Votre film du mois de Juin 2020
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
JUIN 20
Ichi, la femme samouraï (Fumihiko Sori, 2008) - 4
Ichi, la femme samouraï (Fumihiko Sori, 2008) - 4
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
Film du mois
Films découverts
Le Manoir de la peur (A. Machin & H. Wulschleger - 1924) 7.5/10
Le Passé (A. Farhadi - 2013) 7.5/10
When you’re strange (T. DiCillo - 2010) 7.5/10
Les Aventures d’un homme invisible (J. Carpenter - 1992) 7/10
La Cicatrice intérieure (P. Garrel - 1972) 7/10
Les Éblouis (S. Suco - 2019) 7/10
Evil dead 2 (S. Raimi - 1987) 7/10
Retour à Cold Mountain (A. Minghella - 2004) 7/10
Tokyo ! (M. Gondry, L. Carax & JH. Bong - 2008) 7/10
La Chasse sanglante (P. Collinson - 1974) 6.5/10
Le Coup du siècle (W. Friedkin - 1983) 6.5/10
Le Monde, la chair et le diable (R. MacDougall - 1959) 6.5/10
We are the best ! (L. Moodysson - 2014) 6.5/10
Chère Martha (S. Nettelbeck - 2001) 6/10
Dora et la cité perdue (J. Bobin - 2019) 6/10
Friedkin uncut (F. Zippel - 2018) 6/10
Garage (L. Abrahamson - 2008) 6/10
In a valley of violence (T. West - 2017) 6/10
QT8 : the first eight (T. Wood - 2019) 6/10
Driver (W. Hill - 1978) 5.5/10
La Grande cuisine (T. Kotcheff - 1978) 5.5/10
Magic Mike (S. Soderbergh - 2012) 5.5/10
La Théorie des dominos (S. Kramer - 1977) 5.5/10
Ultra pulpe (B. Mandico - 2018) 5.5/10
Bill & Ted’s excellent adventure (S. Herek - 1989) 5/10
Clockwise (C. Morahan - 1986) 5/10
Du jour au lendemain (P. Le Guay - 2006) 5/10
Les Jours et les nuits de China Blue (K. Russell - 1985) 5/10
Une famille à louer (JP. Améris - 2015) 5/10
Monos (A. Landes - 2020) 4/10
Arthur et la vengeance de Maltazard (L. Besson - 2009) 3/10
La Vérité si je mens ! Les Débuts (M. Munz & G. Bitton - 2019) 3/10
Films revus
Swimming pool (F. Ozon - 2003) 7.5/10
Toy story 4 (J. Cooley - 2019) 7/10
Forrest Gump (R. Zemeckis - 1994) 6.5/10
Sexe, mensonges et vidéo (S. Soderbergh - 1989) 6.5/10
Atlantide l’empire perdu (K. Wise & G. Trousdale - 2001) 6/10
Marley & moi (D. Frankel - 2009) 5.5/10
Arthur et les Minimoys (L. Besson - 2006) 5/10
Comment se faire larguer en 10 leçons (D. Petrie - 2003) 5/10
Lolo (J. Delpy - 2015) 3/10
Baise-moi (V. Despentes & C. Trinh Thi - 2000) 0/10
Séries
La Casa de papel - saison 1 en cours
Psych - saison 8 en cours
Films des mois précédents
Films découverts
Le Manoir de la peur (A. Machin & H. Wulschleger - 1924) 7.5/10
Le Passé (A. Farhadi - 2013) 7.5/10
When you’re strange (T. DiCillo - 2010) 7.5/10
Les Aventures d’un homme invisible (J. Carpenter - 1992) 7/10
La Cicatrice intérieure (P. Garrel - 1972) 7/10
Les Éblouis (S. Suco - 2019) 7/10
Evil dead 2 (S. Raimi - 1987) 7/10
Retour à Cold Mountain (A. Minghella - 2004) 7/10
Tokyo ! (M. Gondry, L. Carax & JH. Bong - 2008) 7/10
La Chasse sanglante (P. Collinson - 1974) 6.5/10
Le Coup du siècle (W. Friedkin - 1983) 6.5/10
Le Monde, la chair et le diable (R. MacDougall - 1959) 6.5/10
We are the best ! (L. Moodysson - 2014) 6.5/10
Chère Martha (S. Nettelbeck - 2001) 6/10
Dora et la cité perdue (J. Bobin - 2019) 6/10
Friedkin uncut (F. Zippel - 2018) 6/10
Garage (L. Abrahamson - 2008) 6/10
In a valley of violence (T. West - 2017) 6/10
QT8 : the first eight (T. Wood - 2019) 6/10
Driver (W. Hill - 1978) 5.5/10
La Grande cuisine (T. Kotcheff - 1978) 5.5/10
Magic Mike (S. Soderbergh - 2012) 5.5/10
La Théorie des dominos (S. Kramer - 1977) 5.5/10
Ultra pulpe (B. Mandico - 2018) 5.5/10
Bill & Ted’s excellent adventure (S. Herek - 1989) 5/10
Clockwise (C. Morahan - 1986) 5/10
Du jour au lendemain (P. Le Guay - 2006) 5/10
Les Jours et les nuits de China Blue (K. Russell - 1985) 5/10
Une famille à louer (JP. Améris - 2015) 5/10
Monos (A. Landes - 2020) 4/10
Arthur et la vengeance de Maltazard (L. Besson - 2009) 3/10
La Vérité si je mens ! Les Débuts (M. Munz & G. Bitton - 2019) 3/10
Films revus
Swimming pool (F. Ozon - 2003) 7.5/10
Toy story 4 (J. Cooley - 2019) 7/10
Forrest Gump (R. Zemeckis - 1994) 6.5/10
Sexe, mensonges et vidéo (S. Soderbergh - 1989) 6.5/10
Atlantide l’empire perdu (K. Wise & G. Trousdale - 2001) 6/10
Marley & moi (D. Frankel - 2009) 5.5/10
Arthur et les Minimoys (L. Besson - 2006) 5/10
Comment se faire larguer en 10 leçons (D. Petrie - 2003) 5/10
Lolo (J. Delpy - 2015) 3/10
Baise-moi (V. Despentes & C. Trinh Thi - 2000) 0/10
Séries
La Casa de papel - saison 1 en cours
Psych - saison 8 en cours
Films des mois précédents
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- Joshua Baskin
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
Juin 2020
Films découverts
Deux moi (Cédric Klapisch) : 4/10
Apprentis parents (Sean Anders) : 5,5/10
La nuit de la grande chaleur (Terence Fisher) : 5,5/10
Duelles (Olivier Masset-Depasse) : 5/10
Jumbo (Zoé Wittock) : 6/10
La nuit de la mort (Raphael Delpard) : 7/10
The wrong Missy (Tyler Spindel) : 5,5/10
A l'abordage (Guillaume Brac) : 8/10
17 Blocks (Davy Rothbart) : 8/10
Une fille facile (Rebecca Zlotowski) : 6/10
Le kiosque (Alexandra Pianelli) : 6,5/10
Slow Machine (Joe Denardo & Paul Felten) : 2/10
Crestone (Marnie Ellen Hertzler) : 4/10
Los conductos (Camilo Restrepo) / 2/10
La nuit venue (Frédéric Farrucci) : 6/10
Retiens Johnny (Simon Depardon, Arthur Verret, Baptiste Drouillac) : 7/10
A beautiful day in the neighboorhood (Marielle Heller) : 4/10
Da 5 bloods (Spike Lee) : 6/10
Portrait de la jeune fille en feu (Céline Sciamma) : 5/10
Perversion story (Lucio Fulci) : 7/10
7500 (Patrick Vollrath) : 6,5/10
Wedding nightmare (Matt Bettinelli-Olpin, Tyler Gillett) : 5/10
L'attaque du métro 123 (Tony Scott) : 6/10
La vertu des impondérables (Claude Lelouch) : 5/10
Films revus
Séries découvertes
Amicalement vôtre , Saison unique : en cours
Modern Family, Saison 9 : en cours
Jeffrey Epstein, pouvoir argent et perversion, Saison unique : 6/10
Space Force, Saison 1 : abandonnée
High Maintenance , Saison 1 : 6/10
High Maintenance , Saison 2 : en cours
Films découverts
Deux moi (Cédric Klapisch) : 4/10
Apprentis parents (Sean Anders) : 5,5/10
La nuit de la grande chaleur (Terence Fisher) : 5,5/10
Duelles (Olivier Masset-Depasse) : 5/10
Jumbo (Zoé Wittock) : 6/10
La nuit de la mort (Raphael Delpard) : 7/10
The wrong Missy (Tyler Spindel) : 5,5/10
A l'abordage (Guillaume Brac) : 8/10
17 Blocks (Davy Rothbart) : 8/10
Une fille facile (Rebecca Zlotowski) : 6/10
Le kiosque (Alexandra Pianelli) : 6,5/10
Slow Machine (Joe Denardo & Paul Felten) : 2/10
Crestone (Marnie Ellen Hertzler) : 4/10
Los conductos (Camilo Restrepo) / 2/10
La nuit venue (Frédéric Farrucci) : 6/10
Retiens Johnny (Simon Depardon, Arthur Verret, Baptiste Drouillac) : 7/10
A beautiful day in the neighboorhood (Marielle Heller) : 4/10
Da 5 bloods (Spike Lee) : 6/10
Portrait de la jeune fille en feu (Céline Sciamma) : 5/10
Perversion story (Lucio Fulci) : 7/10
7500 (Patrick Vollrath) : 6,5/10
Wedding nightmare (Matt Bettinelli-Olpin, Tyler Gillett) : 5/10
L'attaque du métro 123 (Tony Scott) : 6/10
La vertu des impondérables (Claude Lelouch) : 5/10
Films revus
Séries découvertes
Amicalement vôtre , Saison unique : en cours
Modern Family, Saison 9 : en cours
Jeffrey Epstein, pouvoir argent et perversion, Saison unique : 6/10
Space Force, Saison 1 : abandonnée
High Maintenance , Saison 1 : 6/10
High Maintenance , Saison 2 : en cours
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- Demi-Lune
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
FILM DU MOIS DE JUIN 2020

FILMS DÉCOUVERTS OU REDÉCOUVERTS

FILMS DÉCOUVERTS OU REDÉCOUVERTS
- ZABRISKIE POINT (Michelangelo Antonioni, 1970) — 8,5/10
LE MÉTIER DES ARMES (Ermanno Olmi, 2001) — 7,5/10
VERS UN DESTIN INSOLITE, SUR LES FLOTS BLEUS DE L'ÉTÉ (Lina Wertmüller, 1974) — 7/10
LA LÉGENDE DE LA FORTERESSE DE SOURAM (Sergueï Paradjanov & Dodo Abachidze, 1984) — 7/10
MODEL SHOP (Jacques Demy, 1969) — 6,5/10
NEW ROSE HOTEL (Abel Ferrara, 1998) — 6/10
INVISIBLE MAN (Leigh Whannell, 2020) — 5,5/10
NEW YORK, 2 HEURES DU MATIN (Abel Ferrara, 1984) — 4/10
POLICE STORY 3: SUPER COP (Stanley Tong, 1992) — 4/10
COLOR OUT OF SPACE (Richard Stanley, 2019) — 3,5/10
LE JEU DU FAUCON (John Schlesinger, 1985) — 3,5/10
PATERSON (Jim Jarmusch, 2016) — 3/10
INSTINCT DE SURVIE (Jaume Collet-Serra, 2016) — 2,5/10
LES EXPERTS (Phil Alden Robinson, 1992) — 2/10
28 JOURS PLUS TARD (Danny Boyle, 2002) — 1/10
LA GRANDE CUISINE (Ted Kotcheff, 1978) — 0/10
- POLICE FÉDÉRALE, LOS ANGELES (William Friedkin, 1985) — 9/10
FRENCH CONNECTION (William Friedkin, 1971) — 9/10
LE CONVOI DE LA PEUR (William Friedkin, 1977) — 8,5/10
DON GIOVANNI (Joseph Losey, 1979) — 7,5/10
FRENCH CONNECTION 2 (John Frankenheimer, 1975) — 7/10
LES CHIENS DE PAILLE (Sam Peckinpah, 1971) — 7/10
ÉTAT DE SIÈGE (Costa-Gavras, 1972) — 7/10
LADY SNOWBLOOD (Toshiya Fujita, 1973) — 6,5/10
LES HUIT SALOPARDS (Quentin Tarantino, 2015) — 4/10
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Dernière modification par Demi-Lune le 3 juil. 20, 20:49, modifié 30 fois.
- El Dadal
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
JUIN 2020
FILM DU MOIS

Films découverts:
FILM DU MOIS

Films découverts:
- _ Le vent fait son tour (Giorgio Diritti - 2005)
_ The White Dawn (Philip Kaufman - 1974)
_ Régénération (Raoul Walsh - 1915)
_ La saignée (Claude Mulot - 1971)
_ Silverado (Lawrence Kasdan - 1985)
_ Da 5 Bloods (Spike Lee - 2020)
- _ Il était une fois en Amérique (Sergio Leone - 1984)
_ Ma femme est une actrice (Yvan Attal - 2001)
_ Neuf semaines 1⁄2 (Adrian Lyne - 1985)
_ Rien ne va plus (Claude Chabrol - 1997)
Dernière modification par El Dadal le 29 juin 20, 13:15, modifié 5 fois.
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- Nuits de Sheen...
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
.
Dernière modification par 7swans le 17 déc. 24, 12:41, modifié 18 fois.
Point.
- Sybille
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
JUIN 2020
FILM DU MOIS
L'aventure c'est l'aventure
-- Claude Lelouch

DECOUVERTES
Nice girl ? (Seiter - 1941) : 7/10
The actress (Cukor - 1953) : 7.5/10
Kings go forth (Daves - 1958) : 7/10
L'homme sur la voie (Munk - 1957) : 7.5/10
Tenue de soirée (Blier - 1986) : 6/10
On aura tout vu (Lautner - 1976) : 5.5/10
L'aventure c'est l'aventure (Lelouch - 1972) : 7.5/10
L'emmerdeur (Molinaro - 1973) : 7/10
REVUS
FILM DU MOIS
L'aventure c'est l'aventure
-- Claude Lelouch

DECOUVERTES
Nice girl ? (Seiter - 1941) : 7/10
The actress (Cukor - 1953) : 7.5/10
Kings go forth (Daves - 1958) : 7/10
L'homme sur la voie (Munk - 1957) : 7.5/10
Tenue de soirée (Blier - 1986) : 6/10
On aura tout vu (Lautner - 1976) : 5.5/10
L'aventure c'est l'aventure (Lelouch - 1972) : 7.5/10
L'emmerdeur (Molinaro - 1973) : 7/10
REVUS
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- cinephage
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
JUIN 2020
FILM DU MOIS:
L'année des 13 lunes, de Rainer Werner Fassbinder (1978) 9/10 - D'un pessimisme profond, hanté par la peur de vieillir et de la solitude, ce film à fleur de peau, écrit et tourné en quelques semaines, m'a donné l'impression d'un coup à l'estomac.
FILMS DECOUVERTS:
La rivière, de Tsai Ming-Liang (1997) 8/10 - Difficile de noter ce film passablement dérangeant dans sa thématique, d'autant plus que je ne suis pas certain d'avoir compris de quoi le film parlait...
King of Beggars, de Gordon Chan (1992) 7,5/10 - Stephen Chow trouve ici le style et le ton de ses films ultérieurs, tout en restant dans un film de kung-fu qui respecte beaucoup des codes du genre.
Sallah Shabati, d'Ephraim Kishon (1964) 4/10 - Classique de la comédie israélienne, qui a sans doute un intérêt historique et social, par sa critique mordante et plutôt fine des kibboutz. Néanmoins, j'ai surtout vu une comédie sans humour, sans personnage attachant, et à la mise en scène anonyme...
Le Diable et les dix commandements, de Julien Duvivier (1962) 7/10 - Certes, le film est un exercice de style, mais il a le mérite de réunir une palanquée de stars pour de petites apparitions, de Jean Carmet à Alain Delon, en passant par Fernandel ou Michel Simon. Et si le résultat est inégal, certains sketches sont de vrais petits bijoux d'écriture.
Parking, de Mong-Hong Chung (2008) 7,5/10 - Sorte de After Hours à la taiwanese, où un homme ne peut prendre sa voiture, il y a toujours une voiture en double-file qui le bloque. Sur ce concept un peu capillotracté, le cinéaste parvient à broder une intrigue solide, assez émouvante, avec des personnages qui fonctionnent bien. Très intéressant.
Zama, de Lucretia Martel (2017) 8/10 - Superbe récit d'exil, à la fois exotique et teinté d'aventure. Probablement mon film préféré de cette réalisatrice.
Forte, de Katia Lewkowicz (2020) 7,5/10 - Une comédie romantique assez classique sur le fond, mais bien écrite et qui doit beaucoup à son trio au casting, notamment Melha Bedia, qui porte le film sur les épaules sans faillir.
Vivre, de Zhang Yimou (1994) 8/10 - L'histoire d'une famille des années 40 aux eighties, dans un récit très humain, fort, et souvent émouvant. Un grand film.
David Holzman's Diary, by Jim McBride (1967) 7/10 - Sorte de faux documentaire en mode d'auto-fiction, plutôt malaisant par moments, drôles par d'autres, mais intéressant dans son questionnement de l'image. Le film pourrait préfigurer certains journaux sur youtube...
La vie aquatique, de Wes Anderson (2004) 7,5/10 - Trop ambitieux, peut-être, le film mélange covers brésiliens de David Bowie, animations faites par Henry Selick, et file la métaphore de l'océanographie comme équivalent de la mise en scène d'un film. L'ensemble reste bourré de fantaisie et de comédiens qui s'amusent beaucoup.
L'assassin, d'Elio Petri (1961) 7,5/10 - Petri, dans ce film-enquête, nous fait le portrait d'un individu arriviste, égoïste, cynique. Mastroianni le campe à la perfection.
City of Life and Death, de Lu chuan (2009) 8/10 - Dans un magnifique travail de reconstitution, Chuan évoque les massacres de Nanjing en 1938 sous l'occupation japonaise. Très rude et remarquablement filmé.
Daughters of the dust, de Julie Dash (1991) 6/10 - Un joli projet sur une culture afro-américaine, les Gullahs. La photo est assez belle, mais l'ensemble est un peu figé, et le récit reste un prétexte à un discours militant, certes juste, mais un peu trop didactique.
Brahms: The Boy II, de William Brent Bell (2020) 3/10 - Bell parvient à tomber dans tous les pièges que le premier film avait réussi à éviter, c'est un véritable tour de force. Mention spécial à l'aboiement de Katy Holmes, qui m'a fait pleurer de rire...
Alice dans les villes, de Wim Wenders (1974) 8/10 - La sècheresse de ton de Wenders s'accorde parfaitement à ce récit de rencontre improbable entre une enfant au bagout formidable et cet auteur narcissique en manque d'inspiration. La photo est superbe, le film prend son temps, mais tout est juste ici.
La malédiction de la mouche, de Don Sharp (1965) 4/10 - Suite peu inspirée, inutilement étirée et souvent ridicule (les personnages chinois, les maquillages paresseux)...
Le moulin des supplices, de Giorgio Ferroni (1960) 7,5/10 - Une ambiance gothique très réussie, une intrigue certes convenue, mais toujours réjouissante et bien menée. Un classique de l'horreur transalpine.
Night of the Eagle, de Sidney Hayers (1962) 8/10 - Un excellent petit film fantastique, sur la sorcellerie "domestique", bourré d'idées visuelles et tiré d'un roman de Fritz Leiber (Richard Matheson est d'ailleurs au script...).
Boat People, de Ann Hui (1982) 9/10 - Un film majeur sur le journalisme et l'engagement, et un chef d'oeuvre, qui plus est. Mon admiration pour Ann Hui s'accroit de film en film.
Black Magic 2, de Meng Hua Ho (1976) 6,5/10 - Film d'exploitation ludique, qui joue sur les codes des films d'envoutement, avec un poil d'érotisme de bon aloi.
Le lac aux oies sauvages, de Yi'nan Diao (2019) 7,5/10 - Un polar atypique, assez lent, mais au coeur de la Chine contemporaine. Très beau travail sur l'éclairage de nuit.
Filles de joie, de Frédéric Fonteyne & Anne Paulicevich 7,5/10 - Entre drame social et récits humains du quotidien d'un groupe de femmes qui se prostituent, un film assez touchant.
L'amour à la ville, de Michelangelo Antonioni, Federico Fellini, Alberto Lattuada, Carlo Lizzani, Francesco Maselli, Dino Risi, & Cesare Zavattini (1953) 7/10 - Film à sketches, au croisement du néo-réalisme et de la comédie italienne à venir. Le commencement d'une nouvelle ère du cinéma italien, aux récits sympathiques et variés.
L'ombre de Staline / Mr. Jones, de Agnieszka Holland (2019) 7/10 - Intéressante reconstitution historique, assez rigoureuse, pour un film au sujet de la famine ukrainienne, parfois un peu trop hiératique.
La communion / Boze Cialo, de Jan Komasa (2019) 8/10 - Profitant d'un quiproquo, un jeune délinquant se fait passer pour un prêtre. Sur cette base qui a nourrit plus d'une comédie, Jan Komasa propose, lui, un récit social et nourri de spiritualité, tout à fait intéressant et souvent fort bien filmé. Coup de coeur...
The Demon Inside, de Joey Moran (2017) 3/10 - Cumulant les clichés sans mesure, le film devient vite une vaste blague, mal jouée (Hilarant Joseph Rene), mal écrite (certains dialogues sont dignes d'un pastiche, assez drôle), et bourrée de jumpscare mal inspirants. En revanche, le production design et la photo sont intéressants, les intérieurs et les décors sont très réussis pour un film de cet acabit... Ca ne sauve pas le film.
The Last Waltz, de Martin Scorsese (1978) 8/10 - Concert culte aux guests innombrables, qui m'intéresse particulièrement dans la façon dont Scorsese monte en structurant sa séquences par la musique. Très chouette.
Billy le menteur, de John Schlesinger (1963) 6/10 - Sorte de portrait de caractère, tournant autour d'un jeune garçon oscillant entre imagination débordante et mythomanie... J'avoue avoir trouvé ce personnage assez peu attachant, voire limite agaçant.
Paris is burning, de Jennie Livinsgton (1990) 8,5/10 - Documentaire sur une sous-culture gay, noire et hispanique new-yorkaise, où l'on pratique des bals comme des défilés de mode, et où l'on s'affronte par des danses inspirées des magazines. Le documentaire entremêle portraits intimes et pédagogie éclairante, et reste comme un vibrant témoignage d'une période. Il aura contribué à l'extension de cette sous-culture dans de nombreuses communautés, et l'on comprend pourquoi tant son approche est humaine, inspirante, et vibrante.
First Reformed, de Paul Schrader (2017) 9/10 - Schrader revient sur ses interrogations spirituelles, et propose un film qui offre une reflexion profonde sur le monde, en même temps qu'un portrait de prêtre saisissant et très prenant. La parenté avec Taxi Driver saute aux yeux...
Prima della rivoluzione, de Bernardo Bertolucci (1964) 7/10 - Photo superbe, montage godardien avec faux raccords en rafales, préoccupations politiques et surtout sociales... J'aime bien le film, mais je reste un peu au dehors quand même.
Dalu / La grande route, de Yu Sun (1935) 7,5/10 - Film oscillant entre muet et périodes sonores, façon jazz singer. Ce récit patriotique sur des héros de la route a le mérite de se concentrer sur l'humanité de ses personnages, grandes gueules, entre le gourmand et le bagarreur, ce qui rend la partie où les japonais débarquent poignante, et très émouvante.
Devil Hunters, de Tony Liu (Chin-Ku Lu) 7,5/10 - Beaucoup d'action, un montage peut-être un peu trop hystérique à mon gout, d'ailleurs, mais les séquences sont rythmées et soutenues, et surtout assez variées. La séquence de la fin s'achève par une spectaculaire explosion qui, lors du tournage, a blessé les acteurs. Le cinéma de l'époque ne ménageait pas son casting.
After Midnight, de Jeremy Gardner & Christian Stella (2019) 6/10 - Intéressant dans sa mise en place, le film reste axé sur les dialogues, mais peine à donner de l'intérêt son élément fantastique, qui revient à la fin comme un pétard mouillé.
Hagazussa, de Lukas Feigelfeld (2017) 3/10 - Lent, le film interpelle surtout pour son absence d'histoire et laissera perplexe les rares spectateurs qui seront restés éveillés à la fin. La photo est magnifique, en revanche, la BO est assez réussie aussi. La mise en scène, elle, n'existe pas.
Silent Night, deadly night, de Charles E. Sellier Jr. (1984) 6/10 - Un slasher old-school, dont le ressort majeur est son utilisation de Noël pour cadre.
Monsieur, de Jean-Paul Le Chanois (1964) 7/10 - Du Gabin généreux, dans une comédie de moeurs le roi des banquiers se refait une vie en maître d'hotel. Mots d'auteur, comique de situation, pastille temporelle, ce petit film est très plaisant.
Mercy Black, de Owen Egerton (2019) 6/10 - Si le film n'évite pas certains clichés, son scénario est une reflexion intéressante sur le stress post-traumatique et offre quelques pistes originales. Dommage que les passages imposés du genre freinent le film...
Le rideau déchiré, d'Alfred Hitchcock (1966) 7/10 - Dans ce film d'espionnage un peu longuet, Hitch montre quelques moments virtuoses de suspense (le bus, le meurtre...), mais le déroulé est trop distendu, et Julie Andrews n'ajoute pas grand chose...
FILMS REVUS:
Ragtime, de Milos Forman (1981) 8/10 - Le grand spectacle de la reconstitution s'offre, magnifiquement, sur un grand écran. Je ne dirais pas que revoir ce film au cinéma est une redécouverte, mais que c'est un immense plaisir tout de même.
Odd Thomas, de Stephen Sommers (2013) 8/10 - Révision très plaisante, mais la personne à qui j'ai fait découvrir le film l'a détesté, rejetant en bloque l'ensemble des sous-intrigues autour du personnage de Thomas. Je persiste à trouver cette comédie d'aventures fantastique drôle et enlevée...
Films des mois précédent
FILM DU MOIS:
L'année des 13 lunes, de Rainer Werner Fassbinder (1978) 9/10 - D'un pessimisme profond, hanté par la peur de vieillir et de la solitude, ce film à fleur de peau, écrit et tourné en quelques semaines, m'a donné l'impression d'un coup à l'estomac.
FILMS DECOUVERTS:
La rivière, de Tsai Ming-Liang (1997) 8/10 - Difficile de noter ce film passablement dérangeant dans sa thématique, d'autant plus que je ne suis pas certain d'avoir compris de quoi le film parlait...
King of Beggars, de Gordon Chan (1992) 7,5/10 - Stephen Chow trouve ici le style et le ton de ses films ultérieurs, tout en restant dans un film de kung-fu qui respecte beaucoup des codes du genre.
Sallah Shabati, d'Ephraim Kishon (1964) 4/10 - Classique de la comédie israélienne, qui a sans doute un intérêt historique et social, par sa critique mordante et plutôt fine des kibboutz. Néanmoins, j'ai surtout vu une comédie sans humour, sans personnage attachant, et à la mise en scène anonyme...
Le Diable et les dix commandements, de Julien Duvivier (1962) 7/10 - Certes, le film est un exercice de style, mais il a le mérite de réunir une palanquée de stars pour de petites apparitions, de Jean Carmet à Alain Delon, en passant par Fernandel ou Michel Simon. Et si le résultat est inégal, certains sketches sont de vrais petits bijoux d'écriture.
Parking, de Mong-Hong Chung (2008) 7,5/10 - Sorte de After Hours à la taiwanese, où un homme ne peut prendre sa voiture, il y a toujours une voiture en double-file qui le bloque. Sur ce concept un peu capillotracté, le cinéaste parvient à broder une intrigue solide, assez émouvante, avec des personnages qui fonctionnent bien. Très intéressant.
Zama, de Lucretia Martel (2017) 8/10 - Superbe récit d'exil, à la fois exotique et teinté d'aventure. Probablement mon film préféré de cette réalisatrice.
Forte, de Katia Lewkowicz (2020) 7,5/10 - Une comédie romantique assez classique sur le fond, mais bien écrite et qui doit beaucoup à son trio au casting, notamment Melha Bedia, qui porte le film sur les épaules sans faillir.
Vivre, de Zhang Yimou (1994) 8/10 - L'histoire d'une famille des années 40 aux eighties, dans un récit très humain, fort, et souvent émouvant. Un grand film.
David Holzman's Diary, by Jim McBride (1967) 7/10 - Sorte de faux documentaire en mode d'auto-fiction, plutôt malaisant par moments, drôles par d'autres, mais intéressant dans son questionnement de l'image. Le film pourrait préfigurer certains journaux sur youtube...
La vie aquatique, de Wes Anderson (2004) 7,5/10 - Trop ambitieux, peut-être, le film mélange covers brésiliens de David Bowie, animations faites par Henry Selick, et file la métaphore de l'océanographie comme équivalent de la mise en scène d'un film. L'ensemble reste bourré de fantaisie et de comédiens qui s'amusent beaucoup.
L'assassin, d'Elio Petri (1961) 7,5/10 - Petri, dans ce film-enquête, nous fait le portrait d'un individu arriviste, égoïste, cynique. Mastroianni le campe à la perfection.
City of Life and Death, de Lu chuan (2009) 8/10 - Dans un magnifique travail de reconstitution, Chuan évoque les massacres de Nanjing en 1938 sous l'occupation japonaise. Très rude et remarquablement filmé.
Daughters of the dust, de Julie Dash (1991) 6/10 - Un joli projet sur une culture afro-américaine, les Gullahs. La photo est assez belle, mais l'ensemble est un peu figé, et le récit reste un prétexte à un discours militant, certes juste, mais un peu trop didactique.
Brahms: The Boy II, de William Brent Bell (2020) 3/10 - Bell parvient à tomber dans tous les pièges que le premier film avait réussi à éviter, c'est un véritable tour de force. Mention spécial à l'aboiement de Katy Holmes, qui m'a fait pleurer de rire...
Alice dans les villes, de Wim Wenders (1974) 8/10 - La sècheresse de ton de Wenders s'accorde parfaitement à ce récit de rencontre improbable entre une enfant au bagout formidable et cet auteur narcissique en manque d'inspiration. La photo est superbe, le film prend son temps, mais tout est juste ici.
La malédiction de la mouche, de Don Sharp (1965) 4/10 - Suite peu inspirée, inutilement étirée et souvent ridicule (les personnages chinois, les maquillages paresseux)...
Le moulin des supplices, de Giorgio Ferroni (1960) 7,5/10 - Une ambiance gothique très réussie, une intrigue certes convenue, mais toujours réjouissante et bien menée. Un classique de l'horreur transalpine.
Night of the Eagle, de Sidney Hayers (1962) 8/10 - Un excellent petit film fantastique, sur la sorcellerie "domestique", bourré d'idées visuelles et tiré d'un roman de Fritz Leiber (Richard Matheson est d'ailleurs au script...).
Boat People, de Ann Hui (1982) 9/10 - Un film majeur sur le journalisme et l'engagement, et un chef d'oeuvre, qui plus est. Mon admiration pour Ann Hui s'accroit de film en film.
Black Magic 2, de Meng Hua Ho (1976) 6,5/10 - Film d'exploitation ludique, qui joue sur les codes des films d'envoutement, avec un poil d'érotisme de bon aloi.
Le lac aux oies sauvages, de Yi'nan Diao (2019) 7,5/10 - Un polar atypique, assez lent, mais au coeur de la Chine contemporaine. Très beau travail sur l'éclairage de nuit.
Filles de joie, de Frédéric Fonteyne & Anne Paulicevich 7,5/10 - Entre drame social et récits humains du quotidien d'un groupe de femmes qui se prostituent, un film assez touchant.
L'amour à la ville, de Michelangelo Antonioni, Federico Fellini, Alberto Lattuada, Carlo Lizzani, Francesco Maselli, Dino Risi, & Cesare Zavattini (1953) 7/10 - Film à sketches, au croisement du néo-réalisme et de la comédie italienne à venir. Le commencement d'une nouvelle ère du cinéma italien, aux récits sympathiques et variés.
L'ombre de Staline / Mr. Jones, de Agnieszka Holland (2019) 7/10 - Intéressante reconstitution historique, assez rigoureuse, pour un film au sujet de la famine ukrainienne, parfois un peu trop hiératique.
La communion / Boze Cialo, de Jan Komasa (2019) 8/10 - Profitant d'un quiproquo, un jeune délinquant se fait passer pour un prêtre. Sur cette base qui a nourrit plus d'une comédie, Jan Komasa propose, lui, un récit social et nourri de spiritualité, tout à fait intéressant et souvent fort bien filmé. Coup de coeur...
The Demon Inside, de Joey Moran (2017) 3/10 - Cumulant les clichés sans mesure, le film devient vite une vaste blague, mal jouée (Hilarant Joseph Rene), mal écrite (certains dialogues sont dignes d'un pastiche, assez drôle), et bourrée de jumpscare mal inspirants. En revanche, le production design et la photo sont intéressants, les intérieurs et les décors sont très réussis pour un film de cet acabit... Ca ne sauve pas le film.
The Last Waltz, de Martin Scorsese (1978) 8/10 - Concert culte aux guests innombrables, qui m'intéresse particulièrement dans la façon dont Scorsese monte en structurant sa séquences par la musique. Très chouette.
Billy le menteur, de John Schlesinger (1963) 6/10 - Sorte de portrait de caractère, tournant autour d'un jeune garçon oscillant entre imagination débordante et mythomanie... J'avoue avoir trouvé ce personnage assez peu attachant, voire limite agaçant.
Paris is burning, de Jennie Livinsgton (1990) 8,5/10 - Documentaire sur une sous-culture gay, noire et hispanique new-yorkaise, où l'on pratique des bals comme des défilés de mode, et où l'on s'affronte par des danses inspirées des magazines. Le documentaire entremêle portraits intimes et pédagogie éclairante, et reste comme un vibrant témoignage d'une période. Il aura contribué à l'extension de cette sous-culture dans de nombreuses communautés, et l'on comprend pourquoi tant son approche est humaine, inspirante, et vibrante.
First Reformed, de Paul Schrader (2017) 9/10 - Schrader revient sur ses interrogations spirituelles, et propose un film qui offre une reflexion profonde sur le monde, en même temps qu'un portrait de prêtre saisissant et très prenant. La parenté avec Taxi Driver saute aux yeux...
Prima della rivoluzione, de Bernardo Bertolucci (1964) 7/10 - Photo superbe, montage godardien avec faux raccords en rafales, préoccupations politiques et surtout sociales... J'aime bien le film, mais je reste un peu au dehors quand même.
Dalu / La grande route, de Yu Sun (1935) 7,5/10 - Film oscillant entre muet et périodes sonores, façon jazz singer. Ce récit patriotique sur des héros de la route a le mérite de se concentrer sur l'humanité de ses personnages, grandes gueules, entre le gourmand et le bagarreur, ce qui rend la partie où les japonais débarquent poignante, et très émouvante.
Devil Hunters, de Tony Liu (Chin-Ku Lu) 7,5/10 - Beaucoup d'action, un montage peut-être un peu trop hystérique à mon gout, d'ailleurs, mais les séquences sont rythmées et soutenues, et surtout assez variées. La séquence de la fin s'achève par une spectaculaire explosion qui, lors du tournage, a blessé les acteurs. Le cinéma de l'époque ne ménageait pas son casting.
After Midnight, de Jeremy Gardner & Christian Stella (2019) 6/10 - Intéressant dans sa mise en place, le film reste axé sur les dialogues, mais peine à donner de l'intérêt son élément fantastique, qui revient à la fin comme un pétard mouillé.
Hagazussa, de Lukas Feigelfeld (2017) 3/10 - Lent, le film interpelle surtout pour son absence d'histoire et laissera perplexe les rares spectateurs qui seront restés éveillés à la fin. La photo est magnifique, en revanche, la BO est assez réussie aussi. La mise en scène, elle, n'existe pas.
Silent Night, deadly night, de Charles E. Sellier Jr. (1984) 6/10 - Un slasher old-school, dont le ressort majeur est son utilisation de Noël pour cadre.
Monsieur, de Jean-Paul Le Chanois (1964) 7/10 - Du Gabin généreux, dans une comédie de moeurs le roi des banquiers se refait une vie en maître d'hotel. Mots d'auteur, comique de situation, pastille temporelle, ce petit film est très plaisant.
Mercy Black, de Owen Egerton (2019) 6/10 - Si le film n'évite pas certains clichés, son scénario est une reflexion intéressante sur le stress post-traumatique et offre quelques pistes originales. Dommage que les passages imposés du genre freinent le film...
Le rideau déchiré, d'Alfred Hitchcock (1966) 7/10 - Dans ce film d'espionnage un peu longuet, Hitch montre quelques moments virtuoses de suspense (le bus, le meurtre...), mais le déroulé est trop distendu, et Julie Andrews n'ajoute pas grand chose...
FILMS REVUS:
Ragtime, de Milos Forman (1981) 8/10 - Le grand spectacle de la reconstitution s'offre, magnifiquement, sur un grand écran. Je ne dirais pas que revoir ce film au cinéma est une redécouverte, mais que c'est un immense plaisir tout de même.
Odd Thomas, de Stephen Sommers (2013) 8/10 - Révision très plaisante, mais la personne à qui j'ai fait découvrir le film l'a détesté, rejetant en bloque l'ensemble des sous-intrigues autour du personnage de Thomas. Je persiste à trouver cette comédie d'aventures fantastique drôle et enlevée...
Films des mois précédent
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I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
Juin 2020
Films découverts
L'oeuvre sans auteur - Florian Henckel von Donnersmarck - 7,5/10
Coup de fouet en retour - John Sturges - 7,5/10
The Unthinkable - Victor Danell - 7,5/10
Les innocents - Jack Clayton - 7/10
Close encounters with Vilmos Zsigmond - Pierre Filmon - 7/10
Hugo Cabret - Martin Scorsese - 7/10
Le père de la mariée - Vincente Minelli - 7/10
Lost Soul: The Doomed Journey of Richard Stanley's Island of Dr. Moreau - David Gregory - 7/10
L'enfer blanc du Piz Palü - Arnold Franck & George Wilhelm Pabst - 6,5/10
Tess - Roman Polanksi - 6,5/10
La Taupe - Tomas Alfredson - 6,5/10
Mademoiselle - Park Chan-wook - 6,5/10
Le carrefour de la mort (Kiss of death) - Henry Hathaway - 6,5/10
L'étrangleur - Árpád Sopsits - 6/10
Cogan - Andrew Dominik - 6/10
Les yeux sans visage - George Franju - 6/10
Balle perdue - Guillaume Pierret - 6/10
Dieu seul le sait - John Huston - 6/10
Sur ordres du fûhrer - Enzo G Castellari - 6/10
La maison sur la colline - Robert Wise - 6/10
Robinson Crusoé sur Mars - Byron Haskin - 6/10
Friedkin Uncut - Francesco Zippel - 6/10
Hercule contre les vampires - Mario Bava - 6/10
La dernière rafale - William Keighley - 6/10
Burning - Lee Chang-dong - 6/10
Les Daleks envahissent la terre - Gordon Flemyng - 6/10
Le sixième continent - Kevin Connor - 6/10
Wild Rose - Tom Harper - 6/10
Koko-di, Koko-da - Johanes Nyholm - 5,5/10
Lords of Chaos - Jonas Âkerlund - 5,5/10
La peau de Bax - Alex Van Warmerdam - 5,5/10
Fences - Denzel Washington - 5,5/10
17 Blocks - Davy Rothbart - 5,5/10
Judex - George Franju - 5,5/10
Les éternels - Jia Zhangke - 5,5/10
Deux moi - Cedric Klapisch - 5,5/10
Vaudou - Jacques Tourneur - 5,5/10
Meurtre à bord - Joseph M. Newman - 5,5/10
New Mexico - Sam Peckinpah - 5/10
La féline - Jacques Tourneur - 5/10
La scandaleuse de Berlin - Billy Wilder - 5/10
La bataille de Marathon - Jacques Tourneur - 5/10
Alamo (version longue) - John Wayne - 5/10
Centre Terre : Septième continent - Kevin Connor - 5/10
Blindés - Nimbro Antal - 4,5/10
L'affaire Roman J. - Dan Gilroy - 4,5/10
France Société Anonyme - Alain Corneau - 4,5/10
Un condé - Yves Boisset - 4,5/10
Bad Samaritain - Dean Devlin - 4,5/10
Doctor Who et les Daleks - Gordon Flemyng - 4/10
Office Uprising - Lin Oeding - 4/10
Les cicatrices de Dracula - Roy Ward Baker - 4/10
Trance - Danny Boyle - 3,5/10
Le coup du siècle - Chris Addison - 3,5/10
Deal of Century - William Friedkin - 3,5/10
Films revus
Friday Night Lights - Saison 1 - 10/10
Luther - Saison 1 - 7,5/10
Luther - Saison 2 - 6,5/10
Driver - Walter Hill - 6/10
Ne le dis à personne - Guillaume Canet - 4,5/10
Films découverts
L'oeuvre sans auteur - Florian Henckel von Donnersmarck - 7,5/10
Coup de fouet en retour - John Sturges - 7,5/10
The Unthinkable - Victor Danell - 7,5/10
Les innocents - Jack Clayton - 7/10
Close encounters with Vilmos Zsigmond - Pierre Filmon - 7/10
Hugo Cabret - Martin Scorsese - 7/10
Le père de la mariée - Vincente Minelli - 7/10
Lost Soul: The Doomed Journey of Richard Stanley's Island of Dr. Moreau - David Gregory - 7/10
L'enfer blanc du Piz Palü - Arnold Franck & George Wilhelm Pabst - 6,5/10
Tess - Roman Polanksi - 6,5/10
La Taupe - Tomas Alfredson - 6,5/10
Mademoiselle - Park Chan-wook - 6,5/10
Le carrefour de la mort (Kiss of death) - Henry Hathaway - 6,5/10
L'étrangleur - Árpád Sopsits - 6/10
Cogan - Andrew Dominik - 6/10
Les yeux sans visage - George Franju - 6/10
Balle perdue - Guillaume Pierret - 6/10
Dieu seul le sait - John Huston - 6/10
Sur ordres du fûhrer - Enzo G Castellari - 6/10
La maison sur la colline - Robert Wise - 6/10
Robinson Crusoé sur Mars - Byron Haskin - 6/10
Friedkin Uncut - Francesco Zippel - 6/10
Hercule contre les vampires - Mario Bava - 6/10
La dernière rafale - William Keighley - 6/10
Burning - Lee Chang-dong - 6/10
Les Daleks envahissent la terre - Gordon Flemyng - 6/10
Le sixième continent - Kevin Connor - 6/10
Wild Rose - Tom Harper - 6/10
Koko-di, Koko-da - Johanes Nyholm - 5,5/10
Lords of Chaos - Jonas Âkerlund - 5,5/10
La peau de Bax - Alex Van Warmerdam - 5,5/10
Fences - Denzel Washington - 5,5/10
17 Blocks - Davy Rothbart - 5,5/10
Judex - George Franju - 5,5/10
Les éternels - Jia Zhangke - 5,5/10
Deux moi - Cedric Klapisch - 5,5/10
Vaudou - Jacques Tourneur - 5,5/10
Meurtre à bord - Joseph M. Newman - 5,5/10
New Mexico - Sam Peckinpah - 5/10
La féline - Jacques Tourneur - 5/10
La scandaleuse de Berlin - Billy Wilder - 5/10
La bataille de Marathon - Jacques Tourneur - 5/10
Alamo (version longue) - John Wayne - 5/10
Centre Terre : Septième continent - Kevin Connor - 5/10
Blindés - Nimbro Antal - 4,5/10
L'affaire Roman J. - Dan Gilroy - 4,5/10
France Société Anonyme - Alain Corneau - 4,5/10
Un condé - Yves Boisset - 4,5/10
Bad Samaritain - Dean Devlin - 4,5/10
Doctor Who et les Daleks - Gordon Flemyng - 4/10
Office Uprising - Lin Oeding - 4/10
Les cicatrices de Dracula - Roy Ward Baker - 4/10
Trance - Danny Boyle - 3,5/10
Le coup du siècle - Chris Addison - 3,5/10
Deal of Century - William Friedkin - 3,5/10
Films revus
Friday Night Lights - Saison 1 - 10/10
Luther - Saison 1 - 7,5/10
Luther - Saison 2 - 6,5/10
Driver - Walter Hill - 6/10
Ne le dis à personne - Guillaume Canet - 4,5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
JUIN 2020
Film du mois :

Films découverts :
Die Abenteuer des Prinzen Achmed, de Lotte Reiniger : 7,5/10
Asphalt, de Joe May : 7,5/10
Die Austernprinzessin, d'Ernst Lubitsch : 6/10
Die Finanzen des Großherzogs, de Friedrich Wilhelm Murnau : 7/10
Die Frau, nach der man sich sehnt, de Curtis Bernhardt : 7,5/10
Der Gang in die Nacht, de Friedrich Wilhelm Murnau : 6,5/10
The Half-Breed, d'Allan Dwan : 6/10
L'histoire d'Adèle H., de François Truffaut : 5/10
Ich möchte kein Mann sein, d'Ernst Lubitsch : 6,5/10
Orlacs Hände, de Robert Wiene : 6,5/10
Phantom, de Friedrich Wilhelm Murnau : 7,5/10
Piccadilly, de Ewald André Dupont : 8/10
Schloss Vogelöd, de Friedrich Wilhelm Murnau : 6/10
Les soeurs Brontë, d'André Téchiné : 7/10
Der Student von Prag, de Henrik Galeen : 6,5/10
Unheimliche Geschichten, de Richard Oswald : 6/10
Zaza, d'Allan Dwan : 7/10
Zur Chronik von Grieshuus, d'Arthur von Gerlach : 6,5/10
Films revus ou redécouverts :
TV :
The Tenant of Wildfell Hall, de Mike Barker : 7/10
Film du mois, le récapitulatif :
Film du mois :

Films découverts :
Die Abenteuer des Prinzen Achmed, de Lotte Reiniger : 7,5/10
Asphalt, de Joe May : 7,5/10
Die Austernprinzessin, d'Ernst Lubitsch : 6/10
Die Finanzen des Großherzogs, de Friedrich Wilhelm Murnau : 7/10
Die Frau, nach der man sich sehnt, de Curtis Bernhardt : 7,5/10
Der Gang in die Nacht, de Friedrich Wilhelm Murnau : 6,5/10
The Half-Breed, d'Allan Dwan : 6/10
L'histoire d'Adèle H., de François Truffaut : 5/10
Ich möchte kein Mann sein, d'Ernst Lubitsch : 6,5/10
Orlacs Hände, de Robert Wiene : 6,5/10
Phantom, de Friedrich Wilhelm Murnau : 7,5/10
Piccadilly, de Ewald André Dupont : 8/10
Schloss Vogelöd, de Friedrich Wilhelm Murnau : 6/10
Les soeurs Brontë, d'André Téchiné : 7/10
Der Student von Prag, de Henrik Galeen : 6,5/10
Unheimliche Geschichten, de Richard Oswald : 6/10
Zaza, d'Allan Dwan : 7/10
Zur Chronik von Grieshuus, d'Arthur von Gerlach : 6,5/10
Films revus ou redécouverts :
TV :
The Tenant of Wildfell Hall, de Mike Barker : 7/10
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Dernière modification par joe-ernst le 1 juil. 20, 09:03, modifié 10 fois.
L'hyperréalisme à la Kechiche, ce n'est pas du tout mon truc. Alain Guiraudie
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Re: Votre film du mois de Juin 2020

LES FILMS DU DÉCONFINEMENT - JUIN 2020
FILMS VUS / FILMS REVUS
- • Les Oiseaux (The Birds, Alfred Hitchcock - 1963) : 9 / 10
• Delivrance (John Boorman - 1972) : 9 / 10
• Point Break (Kathryn Bigelow, 1991) : 7 /10
• The Afterman (Rob Van Eyck, 1985) : 4 / 10
Pour ça, qui de mieux que James Bond pour de précieux conseils ?
- «James Bond prit son premier verre de la soirée au Fouquet's. Ce n'était pas un verre digne de ce nom. Impossible de boire sérieusement dans des cafés français. Une terrasse au soleil, sur le trottoir, ce n'est pas l'endroit pour boire de la vodka, du whisky ou du gin. Une fine à l'eau c'est déjà assez sérieux, mais ça finit par vous monter à la tête sans avoir très bon goût. Un quart champagne ou un champagne à l'orange, c'est encore ce qu'il y a de mieux avant le déjeuner, mais le soir, un quart conduit à un second quart et une bouteille de champagne n'est pas un bon point de départ pour une soirée. Reste le Pernod, mais il faut le boire avec des copains et, de toute manière, Bond n'en avait jamais été grand amateur, car ce goût liquoreux lui rappelait son enfance. Non, dans les cafés, il faut boire le plus inoffensif dans ce ballet des apéritifs ; Bond commandait toujours le même : un américano ; Campari, Martini, avec un grand zeste de citron ou du siphon. En guise de siphon, il commandait toujours une bouteille de Périer, car, à son avis, employer une eau gazeuse de bonne qualité c'est encore la façon la moins coûteuse de relever un apéritif assez terne. Lorsque Bond était de passage à Paris, il s'en tenait invariablement aux mêmes adresses. Il descendait au Terminus Nord parce qu'il aimait les hôtels situés près des gares ; celui-ci était le moins prétentieux et le plus anonyme de tous. Il déjeunait au Café de la Paix, à la Rotonde ou au Dôme, parce que la cuisine lui paraissait convenable et parce que ça l'amusait d'observer les gens. Lorsqu'il avait envie d'un sérieux remontant, il allait au Harry's Bar, d'abord parce que l'alcool y était de première qualité et ensuite parce que lors de son premier séjour à Paris à l'âge de seize ans, il avait suivi les conseils du Continental Daily Mail et avait demandé au chauffeur de taxi de le conduire : "Sank Roo Dœ Noo." Cela avait été le point de départ d'une des plus mémorables soirées de sa vie, dont le sommet avait été la perte pour ainsi dire simultanée de sa virginité et de son portefeuille.»
(Bons baisers de Paris ou James Bond en embuscade a.k.a From a View to a Kill, nouvelle extraite de For Your Eyes Only, Ian Fleming, 1960)

- • James Bond
contre Dr No (Dr. No, Terence Young - 1962) : 8 / 10
• Goldfinger (Guy Hamilton - 1964) : 8 / 10
• Jamais plus jamais (Never Say Never Again, Irvin Kershner - 1983) : 7 / 10
• Bons baisers de Russie (From Russia With Love, Terence Young - 1963) : 7 / 10
...
Dernière modification par Major Tom le 1 juil. 20, 12:15, modifié 13 fois.
- Vic Vega
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
Juin 2020
Film du mois
Marie-Octobre de Julien Duvivier
Films découverts
Marie-Octobre de Julien Duvivier 8/10
Les Carnets de route de Chuji de Ito Daisuke 8/10
Le Commissaire de Luigi Comencini 8/10
Le Jardin des Finzi-Contini de Vittorio De Sica 8/10
La Ciociara de Vittorio De Sica 8/10
Ça s'est passé à Rome de Mauro Bolognini 8/10
Le Geste Inexpliqué de Sumiko de Suzuki Shigeyoshi et Ota Yoneo 8/10
Europe 51 de Roberto Rossellini 8/10
Les Trois Mousquetaires de George Sidney 8/10
Les Sacrifiés de John Ford 8/10
On murmure dans la ville de Joseph L. Mankiewicz 8/10
Stella Dallas de King Vidor 8/10
Le Temps de mourir de Arturo Ripstein 8/10
The White Dawn de Philip Kaufman 7/10
Les Portes de la nuit de Marcel Carné 7/10
Un Carnet de Bal de Julien Duvivier 7/10
Metello de Mauro Bolognini 7/10
Du Soleil dans les Yeux de Antonio Pietrangeli 7/10
Men with guns de John Sayles 7/10
Quand la chair succombe de Mauro Bolognini 7/10
Boccace 70 de Vittorio De Sica, Federico Fellini, Mario Monicelli et Luchino Visconti 7/10
Merrily We Go to Hell de Dorothy Arzner 7/10
Baby, It's You de John Sayles 7/10
Traître sur commande de Martin Ritt 7/10
La Corruption de Mauro Bolognini 6/10
Kafka de Steven Soderbergh 6/10
L'Agent de Luigi Zampa 6/10
Détenu en attente de jugement de Nanni Loy 6/10
Valérie au pays des merveilles de Jaromil Jires 6/10
Ganga Bruta de Humberto Mauro 6/10
L’Attaque du train postal de Roberto Farias 6/10
Ultimatum de Hector Babenco 6/10
Pixote, la loi du plus faible de Hector Babenco 6/10
Larmes de joie de Mario Monicelli 5/10
Les Trois Mousquetaires de Fred Niblo 5/10
Black Belt de Nagasaki Shunichi 4/10
Le Célibataire de Antonio Pietrangeli 4/10
Passion Fish de John Sayles 4/10
Les Coulisses de l'exploit de John Sayles 4/10
The Terror Live de Kim Byung-Woo 3/10
La Dixième Victime de Elio Petri 3/10
Les Lèvres rouges de Harry Kümel 3/10
Séries TV
Films revus (Hors compétition)
Film du mois
Marie-Octobre de Julien Duvivier
Films découverts
Marie-Octobre de Julien Duvivier 8/10
Les Carnets de route de Chuji de Ito Daisuke 8/10
Le Commissaire de Luigi Comencini 8/10
Le Jardin des Finzi-Contini de Vittorio De Sica 8/10
La Ciociara de Vittorio De Sica 8/10
Ça s'est passé à Rome de Mauro Bolognini 8/10
Le Geste Inexpliqué de Sumiko de Suzuki Shigeyoshi et Ota Yoneo 8/10
Europe 51 de Roberto Rossellini 8/10
Les Trois Mousquetaires de George Sidney 8/10
Les Sacrifiés de John Ford 8/10
On murmure dans la ville de Joseph L. Mankiewicz 8/10
Stella Dallas de King Vidor 8/10
Le Temps de mourir de Arturo Ripstein 8/10
The White Dawn de Philip Kaufman 7/10
Les Portes de la nuit de Marcel Carné 7/10
Un Carnet de Bal de Julien Duvivier 7/10
Metello de Mauro Bolognini 7/10
Du Soleil dans les Yeux de Antonio Pietrangeli 7/10
Men with guns de John Sayles 7/10
Quand la chair succombe de Mauro Bolognini 7/10
Boccace 70 de Vittorio De Sica, Federico Fellini, Mario Monicelli et Luchino Visconti 7/10
Merrily We Go to Hell de Dorothy Arzner 7/10
Baby, It's You de John Sayles 7/10
Traître sur commande de Martin Ritt 7/10
La Corruption de Mauro Bolognini 6/10
Kafka de Steven Soderbergh 6/10
L'Agent de Luigi Zampa 6/10
Détenu en attente de jugement de Nanni Loy 6/10
Valérie au pays des merveilles de Jaromil Jires 6/10
Ganga Bruta de Humberto Mauro 6/10
L’Attaque du train postal de Roberto Farias 6/10
Ultimatum de Hector Babenco 6/10
Pixote, la loi du plus faible de Hector Babenco 6/10
Larmes de joie de Mario Monicelli 5/10
Les Trois Mousquetaires de Fred Niblo 5/10
Black Belt de Nagasaki Shunichi 4/10
Le Célibataire de Antonio Pietrangeli 4/10
Passion Fish de John Sayles 4/10
Les Coulisses de l'exploit de John Sayles 4/10
The Terror Live de Kim Byung-Woo 3/10
La Dixième Victime de Elio Petri 3/10
Les Lèvres rouges de Harry Kümel 3/10
Séries TV
Films revus (Hors compétition)
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- Papus
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
And the winner is...

Découvertes:
1917 Sam Mendes 6/10
Le talentueux Mr.Ripley Anthony Minghella 7/10
Balle perdue Guillaume Pierret (netflix) 5/10
Da 5 bloods Spike Lee (netflix) 5/10
She's gotta have it Spike Lee (netflix) 6/10
Once again:
Les Fils de l'homme Alfonso Cuaron 8/10
Coup de tête Jean-Jacques Annaud 7/10
Père fils thérapie ! Émile Gaudreault 2/10
Le Kid Charlie Chaplin 8/10
Peau d'âne Jacques Demy 5/10
Les indestructibles 2 Brad Bird 9/10
No country for old men Joel & Ethan Coen 8/10
Le prénom Alexandre de La Patellière, Matthieu Delaporte 4/10

Découvertes:
1917 Sam Mendes 6/10
Le talentueux Mr.Ripley Anthony Minghella 7/10
Balle perdue Guillaume Pierret (netflix) 5/10
Da 5 bloods Spike Lee (netflix) 5/10
She's gotta have it Spike Lee (netflix) 6/10
Once again:
Les Fils de l'homme Alfonso Cuaron 8/10
Coup de tête Jean-Jacques Annaud 7/10
Père fils thérapie ! Émile Gaudreault 2/10
Le Kid Charlie Chaplin 8/10
Peau d'âne Jacques Demy 5/10
Les indestructibles 2 Brad Bird 9/10
No country for old men Joel & Ethan Coen 8/10
Le prénom Alexandre de La Patellière, Matthieu Delaporte 4/10
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"J'aime la bien-pensance"
Franc Suisse Fort Chocolat.
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Re: Votre film du mois de Juin 2020
Film de juin :
Découvertes
La belle époque de Nicolas Bedos : 8,5/10
125 rue Montmartre de Gilles Grangier : 8,5/10
Le violent de Nicholas Ray : 8/10
Good Time : 8/10
Le Caire confidentiel : 7,5/10
Les grandes gueules de Robert Enrico : 7,5/10
Le Ruffian de José Giovanni : 7/10
Ex-machina d'Alex Garland : 7/10
Les moines lanciers du temple hozoin de tomu Uchida : 7/10
Maddigan de Don Siegel : 7/10
Ça partie 2 : 6,5/10
La baie sanglante de Mario Bava : 6,5/10
Meurtre au soleil de Guy Hamilton : 6/10
Redécouvertes
Spiderman 2 : 9/10
Spiderman de Sam Raimi : 8,5/10
Kenshin le vagabond : 8,5/10
Kenshin 2 : 8,5/10
Alien de Ridley Scott : 8/10
Speed de jan De Bont : 8/10
Vera Cruz de Robert Aldrich : 8/10
Séries
Film de janvier : les enfants du temps
Film de février : embrasse moi idiot
Film de mars : circonstances atténuantes
Film d'avril : la fille du désert
Film de mai : viva Zapata
Découvertes
La belle époque de Nicolas Bedos : 8,5/10
125 rue Montmartre de Gilles Grangier : 8,5/10
Le violent de Nicholas Ray : 8/10
Good Time : 8/10
Le Caire confidentiel : 7,5/10
Les grandes gueules de Robert Enrico : 7,5/10
Le Ruffian de José Giovanni : 7/10
Ex-machina d'Alex Garland : 7/10
Les moines lanciers du temple hozoin de tomu Uchida : 7/10
Maddigan de Don Siegel : 7/10
Ça partie 2 : 6,5/10
La baie sanglante de Mario Bava : 6,5/10
Meurtre au soleil de Guy Hamilton : 6/10
Redécouvertes
Spiderman 2 : 9/10
Spiderman de Sam Raimi : 8,5/10
Kenshin le vagabond : 8,5/10
Kenshin 2 : 8,5/10
Alien de Ridley Scott : 8/10
Speed de jan De Bont : 8/10
Vera Cruz de Robert Aldrich : 8/10
Séries
Film de janvier : les enfants du temps
Film de février : embrasse moi idiot
Film de mars : circonstances atténuantes
Film d'avril : la fille du désert
Film de mai : viva Zapata
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- gnome
- Iiiiiiil est des nôôôôtres
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- Inscription : 26 déc. 04, 18:31
- Localisation : sleeping in the midday sun...
Re: Votre film du mois de Juin 2020
Film du mois :

Joint Security Area (Park Chan Wook) 10/10 VO
Incubus (Leslie Stevens) 10/10 VO
Un des meilleurs films sur le paganisme que j'aie vu. Tourné dans un superbe noir et blanc, Stevens joue de l'espéranto pour installer un climat d'étrangeté très réussi renforcé par un score au diapason. Rarement à mon sens on n'aura décrit aussi bien le désir de corruption. Malgré le refus d'effets faciles, le film distille malgré tout un certain malaise dans sa dernière partie avec des apparitions suggérées mais menaçantes, une scène de viol osée pour l'époque... Reste un final que certains pourraient trouver trop facilement manichéen, mais ça ne retire rien à la capacité hypnotique de l'ensemble.
Ricky-Oh : The story of Ricky (Lam Nai-Choi) 10/10 BR VO
Funny Games (Michael Haneke) 10/10 DVD VO revu
Ichi the killer (Takashi Miike) 9.5-10/10 DVD VO revu
Digging up the Marrow (Adam Green) 8/10 VO
Marrant faux documentaire avec un phénoménal Ray Wise persuadé de l'existence d'un monde souterrain peuplé de vrais monstres. le film aurait peut-être gagné à être un peu resserré et on sent qu'il a eu du mal à trouver une conclusion, mais c'est fun à regarder.
Kill Bill vol. 1 (Quentin Tarantino) 10/10 DVD VO revu
Kill Bill vol. 2 (Quentin Tarantino) 8.5/10 DVD VO revu
Hannibal : Les origines du mal (Peter Webber) 7.5-8/10 VO
Sex and fury (Norifumi Suzuki) 8.5/10 DVD VO
La grande cuisine (Ted Kotcheff) 8/10 TV VO
Un jeu de massacre jubilatoire aux dialogues ciselés.
Haute tension (Alexandre Aja) 8/10
Destination finale (James Wong) 8/10 VO revu
Manhunter (Michael Mann) 8/10 VO
White god (Kornél Mundruczó) 8/10 TV VO
Deepstar Six (MAL - Mutant Aquatique en Liberté)(Sean Cunningham) 7.5-8/10 VO
Shogun sadism (Yuji Makiguchi) 7.5-8/10 VO revu
Enfant 44 (Gabriel Espinoza) 7.5/10 TV VF
Un peu trop classique dans sa mise en image, mais l'intrigue est bien batie et relativement efficace.
Tokyo Fiancée (Stephan Liberski) 7/10
Liberski adapte Nothomb avec une belle sensibilité. Un beau film porté à bout de bras par la fraiche Pauline Etienne, mais qui aurait peut-être gagné à être un peu plus ramassé.
Hi, Mom (Brian de Palma) 7.5/10 VO
Die, monster die (Daniel Haller) 7.5/10 VO
Rien à déclarer (Danny Boon) 6-6.5/10 TV
Bienvenue chez les chtis avec ses défauts était une comédie populaire sympathique et efficace. Boon n'évite pas ici la caricature et s'il ménage de bons moments, peine à emporter complètement l'adhésion.
Out of the dark (Michael Schroeder) 6.5/10 VO
La cité de l'ombre (Gil Kenan) TV VF
Une bonne idée de scénario gâchée par un parti pris de mise en scène trop axé "famille" et jeunesse. Avec un traitement plus sérieur, le film aurait pu être plus enthousiasmant, surtout avec une distribution pareille.
Hellraiser : Hellseeker (Rick Bota) 4.5-5/10 VF
Le retour de Kirsty et du cube pour ancrer le film dans la mythologie hellraiser ne sauve pas ce thriller surnaturel à peine correct jouant sur la réalité et le rêve. Le dénouement sauve un peu les meubles, mais c'est du déjà vu 100 X. Bof.
Hellraiser : Deader (Rick Bota) 6/10 VF
Back to the basics avec une histoire empruntant un peu plus à la mythologie barkerienne avec sa recherche du plaisir dans la douleur. Bota prend un peu les forceps pour rattacher son film à la franchise, mais ça passe une peu mieux que dans le précédent. Dommage que l'esthétique téléfilm et l'interprétation moyenne gâchent un peu le potentiel d'une histoire ménageant des passages un peu plus glauques que dans les précédents.
Hellraiser : Hellworld (Rick Bota) 7/10 VF
Bota pour la troisième fois aux commandes d'un épisode de la franchise renouvelle un peu les choses. Un groupe de jeunes fans d'un jeu video basé sur le bouquin de Barker se retrouve deux ans après la mort de l'un d'eux à une fête organisée autour du jeu video. S'en suit un petit jeu de massacre sympathique slasher style. Soyons franc, c'est plus la forme que le fond qui divertit. Henricksen fait le job.
Hellraiser : Revelations (Víctor García) 4/10 VF
4/10 Pour le gore (pompé sur l'original et sa séquelle). Rien de neuf à l'horizon, un pinhead sans charisme pour le première fois joué par un autre acteur que Doug Bradley. Ca commence à sérieusement sentir le sapin pour les cénobites.
Hellraiser : Judgement (Gary J. Tunnicliffe) 2/10 VO
Ce coup-ci, je crois qu'on touche le fond. Les cénobites sont là pour la tapisserie et le décorum. C'est Hellraiser meets Se7en. En rajouter au forceps dans le malsain ne fait pas spécialement un bon film d'horreur. Pas grand-chose à sauver. C'est même vaguement chiant.
Speed racer (Warchowski brothers) 6/10 TV VF
Des séquences de course ludiques, mais qu'est-ce que ça fait mal aux yeux.
La tour sombre (Nikolaj Arcel) 6/10 TV VF
The dead next door (J.R. Bookwalter) 6/10 VO
Drive-in Massacre (Stu Segall) 4/10 VO
Cheerleader camp (John Quinn) 3/10 TV VF
L'exemple même du film massacré par sa VF. Traductions à côté de la plaque sans aucun rapport avec ce qui est dit vraiment, intonations ridicules... Là où la VF propulse un film comme Eaux troubles à des sommets assez insensés, ici, elle tire un film déjà à la base très moyen encore plus vers le bas.
Gamer (Mark Neveldine - Brian Taylor) 2/10 TV VO
Une bouillie imbuvable malgré un pitch intéressant.
Séries :
Narcos (saison 2) TV VO en cours
Breaking bad saison 2 DVD VO en cours
Screaming Queens saison 1 TV VF en cours

Joint Security Area (Park Chan Wook) 10/10 VO
Incubus (Leslie Stevens) 10/10 VO
Un des meilleurs films sur le paganisme que j'aie vu. Tourné dans un superbe noir et blanc, Stevens joue de l'espéranto pour installer un climat d'étrangeté très réussi renforcé par un score au diapason. Rarement à mon sens on n'aura décrit aussi bien le désir de corruption. Malgré le refus d'effets faciles, le film distille malgré tout un certain malaise dans sa dernière partie avec des apparitions suggérées mais menaçantes, une scène de viol osée pour l'époque... Reste un final que certains pourraient trouver trop facilement manichéen, mais ça ne retire rien à la capacité hypnotique de l'ensemble.
Ricky-Oh : The story of Ricky (Lam Nai-Choi) 10/10 BR VO
Funny Games (Michael Haneke) 10/10 DVD VO revu
Ichi the killer (Takashi Miike) 9.5-10/10 DVD VO revu
Digging up the Marrow (Adam Green) 8/10 VO
Marrant faux documentaire avec un phénoménal Ray Wise persuadé de l'existence d'un monde souterrain peuplé de vrais monstres. le film aurait peut-être gagné à être un peu resserré et on sent qu'il a eu du mal à trouver une conclusion, mais c'est fun à regarder.
Kill Bill vol. 1 (Quentin Tarantino) 10/10 DVD VO revu
Kill Bill vol. 2 (Quentin Tarantino) 8.5/10 DVD VO revu
Hannibal : Les origines du mal (Peter Webber) 7.5-8/10 VO
Sex and fury (Norifumi Suzuki) 8.5/10 DVD VO
La grande cuisine (Ted Kotcheff) 8/10 TV VO
Un jeu de massacre jubilatoire aux dialogues ciselés.
Haute tension (Alexandre Aja) 8/10
Destination finale (James Wong) 8/10 VO revu
Manhunter (Michael Mann) 8/10 VO
White god (Kornél Mundruczó) 8/10 TV VO
Deepstar Six (MAL - Mutant Aquatique en Liberté)(Sean Cunningham) 7.5-8/10 VO
Shogun sadism (Yuji Makiguchi) 7.5-8/10 VO revu
Enfant 44 (Gabriel Espinoza) 7.5/10 TV VF
Un peu trop classique dans sa mise en image, mais l'intrigue est bien batie et relativement efficace.
Tokyo Fiancée (Stephan Liberski) 7/10
Liberski adapte Nothomb avec une belle sensibilité. Un beau film porté à bout de bras par la fraiche Pauline Etienne, mais qui aurait peut-être gagné à être un peu plus ramassé.
Hi, Mom (Brian de Palma) 7.5/10 VO
Die, monster die (Daniel Haller) 7.5/10 VO
Rien à déclarer (Danny Boon) 6-6.5/10 TV
Bienvenue chez les chtis avec ses défauts était une comédie populaire sympathique et efficace. Boon n'évite pas ici la caricature et s'il ménage de bons moments, peine à emporter complètement l'adhésion.
Out of the dark (Michael Schroeder) 6.5/10 VO
La cité de l'ombre (Gil Kenan) TV VF
Une bonne idée de scénario gâchée par un parti pris de mise en scène trop axé "famille" et jeunesse. Avec un traitement plus sérieur, le film aurait pu être plus enthousiasmant, surtout avec une distribution pareille.
Hellraiser : Hellseeker (Rick Bota) 4.5-5/10 VF
Le retour de Kirsty et du cube pour ancrer le film dans la mythologie hellraiser ne sauve pas ce thriller surnaturel à peine correct jouant sur la réalité et le rêve. Le dénouement sauve un peu les meubles, mais c'est du déjà vu 100 X. Bof.
Hellraiser : Deader (Rick Bota) 6/10 VF
Back to the basics avec une histoire empruntant un peu plus à la mythologie barkerienne avec sa recherche du plaisir dans la douleur. Bota prend un peu les forceps pour rattacher son film à la franchise, mais ça passe une peu mieux que dans le précédent. Dommage que l'esthétique téléfilm et l'interprétation moyenne gâchent un peu le potentiel d'une histoire ménageant des passages un peu plus glauques que dans les précédents.
Hellraiser : Hellworld (Rick Bota) 7/10 VF
Bota pour la troisième fois aux commandes d'un épisode de la franchise renouvelle un peu les choses. Un groupe de jeunes fans d'un jeu video basé sur le bouquin de Barker se retrouve deux ans après la mort de l'un d'eux à une fête organisée autour du jeu video. S'en suit un petit jeu de massacre sympathique slasher style. Soyons franc, c'est plus la forme que le fond qui divertit. Henricksen fait le job.
Hellraiser : Revelations (Víctor García) 4/10 VF
4/10 Pour le gore (pompé sur l'original et sa séquelle). Rien de neuf à l'horizon, un pinhead sans charisme pour le première fois joué par un autre acteur que Doug Bradley. Ca commence à sérieusement sentir le sapin pour les cénobites.
Hellraiser : Judgement (Gary J. Tunnicliffe) 2/10 VO
Ce coup-ci, je crois qu'on touche le fond. Les cénobites sont là pour la tapisserie et le décorum. C'est Hellraiser meets Se7en. En rajouter au forceps dans le malsain ne fait pas spécialement un bon film d'horreur. Pas grand-chose à sauver. C'est même vaguement chiant.
Speed racer (Warchowski brothers) 6/10 TV VF
Des séquences de course ludiques, mais qu'est-ce que ça fait mal aux yeux.
La tour sombre (Nikolaj Arcel) 6/10 TV VF
The dead next door (J.R. Bookwalter) 6/10 VO
Drive-in Massacre (Stu Segall) 4/10 VO
Cheerleader camp (John Quinn) 3/10 TV VF
L'exemple même du film massacré par sa VF. Traductions à côté de la plaque sans aucun rapport avec ce qui est dit vraiment, intonations ridicules... Là où la VF propulse un film comme Eaux troubles à des sommets assez insensés, ici, elle tire un film déjà à la base très moyen encore plus vers le bas.
Gamer (Mark Neveldine - Brian Taylor) 2/10 TV VO
Une bouillie imbuvable malgré un pitch intéressant.
Séries :
Narcos (saison 2) TV VO en cours
Breaking bad saison 2 DVD VO en cours
Screaming Queens saison 1 TV VF en cours
Dernière modification par gnome le 12 août 20, 17:54, modifié 11 fois.
