Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Torrente
Howard Hughes
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Le carton de la honte (épisode 46 - "le bal des libidineux")

Message par Torrente »

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J'ai eu l'impression de regarder une pub Givenchy de 2 heures.


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La révision de Factotum n'a fait que confirmer ma première impression négative. Tout sonne faux. Les acteurs jouent. Rien ne prend vie. Du cinéma papier-peint ampoulé et creux.
J'aurais aimé voir un tel sujet entre les mains d'un Steve Buscemi :(


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Le fantôme de l'opéra est un furoncle sur celluloïd, qui n'a retenu mon attention que quelques minutes... de trop.
J'en suis resté bouche-bée pendant de longues minutes.
Il faudra que je me lave de cette horreur en revoyant la version d'Argento 8)


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Bambola, c'est un peu Tinto Brass revu et corrigé par John Waters, Beinex carjacké par Beavis & Butthead, une sorte de film érotique affreux, sale et méchant, avec le mauvais goût en porte-étendard.
Certaines belles séquences y côtoient la fange. La psychologie des personnages est aussi sommaire et bête que dans un épisode des Crados. Grand écart casse-gueule qui fait siffler des adducteurs.

Voir Valeria Marini se faire ainsi essorer par un vieux dégueulasse m'a évoqué le sort d'Elizabeth Berkley... sauf qu'il y a autant d'écart entre Bambola et Showgirls qu'entre Wing commander et L'empire contre-attaque.


En parlant de ça, le dernier film du lot ne vole pas bien haut non plus...

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Beauté volée m'apparaît comme le parfait prototype, pathétique et triste du film de vieux voyeur qui refuse d'admettre qu'il est vieux ou qui ne s'est pas vu vieillir.
L'intro en elle-même réunit tous les défauts du pire des films des années 90 (images de caméscope sur de la musique grunge).
D'ailleurs, les choix musicaux jeunistes pseudo "dans le coup" enterrent le film et finissent de le ringardiser.
Rien ne fonctionne vraiment. Aucun personnage n'est réellement creusé, ni ne prend vie. Liv Tyler ne sait pas ce qu'elle fait, Jeremy Irons tente de faire quelque chose de son personnage mais personne sur le plateau, ni même lui, ne semble savoir qui il est vraiment, les autres personnages sont un étalage des clichés du "film de groupe, en vacances". Les rebondissements sont éculés et attendus et la fin, d'une platitude affligeante.

Le fossé entre Beauté volée et les films estivaux de Rohmer comme Conte d'été (ou le sublime La collectionneuse) est aussi large et profond que la fosse des Mariannes du Pacifique Nord-ouest.
Et il ne vaut mieux pas évoquer La belle noiseuse, sur le thème de l'artiste et de son modèle.

J'avais déjà subi le film en salle après les monts et merveilles dont s'était fendue la presse spécialisée française à son égard lors de sa sortie cannoise, trouvant le film creux, assez insupportable dans ses tics et sa retranscription d'une Italie de carte postale de la haute bourgeoisie toscane complétement toc.
Aujourd'hui, avec le recul, c'est encore pire ; le film et son réalisateur m'ont fait de la peine. Livrant un film aussi inoffensif et mièvre que les comédies romantiques normalisées pour ados, que Netflix pond à tour de bras.

Ce qui est d'autant plus incompréhensible que Les innocents m'a toujours paru comme un "film de jeune", bouillonnant et plein de fougue.
Un ratage donc. Dans les plus grandes largeurs. Ça arrive.



Ce soir, films d'horreur du Jeudi :

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... ensuite, il ne restera plus qu'un épisode asiatique et ce sera le bout du ©arton.




Les épisodes précédents :
Spoiler (cliquez pour afficher)
- Épisode 0
- Épisode 0 Bis ("they're coming to get you, Barbra")
- Épisode 1
- Épisode 1 Bis ("mauvaise blague")
- Épisode 2 ("et Lasse...")
- Épisode 3 ("k-thrillers")
- Épisode 4 ("'cause this is thriller, thriller night")
- Épisode 5 ("un Samedi soir sur la terre")
- Épisode 6 ("once again, Curtis saved the day")
- Épisode 7 ("pot pourri")
- Épisode 8
- Épisode 9 ("ça cartoon")
- Épisode 10
- Épisode 11 ("the 공포")
- Épisode 12 ("scaïe faïe")
- Épisode 13 ("Hollywood night première")
- Épisode 14 ("l'enfer du Dimanche")
- Épisode 15
- Épisode 16 ("les Mercredis de la vie")
- Épisode 17 ("angoisses du Jeudi")
- Épisode 18
- Épisode 19 ("monstres numériqueZzzz")
- Épisode 20
- Épisode 21 ("douce France")
- Épisode 22 ("escale asiatique")
- Épisode 23 ("tatane improvisée")
- Épisode 24 ("avance rapide, bonnes pioches et bilan intermédiaire")
- Épisode 25 ("couvrez cette horreur que je ne saurais voir !")
- Épisode 26
- Épisode 27 ("Hollywood night deuxième")
- Épisode 28 ("le Dimanche au soleil")
- Épisode 29 ("ciel, mon Mardi !")
- Épisode 30 ("cheeseburger film sandwich")
- Épisode 31 ("longue vie à la nouvelle chair !")
- Épisode 32 ("to be or not be")
- Épisode 33 ("six-clos")
- Épisode 34 ("quoi de neuf docteur ?")
- Épisode 35 ("cherche compositeur désespérément")
- Épisode 36
- Épisode 37 ("Asie snack")
- Épisode 38 ("twist again à Hollywood")
- Épisode 39 ("oh attention chérie, ça va couper !")
- Épisode 40 ("scaïe faïe 2, le retour")
- Épisode 41 ("Hollywood night troisième")
- Épisode 42 ("le bout du ©arton")
- Épisode 43
- Épisode 44 ("bilan du weekend")
- Épisode 45 ("yee-ouch")
Dernière modification par Torrente le 27 mai 22, 03:35, modifié 4 fois.
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Re: Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Message par Akrocine »

"Le carton de la honte"

Je découvre seulement maintenant ! Génial, merci, encore !
"Mad Max II c'est presque du Bela Tarr à l'aune des blockbusters actuels" Atclosetherange
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Re: Le carton de la honte (épisode 46 - "le bal des libidineux")

Message par AtCloseRange »

Torrente a écrit : 26 mai 22, 15:19 Image

Le fantôme de l'opéra est un furoncle sur celluloïd, qui n'a retenu mon attention que quelques minutes... de trop.
J'en suis resté bouche-bée pendant de longues minutes.
Il faudra que je me lave de cette horreur en revoyant la version d'Argento 8)
C'est avant tout une torture auditive.
Torrente
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Re: Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Message par Torrente »

Aussi. C'est vrai.
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Supfiction
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Re: Le carton de la honte (épisode 46 - "le bal des libidineux")

Message par Supfiction »

Torrente a écrit : 26 mai 22, 15:19 Image

J'ai eu l'impression de regarder une pub Givenchy.
C’était pas mal avant que De Niro n’apparaisse. J’aimais beaucoup Ethan Hawke à l’époque. C’était sa période introvertie, on était bien loin de Black Phone.
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Re: Le carton de la honte (épisode 46 - "le bal des libidineux")

Message par Torrente »

Supfiction a écrit : 26 mai 22, 15:58 C’était pas mal avant que De Niro n’apparaisse.
De Niro apparaissant au bout de 2 minutes... oui je suis d'accord :mrgreen:
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Supfiction
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Re: Le carton de la honte (épisode 46 - "le bal des libidineux")

Message par Supfiction »

Torrente a écrit : 26 mai 22, 15:59
Supfiction a écrit : 26 mai 22, 15:58 C’était pas mal avant que De Niro n’apparaisse.
De Niro apparaissant au bout de 2 minutes... oui je suis d'accord :mrgreen:
:lol:
Ah. Dans mon souvenir, c’était dans la seconde partie. J’aimais bien le début un peu sado-maso avec Hawke se faisant malmené par Gwynneth et Anne Bancroft.
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Re: Le carton de la honte (épisode 46 - "le bal des libidineux")

Message par Torrente »

Supfiction a écrit : 26 mai 22, 16:11 Dans mon souvenir, c’était dans la seconde partie. J’aimais bien le début un peu sado-maso avec Hawke se faisant malmené par Gwynneth et Anne Bancroft.
En fait il apparait au tout début, c'est "l'autre" épisode marquant de l'enfance du héros. Le trauma.
Et il apparaît à la toute fin, en mode "révélation".

Je retiendrais de ce film, Chris Cooper, qui compose le seul personnage un peu tangible, auquel on croit et qui prend vie. Il est, comme souvent, parfait.
Tout le reste ressemble à un conte mal raconté, avec une voix-off complétement naze, des effets de mise en scène toc, une BO pompeuse, des acteurs empruntés ou qui font dans le cliché.

Il y avait quelque chose à creuser dans le texte original mais c'est très mal exécuté ici. On sent un sujet poindre le bout de son nez et c'est d'autant plus dommage.
Il y avait matière à pondre une adaptation qui prendrait beaucoup de libertés en fouillant du côté de la psyché féminine, du côté de l'éducation, du côté de la cruauté amoureuse sado-maso mais Mitch Glazer est un scénariste très limité qui semble avoir beaucoup de mal à gérer des personnages féminins et s'il choisit de garder de bonnes choses du texte d'origine, il n'en fait rien. Tout reste à la surface, sans réelle émotion hormis les plus élémentaires, saccagées à grands coups de boutoir musical ou de ralentis ringards. Tout reste illustratif. Tout glisse. Le résultat est inoffensif. D'où ma comparaison avec une publicité pour du parfum.

Je ne sais pas ce qu'il s'est passé entre 1998 et 2001, mais ce fut une période bénéfique pour Cuarón (même si Y tu mamá también n'évite pas quelques écueils ni quelques fautes de goûts esthétiques lui aussi).
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EliWallou
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Re: Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Message par EliWallou »

batfunk a écrit : 26 mai 22, 04:28
EliWallou a écrit : 25 mai 22, 02:34 Image

Regarder The House That Jack Built (même si c'est pas du tout plaisant, et longuet, c'est vraiment intéressant)
Jeter un oeil à l'actualité ..........
Mouais, comparons ce qui est comparable:Jack est un pur serial killer psychopathe, l'ado tueur du Texas voulait se venger des brimades qu'on lui avait infligées dans son ancienne école :wink:
Le film de Van Trier comporte il est vrai des scènes d'une efficacité redoutable(la scène de snipping bordel :shock:) et est d'un humour féroce(la pauvre Uma Thurman :lol:). Effectivement, la fin part en sucette mais le film mérite un deuxième visionnage pour mieux appréhender sa construction, qui est celle de l'esprit malade du serial killer :D
Je n'y voyais pas de parallèle direct …
Mais pour moi le film de Von Trier va bien plus loin que l'esprit du psychopathe ou, ce à quoi il semble beaucoup réduit, une auto-examination de Lars dans Jack.
Il y a ça, évidemment, mais je souscris à l'analyse de Jean Douchet qui, avec la métaphore de l'architecte et de l'ingénieur, avec les référerences classique, la structure de tragédie grecque, y voit une mise à l'index de notre civilisation d'ingénieurs. Jack est un peu Lars (mais Virgile aussi, c'est rarement souligné!), mais Jack c'est un peu tous les hommes blancs "privilegiés", produits d'une société occidentale. Et je souligne la notion du privilège puisqu'il est bien dit dans le film qu'il a herité d'une fortune qui lui permet de construire sa maison. Héritage qu'on peut prendre littéralement ou au 2e degré donc.
Les grands bouchers du 20e siècle, les tueurs en série, les ados névrosés qui tuent dans les écoles, mais aussi les hommes blancs privilegiés et mysogines dont Lars ferait – ou non – partie, sont le produit d'une civilisation.
Produits cassés peut-être "Le souçis avec votre cric (jack) c'est qu'il est cassé", mais produits quand même.
C'est la "pauvre" Uma qui crée littéralement Jack-tueur dans le film… puisqu'elle lui demande de lui rendre service, lui dit qu'il a l'air d'un tueur en série, puis se moque du fait qu'il se laisse manipuler aussi facilement, qu'il serait un "wimp", une mauviette, donc un non-homme.
Entre ça et la question de la structure familiale à travers la chasse, le film examine aussi la question du genre.
Enfin c'est une façon de l'interpréter, il y en a bien d'autres, tout ça est sans aucun doute discutable, mais pour moi c'est ce qui en fait un grand film.

(Quand au fait que l'ado voulait se venger de ses brimades, il faut toujours être prudent avec les justifications des tueurs. Dans d'autres cas, Columbine il me semble, les ados avaient dit la même chose mais il s'était avéré que c'était eux les bullies avec leurs camarades en fait. … )
Dernière modification par EliWallou le 26 mai 22, 17:58, modifié 2 fois.
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Alibabass
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Re: Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Message par Alibabass »

Après avoir été hypnotisé par l'état rare de pesanteur du Few Of Us de Sharunas Bartas (merci La Cinétek et merci Caroline "Queen Of Chef-Op'" Champetier) ça sera dans la thématique Lumière, LE DESERT ROUGE pour la deuxième fois.
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Re: Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Message par cinéfile »

Ce soir, début de mon mini-cycle Alain Cavalier grâce aux trois long-métrages disponibles sur Arte.tv avec Le Combat dans l'île.

Ce sera d'ailleurs mon premier Cavalier.
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ewo
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Re: Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Message par ewo »

Lecture de galette imminente. Je vais découvrir...



Tu parles d'une expérience...
Au premier abord, c'est assez déconcertant, lent et plat.
Pour être perché, c'est perché.
Au début quelques situations me faisaient marrer. Puis le sourire a laissé place à une sorte d'hypnotisme. On dirait parfois du Wes Anderson complètement figé et vidé de vie et de couleur. À 2 de tension.
Mais...
Il y a en fait une réelle réflexion sur l'existence. Sur le misérabilisme humain. Sur l'ironie et le sens de nos vies. Sujets déjà traités moult fois. Mais le ton ici est assez singulier. Il y a ci et là des moments malalaisants, des moments au discours de fond très sérieux. Et d'autres aux antipodes, justes de petits espaces de simplicité. D'espoir.
Peut-être le message est : qu'est-ce qu'on fout ?
Il y a tant à faire, à voir à découvrir...
Alors cessons de chouiner pour rien.
Quand on fait d'la merde. Qu'on s'englue dans la tristesse. Alors que de petits riens suffisent à prendre ses leçons sur tout. Tout le temps.
C'comme ça que j'interprète cette oeuvre très atypique. Plus touchante que marrante.
En tout cas, rarement vu un film mêler avec autant d'équilibre des propos sur notre réalité avec un traitement qui cherche à s'écarter avec un certain minimalisme métaphorique auquel tout le monde n'accrochera pas facilement...

Chouette mais courte interview du réalisateur sur le blu-ray édité par BlaqOut, au passage.
(bave sa flemme sur le coussin des jours)
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Re: Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Message par Addis-Abeba »

cinéfile a écrit : 26 mai 22, 19:18 Ce soir, début de mon mini-cycle Alain Cavalier grâce aux trois long-métrages disponibles sur Arte.tv avec Le Combat dans l'île.

Ce sera d'ailleurs mon premier Cavalier.
Vu il y a quelques années j'avais trouvé cela assez chiant :?
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Re: Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Message par Invité1 »

Hier soir, j'avais prévu de découvrir le second film de Nico Papatakis suite à la claque que j'ai prise en visionnant le premier, mais l'annonce de la mort d'Andy Fletcher m'a tellement bouleversée que j'ai passé ma soirée à écouter du Depeche Mode avant de (re)visionner le documentaire 101 qui retrace une partie de leur tournée nord-américaine en 1988.
Une époque bénie pour le groupe que je n'ai forcément pas connue mais dont mon père (alors âgé de 18 ans et fan devant l'éternel) ne ratait pas une miette.
Pour ma part, j'adore ce documentaire pour plusieurs raisons. La première parce que l'on découvre tout l'univers d'une tournée sans aucune langue de bois de la part des intervenants, de la console lumière aux loges en passant par le merchandising. La seconde parce que les scènes de concerts sont admirablement bien filmées. Et la troisième pour la partie sociologique qui permet de suivre les us et coutumes des jeunes fans qui ont gagné un concours et qui suivent le groupe en bus pendant 10 jours.
Le concert final face à 70 000 personnes (le 101ème de la tournée) est l'apothéose de ce documentaire dont la récente édition BR est par ailleurs remarquablement restaurée. Bref, un vrai bonheur intemporel. R.I.P Andy... et merci.
8.5/10

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Ce soir, ce sera assurément la découverte du second film de Papatakis, Les Pâtres du Désordre.
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Re: Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

Message par Dunn »

Hier soir c'était les fauves.
Sympa même si le film a un peu vieillit et que Gabrielle apparaît 5 min.
Puis suite et fin de love death and robots... Comment dire, c'est au dessus de tout ce qui se fait même au cinéma actuellement. Le dernier épisode est un chef d'œuvre.
Elever des enfants c'est comme ranger sa collection de films : c'est pas comme on voudrait mais c'est bien quand même.
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