Osmosis Jones me tenterais presque : frères Farelly et le genre de pitch qui me botte bien, qui change d'échelle puisqu'on y suit un globule blanc dans un corps humain. C'est largement le mieux noté des 4 (6.3/10 sur Imdb quand les autres sont < 5).
Et par curiosité malsaine je complèterai avec Mookie (qui est le moins bien noté avec 4.1), pour son casting et pour le réal d'Un indien dans la ville.
Rien pour moi ce soir, je fais mon social en voyant du monde.
Torrente a écrit : ↑23 mars 22, 13:47
Au programme, ce soir, j'en regarde 2 dans cette sélection de haut vol :
Osmosis Jones est très sympa , Cool World c'est fait bien dézinguer, j'en garde plus trop de souvenir, faudrait que je le revoie. Monkey et Mookie euh ils sont biens pour ta ta thématique...
Osmosis tu vas nous dire que ca ressemble à Téléchat, je m'attend au pire.
Je ferai partie de l'ultra-minorité qui pense beaucoup de bien de Monkeybone. Je m'étais bien amusé devant ce film, et j'aime beaucoup l'animation de Selick...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Telmo a écrit : ↑23 mars 22, 16:32
Richard Lynch est effectivement un des atouts du film. Il y a d'autres têtes bien connues aussi.
J'ai le souvenir (ému) de quelque chose d'à peu près soigné, un peu comme Dar l'Invincible, de Don Coscarelli, sorti quelques mois plus tard (coucou Starfix).
candygirl a écrit : ↑21 mars 22, 17:07
Je comprends, Jeremy, mais ça reste pour ma part un bref avis personnel et spontané qui n'est pas vraiment intéressant. Quand je me plonge dans un topic dédié à un film ou à un réal', je préfère largement y lire la plume de forumeurs comme Thaddeus, Demi-Lune, Watkinssien et bien d'autres qui sont littéralement passionnants dans leurs échanges et/ou analyses. Si j'avais leur culture cinématographique (et leur maturité), je rajouterais ma pierre à l'édifice avec plaisir. Mais là, à quoi bon ajouter mon petit avis qui n'apportera absolument rien aux leurs ?... Je me trompe peut-être mais je vois plutôt les choses de cette manière, en fait.
Mais t'as fini de raconter des bêtises, oui ?
1. on n'a pas à avoir les talents d'écriture d'untel ou untel pour se sentir légitime d'écrire ce que l'on a envie d'écrire où on a envie de l'écrire (et heureusement, sinon ça fait bien longtemps que j'aurais arrêté d'essayer de parler cinoche par ici)
2. tes avis sont aussi bien que ceux de n'importe qui (surtout ceux de Torrente )
Donc n'hésite surtout pas et range-moi immédiatement cette fausse modestie.
Telmo a écrit : ↑23 mars 22, 16:32
Richard Lynch est effectivement un des atouts du film. Il y a d'autres têtes bien connues aussi.
J'ai le souvenir (ému) de quelque chose d'à peu près soigné, un peu comme Dar l'Invincible, de Don Coscarelli, sorti quelques mois plus tard (coucou Starfix).
C'est ça l'idée, je mettrais un peu au-dessus Dar l'Invincible/The Beastmaster mais je l'ai revu dernièrement en UHD alors que la dernière fois que j'ai vu The Sword and the Sorcerer/l'Épée Sauvage c'était le DVD australien, pas folichon mais correct.
Albert Pyun s'est très bien débrouillé avec un budget limité. Pour un premier long métrage, on peut même parler de coup de maître. Il n'était pas bien élevé pour Coscarelli, certes.