013)
Blancanieves, de Pablo Berger (février 2013)
AUCUN (mars 2013)
AUCUN (avril 2013)
Mulholland Drive, de David Lynch (mai 2013)
La grande bellezza, de Paolo Sorrentino (juin 2013)
L'inconnu du lac, d'Alain Guiraudie (juillet 2013)
AUCUN (août 2013)
AUCUN (septembre 2013)
La solitude du coureur de fond, de Tony Richardson (octobre 2013)
AUCUN (novembre 2013)
AUCUN (décembre 2013)
Pot-Bouille, de Julien Duvivier (janvier 2014)
AUCUN (février 2014)
AUCUN (mars 2014)
AUCUN (avril 2014)
L'armée du salut, d'Abdellah Taïa (mai 2014)
AUCUN (juin 2014)
RIEN (juillet 2014)
AUCUN (août 2014)
Pride, de Matthew Warchus (septembre 2014)
AUCUN (octobre 2014)
Der Kreis, de Stefan Haupt (novembre 2014)
AUCUN (décembre 2014)
AUCUN (janvier 2015)
Le passé se venge, de Robert Florey (février 2015)
AUCUN (mars 2015)
Le bal de la famille Anjo, de Kozaburo Yoshimura (avril 2015)
L'assassin sans visage, de Richard Fleischer (mai 2015)
AUCUN (juin 2015)
AUCUN (juillet 2015)
Les désarrois de l'élève Törless, de Volker Schlöndorff (août 2015)
The Outcast / The Broken Comandments (Hakai), de Kon Ichikawa (septembre 2015)
AUCUN (octobre 2015)
AUCUN (novembre 2015)
Raphaël ou le débauché, de Michel Deville (décembre 2015)
La lectrice, de Michel Deville (janvier 2016)
AUCUN (février 2016)
AUCUN (mars 2016)
AUCUN (avril 2016)
Julieta, de Pedro Almodovar (mai 2016)
AUCUN (juin 2016)
AUCUN (juillet 2016)
La chambre ardente, de Julien Duvivier (août 2016)
AUCUN (septembre 2016)
AUCUN (octobre 2016)
AUCUN (novembre 2016)
Morning for the Osone Family, de Keisuke Kinoshita (décembre 2016)
La La Land, de Damien Chazelle (janvier 2017)
AUCUN (février 2017)
Mapplethorpe: Look at the Pictures, de Fenton Bailey et Randy Barbato (mars 2017)
AUCUN (avril 2017)
AUCUN (mai 2017)
AUCUN (juin 2017)
AUCUN (juillet 2017)
AUCUN (août 2017)
Barbara, de Mathieu Amalric (septembre 2017)
Dernière modification par joe-ernst le 2 nov. 17, 11:34, modifié 8 fois.
L'hyperréalisme à la Kechiche, ce n'est pas du tout mon truc. Alain Guiraudie
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feb
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

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ImageImageImage
*Blade Runner - Ridley Scott (1982) - 9,5
A Ghost Story - David Lowery (2017) - 8,5

Le Retour - Andrey Zvyagintsev (2003) - 6
Gosford Park - Robert Altman (2001) - 6
Spider-Man: Homecoming - Jon Watts (2017) - 6
Moi, moche et méchant 3 - 5,5
Infinity Chamber - Travis Milloy (2016) - 5
Spoiler (cliquez pour afficher)
10
Aout : French Cancan
Septembre : Peter Ibbetson
Octobre : Psycho
Novembre : Lonely are the brave
Décembre : Yellow Sky
11
Janvier : The Quiet man
Février : Souvenirs goutte à goutte
Mars : White Heat
Avril : Ball of fire
Mai : A Woman's Face
Juin : Scaramouche
Juillet : They were expendable
Aout : Love
Septembre : The Ox-Bow Incident
Octobre : The Artist
Novembre : The Unknown
Décembre : Je suis un évadé
12
Janvier : Garbo talks
Février : À l'Ouest, rien de nouveau
Mars : Convoi de femmes
Avril : To Be or Not to Be
Mai : The Single Standard
Juin : The Docks of New York
Juillet : Gentleman Jim
Aout : La Chevauchée des bannis
Septembre : Fast Workers
Octobre : The Patsy
Novembre : Skyfall
Décembre : X
13
Janvier : A Woman of Affairs
Février : X
Mars : Mirage
Avril : Le Miroir
Mai : Nostalghia
Juin : La Grande Guerre
Juillet : Underworld
Aout : The Last Picture Show
Septembre : The Apartment
Octobre : Fail-Safe
Novembre : Cris et Chuchotements
Décembre : La Source + Les Fraises Sauvages
14
Janvier : Manhattan
Février : Hunger
Mars : Persona
Avril : The Last Command
Mai : A bout de course
Juin : The Perks of Being a Wallflower
Juillet : Ma nuit chez Maud
Août : Le Deuxième Souffle
Septembre : The Tree of Life
Octobre : X
Novembre : X
Décembre : Fargo
15
Janvier : X
Février :Fanny et Alexandre
Mars : Blade Runner
Avril : Le silence des agneaux
Mai : Zero Dark Thirty
Juin : Printemps tardif (Banshun)
Juillet : 8 1/2
Août : X
Septembre : X
Octobre : The Life and Death of Colonel Blimp
Novembre : Solaris
Décembre : X
16
Janvier : Nous nous sommes tant aimés
Février : Le nom de la rose
Mars : The Revenant
Avril : Still Walking
Mai : HANA-BI
Juin : X
Juillet : X
Aout : X
Septembre : X
Octobre : X
Novembre : Inception
Décembre : X
17
Janvier : La tortue rouge
Février : Manchester by the sea
Mars : X
Avril : Le Trou
Mai : Pique-nique à Hanging Rock
Juin : Song to Song
Juillet : Le violent
Aout : La Jetée
Septembre : Le Grondement de la montagne
Dernière modification par feb le 13 oct. 17, 20:31, modifié 3 fois.
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

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Octobre 2017

Film du mois

Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve)

Image


Films découverts (Re)

Le sens de la fête (Eric Toledano, Olivier Nakache) 8/10
Détroit (Kathryn Bigelow) 8/10
Thor : Ragnarok (Taika Waititi ) 7,5/10
Logan Lucky (Steven Soderbergh) 7/10
Zombillénium (Arthur de Pins, Alexis Ducord) 7/10
Ôtez-moi d'un doute (Carine Tardieu) 7/10
Le Château de verre (Destin Daniel Cretton) 6,5/10
Kingsman : Le Cercle d'or (Matthew Vaughn) 6/10
L'école buissonnière (Nicolas Vanier) 6/10
The square (Ruben Östlund) 5,5/10
Planetarian - Hoshi no Hito (Tsuda Naokatsu) 4/10


Films revus (Hors compétition)

Mad Max : Fury Road (Georges Miller) 9/10
Wonder woman (Patty Jenkins) 7,5/10


Séries (Hors compétition) (Revues)

Boku no Hero Academia 2 (Nagasaki Kenji) 8,5/10
The Eccentric Family - Saison 2 (Yoshihara Masayuki) 7,5/10
Prince of Stride Alternative (Ishizuka Atsuko) 7,5/10
Made in Abyss (Kojima Masayuki) 6/10


Notation

10/10 : Je suis en extase
9,5/10 : Je suis aux anges
9/10 : Je jubile
8,5/10 : J'adore
8/10 : J'aime beaucoup
7,5/10 : J'aime
7/10 : J'aime bien
6,5/10 : J'aime assez
6/10 : J'aime moyennement
5,5/10 : J'aime sans plus
5/10 : Entre deux eaux
4/10 : Je n'aime pas vraiment
3/10 : Je n'aime pas
2/10 : Je n'aime pas du tout
1/10 : Je déteste
0/10 : Où est mon pulvérisateur ?


Révisions revues ▲ à la hausse ▼ à la baisse ► à l'identique

Mes films du mois de Mai 2005 à Septembre 2017
Spoiler (cliquez pour afficher)
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Dernière modification par Best le 31 oct. 17, 00:54, modifié 11 fois.
C2302t
Machino
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par C2302t »

Film du mois

Découvertes

Tu ne tueras point de mel gibson : 8,5/10

El dorado de Howard Hawks : 8/10
Premier contact de Denis Villeneuve : 8/10

Sierra torride de don siegel : 7,5/10
Blade runner 2049 : 7,5/10

Detroit de kathryn bigelow : 7/10
Le chat de Pierre Granier deferre : 7/10
Kingsman 2 : 7/10

Insaisissables 2 : 6,5/10

Panique a needle park : 5/10

Redécouvertes

Mulholland drive : 9/10

Blade runner : 8/10
Seul au monde R. Zemeckis : 8/10
Kingsman : 8/10

Baby boss : 7/10

Séries

Game of throne s7 : 9/10
Hannibal s3 : 7/10

Film de janvier : John wick
Film de février : The two lovers
Film de mars : Logan
Film d'avril : le trou de Jacques Becker
Film de mai : tout en haut du monde de Rémi chayé
Film de juin : Captain fantastic
Film de juillet : le chant de la mer de tommy Moore
Film d'août : la planete des singes suprématie
Film de septembre : comancheria
Dernière modification par C2302t le 28 oct. 17, 08:52, modifié 14 fois.
Thaddeus
Ewok on the wild side
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2017

Message par Thaddeus »

Octobre 2017


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A scene at the sea (Takeshi Kitano, 1991)
Étrange film minimaliste, où des groupes de jeunes surfeurs silencieux attendent sur la plage que le vent se lève. Pas d’intrigue ni de paroles donc (et pas seulement parce que le héros y est sourd-muet), mais une série ascétique de regards effleurants, de gestes simples (marcher, courir, nager, tenter de trouver son équilibre), d’élégance du comportement, y compris dans les maladresses de l’apprentissage sportif : il s’agit ici d’exercer sa ténacité, de réussir quelque chose d’inaccessible. Mais ce cadre épuré, gommé de toute surcharge et construit selon les lignes d’un tableau abstrait, cette mise en scène toute en creux, en vides, en signes imperceptibles pour un regard inattentif, ne facilitent pas l’adhésion à une démarche qui, par son évanescence même, souffre d’un gros déficit d’incarnation. 3/6

Je vous salue Marie (Jean-Luc Godard, 1985)
L’Évangile selon Jean-Luc. Certains chrétiens ont chanté des cantiques à la porte des églises afin d’exorciser Godard et sa transposition contemporaine de l’Assomption. Pourtant l’auteur fait ici acte de foi et professe que le corps est d’abord une voix, la naissance une parole, le verbe une chair. Question couple il prône le crédit mutuel, proposant de commencer par apprendre à s’aimer pour ne pas se donner des coups. Question cosmos il évoque les grands mystères de l’univers et suggère qu’il n’existe pas de hasard. Question Vierge il cherche la réponse du côté de Vénus, la montre tantôt au bain comme Degas, tantôt torturée dans un drap ondulant comme Schiele. Et c’est finalement dans les plans de ciel et d’eau, le point de contact de l’éther et de l’onde, qu’il cherche élever le profane à la hauteur du sacré. 4/6

Blade runner 2049 (Denis Villeneuve, 2017)
Le risque était considérable de profaner l’un des plus grands films de tous les temps. Mais Villeneuve a su assumer l’héritage et en prolonger les aspects esthétiques et thématiques sans tomber dans le piège de l’explicitation à tous crins. S’il flirte parfois avec la lourdeur solennelle du débat philosophique ou de l’allégorie socio-mythologique, c’est pour mieux affirmer la tristesse élégiaque et contemplative d’une quête identitaire où s’esquisse un lancinant goût d’inachevé, où efflore un bouquet de doutes et de regrets que la mise en scène transmet avec une belle poésie. Voilà pourquoi cette œuvre fragile, imparfaite mais le plus souvent émouvante séduit : on y décèle l’humble assurance d’un réalisateur toujours maître de ses choix, et dont le sens du spectacle n’étouffe pas l’expression du sentiment. 4/6

Passion d’amour (Ettore Scola, 1981)
Il est des histoires roses où les princes charmants épousent d’abominables sorcières se transformant en déesses par la grâce de l’amour. Dans une Italie du XIXème siècle qui pourrait sortir d’un récit de Stendhal, d’un conte de Villiers de l’Isle-Adam, la rencontre du bel officier et de Fosca, d’une laideur exemplaire, va semer le doute. Giorgio attend son absolu comme d’autres guettent le mirage de l’ennemi : consentant et vaincu, il se laisse vampiriser par les chantages et les sentiments excessifs de ce monstre encombrant, hystérique, dont le visage est justement celui d’une Nosferatu femelle toute à sa proie attachée. Cette autodestruction romantique, cette vérité féroce, ni consolatrice ni apaisante, sont illustrées avec plus d’application que d’inspiration par un cinéaste qui n’évite pas le piège du conformisme. 4/6

Nuages épars (Mikio Naruse, 1967)
Parce qu’il a renversé par accident le mari de Yumiko, Mishima lui rend des visites qui ne parviennent pas à éteindre sa culpabilité. Et ce qui doit arriver dans la logique mélodramatique survient : l’un et l’autre se plaisent, tombent amoureux, enfreignant ainsi l’interdit posé par le décès de l’époux. Le dernier film de Naruse ressemble à son œuvre. La société y est vue comme un système réglé d’interdictions et d’autorisations. L’emploi de la nature intensifie les sentiments jusqu’à une emphase assumée. La narrativisation du décor et des accessoires indique que le monde n’est pas un échappatoire, qu’il ne fait que renforcer les règles de la vie sociale et qu’il double dramatiquement le destin, comme s’il fallait répéter qu’il existe quelque chose du bonheur mais que celui-ci reste pour toujours inaccessible. 4/6

Le sens de la fête (Eric Toledano & Olivier Nakache, 2017)
Sur le modèle d’Un Mariage d’Altman, les auteurs oublient les velléités démagogiques et leçons de morale plombant d’ordinaire leur cinéma et livrent une machinerie comique menée tambour battant, avec un sens infaillible de la situation déraillante, du portrait concis et du rebondissement catastrophique. On peut légitimement en estimer les rouages un peu trop huilés (une gag récurrent par personnage, une vanne par réplique) et considérer la férocité superficielle du tableau comme un prétexte cosmétique. Il n’en reste pas moins qu’il s’en dégage un dynamisme, une loufoquerie auxquels il est difficile de résister, et que la truculente effervescence de ce dérèglement programmé, bien servie par un casting hétérogène mais complémentaire, atteste d’une vigueur et d’une précision réjouissantes. 4/6

Le génie du mal (Richard Fleischer, 1959)
S’inspirant de l’affaire Leopold-Loeb (déjà à l’origine de La Corde d’Hitchcock), Fleischer étudie le cas de deux fils de bonne famille s’arrogeant le droit de vie ou de mort sur les individus ordinaires et dont les justifications intellectuelles masquent des troubles mentaux. Le plaidoyer contre la peine capitale a l’audace de se fonder sur des coupables qui ne sauraient susciter la sympathie : l’exécution légale inspire à l’auteur le même dégoût que le meurtre prémédité. Mais si ne manquent ni trouvailles ni moments percutants, si la poigne est ferme dans la composition de l’image et la conduite du récit, le film reste d’abord celui d’un artisan consciencieux, qui doit beaucoup à une interprétation dominée dans le dernier acte par le déchaînement de sobriété cabotine d’un pachyderme débraillé nommé Orson. 4/6

Detroit (Kathryn Bigelow, 2017)
Il fallait, pour reconstituer la tragédie ordinaire survenue à l’Algiers Motel en 1967, la main de fer et le regard d’aigle de cette grande réalisatrice polémique qu’est désormais Kathryn Bigelow. La violence et l’abjection des faits y sont comme passées dans un bain photosensible, analysées, scrutées, dénoncées avec une rage et un engagement d’autant plus frappants que rien ne vient en écorner la remarquable objectivité, l’exemplaire pondération. Brûlot viscéral mettant implacablement à nu certains des points de tension et d’injustice les plus sensibles de la société américaine, cette éprouvante mais salutaire fresque de sueur, de sang et de larmes entremêle brillamment l’intime et le collectif, perpétue avec ardeur le glorieux héritage d’un cinéma contestataire et lucide, humaniste et généreux. 5/6

Une femme dans la tourmente (Mikio Naruse, 1964)
Une scène de la dernière partie résume à merveille les brisures irrémédiables et les intenses moments de bonheur qui parcourent le film : un voyage à travers le Japon régulièrement scandé par des plans du train en marche, et pendant lequel Naruse recompose toute une mise en scène de l’amour naissant. Des sourires timides, des regards à la dérobée, des gestes complices, et les yeux embués de larmes indiquant enfin que cette relation est condamnée. En racontant comment les sentiments d’un jeune homme pour sa belle-sœur veuve se heurtent au bonheur impossible de l’après-guerre, le cinéaste exprime avec une économie exemplaire la mutation économique d’un pays, l’irruption de la jeunesse, l’omniprésence de la mort, le jeu infime des choses non relevées mais qui disent l’essentiel. Poignant. 5/6
Top 10 Année 1964

Salé, sucré (Ang Lee, 1994)
S’il se situe dans l’exacte continuité de Garçon d'Honneur, le cinéaste délaisse les affres de la vie américaine pour un retour aux sources dans son pays d’origine. La nourriture et la famille semblent ici les deux fondements de la culture taïwanaise ; mais, pour que les enfants bâtissent à leur tour une famille, il faut bien qu’ils quittent leurs parents. Sujet à la Ozu que l’auteur traite en une chronique tendre et bienveillante qui trouve toujours le ton juste pour maintenir la tension ou désamorcer la scène par un trait d’humour. Le regard intimiste, la mise sobre et effacée, l’attention à des personnages tous attachants préservent la sensibilité qui émane de ces histoires d’amour et de transmission, de cette variation aigre-douce autour d’un roi Lear culinaire incapable de régenter la vie de ses trois filles. Très joli film. 4/6

L’atelier (Laurent Cantet, 2017)
La Ciotat, été 2016. La lumière éclatante de la Méditerranée sur la pierre blanche des calanques, la présence chargée de souvenirs du maquis, d’une jetée portuaire ou d’un chantier naval à l’abandon témoignent d’un monde instable léguée à une génération qui n’en est pas responsable. Neuf ans après Entre les Murs, le réalisateur continue d’explorer un cinéma de la parole et de l’échange, de l’interjection et de l’argumentation. Parfois un peu rigide dans l’articulation de son discours, le film est tel un thriller sans crime qui fait de l’indétermination, de l’incertitude et de la déstabilisation ses lignes cardinales, refuse toute explication confortable au désarroi d’une jeunesse désorientée et cherche à exprimer cette peur de l’autre, de l’inconnu et de l’avenir poussant à s’inventer des chimères radicales. 4/6

Conte de cinéma (Hong Sang-soo, 2005)
Si un film n’est que le reflet ou l’extension d’une vie (et inversement), les cicatrices qu’il laisse sur une actrice, de même que sur un spectateur, sont invisibles. Voilà ce que montre l’auteur au fil de ce récit plié en deux, de ce long drapé dont les parties se superposent et se nouent. Le rapport intime entre les images fictionnelles et la réalité de ceux qui les regardent, les correspondances entre les histoires qu’on se raconte et l’existence qui multiplie simulacres et faux-semblants, les situations dérisoires et douloureuses, la toile de fond du cinéma, de sa fabrication et de ses mirages, tout ramène à la sève un brin théorique d’un schéma narratif exonéré des codes de la bienséance esthétique, visant à la description des émois sentimentaux et à la mise en scène anxieuse des échecs toujours répétés. 4/6

Une vie difficile (Dino Risi, 1961)
Partisan puis journaliste gauchiste, Silvio participera à toutes les luttes, grèves et enthousiasmes de son époque. C’est un idéaliste intransigeant, un brave type généreux, maladroit et honnête jusqu’au bout, un raté attendrissant qui, s’il n’était aussi volubile, serait assez proche, par sa ténacité et son élégance en mouvement, de Buster Keaton. Incarné par le génial Alberto Sordi, il permet à l’auteur de passer en revue quinze ans de la société italienne d’après-guerre, la libération, les élections, le miracle économique, le monde de la presse et du cinéma, la vie des villages et celle des grandes villes. La précision et la rapidité du trait, la lucidité féroce de la satire, la richesse et la variété des situations, la maîtrise des ruptures de ton concourent à la pleine réussite d’un tableau à la fois grave, cocasse et émouvant. 5/6

Le tombeau d’Alexandre (Chris Marker, 1993)
Tombeau, dit le dictionnaire : recueil de souvenirs, de pièces composées à la mémoire d’une personne chère ou d’un personnage remarquable. Dans les retombées désenchantées de la perestroïka, Marker suit le cinéaste Medvedkine, dédicataire de ce document, au cours de sa longue et difficile carrière, interroge ses archives, ses parents, ses amis, ses témoins. Mieux qu’une stèle commémorative, l’entreprise est d’abord un film d’histoire de l’URSS et du cinéma soviétique, une investigation poétiquement didactique qui poursuit en abondance et en liberté une écriture faite de rapprochements d’idées, d’associations facétieuses, de liaisons capricantes, et qui rappelle que les créateurs communistes furent des âmes divisées dont les réticences et les refus mêmes furent voulus au service de l’utopie. 4/6

Au revoir là-haut (Albert Dupontel, 2017)
Jeunet avait adapté le best-seller de Japrisot qui prenait pour contexte la Grande Guerre et ses lendemains saumâtres. Difficile de ne pas y penser devant ce que Dupontel (il y était acteur) fait du roman de Pierre Lemaître. Écartelé entre une reconstitution ambitieuse mais cantonnée à de prudentes limites académiques et sa propension à la surcharge illustrative, que trahit le baroquisme de la Belle Époque, le réalisateur orchestre un bal de survivants, de salauds et de gueules cassées dont la joliesse un peu amidonnée souligne le caractère édifiant des situations, des caractères et des développements psychologiques. Pour être transcendé le romanesque exige des doigts de fée, et sans nier la qualité du travail offert, on peut regretter qu’il ne dépasse pas ici ce qu’on appelle communément de la belle ouvrage. 4/6

Boom (Joseph Losey, 1968)
Il était une extravagante reine qui célébrait son cinquième veuvage dans une île fortifiée à proximité de Capri, au milieu d’un luxe insolent et de saturnales solitaires. Il était un ange de la mort qui entreprit, en costume de samouraï Yamamoto, d’apprivoiser la recluse mégère. Ni les falaises abruptes, ni le garde-chiourme nabot et ses chiens, ni la jolie greffière ne purent l’arrêter. Il vint, il la vit, il la conquit. Sans doute le cinéaste rêvait-il d’une danse macabre à l’image du griffon doré constituant l’emblème de Sissy la folle impératrice, d’un jeu de titans sous le soleil d’Italie, scandé par la rumeur des flots et le gémissement des âmes. Son film verbeux, théâtral, surchargé de symboles comme une robe orientale flottant sur un corps squelettique, est un demi-échec. Mais il vaut bien des réussites tièdes. 4/6

Logan lucky (Steven Soderbergh, 2017)
Retour au bercail, dans tous les sens du terme : le cinéaste se réapproprie les règles d’un genre qui a fait son succès et les injecte au sein d’une Amérique white trash et paupérisée qu’il connaît bien pour en être originaire. Sans surplomb, avec une sympathie n’excluant pas l’ironie mordante, il dresse le portrait d’une brochette de faux crétins plus futés qu’il n’y paraît, bien décidés à prendre leur revanche sur un système social qui les a laissés à l’abandon, dont la morale de l’action a pour finalité ultime le bonheur. La technique sereine de vieux singe à qui l’on apprend plus à faire la grimace, la cocasserie réjouissante des numéros d’acteurs, le déroulé tranquille d’un récit alambiqué mais toujours fluide concourent à un plaisir qui ne laissera sans doute pas de trace durable, mais que l’on aurait tort de bouder. 4/6

La grande extase du sculpteur sur bois Steiner (Werner Herzog, 1974)
Toujours fasciné par ce qui pousse l’homme à dépasser ses limites, à flirter dangereusement avec l’absolu, Herzog livre en quarante-cinq minutes comme la doxa de ses préoccupations : un documentaire sur le champion de saut à ski Walter Steiner, tourné lors d’une compétition internationale à Planica en Slovénie. Figure icarienne par excellence que celle de ce jeune homme aspiré par l’extase du vol libre, chérissant ses instants suspendus (la caméra les sacralise en des ralentis liquides), mais conscient de la nécessité vitale de l’atterrissage. Le drame naît du suspense non concerté d’une performance filmée en direct, tandis que le cinéaste, suivant l’évènement à la manière d’un reporter, semble se ronger les ongles à la fois par crainte de le voir se tuer que par abandon à son goût du "hard" et de l’authentique. 4/6

L’étrange incident (William A. Wellman, 1943)
Inhérent au folklore du genre, le lynchage a été le fait d’hommes trop enclins à considérer la force et la justice expéditive comme des panacées. Mais les réticences de certains exécutants involontaires ont rarement pu s’exprimer avec tant de sincérité que de ce western qui tient de la gageure : attacher le spectateur au récit d’une traque et d’une exécution sans grandiloquence, où sont mis en relief quelques échantillons d’une humanité peu séduisante. Isolant du reste du monde les tristes héros d’un drame sans couleur, à l’image des régions mornes et rudes où l’on oublie progressivement tout appel du cœur, Wellman stigmatise avec une précision d’avocat général les tares d’un Ouest en proie aux troubles de croissance qui le singularisent. Un réquisitoire implacable, tout de rigueur et de probité. 5/6


Et aussi :

Au bord de la mer bleue (Boris Barnet, 1936) - 4/6
The square (Rubon Östlund, 2017) - 5/6
Titicul follies (Frederick Wiseman, 1967) - 4/6



Films des mois précédents :
Spoiler (cliquez pour afficher)
Septembre 2017Casanova, un adolescent à Venise (Luigi Comencini, 1969)
Août 2017La bonne année (Claude Lelouch, 1973)
Juillet 2017 - La fille à la valise (Valerio Zurlini, 1961)
Juin 2017Désirs humains (Fritz Lang, 1954)
Mai 2017Les cloches de Sainte-Marie (Leo McCarey, 1945)
Avril 2017Maria’s lovers (Andreï Kontchalovski, 1984)
Mars 2017À la recherche de Mr Goodbar (Richard Brooks, 1977)
Février 2017Raphaël ou le débauché (Michel Deville, 1971)
Janvier 2017La la land (Damien Chazelle, 2016)
Décembre 2016Alice (Jan Švankmajer, 1987)
Novembre 2016 - Dernières nouvelles du cosmos (Julie Bertuccelli, 2016)
Octobre 2016 - Showgirls (Paul Verhoeven, 1995)
Septembre 2016 - Aquarius (Kleber Mendonça Filho, 2016)
Août 2016 - Le flambeur (Karel Reisz, 1974)
Juillet 2016 - A touch of zen (King Hu, 1971)
Juin 2016 - The witch (Robert Eggers, 2015)
Mai 2016 - Elle (Paul Verhoeven, 2016)
Avril 2016 - La pyramide humaine (Jean Rouch, 1961)
Mars 2016 - The assassin (Hou Hsiao-hsien, 2015)
Février 2016Le démon des femmes (Robert Aldrich, 1968)
Janvier 2016La Commune (Paris 1871) (Peter Watkins, 2000)
Décembre 2015Mia madre (Nanni Moretti, 2015)
Novembre 2015Avril ou le monde truqué (Franck Ekinci & Christian Desmares, 2015)
Octobre 2015Voyage à deux (Stanley Donen, 1967)
Septembre 2015Une histoire simple (Claude Sautet, 1978)
Août 2015La Marseillaise (Jean Renoir, 1938)
Juillet 2015Lumière silencieuse (Carlos Reygadas, 2007)
Juin 2015Vice-versa (Pete Docter & Ronaldo Del Carmen, 2015) Top 100
Mai 2015Deep end (Jerzy Skolimowski, 1970)
Avril 2015Blue collar (Paul Schrader, 1978)
Mars 2015Pandora (Albert Lewin, 1951)
Février 2015La femme modèle (Vincente Minnelli, 1957)
Janvier 2015Aventures en Birmanie (Raoul Walsh, 1945)
Décembre 2014Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (Elio Petri, 1970)
Novembre 2014Lifeboat (Alfred Hitchcock, 1944)
Octobre 2014Zardoz (Sean Connery, 1974)
Septembre 2014Un, deux, trois (Billy Wilder, 1961)
Août 2014Le prix d’un homme (Lindsay Anderson, 1963)
Juillet 2014Le soleil brille pour tout le monde (John Ford, 1953)
Juin 2014Bird people (Pascale Ferran, 2014)
Mai 2014Léon Morin, prêtre (Jean-Pierre Melville, 1961) Top 100
Avril 2014L’homme d’Aran (Robert Flaherty, 1934)
Mars 2014Terre en transe (Glauber Rocha, 1967)
Février 2014Minnie et Moskowitz (John Cassavetes, 1971)
Janvier 201412 years a slave (Steve McQueen, 2013)
Décembre 2013La jalousie (Philippe Garrel, 2013)
Novembre 2013Elle et lui (Leo McCarey, 1957)
Octobre 2013L’arbre aux sabots (Ermanno Olmi, 1978)
Septembre 2013Blue Jasmine (Woody Allen, 2013)
Août 2013La randonnée (Nicolas Roeg, 1971)
Juillet 2013Le monde d’Apu (Satyajit Ray, 1959)
Juin 2013Choses secrètes (Jean-Claude Brisseau, 2002)
Mai 2013Mud (Jeff Nichols, 2012)
Avril 2013Les espions (Fritz Lang, 1928)
Mars 2013Chronique d’un été (Jean Rouch & Edgar Morin, 1961)
Février 2013 – Le salon de musique (Satyajit Ray, 1958)
Janvier 2013L’heure suprême (Frank Borzage, 1927) Top 100
Décembre 2012 – Tabou (Miguel Gomes, 2012)
Novembre 2012 – Mark Dixon, détective (Otto Preminger, 1950)
Octobre 2012 – Point limite (Sidney Lumet, 1964)
Septembre 2012 – Scènes de la vie conjugale (Ingmar Bergman, 1973)
Août 2012 – Barberousse (Akira Kurosawa, 1965) Top 100
Juillet 2012 – Que le spectacle commence ! (Bob Fosse, 1979)
Juin 2012 – Pique-nique à Hanging Rock (Peter Weir, 1975)
Mai 2012 – Moonrise kingdom (Wes Anderson, 2012)
Avril 2012 – Seuls les anges ont des ailes (Howard Hawks, 1939) Top 100
Mars 2012 – L'intendant Sansho (Kenji Mizoguchi, 1954)
Février 2012 – L'ombre d'un doute (Alfred Hitchcock, 1943)
Janvier 2012 – Brève rencontre (David Lean, 1945)
Décembre 2011 – Je t'aime, je t'aime (Alain Resnais, 1968)
Novembre 2011 – L'homme à la caméra (Dziga Vertov, 1929) Top 100 & L'incompris (Luigi Comencini, 1967) Top 100
Octobre 2011 – Georgia (Arthur Penn, 1981)
Septembre 2011 – Voyage à Tokyo (Yasujiro Ozu, 1953)
Août 2011 – Super 8 (J.J. Abrams, 2011)
Juillet 2011 – L'ami de mon amie (Éric Rohmer, 1987)
Dernière modification par Thaddeus le 1 nov. 17, 12:00, modifié 7 fois.
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