Dernières actualités

La Comtesse aux pieds nus

Après la réédition de Cléopâtre et de La Maison des étrangers, Swashbuckler achève son cycle Mankiewicz avec l'un des sommets de sa carrière : La Comtesse aux pieds nus. C'est un projet qui tenait tout particulièrement à coeur au cinéaste, si bien qu'il créa pour l’occasion sa propre compagnie de production. Le résultat est un véritable chef-d’œuvre d’intelligence et d’émotion. Parfait modèle d’écriture,…

Lire la suite

La Maison des étrangers

Au cœur d’une filmographie prestigieuse, La Maison des étrangers n’est pas le film le plus connu de Joseph L. Mankiewicz et il fut même, entre les deux succès critiques que furent Chaines conjugales et Eve, boudé par le public américain. C’est pourtant un tort, tant le film met en valeur l’une des plus précieuses qualités de son réalisateur : l’intelligence. Brillante réflexion sur le rêve américain,…

Lire la suite

Blow Up

Si l'on arrive un jour à établir enfin une liste de films incontournables - suite à un combat gagné tout juste aux points par l'objectivité sur la subjectivité - nul doute que Blow-Up en ferait partie. Non pas que ce film emblématique de Michelangelo Antonioni ravira tous les suffrages (ce maître italien serait bien l'un des derniers à susciter l'unanimité), mais il se présente comme une oeuvre essentielle…

Lire la suite

Exodus

15 ans à peine après la libération des camps de la mort nazis, le cinéma occidental (surtout américain, il faut le dire), toujours animé par une mauvaise conscience concernant l'extermination des Juifs d'Europe, s'est pris de sympathie pour le combat national juif en terre de Palestine. Cette empathie s'exprima dans tous les genres, du péplum aux films historiques contemporains. Parmi les quelques…

Lire la suite

La Poursuite infernale

Après Les Raisins de la colère et Qu'elle était verte ma vallée, Théâtre du temple clôt son cycle John Ford avec la réédition en copie numérique restaurée d'un troisième chef-d'oeuvre du maître : La Poursuite infernale. La noblesse du propos, la beauté de la mise en scène, la poésie des images, la somptueuse mise en valeurs des lieux, la sensibilité des instants les plus anodins, la pudeur des relations…

Lire la suite

Les Egarés

Gli Sbandati, premier film du jeune réalisateur Francesco Maselli (alors âgé de seulement 24 ans), n’avait jamais été diffusé en France en salles. En 1955, avec ce film, le jeune Maselli est immédiatement porté au pinacle par la critique, enthousiaste devant ce portrait très convaincant de la situation complexe que vivait l’Italie en 1943. Il obtient d'ailleurs le prix du réalisateur le plus prometteur…

Lire la suite