Votre film du mois d'Octobre 2019
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
Film du mois
Découvertes
Sept secondes en enfer de John Sturges : 8,5/10
Ad astra de James Gray : 8/10
Miss Sloan de John Madden : 8/10
Joker de Todd Philipps : 8/10
First man de Damien Chazelle : 7,5/10
Annihilation d'Alex Garland : 7,5/10
Les aventures d'arsene Lupin de Jacques Becker : 7/10
La vérité sur Bébé Donge d'henri Decoin : 7/10
Sale temps à l'hôtel El royal : 7/10
Stavisky d'alain Resnais : 5/10
Redécouverte
Fast and furious 7 : 7.5/10
Fast and furious 6 : 6,5/10
Christine de John Carpenter : 6,5/10
Star wars 8 : 6/10
Séries
Film de janvier : rush
Film de février : timbuktu
Film de mars : mektoub my love
Film d avril : kill la forteresse des samouraîs
Film de mai : week end à zuydcoot
Film de juin : toy story 4
Film de juillet : les pépites
Film d'août : les figures de l'ombre
Film de septembre : l'empereur du Nord
Découvertes
Sept secondes en enfer de John Sturges : 8,5/10
Ad astra de James Gray : 8/10
Miss Sloan de John Madden : 8/10
Joker de Todd Philipps : 8/10
First man de Damien Chazelle : 7,5/10
Annihilation d'Alex Garland : 7,5/10
Les aventures d'arsene Lupin de Jacques Becker : 7/10
La vérité sur Bébé Donge d'henri Decoin : 7/10
Sale temps à l'hôtel El royal : 7/10
Stavisky d'alain Resnais : 5/10
Redécouverte
Fast and furious 7 : 7.5/10
Fast and furious 6 : 6,5/10
Christine de John Carpenter : 6,5/10
Star wars 8 : 6/10
Séries
Film de janvier : rush
Film de février : timbuktu
Film de mars : mektoub my love
Film d avril : kill la forteresse des samouraîs
Film de mai : week end à zuydcoot
Film de juin : toy story 4
Film de juillet : les pépites
Film d'août : les figures de l'ombre
Film de septembre : l'empereur du Nord
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
Octobre 2019
Films découverts
L'école est finie (Anne Depetrini) : 1/10
Première année (Thomas Lilti) : 7,5/10
Le jeu (Fred Cavayé) : 2/10
Rambo III (Peter MacDonald) : 6/10
Hotel Artemis (Drew Pearce) : 4/10
Bacurau (Kleber Mendonça Filho & Juliano Dornelles) : 8,5/10
A star is born (Bradley Cooper) : 7/10
Voyages avec ma tante (George Cukor) : 4/10
Fucking Fernand (Gérard Mordillat) : 6/10
John Rambo (Sylvester Stallone) : 4/10
Amanda (Mikhael Hers) : 8/10
L'intervention (Fred Grivois) : 4/10
L'empereur de Paris (Jean-François Richet) : 4/10
Les frères Sisters (Jacques Audiard) : 5/10
Ondine (Neil Jordan) : 5/10
Alice et le maire (Nicolas Pariser) : 7/10
Climax (Gaspard Noé) : 3/10
Joker (Todd Phillips) : 7/10
La fameuse histoire des ours en Sicile (Lorenzo Mattotti) : 6,5/10
La vérité si je mens : les débuts (Gérard Bitton, Michel Munz) : 5,5/10
Terminator : Salvation (McG) : 5/10
2 ou 3 choses que je sais d'elle (Jean-luc Godard) : 5,5/10
Quand passent les cigognes (Mikhail Kalatozov) : 6,5/10
Hors normes (Eric Nakache & Olivier Toledano) : 6,5/10
Bohemian rhapsody (Bryan Singer) : 4/10
Mademoiselle de Joncquieres (Emmanuel Mouret) : 3/10
Coco (Lee Unkrich & Adrian Molina) : 6/10
Les invisibles (Louis-Julien Petit) : 4,5/10
Wildlife (Paul Dano) : 7,5/10
Terminator : Genysis (Alan Taylor) : 6,5/10
The laundromat (Steven Soderbergh) : 7,5/10
Tell me who I am (Ed Perkins) : 5/10
Neuilly sa mère, sa mère (Gabriel Julien-Laferrière) : 2/10
Sorry we missed you (Ken Loach) : 7/10
The game changers (Louie Psihoyos) : 5/10
Mon chien stupide (Yvan Attal) : 7,5/10
Dolemite is my name (Craig Brewer) : 7/10
Films revus
Terminator (James Cameron) : 8/10
Terminator 2 : Judgement day (James Cameron) : 7,5/10
Terminator 3 : Rise of the machines (Jonathan Mostow) : 6,5/10
Séries découvertes
Fleabag, Saison 1 : 7,5/10
Fleabag, Saison 2 : 7/10
Crisis in six scenes, Saison unique : 6/10
The end of the f****** world, Saison 1 : abandonnée
Derek, saison 1 : 6,5/10
Derek, saison 2 : 6,5/10
Les sauvages, Saison 1 : abandonnée
The Twilight Zone 2018, Saison 1 : en cours
Films découverts
L'école est finie (Anne Depetrini) : 1/10
Première année (Thomas Lilti) : 7,5/10
Le jeu (Fred Cavayé) : 2/10
Rambo III (Peter MacDonald) : 6/10
Hotel Artemis (Drew Pearce) : 4/10
Bacurau (Kleber Mendonça Filho & Juliano Dornelles) : 8,5/10
A star is born (Bradley Cooper) : 7/10
Voyages avec ma tante (George Cukor) : 4/10
Fucking Fernand (Gérard Mordillat) : 6/10
John Rambo (Sylvester Stallone) : 4/10
Amanda (Mikhael Hers) : 8/10
L'intervention (Fred Grivois) : 4/10
L'empereur de Paris (Jean-François Richet) : 4/10
Les frères Sisters (Jacques Audiard) : 5/10
Ondine (Neil Jordan) : 5/10
Alice et le maire (Nicolas Pariser) : 7/10
Climax (Gaspard Noé) : 3/10
Joker (Todd Phillips) : 7/10
La fameuse histoire des ours en Sicile (Lorenzo Mattotti) : 6,5/10
La vérité si je mens : les débuts (Gérard Bitton, Michel Munz) : 5,5/10
Terminator : Salvation (McG) : 5/10
2 ou 3 choses que je sais d'elle (Jean-luc Godard) : 5,5/10
Quand passent les cigognes (Mikhail Kalatozov) : 6,5/10
Hors normes (Eric Nakache & Olivier Toledano) : 6,5/10
Bohemian rhapsody (Bryan Singer) : 4/10
Mademoiselle de Joncquieres (Emmanuel Mouret) : 3/10
Coco (Lee Unkrich & Adrian Molina) : 6/10
Les invisibles (Louis-Julien Petit) : 4,5/10
Wildlife (Paul Dano) : 7,5/10
Terminator : Genysis (Alan Taylor) : 6,5/10
The laundromat (Steven Soderbergh) : 7,5/10
Tell me who I am (Ed Perkins) : 5/10
Neuilly sa mère, sa mère (Gabriel Julien-Laferrière) : 2/10
Sorry we missed you (Ken Loach) : 7/10
The game changers (Louie Psihoyos) : 5/10
Mon chien stupide (Yvan Attal) : 7,5/10
Dolemite is my name (Craig Brewer) : 7/10
Films revus
Terminator (James Cameron) : 8/10
Terminator 2 : Judgement day (James Cameron) : 7,5/10
Terminator 3 : Rise of the machines (Jonathan Mostow) : 6,5/10
Séries découvertes
Fleabag, Saison 1 : 7,5/10
Fleabag, Saison 2 : 7/10
Crisis in six scenes, Saison unique : 6/10
The end of the f****** world, Saison 1 : abandonnée
Derek, saison 1 : 6,5/10
Derek, saison 2 : 6,5/10
Les sauvages, Saison 1 : abandonnée
The Twilight Zone 2018, Saison 1 : en cours
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
Octobre 2019


Un éléphant ça trompe énormément (Yves Robert, 1976)
Étienne, Simon, Bouly et les autres… Le concours de Jean-Loup Dabadie en atteste : cet énorme succès des années 70 emprunte à Sautet, sur un mode plus vaudevillesque, plus léger, sans doute plus consensuel. Mais il se met aussi à l’heure italienne pour conter l’histoire de quatre amis unis pour le meilleur et pour le pire, l’un comme l’autre étant les femmes qui passent, qui s’installent, qui restent ou qui les quittent et dont ils parlent en riant ou en pleurant. La qualité de l’écriture, polissant, resserrant et insérant chaque épisode dans un ensemble boulonné au plus près, et le brio des comédiens, à travers lesquels passe toute la fantaisie d’un propos aussi vif et pétillant que dénué de vulgarité, participent d’une alchimie qui, dans ses meilleurs moments, transforme en lumière les ingrédients de l’anecdote. 4/6
The neon demon (Nicolas Winding Refn, 2016)
Le néant absolu érigé en système, le stade terminal d’un maniérisme consacrant la dévoration de l’image publicitaire par elle-même. Persuadé de son génie, Refn inflige une litanie de plans boursouflés et clinquants qui ne transmet rien d’autre que l’ivresse de sa propre maîtrise (pour lui) et l’ennui le plus mortel (pour nous). Ce qu’il conçoit comme une esthétique n’est qu’un glacis saturé de vulgarité et de laideur, ce qu’il imagine comme le top de la subversion qu’un lamentable inventaire de provocations puériles. Et ce circuit fermé de surfaces sans fond, ce navrant océan de bêtise et de mauvais goût de souligner à chaque instant le gap vertigineux qui se creuse entre son inanité et l’arrogance qui le motive. Par ailleurs il eût mieux fallu, pour incarner un parangon de beauté, qu’un anchois aux yeux de merlan frit. 1/6 (en étant gentil)
Jésus de Montréal (Denys Arcand, 1989)
Scorsese avait montré que le Christ était aussi un homme. L’année suivante, Arcand répond qu’un homme peut aussi être un Christ. Laissant percer comme à regret sa tendresse avant de la noyer sous des flots de vitriol, il pourfend les fausses extases du moment et les hyperboles du langage, multiplie les distances, les trompe-l’œil, les renversements dramatiques, les glissements de centres d’intérêt, comme pour ne pas se laisser enfermer dans un registre susceptible d’émousser sa verve satirique et son sens de la dérision. Avec un ton pamphlétaire qui fait mouche, une ironie qui sait laisser la porte ouverte à l’émotion, il développe une critique acerbe et mordante du règne publicitaire, des médias, du snobisme, du talent gâché, d’une société résignée qui a renoncé à ses idéaux comme à toute valeur spirituelle. 5/6
Chambre 212 (Christophe Honoré, 2019)
S’il fallait définir la tonalité de ce chassé-croisé amoureux tendre et ludique, grave mais enjoué, on pourrait en parler comme d’une comédie caustique de Bertrand Blier revisitée par les dispositifs scéniques et les jeux de lumière colorée des derniers films de Resnais. Honoré y cultive sans ambages une fantaisie des plus charmeuses, ne cherche jamais à en esquiver la nature artificielle pour mieux fonder sur elle la matière vive d’un examen de conscience qui fuit tout naturalisme pour céder en permanence à la théâtralité du fantasme. Auscultant avec une allègre légèreté la pérennité du mariage, l’usure des sentiments, les tours parfois trompeurs du souvenir et les appétits renouvelés de la maturité, il cisèle ainsi un divertimento pétillant de malice et de fraîcheur, servi par un quatuor d’acteurs à son image. 5/6
Homicide (David Mamet, 1991)
Le cinéaste navigue ici en eaux troubles : celles de la paranoïa des ethnies, de cette peur du complot qui obsède et parfois panique les membres d’une minorité. Si l’ossature narrative et les motifs relèvent du polar (fusillades, couloirs de commissariat, seconds couteaux), l’enquête dérive vers un propos plus ambigu qui éreinte le mythe du melting pot : que signifient ces replis identitaires, ces conflits interraciaux, ces menaces pesant sur une société multiculturelle ? Comme son héros, Mamet ne se retrouve pas plus dans la crispation d’une communauté juive se renfermant sur elle-même que dans les déviations fascisantes de l’Amérique. Il fait ainsi la preuve que l’avenir est aux familles ouvertes, composites, choisies librement, et non à celles autoritaires que l’on intègre en sacrifiant une part de soi-même. 4/6
La compagnie des loups (Neil Jordan, 1984)
Il était une fois une jeune fille qui s’était aménagée une pièce close, secrète, pleine de peluches et de confidents imaginaires. Sa grande sœur s’appelait Alice, mais c’est elle qui pénétrait dans une forêt enchantée peuplée de loups, de voyageurs mystérieux et d’animaux mythiques, où les désirs prenaient une coloration plus vive et plus sensuelle. Empruntant au décor, à l’atmosphère, à l’univers des contes de fées, Jordan inverse la fonction répressive de leurs archétypes pour métaphoriser les fantasmes et la sexualité en éveil d’une adolescente. Tel un Petit Chaperon Rouge revu par Bruno Bettelheim, le film puise son irrésistible pouvoir d’attraction dans le charme ambigu des frissons de l’enfance, que cultivent un climat onirique et des décors baroques oscillant entre Gustave Doré et Jean Cocteau. 5/6
Le désert des tartares (Valerio Zurlini, 1976)
Adapter le roman de Buzzati relevait de la gageure. Comment rendre par l’image la respiration d’une œuvre récusant les schémas traditionnels du récit dramatique et l’abstraite sécheresse des traités symboliques et métaphysiques ? Comment faire ressentir l’asphyxie volontaire d’un homme vaincu par son mirage, frustré de la tangibilité de son désir et conscient de l’inanité de tout sursaut devant la sombre fatalité ? Zurlini a su trouver des réponses convaincantes. Le Fort Bastiano est un lieu hors du temps, un enclos prisonnier de ses rites et de ses servitudes absurdes, voué à ses légendes. Et en même temps que l’enlisement, l’illusion fait son nid dans les replis du désert caillouteux. Un film rigoureux, exigeant, qui puise dans l’attente, le creux et le vide un climat envoûtant de réalisme fantasmatique. 4/6
Sorry we missed you (Ken Loach, 2019)
Loach n’en finit pas de mesurer l’onde de choc du big bang libéral, d’inventorier les effets destructeurs des nouvelles formes de l’exploitation économique sur les corps, les esprits et la famille. Après l’érosion puis la dissolution de la solidarité ouvrière, l’atomisation de la vie sociale, la substitution des illusions consuméristes aux utopies collectives, il prend acte de la dernière étape du processus, l’ubérisation du travail, et en examine les principes, les rouages et les conséquences. Nulle volonté de préserver une issue qui adoucirait la violence de la spirale, mais un instinct inentamé pour transcrire le quotidien des personnages, une vérité du regard, du mot, du geste, une proximité émotionnelle après lesquelles tant d’autres courent laborieusement et qui, chez lui, coulent de source et serrent le cœur. 4/6
Hors normes (Éric Toledano & Olivier Nakache, 2019)
L’application de la formule toledanakachienne, désormais des plus identifiables, a ici pour mérite de gripper volontairement son propre logiciel d’optimisme fédérateur et de se ménager quelques entrées plutôt inattendues. Car si les lieux communs abondent, tissant un scénario cousu de fil blanc (le jeune des banlieues qui s’ouvre au contact du handicap) ou recourant à des conventions archicuites (l’apparition des "personnages réels" au générique final), il faut reconnaître à cet éloge de l’engagement, de la solidarité et de l’activisme humanitaire qu’il équilibre avec justesse humour et gravité, tendresse et lucidité, et qu’il ne cède ni à la facilité du gag trop payant ni à l’alibi parasitaire du sentimentalisme. Il y a gagne ainsi une efficacité dramaturgique accentuant la force de conviction de son propos. 4/6
Étienne, Simon, Bouly et les autres… Le concours de Jean-Loup Dabadie en atteste : cet énorme succès des années 70 emprunte à Sautet, sur un mode plus vaudevillesque, plus léger, sans doute plus consensuel. Mais il se met aussi à l’heure italienne pour conter l’histoire de quatre amis unis pour le meilleur et pour le pire, l’un comme l’autre étant les femmes qui passent, qui s’installent, qui restent ou qui les quittent et dont ils parlent en riant ou en pleurant. La qualité de l’écriture, polissant, resserrant et insérant chaque épisode dans un ensemble boulonné au plus près, et le brio des comédiens, à travers lesquels passe toute la fantaisie d’un propos aussi vif et pétillant que dénué de vulgarité, participent d’une alchimie qui, dans ses meilleurs moments, transforme en lumière les ingrédients de l’anecdote. 4/6
The neon demon (Nicolas Winding Refn, 2016)
Le néant absolu érigé en système, le stade terminal d’un maniérisme consacrant la dévoration de l’image publicitaire par elle-même. Persuadé de son génie, Refn inflige une litanie de plans boursouflés et clinquants qui ne transmet rien d’autre que l’ivresse de sa propre maîtrise (pour lui) et l’ennui le plus mortel (pour nous). Ce qu’il conçoit comme une esthétique n’est qu’un glacis saturé de vulgarité et de laideur, ce qu’il imagine comme le top de la subversion qu’un lamentable inventaire de provocations puériles. Et ce circuit fermé de surfaces sans fond, ce navrant océan de bêtise et de mauvais goût de souligner à chaque instant le gap vertigineux qui se creuse entre son inanité et l’arrogance qui le motive. Par ailleurs il eût mieux fallu, pour incarner un parangon de beauté, qu’un anchois aux yeux de merlan frit. 1/6 (en étant gentil)
Jésus de Montréal (Denys Arcand, 1989)
Scorsese avait montré que le Christ était aussi un homme. L’année suivante, Arcand répond qu’un homme peut aussi être un Christ. Laissant percer comme à regret sa tendresse avant de la noyer sous des flots de vitriol, il pourfend les fausses extases du moment et les hyperboles du langage, multiplie les distances, les trompe-l’œil, les renversements dramatiques, les glissements de centres d’intérêt, comme pour ne pas se laisser enfermer dans un registre susceptible d’émousser sa verve satirique et son sens de la dérision. Avec un ton pamphlétaire qui fait mouche, une ironie qui sait laisser la porte ouverte à l’émotion, il développe une critique acerbe et mordante du règne publicitaire, des médias, du snobisme, du talent gâché, d’une société résignée qui a renoncé à ses idéaux comme à toute valeur spirituelle. 5/6
Chambre 212 (Christophe Honoré, 2019)
S’il fallait définir la tonalité de ce chassé-croisé amoureux tendre et ludique, grave mais enjoué, on pourrait en parler comme d’une comédie caustique de Bertrand Blier revisitée par les dispositifs scéniques et les jeux de lumière colorée des derniers films de Resnais. Honoré y cultive sans ambages une fantaisie des plus charmeuses, ne cherche jamais à en esquiver la nature artificielle pour mieux fonder sur elle la matière vive d’un examen de conscience qui fuit tout naturalisme pour céder en permanence à la théâtralité du fantasme. Auscultant avec une allègre légèreté la pérennité du mariage, l’usure des sentiments, les tours parfois trompeurs du souvenir et les appétits renouvelés de la maturité, il cisèle ainsi un divertimento pétillant de malice et de fraîcheur, servi par un quatuor d’acteurs à son image. 5/6
Homicide (David Mamet, 1991)
Le cinéaste navigue ici en eaux troubles : celles de la paranoïa des ethnies, de cette peur du complot qui obsède et parfois panique les membres d’une minorité. Si l’ossature narrative et les motifs relèvent du polar (fusillades, couloirs de commissariat, seconds couteaux), l’enquête dérive vers un propos plus ambigu qui éreinte le mythe du melting pot : que signifient ces replis identitaires, ces conflits interraciaux, ces menaces pesant sur une société multiculturelle ? Comme son héros, Mamet ne se retrouve pas plus dans la crispation d’une communauté juive se renfermant sur elle-même que dans les déviations fascisantes de l’Amérique. Il fait ainsi la preuve que l’avenir est aux familles ouvertes, composites, choisies librement, et non à celles autoritaires que l’on intègre en sacrifiant une part de soi-même. 4/6
La compagnie des loups (Neil Jordan, 1984)
Il était une fois une jeune fille qui s’était aménagée une pièce close, secrète, pleine de peluches et de confidents imaginaires. Sa grande sœur s’appelait Alice, mais c’est elle qui pénétrait dans une forêt enchantée peuplée de loups, de voyageurs mystérieux et d’animaux mythiques, où les désirs prenaient une coloration plus vive et plus sensuelle. Empruntant au décor, à l’atmosphère, à l’univers des contes de fées, Jordan inverse la fonction répressive de leurs archétypes pour métaphoriser les fantasmes et la sexualité en éveil d’une adolescente. Tel un Petit Chaperon Rouge revu par Bruno Bettelheim, le film puise son irrésistible pouvoir d’attraction dans le charme ambigu des frissons de l’enfance, que cultivent un climat onirique et des décors baroques oscillant entre Gustave Doré et Jean Cocteau. 5/6
Le désert des tartares (Valerio Zurlini, 1976)
Adapter le roman de Buzzati relevait de la gageure. Comment rendre par l’image la respiration d’une œuvre récusant les schémas traditionnels du récit dramatique et l’abstraite sécheresse des traités symboliques et métaphysiques ? Comment faire ressentir l’asphyxie volontaire d’un homme vaincu par son mirage, frustré de la tangibilité de son désir et conscient de l’inanité de tout sursaut devant la sombre fatalité ? Zurlini a su trouver des réponses convaincantes. Le Fort Bastiano est un lieu hors du temps, un enclos prisonnier de ses rites et de ses servitudes absurdes, voué à ses légendes. Et en même temps que l’enlisement, l’illusion fait son nid dans les replis du désert caillouteux. Un film rigoureux, exigeant, qui puise dans l’attente, le creux et le vide un climat envoûtant de réalisme fantasmatique. 4/6
Sorry we missed you (Ken Loach, 2019)
Loach n’en finit pas de mesurer l’onde de choc du big bang libéral, d’inventorier les effets destructeurs des nouvelles formes de l’exploitation économique sur les corps, les esprits et la famille. Après l’érosion puis la dissolution de la solidarité ouvrière, l’atomisation de la vie sociale, la substitution des illusions consuméristes aux utopies collectives, il prend acte de la dernière étape du processus, l’ubérisation du travail, et en examine les principes, les rouages et les conséquences. Nulle volonté de préserver une issue qui adoucirait la violence de la spirale, mais un instinct inentamé pour transcrire le quotidien des personnages, une vérité du regard, du mot, du geste, une proximité émotionnelle après lesquelles tant d’autres courent laborieusement et qui, chez lui, coulent de source et serrent le cœur. 4/6
Hors normes (Éric Toledano & Olivier Nakache, 2019)
L’application de la formule toledanakachienne, désormais des plus identifiables, a ici pour mérite de gripper volontairement son propre logiciel d’optimisme fédérateur et de se ménager quelques entrées plutôt inattendues. Car si les lieux communs abondent, tissant un scénario cousu de fil blanc (le jeune des banlieues qui s’ouvre au contact du handicap) ou recourant à des conventions archicuites (l’apparition des "personnages réels" au générique final), il faut reconnaître à cet éloge de l’engagement, de la solidarité et de l’activisme humanitaire qu’il équilibre avec justesse humour et gravité, tendresse et lucidité, et qu’il ne cède ni à la facilité du gag trop payant ni à l’alibi parasitaire du sentimentalisme. Il y a gagne ainsi une efficacité dramaturgique accentuant la force de conviction de son propos. 4/6
Et aussi :
Alice et le maire (Nicolas Pariser, 2019) - 4/6
Ne croyez surtout pas que je hurle (Frank Beauvais, 2019) - 4/6
Bacurau (Kleber Mendonça Filho & Juliano Dornelles, 2019) - 5/6
Joker (Todd Phillips, 2019) - 5/6
Les aventuriers (Robert Enrico, 1967) - 4/6
Samson et Dalila (Cecil B. DeMille, 1949) - 3/6
Zoolander (Ben Stiller, 2001) - 4/6
Martin Eden (Pietro Marcello, 2019) - 4/6
Trust me (Hal Hartley, 1990) - 4/6
Padre padrone (Paolo & Vittorio Taviani, 1977) - 3/6
Films des mois précédents :
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Dernière modification par Thaddeus le 31 oct. 19, 23:30, modifié 7 fois.
- Demi-Lune
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
FILM DU MOIS D'OCTOBRE 2019

FILMS DÉCOUVERTS OU REDÉCOUVERTS

FILMS DÉCOUVERTS OU REDÉCOUVERTS
- BLOW-UP (Michelangelo Antonioni, 1966) — 8/10
DÉSIRS HUMAINS (Fritz Lang, 1954) — 6/10
UN JOUR DE PLUIE À NEW YORK (Woody Allen, 2019) — 4/10
QUAI D'ORSAY (Bertrand Tavernier, 2013) — 3,5/10
SOLARIS (Steven Soderbergh, 2002) — 3/10
EN CAS DE MALHEUR (Claude Autan-Lara, 1958) — 2,5/10
MISS SLOANE (John Madden, 2016) — 2/10
COMME UN AVION (Bruno Podalydès, 2015) — 2/10
- SCARFACE (Brian De Palma, 1983) — 9/10
LES MOISSONS DU CIEL (Terrence Malick, 1978) — 9/10
SOLARIS (Andreï Tarkovski, 1972) — 8,5/10
AU SERVICE SECRET DE SA MAJESTÉ (Peter Hunt, 1969) — 7/10
MAX ET LES FERRAILLEURS (Claude Sautet, 1971) — 6,5/10
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Dernière modification par Demi-Lune le 1 nov. 19, 11:53, modifié 11 fois.
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
Octobre 2019
Film du mois
Guerre et Amour de Woody Allen
Films découverts
Guerre et Amour de Woody Allen 8/10
Le Cheval de Turin de Béla Tarr 7/10
Bangkok Nites de Tomita Katsuya 7/10
Stardust Memories de Woody Allen 6.5/10
News from Home de Chantal Akerman 6/10
The Forest of Love de Sono Sion 6/10
Secret Défense de Jacques Rivette 6/10
Radio Days de Woody Allen 6/10
Amazing Grace de Sydney Pollack et Alan Elliott 6/10
Joker de Tod Phillips 6/10
Retour à Zombieland de Ruben Fleischer 4/10
Va Savoir de Jacques Rivette 4/10
Je veux manger ton pancréas de Ushijima Shinichiro 4/10
Le Pont du Nord de Jacques Rivette 4/10
L'Amour par terre de Jacques Rivette 4/10
Hotel Woodstock de Ang Lee 4/10
Hurlevent de Jacques Rivette 3.5/10
D'Est de Chantal Akerman 7/10
Les Rendez-vous d'Anna de Chantal Akerman 3/10
Noroît de Jacques Rivette 3/10
Little Monsters de Abe Forsythe 3/10
L'Odyssée de Pi de Ang Lee 3/10
Gemini Man de Ang Lee 3/10
Séries TV
Portrait d'une jeune fille de la fin des années 60 à Bruxelles (téléfilm) de Chantal Akerman 6/10
Films revus (Hors compétition)
Crimes et délits de Woody Allen 8/10
Film du mois
Guerre et Amour de Woody Allen
Films découverts
Guerre et Amour de Woody Allen 8/10
Le Cheval de Turin de Béla Tarr 7/10
Bangkok Nites de Tomita Katsuya 7/10
Stardust Memories de Woody Allen 6.5/10
News from Home de Chantal Akerman 6/10
The Forest of Love de Sono Sion 6/10
Secret Défense de Jacques Rivette 6/10
Radio Days de Woody Allen 6/10
Amazing Grace de Sydney Pollack et Alan Elliott 6/10
Joker de Tod Phillips 6/10
Retour à Zombieland de Ruben Fleischer 4/10
Va Savoir de Jacques Rivette 4/10
Je veux manger ton pancréas de Ushijima Shinichiro 4/10
Le Pont du Nord de Jacques Rivette 4/10
L'Amour par terre de Jacques Rivette 4/10
Hotel Woodstock de Ang Lee 4/10
Hurlevent de Jacques Rivette 3.5/10
D'Est de Chantal Akerman 7/10
Les Rendez-vous d'Anna de Chantal Akerman 3/10
Noroît de Jacques Rivette 3/10
Little Monsters de Abe Forsythe 3/10
L'Odyssée de Pi de Ang Lee 3/10
Gemini Man de Ang Lee 3/10
Séries TV
Portrait d'une jeune fille de la fin des années 60 à Bruxelles (téléfilm) de Chantal Akerman 6/10
Films revus (Hors compétition)
Crimes et délits de Woody Allen 8/10
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
OCTOBRE 2019
FILMS DU MOIS

Films découverts:
FILMS DU MOIS


Films découverts:
- _ Roma (Federico Fellini - 1972)
_ The House that Jack Built (Lars Von Trier - 2018)
_ Au hasard Balthazar (Robert Bresson - 1966)
_ Detour (Edgar G. Ulmer - 1945)
_ The Ballad of Gregorio Cortez (Robert M. Young - 1982)
_ La tempête qui tue (Frank Borzage - 1940)
_ Désirs humains (Fritz Lang - 1954)
_ Phase IV (Saul Bass - 1974)
_ Les misérables (Ladj Ly - 2019)
_ Fred (Pierre Jolivet - 1997)
_ High Flying Bird (Steven Soderbergh - 2019)
_ Bacurau (Kleber Mendonça Filho & Juliano Dornelles - 2019)
_ Holy Motors (Leos Carax - 2012)
_ Le mur invisible (Elia Kazan - 1947)
_ Les vampires (Riccardo Freda & Mario Bava - 1957)
_ Un jour de pluie à New York (Woody Allen - 2019)
- _ Videodrome (David Cronenberg - 1982)
_ Le masque du démon (Mario Bava - 1960)
_ Little Buddha (Bernardo Bertolucci - 1993)
_ Stargate - La porte des étoiles (Roland Emmerich - 1994)
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
Octobre 2019
Films découverts
Jungle (Greg McLean) : 5/10
L'amant d'un jour (Philippe Garrel) : 5.5/10
Popcorn (Mark Herrier) : 6.5/10
In the Tall Grass (Vincenzo Natali) : 6/10
Alice et le Maire (Nicolas Pariser) : 5/5/10
Simon Killer (Antonio Campos) : 7/10
Piercing (Nicolas Pesce) : 5/10
Next of Kin (Tony Williams) : 8/10
La mort a pondu un œuf (Giulio Questi) : 6/10
Prom Night (Paul Lynch) : 6/10
Joker (Todd Phillips) : 7/10
Hal (Amy Scott) : 7.5/10
Puppet Master : The Littlest Reich (Sonny Laguna & Tommy Wiklund) : 3/10
Dave Made a Maze (Bill Watterson) : 6.5/10
Fractured (Brad Anderson) : 5.5/10
The Taking of Deborah Logan (Adam Robitel) : 4/10
Halloween III : Season of the Witch (Tommy Lee Wallace) : 5.5/10
Halloween IV : The Return of Michael Myers (Dwight H. Little) : 4/10
Halloween V : The Revenge of Michael Myers (Dominique Othenin-Girard) : 5/10
Halloween VI : The Curse of Michael Myers (Joe Chappelle) : 3/10
Wounds (Babak Anvari) : 5.5/10
The Little Stranger (Lenny Abrahamson) : 4.5/10
Eli (Ciarán Foy) : 6.5/10
The Mummy (Alex Kurtzman) : 3/10
Terminator : Dark Fate (Tim Miller) : 3/10
Sorry We Missed You (Ken Loach) : 7/10
Lords of Chaos (Jonas Åkerlund) : 6.5/10
Golden Glove (Fatih Akin) : 7/10
Les Misérables (Ladj Ly) : 7/10
Films revus
Shampoo (Hal Ashby) : 6.5/10 (=)
Bound for Glory (Hal Ashby) : 8/10 (=)
Séries découvertes
The Boys (Eric Kripke, Evan Goldberg & Seth Rogen) : 7/10
Living with Yourself (Timothy Greenberg) : 6/10
Séries revues
Curb Your Enthusiasm - saison 5 (Larry David) : 8/10 (=)
Curb Your Enthusiasm - saison 6 (Larry David) : 8/10 (=)
Mes films du mois de Janvier 2005 à Septembre 2019
Films découverts
Jungle (Greg McLean) : 5/10
L'amant d'un jour (Philippe Garrel) : 5.5/10
Popcorn (Mark Herrier) : 6.5/10
In the Tall Grass (Vincenzo Natali) : 6/10
Alice et le Maire (Nicolas Pariser) : 5/5/10
Simon Killer (Antonio Campos) : 7/10
Piercing (Nicolas Pesce) : 5/10
Next of Kin (Tony Williams) : 8/10
La mort a pondu un œuf (Giulio Questi) : 6/10
Prom Night (Paul Lynch) : 6/10
Joker (Todd Phillips) : 7/10
Hal (Amy Scott) : 7.5/10
Puppet Master : The Littlest Reich (Sonny Laguna & Tommy Wiklund) : 3/10
Dave Made a Maze (Bill Watterson) : 6.5/10
Fractured (Brad Anderson) : 5.5/10
The Taking of Deborah Logan (Adam Robitel) : 4/10
Halloween III : Season of the Witch (Tommy Lee Wallace) : 5.5/10
Halloween IV : The Return of Michael Myers (Dwight H. Little) : 4/10
Halloween V : The Revenge of Michael Myers (Dominique Othenin-Girard) : 5/10
Halloween VI : The Curse of Michael Myers (Joe Chappelle) : 3/10
Wounds (Babak Anvari) : 5.5/10
The Little Stranger (Lenny Abrahamson) : 4.5/10
Eli (Ciarán Foy) : 6.5/10
The Mummy (Alex Kurtzman) : 3/10
Terminator : Dark Fate (Tim Miller) : 3/10
Sorry We Missed You (Ken Loach) : 7/10
Lords of Chaos (Jonas Åkerlund) : 6.5/10
Golden Glove (Fatih Akin) : 7/10
Les Misérables (Ladj Ly) : 7/10
Films revus
Shampoo (Hal Ashby) : 6.5/10 (=)
Bound for Glory (Hal Ashby) : 8/10 (=)
Séries découvertes
The Boys (Eric Kripke, Evan Goldberg & Seth Rogen) : 7/10
Living with Yourself (Timothy Greenberg) : 6/10
Séries revues
Curb Your Enthusiasm - saison 5 (Larry David) : 8/10 (=)
Curb Your Enthusiasm - saison 6 (Larry David) : 8/10 (=)
Mes films du mois de Janvier 2005 à Septembre 2019
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
DECOUVERTES
SPETTERS, Paul Verhoeven -8/10 ♥︎
JOKER,Todd Philipps - 7/10 ♥︎
WOUNDS, Babak Anvari - 5,5/10
THE ART OF SELF-DEFENSE, Riley Stearns - 5/10
MY NAME IS DOLEMITE, Graig Brewer - 4,5/10
KIKI, LA PETITE SORCIÈRE, Hayao Miyazaki - 4/10
BACURAU, Kleber Mendonça Filho, Juliano Dornelles - 2/10
REDÉCOUVERTES
HEAT , Michael Mann - 9/10 ♥︎
UNDER THE SKIN, Jonathan Glazer 9/10 ♥︎
VERTIGO, Alfred Hitchcock 9/10 ♥︎
BASIC INSTINCT, Paul Verhoeven - 7,5/10 ♥︎
IN THE MOUTH OF MADNESS, John Carpenter - 7/10 ♥︎
TAXI DRIVER, Martin Scorsese - 6,5/10
THE CHANGELING, Peter Medak - 4,5/10
SÉRIE
RECAP FILMS DU MOIS
SPETTERS, Paul Verhoeven -8/10 ♥︎
JOKER,Todd Philipps - 7/10 ♥︎
WOUNDS, Babak Anvari - 5,5/10
THE ART OF SELF-DEFENSE, Riley Stearns - 5/10
MY NAME IS DOLEMITE, Graig Brewer - 4,5/10
KIKI, LA PETITE SORCIÈRE, Hayao Miyazaki - 4/10
BACURAU, Kleber Mendonça Filho, Juliano Dornelles - 2/10
REDÉCOUVERTES
HEAT , Michael Mann - 9/10 ♥︎
UNDER THE SKIN, Jonathan Glazer 9/10 ♥︎
VERTIGO, Alfred Hitchcock 9/10 ♥︎
BASIC INSTINCT, Paul Verhoeven - 7,5/10 ♥︎
IN THE MOUTH OF MADNESS, John Carpenter - 7/10 ♥︎
TAXI DRIVER, Martin Scorsese - 6,5/10
THE CHANGELING, Peter Medak - 4,5/10
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
OCTOBRE 2019

FILMS DÉCOUVERTS
U-571 (Jonathan Mostow - 2000)
Spider-Man: New Generation (Spider-Man: Into the Spider-Verse, Ramsey / Persichetti / Rothman - 2018)
Avengers : L'Ère d'Ultron (Avengers: Age of Ultron, Joss Whedon - 2015)
Apartment Zero (Martin Donovan - 1988)
The Green Inferno (2013) Eli Roth
Vampirella (Jim Wynorski - 1996)
Lust, Caution (色、戒, Ang Lee - 2007)
Schlock (John Landis - 1973)
Hamburger film sandwich (The Kentucky Fried Movie, John Landis - 1977)
La classe ouvrière va au paradis (La classe operaia va in paradiso, Elio Petri - 1971)
Bleeder (Nicolas Winding Refn - 1999)
Panic sur Florida Beach (Matinee, Joe Dante - 1993)
Don Jon (Joseph Gordon-Levitt - 2013)
FILMS REVUS
Under the Silver Lake (David Robert Mitchell - 2018)
Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
X-Men: Apocalypse (Bryan Singer - 2016)
Inglourious Basterds (Quentin Tarantino - 2009)
SÉRIES DÉCOUVERTES
... (...)
SÉRIES REVUES
...
* * *
BARÊME
La passion du Christ
L'évènement le plus important depuis que l'homme a marché sur la lune
La mélodie du bonheur
Mariage royal
La peau douce
La ligne rouge
Un moment d'égarement
On connaît la chanson
Le grand sommeil
La soif du mal
Plus fort que le Diable

FILMS DÉCOUVERTS
U-571 (Jonathan Mostow - 2000)

Spider-Man: New Generation (Spider-Man: Into the Spider-Verse, Ramsey / Persichetti / Rothman - 2018)

Avengers : L'Ère d'Ultron (Avengers: Age of Ultron, Joss Whedon - 2015)

Apartment Zero (Martin Donovan - 1988)

The Green Inferno (2013) Eli Roth

Vampirella (Jim Wynorski - 1996)

Lust, Caution (色、戒, Ang Lee - 2007)

Schlock (John Landis - 1973)

Hamburger film sandwich (The Kentucky Fried Movie, John Landis - 1977)

La classe ouvrière va au paradis (La classe operaia va in paradiso, Elio Petri - 1971)

Bleeder (Nicolas Winding Refn - 1999)

Panic sur Florida Beach (Matinee, Joe Dante - 1993)

Don Jon (Joseph Gordon-Levitt - 2013)

FILMS REVUS
Under the Silver Lake (David Robert Mitchell - 2018)

Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)

X-Men: Apocalypse (Bryan Singer - 2016)

Inglourious Basterds (Quentin Tarantino - 2009)

SÉRIES DÉCOUVERTES
... (...)
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...
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- Alexandre Angel
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019

L'Amant d'un jour (Philippe Garrel, 2017) xxx
Joker (Todd Phillips, 2019) xx+ S
Centurion (Neil Marshall, 2010) xx-
REVISIONS
Miracle en Alabama / The Miracle Worker (Arthur Penn, 1962) xxx+
Batman (Tim Burton, 1989) x+
Midnight in Paris (Woody Allen, 2011) xxx
The Outsiders (Francis Ford Coppola, 1983) xxx+
Boire et deboires / Blind Date (Blake Edwards, 1987) x+
Apocalypse Now Redux (Francis Ford Coppola, 1979-2001) xxxx
Dead Man (Jim Jarmusch, 1995) xxxx+S
La Rivière de nos amours / The Indian Fighter (André De Toth, 1955) xxx
La Chevauchée des Bannis / Day of the Outlaw (André De Toth, 1959) xxxx
Jaws 2 (Jeannot Szwarc, 1978) x-
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Dernière modification par Alexandre Angel le 1 nov. 19, 23:33, modifié 18 fois.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
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Dernière modification par 7swans le 23 déc. 24, 13:39, modifié 17 fois.
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
Octobre 2019
Découvertes
Dans les hautes herbes (Vincenzo Natali) : 5/10
L'Homme sans frontière (Peter Fonda) : 7,5/10
Le Privé (Robert Altman) : 8,5/10
Trois femmes (Robert Altman) : 8/10
The Florida Project (Sean Baker) : 6,5/10
Bacurau (Kleber Mendonça Filho & Juliano Dornelles) : 5/10
Joker (Todd Phillips) : 7,5/10
Sherlock Junior (Buster Keaton) : 8/10
Le Mécano de la Générale (Clyde Bruckman & Buster Keaton) : 8,5/10
Cadet d'eau douce (Charles Reisner & Buster Keaton) : 7/10
Les Vampires (Riccardo Freda) : 6/10
Profession : reporter (Michelangelo Antonioni) : 8/10
Incidents de parcours (George A. Romero) : 6/10
Breakdown (Jonathan Mostow) : 7/10
Adoration (Fabrice Du Welz) : 7,5/10
Wounds (Babak Anvari) : 6/10
Comme un chien enragé (James Foley) : 7/10
Revisionnages
Christine (John Carpenter) : 8/10
Quai d'Orsay (Bertrand Tavernier) : 6,5/10
Two Lovers (James Gray) : 9/10
La Nuit des morts-vivants (George A. Romero) : 8,5/10
Broken Flowers (Jim Jarmusch) : 7/10
Séries
P'tit Quinquin (Bruno Dumont) : 6,5/10
Découvertes
Dans les hautes herbes (Vincenzo Natali) : 5/10
L'Homme sans frontière (Peter Fonda) : 7,5/10
Le Privé (Robert Altman) : 8,5/10
Trois femmes (Robert Altman) : 8/10
The Florida Project (Sean Baker) : 6,5/10
Bacurau (Kleber Mendonça Filho & Juliano Dornelles) : 5/10
Joker (Todd Phillips) : 7,5/10
Sherlock Junior (Buster Keaton) : 8/10
Le Mécano de la Générale (Clyde Bruckman & Buster Keaton) : 8,5/10
Cadet d'eau douce (Charles Reisner & Buster Keaton) : 7/10
Les Vampires (Riccardo Freda) : 6/10
Profession : reporter (Michelangelo Antonioni) : 8/10
Incidents de parcours (George A. Romero) : 6/10
Breakdown (Jonathan Mostow) : 7/10
Adoration (Fabrice Du Welz) : 7,5/10
Wounds (Babak Anvari) : 6/10
Comme un chien enragé (James Foley) : 7/10
Revisionnages
Christine (John Carpenter) : 8/10
Quai d'Orsay (Bertrand Tavernier) : 6,5/10
Two Lovers (James Gray) : 9/10
La Nuit des morts-vivants (George A. Romero) : 8,5/10
Broken Flowers (Jim Jarmusch) : 7/10
Séries
P'tit Quinquin (Bruno Dumont) : 6,5/10
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
Octobre 2019
(10 films vus, revus et redécouverts)

ALIEN (Ridley Scott, 1979) 10
LA BALLADE DU SOLDAT (Grigori Tchoukhraï, 1959) 8,5
KIDNAPPING (Joseph M. Newman, 1949) 7,5
LA ROSE POURPRE DU CAIRE (Woody Allen, 1985) 7,5
LA PLANETE SAUVAGE (René Laloux, 1973) 7
LE SOUPER (Edouard Molinaro, 1992) 7
OUVERT CONTRE X (Richard Pottier, 1952) 6,5
CARMEN JONES (Otto Preminger, 1954) 6
LE GRAND BAIN (Gilles Lellouche, 2018) 6
THE DARK PAST (Rudolph Maté, 1948) 5
Mes films du mois
(10 films vus, revus et redécouverts)

ALIEN (Ridley Scott, 1979) 10
LA BALLADE DU SOLDAT (Grigori Tchoukhraï, 1959) 8,5
KIDNAPPING (Joseph M. Newman, 1949) 7,5
LA ROSE POURPRE DU CAIRE (Woody Allen, 1985) 7,5
LA PLANETE SAUVAGE (René Laloux, 1973) 7
LE SOUPER (Edouard Molinaro, 1992) 7
OUVERT CONTRE X (Richard Pottier, 1952) 6,5
CARMEN JONES (Otto Preminger, 1954) 6
LE GRAND BAIN (Gilles Lellouche, 2018) 6
THE DARK PAST (Rudolph Maté, 1948) 5
Mes films du mois
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
OCTOBRE 2019
Film du mois :

COLORADO, de Sergio Sollima (1966)
Films découverts :
COLORADO (La resa dei conti, Sergio Sollima - 1966) - 8/10
LAWRENCE D'ARABIE (Lawrence of Arabia, David Lean - 1962) - 8/10
DJANGO (Sergio Corbucci - 1966) - 8/10
KEOMA (Enzo G. Castellari - 1976) - 8/10
TROIS JOURS ET UNE VIE (Nicolas Boukhrief - 2019) - 8/10 **
NE COUPEZ PAS! (Kamera o tomeru na!, Shin'ichirô Ueda - 2017) - 8/10
EL MERCENARIO (Il mercenario, Sergio Corbucci - 1968) - 8/10
LE CONVOYEUR (Nicolas Boukhrief - 2004) - 8/10
LIEN D'AMOUR ET DE SANG (Beatrice Cenci, Lucio Fulci - 1969) - 8/10
LA CLASSE OUVRIÈRE VA AU PARADIS (La classe operaia va in paradiso, Elio Petri - 1971) - 7/10 **
DIVORCE À L'ITALIENNE (Divorzio all'italiana, Pietro Germi - 1961) - 7/10
LE DERNIER FACE À FACE (Faccia a Faccia, Sergio Sollima - 1967) - 7/10
LES TUEURS DE L'OUEST (El precio de un hombre: The Bounty Killer, Eugenio Martín - 1966) - 7/10
LA CHAMBRE DES TORTURES (Pit and the Pendulum, Roger Corman - 1961) - 7/10
LE VIEIL HOMME ET L'ENFANT (Claude Berri - 1967) - 7/10
CAPITAINE CONAN (Bertrand Tavernier - 1996) - 7/10
LES TUEURS (The Killers, Robert Siodmak - 1946) - 7/10
DEATHGASM (Jason Lei Howden - 2015) - 7/10
THE DESCENT (Neil Marshall - 2005) - 7/10
FAIR GAME (Mario Andreacchio - 1986) - 7/10
LE PONT DU NORD (Jacques Rivette - 1981) - 7/10
UNE CORDE UN COLT... (Robert Hossein - 1969) - 7/10
CÉRÉMONIE SANGLANTE (Ceremonia sangrienta, Jorge Grau - 1973) - 6/10
LONG WEEKEND (Colin Eggleston - 1978) - 6/10 **
HAPPY GILMORE (Dennis Degan - 1996) - 6/10
SEXE, MENSONGE ET VIDÉO (Sex, Lies, and Videotape, Steven Soderbergh - 1989) - 5/10
THE LAST MOVIE (Dennis Hopper - 1971) - 5/10
ROUBAIX, UNE LUMIÈRE (Arnaud Desplechin - 2019) - 5/10 **
JOKER (Todd Phillips - 2019) - 5/10 **
LES GRIFFES DE LA NUIT (Nightmare On Elm Street, Samuel Bayer - 2010) - 4/10
KICKBOXER (Mark DiSalle, David Worth - 1989) - 4/10
Films revus :
TWO LOVERS (James Gray - 2008) - 10/10 **
LE LOUP GAROU DE LONDRES (An American Werewolf in London, John Landis - 1981) - 9/10
NEXT OF KIN (Tony Williams - 1982 - 9/10
THE LOST CITY OF Z (James Gray - 2016) - 8/10
L’ANNÉE DU DRAGON (Year of the Dragon, Michael Cimino - 1985) - 8/10
VAMPIRES EN TOUTE INTIMITÉ (What We Do in the Shadows, Jemaine Clement & Taika Waititi - 2014) - 8/10
APOCALYPSE NOW [FINAL CUT] (Francis Ford Coppola - 1985) - 8/10 **
HARRY POTTER ET LA COUPE DE FEU (Harry Potter and the Goblet of Fire, Mike Newell - 2005) - 6/10
LES NOUVEAUX SAUVAGES (Relatos salvajes, Damián Szifron - 2014) - 5/10
** : Vu au cinéma
En bref (probable spoiler) :
Film du mois :

COLORADO, de Sergio Sollima (1966)
Films découverts :
COLORADO (La resa dei conti, Sergio Sollima - 1966) - 8/10
LAWRENCE D'ARABIE (Lawrence of Arabia, David Lean - 1962) - 8/10
DJANGO (Sergio Corbucci - 1966) - 8/10
KEOMA (Enzo G. Castellari - 1976) - 8/10
TROIS JOURS ET UNE VIE (Nicolas Boukhrief - 2019) - 8/10 **
NE COUPEZ PAS! (Kamera o tomeru na!, Shin'ichirô Ueda - 2017) - 8/10
EL MERCENARIO (Il mercenario, Sergio Corbucci - 1968) - 8/10
LE CONVOYEUR (Nicolas Boukhrief - 2004) - 8/10
LIEN D'AMOUR ET DE SANG (Beatrice Cenci, Lucio Fulci - 1969) - 8/10
LA CLASSE OUVRIÈRE VA AU PARADIS (La classe operaia va in paradiso, Elio Petri - 1971) - 7/10 **
DIVORCE À L'ITALIENNE (Divorzio all'italiana, Pietro Germi - 1961) - 7/10
LE DERNIER FACE À FACE (Faccia a Faccia, Sergio Sollima - 1967) - 7/10
LES TUEURS DE L'OUEST (El precio de un hombre: The Bounty Killer, Eugenio Martín - 1966) - 7/10
LA CHAMBRE DES TORTURES (Pit and the Pendulum, Roger Corman - 1961) - 7/10
LE VIEIL HOMME ET L'ENFANT (Claude Berri - 1967) - 7/10
CAPITAINE CONAN (Bertrand Tavernier - 1996) - 7/10
LES TUEURS (The Killers, Robert Siodmak - 1946) - 7/10
DEATHGASM (Jason Lei Howden - 2015) - 7/10
THE DESCENT (Neil Marshall - 2005) - 7/10
FAIR GAME (Mario Andreacchio - 1986) - 7/10
LE PONT DU NORD (Jacques Rivette - 1981) - 7/10
UNE CORDE UN COLT... (Robert Hossein - 1969) - 7/10
CÉRÉMONIE SANGLANTE (Ceremonia sangrienta, Jorge Grau - 1973) - 6/10
LONG WEEKEND (Colin Eggleston - 1978) - 6/10 **
HAPPY GILMORE (Dennis Degan - 1996) - 6/10
SEXE, MENSONGE ET VIDÉO (Sex, Lies, and Videotape, Steven Soderbergh - 1989) - 5/10
THE LAST MOVIE (Dennis Hopper - 1971) - 5/10
ROUBAIX, UNE LUMIÈRE (Arnaud Desplechin - 2019) - 5/10 **
JOKER (Todd Phillips - 2019) - 5/10 **
LES GRIFFES DE LA NUIT (Nightmare On Elm Street, Samuel Bayer - 2010) - 4/10
KICKBOXER (Mark DiSalle, David Worth - 1989) - 4/10
Films revus :
TWO LOVERS (James Gray - 2008) - 10/10 **
LE LOUP GAROU DE LONDRES (An American Werewolf in London, John Landis - 1981) - 9/10
NEXT OF KIN (Tony Williams - 1982 - 9/10
THE LOST CITY OF Z (James Gray - 2016) - 8/10
L’ANNÉE DU DRAGON (Year of the Dragon, Michael Cimino - 1985) - 8/10
VAMPIRES EN TOUTE INTIMITÉ (What We Do in the Shadows, Jemaine Clement & Taika Waititi - 2014) - 8/10
APOCALYPSE NOW [FINAL CUT] (Francis Ford Coppola - 1985) - 8/10 **
HARRY POTTER ET LA COUPE DE FEU (Harry Potter and the Goblet of Fire, Mike Newell - 2005) - 6/10
LES NOUVEAUX SAUVAGES (Relatos salvajes, Damián Szifron - 2014) - 5/10
** : Vu au cinéma
En bref (probable spoiler) :
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Re: Votre film du mois d'Octobre 2019
Octobre 2019
Film du mois
Joker (Todd Phillips)
Films découverts (Re)
Papicha (Mounia Meddour) 8/10
Sorry we missed you (Ken Loach) 8/10
Hors normes (Eric Toledano & Olivier Nakache) 7,5/10
L'équipage (Anatole Litvak) 7,5/10
Mon chien stupide (Yvan Attal) 7,5/10
Gemini Man (Ang Lee) 7/10
Shaun le Mouton Le Film : La Ferme Contre-Attaque (Will Becher, Richard Phelan) 7/10
Matthias & Maxime (Xavier Dolan) 7/10
Queens (Lorene Scafaria) 6,5/10
La Fameuse invasion des ours en Sicile (Lorenzo Mattotti) 6,5/10
Donne-moi des ailes (Nicolas Vanier) 6,5/10
Alice et le maire ( Nicolas Pariser) 6/10
Fahim (Pierre-François Martin-Laval) 6/10
Chambre 212 (Christophe Honoré) 5,5/10
Maléfique : Le Pouvoir du Mal (Joachim Rønning) 5,5/10
Un monde plus grand (Fabienne Berthaud) 5/10
J'irai où tu iras (Géraldine Nakache) 4,5/10
Abominable (Jill Culton, Todd Wilderman) 4,5/10
Films revus (Hors compétition)
No game No life : Zero (Ishizuka Atsuko) 8/10
Aladdin (Guy Ritchie) 6,5/10
Séries (Hors compétition) (Revues)
Arifureta Shokugyō de Sekai Saikyō (Yoshimoto Kinji) 5/10
Notation
10/10 : Je suis en extase
9,5/10 : Je suis aux anges
9/10 : Je jubile
8,5/10 : J'adore
8/10 : J'aime beaucoup
7,5/10 : J'aime
7/10 : J'aime bien
6,5/10 : J'aime assez
6/10 : J'aime moyennement
5,5/10 : J'aime sans plus
5/10 : Entre deux eaux
4/10 : Je n'aime pas vraiment
3/10 : Je n'aime pas
2/10 : Je n'aime pas du tout
1/10 : Je déteste
0/10 : Où est mon pulvérisateur ?
Révisions revues ▲ à la hausse ▼ à la baisse ► à l'identique
Mes films du mois de Mai 2005 à Septembre 2019
Film du mois
Joker (Todd Phillips)
Films découverts (Re)
Papicha (Mounia Meddour) 8/10
Sorry we missed you (Ken Loach) 8/10
Hors normes (Eric Toledano & Olivier Nakache) 7,5/10
L'équipage (Anatole Litvak) 7,5/10
Mon chien stupide (Yvan Attal) 7,5/10
Gemini Man (Ang Lee) 7/10
Shaun le Mouton Le Film : La Ferme Contre-Attaque (Will Becher, Richard Phelan) 7/10
Matthias & Maxime (Xavier Dolan) 7/10
Queens (Lorene Scafaria) 6,5/10
La Fameuse invasion des ours en Sicile (Lorenzo Mattotti) 6,5/10
Donne-moi des ailes (Nicolas Vanier) 6,5/10
Alice et le maire ( Nicolas Pariser) 6/10
Fahim (Pierre-François Martin-Laval) 6/10
Chambre 212 (Christophe Honoré) 5,5/10
Maléfique : Le Pouvoir du Mal (Joachim Rønning) 5,5/10
Un monde plus grand (Fabienne Berthaud) 5/10
J'irai où tu iras (Géraldine Nakache) 4,5/10
Abominable (Jill Culton, Todd Wilderman) 4,5/10
Films revus (Hors compétition)
No game No life : Zero (Ishizuka Atsuko) 8/10
Aladdin (Guy Ritchie) 6,5/10
Séries (Hors compétition) (Revues)
Arifureta Shokugyō de Sekai Saikyō (Yoshimoto Kinji) 5/10
Notation
10/10 : Je suis en extase
9,5/10 : Je suis aux anges
9/10 : Je jubile
8,5/10 : J'adore
8/10 : J'aime beaucoup
7,5/10 : J'aime
7/10 : J'aime bien
6,5/10 : J'aime assez
6/10 : J'aime moyennement
5,5/10 : J'aime sans plus
5/10 : Entre deux eaux
4/10 : Je n'aime pas vraiment
3/10 : Je n'aime pas
2/10 : Je n'aime pas du tout
1/10 : Je déteste
0/10 : Où est mon pulvérisateur ?
Révisions revues ▲ à la hausse ▼ à la baisse ► à l'identique
Mes films du mois de Mai 2005 à Septembre 2019
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Dernière modification par Best le 31 oct. 19, 22:48, modifié 4 fois.