Torrente a écrit : ↑19 mai 22, 16:51
J'essaierais de poster un petit bilan de mon marathon du Carton© en rentrant avant la dernière ligne droite.
Ceux vus ces derniers jours, en vrac.
Ceux qu'il me reste à programmer (peu nombreux).
Et quelques autres : notamment des films qui s'y trouvaient que je vais écarter car j'ai l'impression qu'ils n'ont rien à y faire (j'en ferai la liste).
44 films (38 sur la photo, il manque
Saut dans le vide,
Crossfire,
Opération Kazakhstan,
Time of fear et les 2
Kibakichi).
Une rangée d'étagère :
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... et ce sera la fin du marathon.
J'ai arbitrairement retiré une poignée de films qui ne semblaient pas trop coller avec la thématique globale...
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... autrement dit, parce qu'ils ne me paraissaient pas si "honteux" que ça (d'autant plus que certains titres consistent en des révisions, comme
Spinal tap,
Canicule ou
Boxcar Bertha), même s'ils se trouvaient au même endroit que les autres.
Cette affaire devrait donc bien se boucler en 50 épisodes à peu près
En attendant, j'ai vu (ou revu pour certains) sans en avoir encore parlé :






-
Long time dead,
Trauma et
La nonne ont été des révisions malheureuses.
Quand je pense qu'il y a à peine quelques mois, ESC a investi du pognon dans une sortie Blu-ray de
La nonne, alors que
Fragile n'est toujours pas sorti en Blu-ray en France, les bras m'en tombent.
- Surprise :
Twister II (et ses 56 alias) n'avait aucun intérêt.
-
The hunters tente des choses mais échoue lamentablement à générer tension, empathie ou même émotion. Pourtant, on pourrait y croire pendant 30 minutes.
-
Black widow est embarrassant. J'ai eu l'impression de regarder les répétitions d'une mauvaise pièce de théâtre entrecoupée de sex tapes tue-l'amour du couple vedette.
Désolé pour Dafoe et Ferrara, qui semblent lui trouver des qualités, mais j'ai rarement vu plus mauvaise actrice que Giada Colagrande... et en plus, elle réalise (mal), scénarise (très mal) et dirige encore plus mal ses autres comédiens !
- Seuls
Anamorph et
Saraka Bô auront trouvé grâce à mes yeux.
Le premier est un sous-sous-sous
Se7en avec pas mal de style ; le serial tueur est un esthète talentueux pour peu qu'on aime Francis Bacon et les installations d'art contemporain, mais sur un scénario déséquilibré, cacophonique et incohérent.
Comme si le fait de nous imposer "l'enquête" d'un très mauvais inspecteur de cinéma ne suffisait pas, le réalisateur-scénariste nous propose un méchant particulièrement transparent... c'est un peu problématique quand on essaie de faire un film de tueur en série stylé.
Vous me direz et vous n'auriez pas fondamentalement tort : "mais alors, c'est tout pourri, que peut-il bien rester ?"
Reste la photo, pas mal du tout (enfin sauf les effets de manche lors des flashbacks) et les meurtres élaborés, rappellant ceux de
Saw.
C'est pauvre, limite ringard même, puisque
Se7en était passé par là 12 ans auparavant et que la série
Saw en était déjà à son 4ème opus à la sortie du film mais ça évite au spectateur de piquer du nez.
Et Dafoe fait ce qu'il peut, comme d'habitude.
C'est d'ailleurs plus dans les 3 courtes scènes qu'il a avec Cléa DuVall (à qui trop peu de réalisateurs de cinéma pensent), qu'il faudra aller chercher une quelconque satisfaction.
Le second m'a presque plu, à mon grand étonnement.
Le script ne brille pas par son originalité, la photographie n'est pas des plus réussies (en même temps, difficile de la juger avec ce DVD non anamorphique qui frôle le rip de VHS), la bande son a de quoi décontenancer (tantôt excellente, tantôt ratée), les dialogues sont mauvais et pour ne rien arranger, les acteurs semblent mal dirigés.
Ça fait beaucoup.
Et ça partait mal quand j'ai découvert dans le générique que
4 personnes s'étaient occupées du scénario... lui-même tiré du roman d'une
5ème personne ?!?!?!
Sauf qu'une certaine poésie dissonante se dégage du produit final.
Bohringer joue très bien l'éléphant dans un magasin de porcelaine, Attal semble retrouver les maladresses et la gaucherie du jeune premier 8 ans après son premier film (tour de force), Aïssa Maïga est comme d'habitude superbe et Sotigui Kouyaté irradie dans la moindre de ses scènes, bouffeur de lumière à la présence exceptionnelle.
Le film est raté, je veux bien l'admettre... rien ne va vraiment là-dedans, on se croirait probablement dans un épisode de Julie Lescaut (je ne saurais dire, je n'en ai vu aucun mais je veux bien croire les autres spectateurs sur parole), le script mériterait sûrement plusieurs ré-écritures mais malgré tout ça, j'ai préféré le résultat final à beaucoup de thrillers français de la même période...
Que personne ne s'énerve, je ne suis pas crédible : j'aime bien
Six-Pack et je n'ai jamais aimé aucun film d'Olivier Marchal (ou presque)
On poursuit avec les "avances rapides"...
J'ai tenu moins d'un quart d'heure devant les 8 premiers :









-
Old school,
Féroce,
Hellbinders,
Massacres,
Devilman,
Negative happy chainsaw edge,
Executive koala et
Yonggary rivalisent de nullité.
- Les 2 Mundhra et
The perfect marriage étaient décevants. Je sauverais juste quelques passages de
Sexy mannequin... avec ses flics super crédibles.
Le casting, identique à celui de
Pulsions irrésistibles, m'aura au moins valu quelques rires moqueurs.
Ça, et l'idée que le scénariste de
Miss FBI : divinement armée avait dû voir le film, tard le soir sur le câble
-
Android apocalypse est une daube redoutable aussi... MAIS...
... j'en parle pour le plaisir de poster 2 captures du DVD car le héros se prénomme "Jute" et que ça m'a valu 2 ou 3 fous-rires d'attardé mental que j'assume complétement
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Ce soir, je pioche :


... peut-être d'autres, comme j'aurais le temps :

... la nuit est longue
Les épisodes précédents :
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- - Épisode 0
- Épisode 0 Bis ("they're coming to get you, Barbra")
- Épisode 1
- Épisode 1 Bis ("mauvaise blague")
- Épisode 2 ("et Lasse...")
- Épisode 3 ("k-thrillers")
- Épisode 4 ("'cause this is thriller, thriller night")
- Épisode 5 ("un Samedi soir sur la terre")
- Épisode 6 ("once again, Curtis saved the day")
- Épisode 7 ("pot pourri")
- Épisode 8
- Épisode 9 ("ça cartoon")
- Épisode 10
- Épisode 11 ("the 공포")
- Épisode 12 ("scaïe faïe")
- Épisode 13 ("Hollywood night première")
- Épisode 14 ("l'enfer du Dimanche")
- Épisode 15
- Épisode 16 ("les Mercredis de la vie")
- Épisode 17 ("angoisses du Jeudi")
- Épisode 18
- Épisode 19 ("monstres numériqueZzzz")
- Épisode 20
- Épisode 21 ("douce France")
- Épisode 22 ("escale asiatique")
- Épisode 23 ("tatane improvisée")
- Épisode 24 ("avance rapide, bonnes pioches et bilan intermédiaire")
- Épisode 25 ("couvrez cette horreur que je ne saurais voir !")
- Épisode 26
- Épisode 27 ("Hollywood night deuxième")
- Épisode 28 ("le Dimanche au soleil")
- Épisode 29 ("ciel, mon Mardi !")
- Épisode 30 ("cheeseburger film sandwich")
- Épisode 31 ("longue vie à la nouvelle chair !")
- Épisode 32 ("to be or not be")
- Épisode 33 ("six-clos")
- Épisode 34 ("quoi de neuf docteur ?")
- Épisode 35 ("cherche compositeur désespérément")
- Épisode 36
- Épisode 37 ("Asie snack")
- Épisode 38 ("twist again à Hollywood")
- Épisode 39 ("oh attention chérie, ça va couper !")
- Épisode 40 ("scaïe faïe 2, le retour")
- Épisode 41 ("Hollywood night troisième")