Torrente a écrit : ↑26 mai 22, 15:19
La révision de Factotum n'a fait que confirmer ma première impression négative. Tout sonne faux. Les acteurs jouent. Rien ne prend vie. Du cinéma papier-peint ampoulé et creux.
J'aurais aimé voir un tel sujet entre les mains d'un Steve Buscemi
Je n'y avais jamais pensé mais c'est une excellente idée, son Happy Hour m'a laissé un beau souvenir.
cinéfile a écrit : ↑26 mai 22, 19:18
Ce soir, début de mon mini-cycle Alain Cavalier grâce aux trois long-métrages disponibles sur Arte.tv avec Le Combat dans l'île.
Ce sera d'ailleurs mon premier Cavalier.
Va falloir que je fasse de même, je n'ai jamais vu un film du Môsieur.
candygirl a écrit : ↑27 mai 22, 07:20
Pour ma part, j'adore ce documentaire pour plusieurs raisons. La première parce que l'on découvre tout l'univers d'une tournée sans aucune langue de bois de la part des intervenants, de la console lumière aux loges en passant par le merchandising. La seconde parce que les scènes de concerts sont admirablement bien filmées. Et la troisième pour la partie sociologique qui permet de suivre les us et coutumes des jeunes fans qui ont gagné un concours et qui suivent le groupe en bus pendant 10 jours.
Je ne connais très mal ce groupe mais en effet le doc est super, j'ai adoré les suivre pendant leur tournée.
Grosse fatigue avant hier, je voulais regarder un film fun et j'ai donc revu Un cri dans l'océan de Stephen Sommers. Toujours aussi généreux dans l'action, le gore et la bêtise. Manque juste du sexe et on tenait un très bon film. Et hier ce fut Du sang et des larmes de Peter Berg. Bof bof. Toute l'intro à la gloire des Navy Seals est atroce. Après ça se défend bien dans les scènes d'action et y'a même des gentils afghans. Pas très subtil mais ça se suit. Je tenterai DeepWater de Berg à l'occaz. Pour ce soir The Northman puis je commence la nouvelle saison de Stranger Things.
A noter que le visuel courant du dvd dévoile un élément important du film, l'image est puissante d'accord, mais c'est une énorme divulgation. Les éditeurs ne sont pas cinéphiles, pour eux c'est juste de la marchandise.
moonfleet a écrit : ↑27 mai 22, 19:26
A noter que le visuel courant du dvd dévoile un élément important du film, l'image est puissante d'accord, mais c'est une énorme divulgation. Les éditeurs ne sont pas cinéphiles, pour eux c'est juste de la marchandise.
Oui, peut-être même le plus gros spoiler de l'Histoire des jaquettes vidéo
moonfleet a écrit : ↑27 mai 22, 19:26
A noter que le visuel courant du dvd dévoile un élément important du film, l'image est puissante d'accord, mais c'est une énorme divulgation. Les éditeurs ne sont pas cinéphiles, pour eux c'est juste de la marchandise.
Oui, peut-être même le plus gros spoiler de l'Histoire des jaquettes vidéo
Dernièrement, j'ai trouvé que la jaquette du DVD de Forever Young faisait fort dans le genre "ça spoile sévère à Saint Tropez".
Torrente a écrit : ↑26 mai 22, 15:19
La révision de Factotum n'a fait que confirmer ma première impression négative. Tout sonne faux. Les acteurs jouent. Rien ne prend vie. Du cinéma papier-peint ampoulé et creux.
J'aurais aimé voir un tel sujet entre les mains d'un Steve Buscemi
Je n'y avais jamais pensé mais c'est une excellente idée, son Happy Hour m'a laissé un beau souvenir.
Et c'est d'ailleurs à ce film que je pensais
En plus on aurait eu droit à du caméo qui dépote : Seymour Cassel, Paul Calderon, Victor Argo (bon OK il est mort 1 an avant la sortie du film mais des acteurs de ce calibre), des figurants ou des réguliers de la bande à Jarmusch, Ferrara ou même DiCillo. Un film indépendant new-yorkais pur jus, avec une identité forte. Même s'il n'y est pas resté longtemps, c'est un passage important de la vie de l'écrivain. Ou alors, si ça ne va pas, engager un réalisateur de l'Ouest des États-Unis.
J'étais d'autant plus déçu que j'adore Lily Taylor et Marisa Tomei (ma passion) mais je les voyais jouer, c'était triste. Je pense que ce n'était tout simplement pas le bon réalisateur... un étranger qui ne tourne pas dans sa ville ni dans sa langue d'origine, en plus totalement inexpérimenté, c'était voué à l'échec. Très mauvaise idée. Il était écrit que ça manquerait d'incarnation.
Akrocine a écrit : ↑26 mai 22, 15:23"Le carton de la honte"
Je découvre seulement maintenant ! Génial, merci, encore !
Ehéh, merci à toi
Je vais faire une petite pause ce soir avant le grand final pour visionner quelques films estampillés Vinegar Syndrome que j'hésite à acheter avant la fin de leurs "soldes"...
C'est tellement cher maintenant que ça devient difficile d'appeler ça des "soldes" et que je n'ai aucun scrupule à emprunter aux copains ou à "streamer" avant d'acheter ; il est loin le temps de l'achat à l'aveugle à 13 ou 15$
Dernière modification par Torrente le 27 mai 22, 22:12, modifié 1 fois.
Torrente a écrit : ↑27 mai 22, 21:36
Dernièrement, j'ai trouvé que la jaquette du DVD de Forever Young faisait fort dans le genre "ça spoile sévère à Saint Tropez".
Oui mais surtout l'avion devant la maison et le phare... c'est, la dernière scène, le dernier plan du film. Tout le suspense de la dernière partie est basé là-dessus.
Oui mais surtout l'avion devant la maison et le phare... c'est, la dernière scène, le dernier plan du film. Tout le suspense de la dernière partie est basé là-dessus.
C'était tout le problème des couvertures de Yoko Tsuno, tout était dévoilé dessus. (Je ne pense pas qu'à 12 ans j'utilisais le mot spoiler...)
Bon sinon après avoir vu Mad Max 2 hier soir, film geek des années 80, ce soir ce sera Real - Liverpool qui respire la même époque (bon vous me direz que pour le premier, ça marche tout le temps...)
Torrente a écrit : ↑29 mai 22, 22:08
Bon sinon, #pas_touche_à_Paroju!
Torrente a écrit : ↑27 mai 22, 21:36
Et c'est d'ailleurs à ce film que je pensais
En plus on aurait eu droit à du caméo qui dépote : Seymour Cassel, Paul Calderon, Victor Argo (bon OK il est mort 1 an avant la sortie du film mais des acteurs de ce calibre), des figurants ou des réguliers de la bande à Jarmusch, Ferrara ou même DiCillo. Un film indépendant new-yorkais pur jus, avec une identité forte. Même s'il n'y est pas resté longtemps, c'est un passage important de la vie de l'écrivain. Ou alors, si ça ne va pas, engager un réalisateur de l'Ouest des États-Unis.
J'étais d'autant plus déçu que j'adore Lily Taylor et Marisa Tomei (ma passion) mais je les voyais jouer, c'était triste. Je pense que ce n'était tout simplement pas le bon réalisateur... un étranger qui ne tourne pas dans sa ville ni dans sa langue d'origine, en plus totalement inexpérimenté, c'était voué à l'échec. Très mauvaise idée. Il était écrit que ça manquerait d'incarnation.
J'avais complètement oublié le réalisateur mais c'est vrai qu'il est à la ramasse. Ce qui m'a le plus gêné reste Matt Dillon en Bukowski, un peu de coupe rosée et hop c'est marre. Il fait vraiment de la peine face à Mickey Rourke qui avait mieux saisi le personnage. Oui oui Victor Argo est mort mais aussi Seymour Cassel.
Vu hier le monolithique The Northman (j'y reviendrai) et j'ai débuté la saison 4 de Stranger Things. Pour ce soir, ma fille veut regarder Titanic... je vais essayer d'esquiver, le stock de mouchoirs est trop bas pour ce soir.
Paroju a écrit : ↑28 mai 22, 09:56
C'était tout le problème des couvertures de Yoko Tsuno, tout était dévoilé dessus. (Je ne pense pas qu'à 12 ans j'utilisais le mot spoiler...)
C'est bien vrai !
Duane Jones a écrit : ↑28 mai 22, 14:53
Oui oui Victor Argo est mort mais aussi Seymour Cassel.
Oui, mais pas au moment du tournage du film (2004-2005)
C'est ce que ma phrase était censée dire (ma faute) : en 2005, si ce n'est Victor Argo qui était mort depuis 1 an, on aurait eu droit à quelque chose de meilleur dans les mains d'un autre avec un casting de seconds rôles un peu plus flamboyant pour faire exister tout ça et l'incarner véritablement et pas juste "illustrer" le scénario mollement.
Prêts, films possédés dans d'autres formats ou dans d'autres éditions, streaming sauvage, vu l'inflation constante chez l'éditeur et dans le monde, tous les moyens sont bons pour éviter de dilapider son oseille à l'aveugle.
J'ai donc commencé hier soir avec :
Pour une fois, j'ai l'impression que j'ai eu le nez creux en évitant d'acheter le pack complet des précommandes de leurs désormais célèbres "Halfway to Black Friday Sale", qui incluait 2 titres surprises... dont ce Voyage of the rock aliens.
Je n'ai absolument rien compris au scénario mais j'ai bien dansé comme un débile dans mon salon.
Une compilation karaoké des vidéos musicales du film sur Laserdisc aurait été plus à propos que cette vaine tentative de broder une histoire inepte tout autour et de l'éditer en Blu-ray.
Fond et forme contraires. Foirage.
A ce titre, l'absence de la BO sur CD dans l'édition Vinegar Syndrome en fait une édition d'emblée moins intéressante que l'édition allemande, qui vient de sortir chez ce bon vieux Krekel !
Platinum Cult Editions = 1 / Vinegar Syndrome = 0 ?
Bah non. Parce que Krekel étant Krekel, il fallait bien qu'il y ait une arnaque :
- le CD est annoncé sur la fiche du Blu-ray et un peu partout, il est même annoncé sur la jaquette mais, de CD dans le boîtier, il n'y a point
Donc on peut toujours se brosser pour voir une réédition de la BO épuisée (seul véritable intérêt d'une énième ressortie de cette... "chose")
Le réalisateur James Fargo restera, à mes yeux, le réalisateur brillant d'un seul film : L'exécuteur de Hong Kong, pour toujours et à jamais !
J'ai vu un paquet de mauvais film dans ma vie et ça va continuer parce que j'aime ça aussi, mais je me demande si Hobgoblins n'est pas pire que ce que peut faire Charles Band dans un mauvais jour
Ni drôle, ni fun, ni rien... juste nul, pas rythmé, imbitable. J'ai failli piquer du nez plusieurs fois.
Je n'ai ri qu'au combat de manches de râteaux.
Au moins, ça m'a donné l'occasion de rallumer mon magnétoscope.
The bees est aussi naze que The ants! que j'ai maté Jeudi soir (et dont je n'ai pas encore parlé).
Même John Saxon est incapable d'insuffler un peu de vie à ce bousin.
Et quelle tristesse de ne pas voir les "talents" de la belle Angel Tompkins exposés aux yeux de tous.
Quel intérêt de faire de l'exploitation si ce n'est pour dézipper tout ça ? Franchement ?!
Y a des claques qui se perdent. Si on ne peut même plus faire confiance aux vieux réalisateurs libidineux, où va t'on ?
Il est dit que les meilleurs (rares) moments du film sont dus à Jack Hill, non crédité au générique (lui aussi avait donc du flair), je veux bien le croire.
J'aurais mieux fait de visionner The deadly bees de mon Freddie Francis adoré.
Hommage amateur à tout un pan du DTV américain, Commando ninja est une compil' foutraque et pas très bien rythmée mais qui m'a fait rire à plusieurs reprises.
Si ce n'était le doublage plus que limite des personnages asiatiques sûrement pour mieux coller au doublage des œuvres parodiées (dont on se souvient du racisme latent), j'aurais sûrement craché 18 balles pour ces 70 minutes de métrage mais je vais m'abstenir.
C'est quelque chose qui ne me faisait déjà pas rire à l'époque et qui m'a toujours mis mal à l'aise donc, je passe.
Ce weekend, je ne change pas de main avec :
- Scared to death
- Red surf
- Alien private eye
- Fortress of Amerikkka
- Curfew
- Slaughterhouse rock
- Hardrock zombies
- Wolfpack
- Master of the world
- Tough guys don't dance
... puisque je ne verrai évidemment pas tous ces films en entier, je ne me fais pas d'illusion
Merci pour le compte-rendu. Rock Aliens est gratiné (déjà vu) mais merci encore de débroussailler pour le reste.
Paroju a écrit : ↑28 mai 22, 09:56
Bon sinon après avoir vu Mad Max 2 hier soir, film geek des années 80, ce soir ce sera Real - Liverpool qui respire la même époque (bon vous me direz que pour le premier, ça marche tout le temps...)
Dans les années 80, il y avait justement souvent autre chose que les sempiternels gros de deux-trois championnats en finale.
Sinon, l'autre soir, révision de classique :
Delta Force
La VF famélique en mono est dure pour les pour les oreilles. Heureusement qu'artistiquement c'est autre chose, enfin pour les nanarophiles.