Ça sera très succinct, je n'ai pas vu un seul des films en entier, si ce n'est le premier et le dernier (ainsi que
Echo).
Never forget ou le manuel de tout ce qu'il ne faut pas faire...
Deux acteurs limités, mal dirigés par un cinéaste inexpérimenté, dans un scénario de petit malin, monté à coup de flashbacks manipulateurs.
Celui-là a beau être court, il n'en demeure pas moins pénible.
Record battu du film que j'ai failli stopper le plus rapidement : 3 plans, 2 répliques.
J'ai persévéré quelques minutes.
En vain.
Vinegar Syndrome n'en voudrait pas, même si on les payait.
Clown de l'horreur est un téléfilm navrant... mais avec Sarah Lassez et Margot Kidder, alors bon... on résiste une vingtaine de minutes.
J'ai toujours eu beaucoup de mal avec l'horreur ibérique mais
Les témoins du mal bat des records.
Cela dit, il porte bien son titre original :
No-Do 
Echo est l'auto-remake d'un film philippin nommé
Sigaw.
Formellement, voilà une belle et franche réussite. Production design étonnante pour un budget si limité, décors choisis avec goût (l'immeuble aurait dû être celui de
Archive 81), acteurs corrects. Bref,
Echo accumule les bons points.
Malheureusement, le film trop long d'au moins 15 minutes, peine à trouver son rythme, offrant une suite de séquences répétitives (le même jump-scare toutes les 8 minutes, comme une coupure pub) avant de dévoiler son cœur et son concept même. C'est bien dommage.
En ce sens,
Echo ressemble énormément à
The grudge, on se retrouve devant une superbe mécanique qui tourne à vide et qui tire à blanc.
La chambre des oubliés... bonne idée !
Danika, véhicule idéal pour les talents d'actrice de Marisa Tomei
, a la bonne idée d'être très court et d'aller droit au but (contrairement à
Echo, voir plus haut).
Récit schizo-psychotique sur une mère borderline qu'on croirait sorti d'un Polanski, que le scénariste assemble dans l'idée d'un jeu de pistes ludique pour le spectateur revenu de tout et qui ne se laisse plus prendre.
Ça fonctionne.
Comme les excellents
Bliss,
Dans les angles morts ou
Je veux juste en finir dernièrement...
Bliss surtout, qui lui emprunte l'idée et le concept. Un cinéma de genre qui tente des choses formellement et structurellement, c'est toujours quitte ou double. J'avoue que, chez moi, ça marche souvent contrairement à beaucoup d'autres spectateurs, semble t il.
Ce soir, je lâche le carton. Netflix en bonne compagnie.
Peut-être
Adam.
Les épisodes précédents :
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- - Épisode 0
- Épisode 0 Bis ("they're coming to get you, Barbra")
- Épisode 1
- Épisode 1 Bis ("mauvaise blague")
- Épisode 2 ("et Lasse...")
- Épisode 3 ("k-thrillers")
- Épisode 4 ("'cause this is thriller, thriller night")
- Épisode 5 ("un Samedi soir sur la terre")
- Épisode 6 ("once again, Curtis saved the day")
- Épisode 7 ("pot pourri")
- Épisode 8
- Épisode 9 ("ça cartoon")
- Épisode 10
- Épisode 11 ("the 공포")
- Épisode 12 ("scaïe faïe")
- Épisode 13 ("Hollywood night première")
- Épisode 14 ("l'enfer du Dimanche")
- Épisode 15
- Épisode 16 ("les Mercredis de la vie")
