Votre film du mois d'Avril 2022
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- Zelda Zonk
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
Avril 2022
= Chef-d'œuvre (à partir de 9/10, voire 8,5/10)
FILM DU MOIS
FILMS DÉCOUVERTS
- Ragtime (Miloš Forman - 1981) : 8/10
- Hannah et ses sœurs (Woody Allen - 1986) : 8/10
- Shotgun Stories (Jeff Nichols - 2007) : 7,5/10
- En chair et en os (Pedro Almodóvar - 1997) : 7/10
- Nuits blanches (Luchino Visconti - 1957) : 7/10
- Fin août, début septembre (Olivier Assayas - 1999) : 7/10
- Julie (en 12 chapitres) (Joachim Trier - 2021) : 7/10
- La jeune fille à l'écho (Arūnas Žebriūna - 1965) : 6,5/10
- Les Misérables (Robert Hossein - 1982) : 6,5/10
- Renoir (Gilles Bourdos - 2012) : 6,5/10
- L'Evénement (Audrey Diwan - 2021) : 6,5/10
- Le silence de la mer (Jean-Pierre Melville - 1949) : 6,5/10
- L'île au trésor (Guillaume Brac - 2018) : 6/10
- Woman at War (Benedikt Erlingsson - 2018) : 6/10
- Le braquage du siècle (Ariel Winograd - 2020) : 6/10
- Dawson City : Le Temps suspendu (Bill Morrison - 2016) : 6/10
- La forme de l'eau (Guillermo del Toro - 2017) : 5,5/10
- Yesterday (Danny Boyle - 2019) : 5,5/10
- Slalom (Charlène Favier - 2020) : 5/10
- Creed - L'Héritage de Rocky Balboa (Ryan Coogler - 2015) : 5/10
- Sang froid (Hans Petter Moland - 2019) : 3/10
FILMS REVUS (hors compétition)
- À nos amours (Maurice Pialat - 1983) : 9/10
- L'Aveu (Costa-Gavras - 1970) : 8/10
- Mystic River (Clint Eastwood - 2003) : 7,5/10
- Z (Costa-Gavras - 1969) : 5/10
= Chef-d'œuvre (à partir de 9/10, voire 8,5/10)
FILM DU MOIS
FILMS DÉCOUVERTS
- Ragtime (Miloš Forman - 1981) : 8/10
- Hannah et ses sœurs (Woody Allen - 1986) : 8/10
- Shotgun Stories (Jeff Nichols - 2007) : 7,5/10
- En chair et en os (Pedro Almodóvar - 1997) : 7/10
- Nuits blanches (Luchino Visconti - 1957) : 7/10
- Fin août, début septembre (Olivier Assayas - 1999) : 7/10
- Julie (en 12 chapitres) (Joachim Trier - 2021) : 7/10
- La jeune fille à l'écho (Arūnas Žebriūna - 1965) : 6,5/10
- Les Misérables (Robert Hossein - 1982) : 6,5/10
- Renoir (Gilles Bourdos - 2012) : 6,5/10
- L'Evénement (Audrey Diwan - 2021) : 6,5/10
- Le silence de la mer (Jean-Pierre Melville - 1949) : 6,5/10
- L'île au trésor (Guillaume Brac - 2018) : 6/10
- Woman at War (Benedikt Erlingsson - 2018) : 6/10
- Le braquage du siècle (Ariel Winograd - 2020) : 6/10
- Dawson City : Le Temps suspendu (Bill Morrison - 2016) : 6/10
- La forme de l'eau (Guillermo del Toro - 2017) : 5,5/10
- Yesterday (Danny Boyle - 2019) : 5,5/10
- Slalom (Charlène Favier - 2020) : 5/10
- Creed - L'Héritage de Rocky Balboa (Ryan Coogler - 2015) : 5/10
- Sang froid (Hans Petter Moland - 2019) : 3/10
FILMS REVUS (hors compétition)
- À nos amours (Maurice Pialat - 1983) : 9/10
- L'Aveu (Costa-Gavras - 1970) : 8/10
- Mystic River (Clint Eastwood - 2003) : 7,5/10
- Z (Costa-Gavras - 1969) : 5/10
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- Roilo Pintu
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
AVRIL 2022
FILM DU MOIS
FILMS DECOUVERTS
L'Etrangleur de Boston - Richard Fleischer (1968) : 9/10
Le Trou - Jacques Becker (1950) : 8/10
Alerte rouge - Domee Shi (2022) : 7,5/10
Jambon, Jambon - Bigas Luna (1992) : 7/10
La Ronde - Max Ophüls (1950) : 7/10
Numéro Une - Tonie Marshall (2017) : 7/10
A la recherche de Garbo - Sidney Lumet (1984) : 7/10
Traquenard - Nicholas Ray (1958) : 6/10
Magic - Richard Attenborough (1978) : 6/10
Jeanne et le garçon formidable - Olivier Ducastel et Jacques Martineau (1997) : 6/10
Funny Lady - Herbert Ross (1975) : 6/10
Class 1984 - Mark L. Lester (1982) : 5,5/10
Innocent Blood - John Landis (1992) : 5,5/10
La Souris qui rugissait - Jack Arnold (1959) : 5,5/10
Une étoile est née - William A. Wellman (1976) : 5,5/10
Viva Las Vegas - Roy Rowland (1956) : 4/10
Le Grand escogriffe - Claude Pinoteau (1976) : 4/10
Elisabeth - Shekhar Kapur (1998) : 4/10
On s'fait la valise Docteur - Peter Bogdanovich (1972) : 4/10
Censor - Prano Bailey-Bond (2021) : 3/10
Cats - Tom Hooper (2019) : 3/10
FILMS REVUS
La cité des enfants perdus - Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro (1995) : 7/10
Le Silencieux - Claude Pinoteau (1973) : 6/10
SERIES EN COURS
The Walking Dead s11 : 4/10
FILMS DU MOIS PRECEDENTS
FILM DU MOIS
FILMS DECOUVERTS
L'Etrangleur de Boston - Richard Fleischer (1968) : 9/10
Le Trou - Jacques Becker (1950) : 8/10
Alerte rouge - Domee Shi (2022) : 7,5/10
Jambon, Jambon - Bigas Luna (1992) : 7/10
La Ronde - Max Ophüls (1950) : 7/10
Numéro Une - Tonie Marshall (2017) : 7/10
A la recherche de Garbo - Sidney Lumet (1984) : 7/10
Traquenard - Nicholas Ray (1958) : 6/10
Magic - Richard Attenborough (1978) : 6/10
Jeanne et le garçon formidable - Olivier Ducastel et Jacques Martineau (1997) : 6/10
Funny Lady - Herbert Ross (1975) : 6/10
Class 1984 - Mark L. Lester (1982) : 5,5/10
Innocent Blood - John Landis (1992) : 5,5/10
La Souris qui rugissait - Jack Arnold (1959) : 5,5/10
Une étoile est née - William A. Wellman (1976) : 5,5/10
Viva Las Vegas - Roy Rowland (1956) : 4/10
Le Grand escogriffe - Claude Pinoteau (1976) : 4/10
Elisabeth - Shekhar Kapur (1998) : 4/10
On s'fait la valise Docteur - Peter Bogdanovich (1972) : 4/10
Censor - Prano Bailey-Bond (2021) : 3/10
Cats - Tom Hooper (2019) : 3/10
FILMS REVUS
La cité des enfants perdus - Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro (1995) : 7/10
Le Silencieux - Claude Pinoteau (1973) : 6/10
SERIES EN COURS
The Walking Dead s11 : 4/10
FILMS DU MOIS PRECEDENTS
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
Avril 2022
Film du mois
Contes du hasard et autres fantaisies (Ryūsuke Hamaguchi)
Films découverts (Re)
Apollo 10 1/2 : Les Fusées de mon enfance (Richard Linklater) 7,5/10
Aristocrats (Yukiko Sode) 7,5/10
Ambulance (Michael Bay) 7/10
Films revus (Hors compétition)
Séries (Hors compétition) (Revues)
L'Attaque des Titans - Saison Finale, Partie 2 8,5/10
How a Realist Hero Rebuilt the Kingdom - Saison 2 7/10
Notation
10/10 : Je suis en extase
9,5/10 : Je suis aux anges
9/10 : Je jubile
8,5/10 : J'adore
8/10 : J'aime beaucoup
7,5/10 : J'aime
7/10 : J'aime bien
6,5/10 : J'aime assez
6/10 : J'aime moyennement
5,5/10 : J'aime sans plus
5/10 : Entre deux eaux
4/10 : Je n'aime pas vraiment
3/10 : Je n'aime pas
2/10 : Je n'aime pas du tout
1/10 : Je déteste
0/10 : Où est mon pulvérisateur ?
Révisions revues ▲ à la hausse ▼ à la baisse ► à l'identique
Film du mois
Contes du hasard et autres fantaisies (Ryūsuke Hamaguchi)
Films découverts (Re)
Apollo 10 1/2 : Les Fusées de mon enfance (Richard Linklater) 7,5/10
Aristocrats (Yukiko Sode) 7,5/10
Ambulance (Michael Bay) 7/10
Films revus (Hors compétition)
Séries (Hors compétition) (Revues)
L'Attaque des Titans - Saison Finale, Partie 2 8,5/10
How a Realist Hero Rebuilt the Kingdom - Saison 2 7/10
Notation
10/10 : Je suis en extase
9,5/10 : Je suis aux anges
9/10 : Je jubile
8,5/10 : J'adore
8/10 : J'aime beaucoup
7,5/10 : J'aime
7/10 : J'aime bien
6,5/10 : J'aime assez
6/10 : J'aime moyennement
5,5/10 : J'aime sans plus
5/10 : Entre deux eaux
4/10 : Je n'aime pas vraiment
3/10 : Je n'aime pas
2/10 : Je n'aime pas du tout
1/10 : Je déteste
0/10 : Où est mon pulvérisateur ?
Révisions revues ▲ à la hausse ▼ à la baisse ► à l'identique
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- Paroju
- Doublure lumière
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
Film du mois Le mecano de la General
Films découverts :
Le mecano de la General (Keaton, 1926) ***
Allemagne Année 0 (Rossellini, 1948) **
Freaks out (Mainetti, 2022) **
Sur la route de Madison (Eastwood, 1992) **
C'est assez bien d'être fou (Page, 2018) **
Julie (en 12 chapitres) (Trier, 2021) *
Bienvenue à Marwen (Zemeckis, 2019) *
La piscine (Deray, 1969) *
Apollo 10 1/2 (Linklater, 2022) *
Jour de fête (Tati, 1949) *
L'île aux chiens (Anderson, 2018) *
Jugé coupable (Eastwood, 1999) *
Choose or die (Meakins, 2022) *
Amour (Haneke, 2012)
Massacre au pensionnat (Mills, 2018)
Us (Peele, 2019)
Jurassic world : Fallen Kingdom (Bayona, 2018)
Films redécouverts :
Le Kid (Chaplin, 1921) ***
Shrek (Adamson, 2001) *
Shrek 2 (Adamson, 2004) *
Série
Drôle
Films découverts :
Le mecano de la General (Keaton, 1926) ***
Allemagne Année 0 (Rossellini, 1948) **
Freaks out (Mainetti, 2022) **
Sur la route de Madison (Eastwood, 1992) **
C'est assez bien d'être fou (Page, 2018) **
Julie (en 12 chapitres) (Trier, 2021) *
Bienvenue à Marwen (Zemeckis, 2019) *
La piscine (Deray, 1969) *
Apollo 10 1/2 (Linklater, 2022) *
Jour de fête (Tati, 1949) *
L'île aux chiens (Anderson, 2018) *
Jugé coupable (Eastwood, 1999) *
Choose or die (Meakins, 2022) *
Amour (Haneke, 2012)
Massacre au pensionnat (Mills, 2018)
Us (Peele, 2019)
Jurassic world : Fallen Kingdom (Bayona, 2018)
Films redécouverts :
Le Kid (Chaplin, 1921) ***
Shrek (Adamson, 2001) *
Shrek 2 (Adamson, 2004) *
Série
Drôle
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- Kevin95
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
Avril 2022
Bonjour
THE COUNTESS - Julie Delpy (2009) : 7.5/10
BOULE DE SUIF - Christian-Jaque (1945) : 8/10
THE MOUNTAIN - Edward Dmytryk (1956) : 6.5/10
SQUADRA ANTIMAFIA - Bruno Corbucci (1978) : 7/10
FORT MASSACRE - Joseph M. Newman (1958) : 7.5/10
THE PASSIONATE FRIENDS - David Lean (1949) : 8.5/10
YOUNG GUNS - Christopher Cain (1988) : 7/10
LA PROFESSORESSA DI SCIENZE NATURALI - Michele Massimo Tarantini (1976) : 5/10
THE GROUP - Sidney Lumet (1966) : 8/10
ARIZONA - Wesley Ruggles (1940) : 7.5/10
THOMAS L'IMPOSTEUR - Georges Franju (1965) : 8/10
GLORY - Edward Zwick (1989) : 7/10
PROBLEMOS - Eric Judor (2017) : 7.5/10
HUMANOIDS FROM THE DEEP - Barbara Peeters (1980) : 6/10
THE MIGHTY - Peter Chelsom (1998) : 4/10
SQUADRA ANTIGANGSTERS - Bruno Corbucci (1979) : 7/10
LE BOIS DES AMANTS - Claude Autant-Lara (1960) : 6.5/10
HART'S WAR - Gregory Hoblit (2002) : 6/10
CRY-BABY - John Waters (1990) : 8/10
MOTHER'S BOYS - Yves Simoneau (1993) : 6.5/10
FLESH GORDON - Michael Benveniste, Howard Ziehm (1974) : 1.5/10
FLESH GORDON MEETS THE COSMIC CHEERLEADERS - Howard Ziehm (1990) : 1/10
HANGAR 18 - James L. Conway (1980) : 6.5/10
RETURN TO PARADISE - Mark Robson (1953) : 7/10
NEAR DEATH EXPERIENCE - Benoît Delépine, Gustave Kervern (2014) : 5/10
GARBO TALKS - Sidney Lumet (1984) : 9/10
DOUBLES VIES - Olivier Assayas (2018) : 6/10
A MOST VIOLENT YEAR - J.C. Chandor (2014) : 8.5/10
IN HARM'S WAY - Otto Preminger (1965) : 8/10
RITUALS - Peter Carter (1977) : 8.5/10
THE BLACK ORCHID - Martin Ritt (1958) : 7.5/10
TORQUE - Joseph Kahn (2004) : Bière & Roue arrière/10
IL PORTABORSE - Daniele Luchetti (1991) : 7/10
INCOGNITO - Patrice Dally (1958) : 6.5/10
RED CLIFF - John Woo (2008) : 7/10
RED CLIFF : PART II - John Woo (2009) : 7.5/10
FUNNY GIRL - William Wyler (1968) : 7/10
I, THE JURY - Harry Essex (1953) : 7.5/10
LOST IN THE BERMUDA TRIANGLE - Norberto Barba (1998) : 2.5/10
MOON 44 - Roland Emmerich (1990) : 7/10
MORANBONG, UNE AVENTURE CORÉENNE - Claude-Jean Bonnardot (1960) : 6.5/10
LA VIE ET RIEN D'AUTRE - Bertrand Tavernier (1989) : 8.5/10
WHAT'S UP, DOC ? - Peter Bogdanovich (1972) : 8/10
THE SOUND BARRIER - David Lean (1952) : 8/10
HALLOWEEN - David Gordon Green (2018) : 6.5/10
THE PLEASURE OF HIS COMPANY - George Seaton (1961) : 7/10
LE SEPTIÈME SCEAU - Ingmar Bergman (1958) : 9/10
DEAD RINGER - Allan F. Nicholls (1982) : 5.5/10
SONATE D'AUTOMNE - Ingmar Bergman (1978) : 8/10
THE AMUSEMENT PARK - George A. Romero (1975) : 7/10
FUNNY LADY - Herbert Ross (1975) : 7/10
HOT RESORT - John Robins (1985) : 3/10
LA MARMAILLE - Dominique Bernard-Deschamps (1935) : 7.5/10
CITY SLICKERS - Ron Underwood (1991) : 8/10
Rediff
THE MUMMY'S SHROUD - John Gilling (1967) : 7/10
THE NIGHT OF THE GENERALS - Anatole Litvak (1967) : 8/10
UNE MINUTE DE SILENCE - Florent-Emilio Siri (1998) : 6.5/10
MANON - Henri-Georges Clouzot (1949) : 8/10
THE AFRICAN QUEEN - John Huston (1951) : 8/10
Bonus
CITY ON A HILL (Saison 02) - Kevin Bacon, Hagar Ben-Asher, Ed Bianchi, Benny Boom, Clark Johnson, Christoph Schrewe (2021) : 7.5/10
THE FRONTIER EXPERIENCE - Barbara Loden (1975) : 7/10
Bonjour
THE COUNTESS - Julie Delpy (2009) : 7.5/10
BOULE DE SUIF - Christian-Jaque (1945) : 8/10
THE MOUNTAIN - Edward Dmytryk (1956) : 6.5/10
SQUADRA ANTIMAFIA - Bruno Corbucci (1978) : 7/10
FORT MASSACRE - Joseph M. Newman (1958) : 7.5/10
THE PASSIONATE FRIENDS - David Lean (1949) : 8.5/10
YOUNG GUNS - Christopher Cain (1988) : 7/10
LA PROFESSORESSA DI SCIENZE NATURALI - Michele Massimo Tarantini (1976) : 5/10
THE GROUP - Sidney Lumet (1966) : 8/10
ARIZONA - Wesley Ruggles (1940) : 7.5/10
THOMAS L'IMPOSTEUR - Georges Franju (1965) : 8/10
GLORY - Edward Zwick (1989) : 7/10
PROBLEMOS - Eric Judor (2017) : 7.5/10
HUMANOIDS FROM THE DEEP - Barbara Peeters (1980) : 6/10
THE MIGHTY - Peter Chelsom (1998) : 4/10
SQUADRA ANTIGANGSTERS - Bruno Corbucci (1979) : 7/10
LE BOIS DES AMANTS - Claude Autant-Lara (1960) : 6.5/10
HART'S WAR - Gregory Hoblit (2002) : 6/10
CRY-BABY - John Waters (1990) : 8/10
MOTHER'S BOYS - Yves Simoneau (1993) : 6.5/10
FLESH GORDON - Michael Benveniste, Howard Ziehm (1974) : 1.5/10
FLESH GORDON MEETS THE COSMIC CHEERLEADERS - Howard Ziehm (1990) : 1/10
HANGAR 18 - James L. Conway (1980) : 6.5/10
RETURN TO PARADISE - Mark Robson (1953) : 7/10
NEAR DEATH EXPERIENCE - Benoît Delépine, Gustave Kervern (2014) : 5/10
GARBO TALKS - Sidney Lumet (1984) : 9/10
DOUBLES VIES - Olivier Assayas (2018) : 6/10
A MOST VIOLENT YEAR - J.C. Chandor (2014) : 8.5/10
IN HARM'S WAY - Otto Preminger (1965) : 8/10
RITUALS - Peter Carter (1977) : 8.5/10
THE BLACK ORCHID - Martin Ritt (1958) : 7.5/10
TORQUE - Joseph Kahn (2004) : Bière & Roue arrière/10
IL PORTABORSE - Daniele Luchetti (1991) : 7/10
INCOGNITO - Patrice Dally (1958) : 6.5/10
RED CLIFF - John Woo (2008) : 7/10
RED CLIFF : PART II - John Woo (2009) : 7.5/10
FUNNY GIRL - William Wyler (1968) : 7/10
I, THE JURY - Harry Essex (1953) : 7.5/10
LOST IN THE BERMUDA TRIANGLE - Norberto Barba (1998) : 2.5/10
MOON 44 - Roland Emmerich (1990) : 7/10
MORANBONG, UNE AVENTURE CORÉENNE - Claude-Jean Bonnardot (1960) : 6.5/10
LA VIE ET RIEN D'AUTRE - Bertrand Tavernier (1989) : 8.5/10
WHAT'S UP, DOC ? - Peter Bogdanovich (1972) : 8/10
THE SOUND BARRIER - David Lean (1952) : 8/10
HALLOWEEN - David Gordon Green (2018) : 6.5/10
THE PLEASURE OF HIS COMPANY - George Seaton (1961) : 7/10
LE SEPTIÈME SCEAU - Ingmar Bergman (1958) : 9/10
DEAD RINGER - Allan F. Nicholls (1982) : 5.5/10
SONATE D'AUTOMNE - Ingmar Bergman (1978) : 8/10
THE AMUSEMENT PARK - George A. Romero (1975) : 7/10
FUNNY LADY - Herbert Ross (1975) : 7/10
HOT RESORT - John Robins (1985) : 3/10
LA MARMAILLE - Dominique Bernard-Deschamps (1935) : 7.5/10
CITY SLICKERS - Ron Underwood (1991) : 8/10
Rediff
THE MUMMY'S SHROUD - John Gilling (1967) : 7/10
THE NIGHT OF THE GENERALS - Anatole Litvak (1967) : 8/10
UNE MINUTE DE SILENCE - Florent-Emilio Siri (1998) : 6.5/10
MANON - Henri-Georges Clouzot (1949) : 8/10
THE AFRICAN QUEEN - John Huston (1951) : 8/10
Bonus
CITY ON A HILL (Saison 02) - Kevin Bacon, Hagar Ben-Asher, Ed Bianchi, Benny Boom, Clark Johnson, Christoph Schrewe (2021) : 7.5/10
THE FRONTIER EXPERIENCE - Barbara Loden (1975) : 7/10
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Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
- Vic Vega
- Roi du BITE
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
Avril 2022
Film du mois
Héros à vendre de William A. Wellman
Films découverts
Héros à vendre de William A. Wellman 8/10
Ode au yakuza de Masumura Yasuzô 7/10
RRR de S.S. Rajamouli 7/10
Avane Srimannarayana de Sachin Ravi 7/10
Rakta Charitra de Ram Gopal Varma 7/10
Rakta Charitra 2 de Ram Gopal Varma 7/10
Garuda Gamana Vrishabha Vahana de Raj B. Shetty 6.5/10
Vada Chennai de Vetrimaaran 6.5/10
AndhaDhun de Sriram Raghavan 6/10
Lagaan de Ashutosh Gowariker 6/10
Asuran de Vetrimaaran 6/10
Ayyappanum Koshiyum de Sachy 6/10
Magadheera de S.S. Rajamouli 6/10
Nannaku Prematho de Sukumar 6/10
Once upon a time in Mumbaai de Milan Luthria 5/10
Gangubai Kathiawadi de Sanjay Leela Bhansali 5/10
The Sadness de Rob Jabbaz 5/10
Apollo 10 1/2 : Les fusées de mon enfance de Richard Linklater 4/10
Bheeshma Parvam de Amal Neerad 4/10
Parinda de Vidhu Vinod Chopra 4/10
Confrontations de Vetrimaaran 4/10
K.G.F: Chapter 2 de Prashanth Neel 4/10
Simhadri de S.S. Rajamouli 4/10
Maryada Ramanna de S.S. Rajamouli 4/10
Vikramarkudu de S.S. Rajamouli 4/10
Chatrapathi de S.S. Rajamouli 4/10
The Batman de Matt Reeves 4/10
Dabangg de Abhinav Kashyap 3/10
Beast de Nelson Dilipkumar 3/10
Sye de S.S. Rajamouli 3/10
K.G.F: Chapter 1 de Prashanth Neel 3/10
Acharya de Koratala Siva 2/10
Séries TV (et téléfilms)
Films revus (Hors compétition)
Sans Retour de Walter Hill 8/10
As Tears Go By de Wong Kar-wai 7.5/10
Mes films du mois
Film du mois
Héros à vendre de William A. Wellman
Films découverts
Héros à vendre de William A. Wellman 8/10
Ode au yakuza de Masumura Yasuzô 7/10
RRR de S.S. Rajamouli 7/10
Avane Srimannarayana de Sachin Ravi 7/10
Rakta Charitra de Ram Gopal Varma 7/10
Rakta Charitra 2 de Ram Gopal Varma 7/10
Garuda Gamana Vrishabha Vahana de Raj B. Shetty 6.5/10
Vada Chennai de Vetrimaaran 6.5/10
AndhaDhun de Sriram Raghavan 6/10
Lagaan de Ashutosh Gowariker 6/10
Asuran de Vetrimaaran 6/10
Ayyappanum Koshiyum de Sachy 6/10
Magadheera de S.S. Rajamouli 6/10
Nannaku Prematho de Sukumar 6/10
Once upon a time in Mumbaai de Milan Luthria 5/10
Gangubai Kathiawadi de Sanjay Leela Bhansali 5/10
The Sadness de Rob Jabbaz 5/10
Apollo 10 1/2 : Les fusées de mon enfance de Richard Linklater 4/10
Bheeshma Parvam de Amal Neerad 4/10
Parinda de Vidhu Vinod Chopra 4/10
Confrontations de Vetrimaaran 4/10
K.G.F: Chapter 2 de Prashanth Neel 4/10
Simhadri de S.S. Rajamouli 4/10
Maryada Ramanna de S.S. Rajamouli 4/10
Vikramarkudu de S.S. Rajamouli 4/10
Chatrapathi de S.S. Rajamouli 4/10
The Batman de Matt Reeves 4/10
Dabangg de Abhinav Kashyap 3/10
Beast de Nelson Dilipkumar 3/10
Sye de S.S. Rajamouli 3/10
K.G.F: Chapter 1 de Prashanth Neel 3/10
Acharya de Koratala Siva 2/10
Séries TV (et téléfilms)
Films revus (Hors compétition)
Sans Retour de Walter Hill 8/10
As Tears Go By de Wong Kar-wai 7.5/10
Mes films du mois
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Dernière modification par Vic Vega le 1 mai 22, 23:24, modifié 34 fois.
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
Junk head (Takahide Hori) 10/10
Parle à ma main!
Ousama ranking. 10/10
Mon anime favori depuis Vinland saga.
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Dernière modification par Yannounet le 17 avr. 22, 03:08, modifié 2 fois.
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
0 Nul/Mauvais
* Médiocre/Pas terrible
** Bien/Agréable
***Très bien/Excellent
**** Chef d'oeuvre
Vu/revu/film du mois
Ave Cesar (2016) ** Joël/Ethan Coen Le film est souvent amusant malgré un aspect décousu et relâché qui empêche une réelle implication.
Viva Las Vegas (1956) Roy Rowland ** Une comédie musicale très plaisante, visuellement ravissante, aux situations et aux dialogues souvent drôles.
Police (1985) Maurice Pialat **** Une plongée passionnante dans le vie d'un flic borderline, avec un aspect documentaire saisissant et une interprétation magistrale.
Une créature de rêve (1985) John Hugues ** L'humour potache ne vole pas souvent bien haut mais l'aspect totalement déjanté du film peut séduire.
Val (2021) Ting Poo, Leo Scott ** Un portrait touchant d'un acteur exigeant mais qui se révèle aussi assez immature.
Deux drôles d'oiseaux (1981) Michael Apted * Une romance assez convenue qui a du mal à passionner.
Péril en la demeure (1985) Michel Deville * L'ambiance est fascinante mais l'intrigue est beaucoup trop capillotractée pour convaincre.
L'épée du vaillant (1984) Stephen Weeks 0 Rien ne fonctionne jusqu'à sombrer dans le ridicule, de la musique aux rebondissements en passant par les dialogues et l'interprétation. Sacré Cannon!
Adolescentes (2019) Sébastien Lifshitz *** Un documentaire très touchant sur les cinq années décisives qui font passer de l'enfance à l'âge adulte et qui emprunte souvent les ressorts de la fiction.
Ben-Hur (1959) William Wyler **** La quintessence du grand spectacle hollywoodien classique. Epique, somptueux, magistral, avec en point d'orgue, l'impressionnante séquence de la course de char.
Harry Potter et la coupe de feu (2005) Mike Newell * Les effets numériques sont atroces et l'univers m'est toujours aussi hermétique.
Raiponce (2010) Byron Howard, Nathan Greno *** Un des meilleurs Disney des années 2000: enlevé, visuellement réussi, avec des personnages bien écrits et une réflexion pertinente sur la liberté.
Le dingue du palace (1960) Jerry Lewis ** La qualité de l'humour est irrégulière, J.Lewis peut paraître souvent insupportable mais on peut saluer l'audace d'avoir réalisé un film qui n'est qu'une succession de gags, sans lien dramaturgique.
Les créatures (1965) Agnès Varda ** Cette incursion de A.Varda dans le domaine du fantastique se révèle être une oeuvre onirique curieuse, à la fois hermétique et fascinante et dotée d'une magnifique photographie en N/B.
Les rivaux du rail (1952) Byron Haskin * Un western à la caractérisation des personnages faible, aux péripéties convenues et souvent simplettes. Restent les magnifiques décors extérieurs et quelques séquences spectaculaires.
* Médiocre/Pas terrible
** Bien/Agréable
***Très bien/Excellent
**** Chef d'oeuvre
Vu/revu/film du mois
Ave Cesar (2016) ** Joël/Ethan Coen Le film est souvent amusant malgré un aspect décousu et relâché qui empêche une réelle implication.
Viva Las Vegas (1956) Roy Rowland ** Une comédie musicale très plaisante, visuellement ravissante, aux situations et aux dialogues souvent drôles.
Police (1985) Maurice Pialat **** Une plongée passionnante dans le vie d'un flic borderline, avec un aspect documentaire saisissant et une interprétation magistrale.
Une créature de rêve (1985) John Hugues ** L'humour potache ne vole pas souvent bien haut mais l'aspect totalement déjanté du film peut séduire.
Val (2021) Ting Poo, Leo Scott ** Un portrait touchant d'un acteur exigeant mais qui se révèle aussi assez immature.
Deux drôles d'oiseaux (1981) Michael Apted * Une romance assez convenue qui a du mal à passionner.
Péril en la demeure (1985) Michel Deville * L'ambiance est fascinante mais l'intrigue est beaucoup trop capillotractée pour convaincre.
L'épée du vaillant (1984) Stephen Weeks 0 Rien ne fonctionne jusqu'à sombrer dans le ridicule, de la musique aux rebondissements en passant par les dialogues et l'interprétation. Sacré Cannon!
Adolescentes (2019) Sébastien Lifshitz *** Un documentaire très touchant sur les cinq années décisives qui font passer de l'enfance à l'âge adulte et qui emprunte souvent les ressorts de la fiction.
Ben-Hur (1959) William Wyler **** La quintessence du grand spectacle hollywoodien classique. Epique, somptueux, magistral, avec en point d'orgue, l'impressionnante séquence de la course de char.
Harry Potter et la coupe de feu (2005) Mike Newell * Les effets numériques sont atroces et l'univers m'est toujours aussi hermétique.
Raiponce (2010) Byron Howard, Nathan Greno *** Un des meilleurs Disney des années 2000: enlevé, visuellement réussi, avec des personnages bien écrits et une réflexion pertinente sur la liberté.
Le dingue du palace (1960) Jerry Lewis ** La qualité de l'humour est irrégulière, J.Lewis peut paraître souvent insupportable mais on peut saluer l'audace d'avoir réalisé un film qui n'est qu'une succession de gags, sans lien dramaturgique.
Les créatures (1965) Agnès Varda ** Cette incursion de A.Varda dans le domaine du fantastique se révèle être une oeuvre onirique curieuse, à la fois hermétique et fascinante et dotée d'une magnifique photographie en N/B.
Les rivaux du rail (1952) Byron Haskin * Un western à la caractérisation des personnages faible, aux péripéties convenues et souvent simplettes. Restent les magnifiques décors extérieurs et quelques séquences spectaculaires.
Dernière modification par O'Malley le 30 avr. 22, 14:15, modifié 9 fois.
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
AVRIL 2022
Film du mois :
CHARADE, de Stanley Donen (1964)
Découvertes & revisionnages :
Le Jour du dauphin (The day of the Dolphin, Mike Nichols - 1973) 6/10
Sympathique film sur fond de climat anxiogène et militariste des 70s. C'est plutôt bien ficelé, sans coup d'éclat pour autant. Ca m'a par contre donné envie de revoir Sauvez Willy.
Le troisième homme (The Third Man, Carol Reed - 1949) 8/10
Un noir et blanc à tomber, comme la direction artistique à l'influence impressionniste de manière général, avec ses superbes plans des extérieurs de Vienne. Mais la photo ne démérite pas en intérieur non plus, notamment lors de l'haletante scène de course poursuite dans les égouts. Welles y est excellent. L'intrigue patine un peu à mon goût au milieu du film mais repars de plus belle ensuite. En revanche la romance me parait assez superflu.
Chasse à l'homme (Hard Target, John Woo - 1993) 6/10
C'est très idiot et bas du front, mais c'est fait non seulement avec rythme ce qui fait qu'on ne s'y ennuie pas, mais surtout avec une certaine classe et quelques bonnes séquences de coup de tatanes de la part de JCVD.
Les contes de la lune vague après la pluie (Ugetsu monogatari, Kenji Mizoguchi - 1953) 8/10
Film fascinant, d'une grande richesse, qui ne se laisse pas saisir totalement dans son premier visionnage et sur lequel il est très difficile de mettre des mots.
Apollo 10 1/2: Les fusées de mon enfance (Apollo 10 1/2: A Space Age Adventure, Richard Linklater - 2022) 6/10
Après la déception de sa trilogie amoureuse j'étais quand même assez chaud pour ce film, étant plutôt amateur d'exploration spatiale. Loin d'être mauvais c'est quand même une petite déception par rapport à tout ce que j'en avais lu. La première partie est sympa mais ne décolle (hohoho) pas vraiment (c'est pas le but, certes) et ne me laissera probablement pas grand souvenir. Quant à la seconde partie plus accès mission Apollo j'ai trouvé ça un peu fouillis dans ce mélange entre réalité et fiction.
Les Visiteurs (Jean-Marie Poiré - 1973) 7/10
ènième visionnage, je ne m'en lasse pas, c'est à la fois lamentable (certains cadrage, mon dieu...) et formidable.
Citizen Kane (Orson Welles - 1941) 8/10
J'ai enfin découvert ce monument, non sans une pointe d'appréhension, d'être déçu, et d'avoir un classique (et pas n'importe lequel) de moins à découvrir.
Comme candygirl je m'étais toujours préservé d'en apprendre trop à son sujet. J'ai ainsi été assez surpris, principalement par la vitalité du film, de sa mise à scène, par son foisonnement que ce soit technique ou dans les sujets traités et la manière de le faire.
J'avais vu quelques jours plus tôt un autre très gros classique, avec Les contes de la lune vague après la pluie, qui m'a également fait un gros effet. Lui aussi est d'une richesse tel qu'il me parait difficile de l'absorber en un seul visionnage. Mais là où l'abondance des genres forme un tout extrêmement cohérent où rien ne dépasse chez Mizoguchi, une unité si parfaite qu'elle semble insaisissable, inexplicable (par moi, en tout cas), chez Welles j'ai eu l'impression que ça "débordait" de partout.
Et je ne dis pas ça du tout dans un sens péjoratif, d'autant plus, qu'au final, le film est tout aussi cohérent, mais il partage l'exubérance et la folie des grandeurs de son personnage principal, et on se sent vite tout petit et un peu débordé par tout cela. En tout cas cela a été mon sentiment, l'impression de me faire noyer sous 10 idées à la minute, voir le puzzle se construire peu à peu mais sans arriver à tout suivre, à tout bien discerner. Mais l'envie d'y retourner pour ausculter chacune des pièces du puzzle et pour l'admirer d'autant mieux dans sa globalité.
D'où un "timide" 8/10 (comme au Mizoguchi d'ailleurs) en attendant les prochains visionnages.
Car si ce sont des classiques sur lesquels certains ont des a priori (type "ça doit être chiant") totalement faux puisque les deux sont tout à fait abordable et facile d'accès, je les ai en revanche trouvé assez difficile à saisir, pour des raisons opposées. Mais totalement fascinant.
Sans un bruit 2 (A quiet place II, John Krasinski - 2020) 6/10
Agréable visionnage, avec quelques bons moments de suspens (Krasinski aime les montages parallèles apparemment) mais qui est quand même ultra balisé. On se croirait parfois devant une série TV type walking dead. Et beaucoup trop de plans juste là pour "en jeter".
Rêve de singe (Ciao maschio, Marco Ferreri - 1978) 3/10
J'avais été assez intrigué par certains affiches et images du film. Ainsi que son pitch prenant place dans une sorte de New York post-apo. A noter que c'était mon premier Marco Ferreri et que je comprends dorénavant mieux sa réputation de provocateur notamment sur le tout début que j'ai trouvé grotesque. Ensuite, je comprends qu'on puisse y trouver un peu de poésie , avec le singe, un touchant Mastroianni, mais il faut passer outre le reste. Et je me suis quand même pas mal ennuyé.
Mon homme Godfrey (My Man Godfrey, Gregory La Cava - 1936) 8/10
Une excellente screwball comedy, superbement rythmée et incarné (notamment le duo William Powell / Carole Lombard), et qui porte parfaitement son qualificatif de "comédie loufoque" à la vue de la famille Bullock. La première partie m'a pas mal étonné par sa critique sociale assez frontale de la haute bourgeoisie, en l'opposant en plus aux victimes de ce système (surtout dans les années 30). A ce niveau je regrette un peu le "twist" concernant le protagoniste principal, et le final adoucit un peu l'ensemble à mes yeux (même sentiment que devant certains Capra qui finissent par se désamorcer un peu), mais pour les USA et l'époque ça reste quand même très fort.
Cinquième set (Quentin Reynaud - 2020) 6/10
Plutôt une bonne surprise que ce film sur un ancien espoir (fictif) du tennis français qui aura passer tout sa carrière dans le bas du classement, avant un peut être dernier coup d'éclat. Ca fonctionne vraiment bien, entre le film de sport, le drame intimiste, tout est superbement porté par Alex Lutz et une mise en scène qui sait bien alterner ses ambiances et rendre les matchs palpitants.
Charade (Stanley Donen - 1963) 9/10
Gros coup de coeur pour ce film mélangeant habillement la comédie, la romance et le film à suspens. J'ai été totalement sous le charme de son duo Cary Grant / Audrey Hepburn (j'ai d'ailleurs apprécié que la différence d'âge soit ouvertement évoqué), des dialogues ciselés, du scénario qui nous offres de nombreux rebondissements sans jamais nous lasser (à la limite le dernier était le moins nécessaire). Bref une comédie pleine de fraîcheur faite avec une très grande maîtrise, qui n'a pas pris une ride.
Tenue de soirée (Bertrand Blier - 1986) 3/10
Je crois que Blier c'est vraiment pas mal tasse de thé. Le premier tiers est particulièrement pénible, c'est vulgaire et bien lourd. Je vais toujours au bout des films que je commence, mais là j'avais sacrément envie de passer à autre chose. Heureusement ça s'améliorer un peu par la suite mais ça reste un visionnage désagréable voir assez détestable (ça m'étonnerais pas que Blier soit un amateur de L-F Céline, que je trouve tout aussi détestable).
Mourir peut attendre (No Time to Die, Cary Joji Fukunaga - 2021) 5/10
Je ne suis pas spécialement fan de la franchise, je n'ai d'ailleurs toujours pas vu Spectre.
J'étais un peu plus intrigué par celui ci pour CJ Fukunaga dont j'avais bien apprécié Jane Eyre et surtout Sin Nombre (je n'ai pas vu les films fait entre temps mais il me semble avoir plutôt bonne presse).
Pour commencer par du positif et la bonne surprise : Léa Seydoux. Sans être son plus grand détracteur j'ai souvent un peu de mal avec elle et là j'ai été assez conquis, je l'ai trouvé très juste et même touchante, c'est dire ! C'est probablement ce que je retiendrais le plus de ce James Bond.
Ana de Armas bien sûr, même si plus anecdotique vu que c'est une parenthèse sans réel enjeux.
Les décors, naturels ou non sont assez magnifiques, notamment dans la dernière partie, dommage que la photo soit un peu peu fade.
La mise en scène de l'action est réussi, même si parfois ridicule vu le nombre de balles qui semble passer à travers 007 (ça m'a encore plus marqué que d'habitude, sa chance monstrueuse).
La scène d'intro est sympa, avec une ambiance horrifique enneigé mais elle reprend hélas un peu tous les poncifs du genre donc est ultra prévisible.
J'ai longtemps cru que je ne bitais rien au scénario du fait de ne pas avoir vu Spectre. Alors ça n'a pas du aidé mais finalement je crois que c'est simplement mal écrit et très confus, surtout autour de Safin et de ce qui entoure Héracles.
Et pour le dénouement de l'ère Craig la fin est un peu mouais. Je la trouve pas raté, mais un peu facile.
Ah et Lashana Lynch c'est une catastrophe...
Malgré tout ça les 2h40 passent pas trop mal, mais plus en mode vignette qui te font voyager à travers le monde. Car je n'ai jamais ressenti les enjeux et la tension. Dommage car le sujet pouvait donner des choses intéressantes, j'ai même eu un petit espoir quand ça parle de mise en quarantaine pour certains etc. Mais l'écriture, en plus d'être confuse, est bourré de facilité scénaristique (bien pratique ce ciblage ADN).
Diamants sur canapé (Breakfast at Tiffany’s, Blake Edwards - 1961) 8/10
Malgré un Mickey Rooney très gênant, le film conserve une très belle fraicheur teinté de mélancolie par les deux personnages principaux dont la relation est fort bien écrite, jusqu'à ce superbe final.
Bac Nord (Cédric Jimenez - 2020) 5/10
Tout ce bruit pour ça ? C'est pas trop mal fait, sans rien révolutionné non plus. Après je comprends que le film suscite le débat. Je ne doute pas qu'il montre une part de vérité, mais la manière de la montrer, sans trop de contexte, évidemment ça dit des choses. Et n'ayant jamais considéré aucun art comme étant au dessus du reste (il reste le produit de leur société, et en retour ils ont un impact sur celle ci, même minime), je trouve ça problématique, mais je m'attendais à pire. En fait le plus gênant c'est à mes yeux la dernière partie (la moins passionnante aussi).
OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire (Nicolas Bedos - 2021) 4/10
Tout fait plus lourd, plus poussif dans cet opus. Même Dujardin semble avoir parfois moins de recul dans l'incarnation de son personnage. Ca donne un résultat assez grossier, rien de très étonnant venant de Bedos.
Sonate d'automne (Höstsonaten, Ingmar Bergman - 1978) 6/10
Sentiments partagés, c'est un beau film, un beau portrait de femme, mais c'est aussi une nouvelle fois très théorique et surtout ça tourne finalement à un empilement de drames un peu forcé. Je ne me suis pas ennuyé mais je n'ai jamais été embarqué émotionnellement avec les personnages.
Le septième sceau (Det sjunde inseglet, Ingmar Bergman - 1957) 8/10
Visuellement sublime, le film m'a laissé un petit peu sur ma fin. Comme avec les 3 autres Bergman que j'ai vu, il y a de belles choses, des réflexions très intéressantes, mais je reste spectateur, ça fait très théorique et j'arrive pas à m'impliquer totalement dans le film. Celui ci est peut être celui où j'y suis le plus parvenu, mais pas intermittence, certaines séquences me sortant en partie du film. J'ai néanmoins l'impression qu'il vieillit bien dans mon esprit.
Le Secret de la pyramide (Young Sherlock Holmes, Barry Levinson - 1985) 6/10
Sympathique film où on s'amuse, surtout dans la première partie, des nombreuses ressemblances avec l'univers d'Harry Potter. Hélas le film ne décolle jamais vraiment, ça reste gentillet tout en tirant un peu en longueur. Et le personnage féminin est totalement sous exploité, c'est dommage. En revanche le score de Bruce Broughton est une merveille.
Séries :
Seinfeld - Saison 4 : en cours
The Office (US) - Saison 9 : en cours
OVNI(s) - Saison 2 : en cours
Précédemment...
Film du mois :
CHARADE, de Stanley Donen (1964)
Découvertes & revisionnages :
Le Jour du dauphin (The day of the Dolphin, Mike Nichols - 1973) 6/10
Sympathique film sur fond de climat anxiogène et militariste des 70s. C'est plutôt bien ficelé, sans coup d'éclat pour autant. Ca m'a par contre donné envie de revoir Sauvez Willy.
Le troisième homme (The Third Man, Carol Reed - 1949) 8/10
Un noir et blanc à tomber, comme la direction artistique à l'influence impressionniste de manière général, avec ses superbes plans des extérieurs de Vienne. Mais la photo ne démérite pas en intérieur non plus, notamment lors de l'haletante scène de course poursuite dans les égouts. Welles y est excellent. L'intrigue patine un peu à mon goût au milieu du film mais repars de plus belle ensuite. En revanche la romance me parait assez superflu.
Chasse à l'homme (Hard Target, John Woo - 1993) 6/10
C'est très idiot et bas du front, mais c'est fait non seulement avec rythme ce qui fait qu'on ne s'y ennuie pas, mais surtout avec une certaine classe et quelques bonnes séquences de coup de tatanes de la part de JCVD.
Les contes de la lune vague après la pluie (Ugetsu monogatari, Kenji Mizoguchi - 1953) 8/10
Film fascinant, d'une grande richesse, qui ne se laisse pas saisir totalement dans son premier visionnage et sur lequel il est très difficile de mettre des mots.
Apollo 10 1/2: Les fusées de mon enfance (Apollo 10 1/2: A Space Age Adventure, Richard Linklater - 2022) 6/10
Après la déception de sa trilogie amoureuse j'étais quand même assez chaud pour ce film, étant plutôt amateur d'exploration spatiale. Loin d'être mauvais c'est quand même une petite déception par rapport à tout ce que j'en avais lu. La première partie est sympa mais ne décolle (hohoho) pas vraiment (c'est pas le but, certes) et ne me laissera probablement pas grand souvenir. Quant à la seconde partie plus accès mission Apollo j'ai trouvé ça un peu fouillis dans ce mélange entre réalité et fiction.
Les Visiteurs (Jean-Marie Poiré - 1973) 7/10
ènième visionnage, je ne m'en lasse pas, c'est à la fois lamentable (certains cadrage, mon dieu...) et formidable.
Citizen Kane (Orson Welles - 1941) 8/10
J'ai enfin découvert ce monument, non sans une pointe d'appréhension, d'être déçu, et d'avoir un classique (et pas n'importe lequel) de moins à découvrir.
Comme candygirl je m'étais toujours préservé d'en apprendre trop à son sujet. J'ai ainsi été assez surpris, principalement par la vitalité du film, de sa mise à scène, par son foisonnement que ce soit technique ou dans les sujets traités et la manière de le faire.
J'avais vu quelques jours plus tôt un autre très gros classique, avec Les contes de la lune vague après la pluie, qui m'a également fait un gros effet. Lui aussi est d'une richesse tel qu'il me parait difficile de l'absorber en un seul visionnage. Mais là où l'abondance des genres forme un tout extrêmement cohérent où rien ne dépasse chez Mizoguchi, une unité si parfaite qu'elle semble insaisissable, inexplicable (par moi, en tout cas), chez Welles j'ai eu l'impression que ça "débordait" de partout.
Et je ne dis pas ça du tout dans un sens péjoratif, d'autant plus, qu'au final, le film est tout aussi cohérent, mais il partage l'exubérance et la folie des grandeurs de son personnage principal, et on se sent vite tout petit et un peu débordé par tout cela. En tout cas cela a été mon sentiment, l'impression de me faire noyer sous 10 idées à la minute, voir le puzzle se construire peu à peu mais sans arriver à tout suivre, à tout bien discerner. Mais l'envie d'y retourner pour ausculter chacune des pièces du puzzle et pour l'admirer d'autant mieux dans sa globalité.
D'où un "timide" 8/10 (comme au Mizoguchi d'ailleurs) en attendant les prochains visionnages.
Car si ce sont des classiques sur lesquels certains ont des a priori (type "ça doit être chiant") totalement faux puisque les deux sont tout à fait abordable et facile d'accès, je les ai en revanche trouvé assez difficile à saisir, pour des raisons opposées. Mais totalement fascinant.
Sans un bruit 2 (A quiet place II, John Krasinski - 2020) 6/10
Agréable visionnage, avec quelques bons moments de suspens (Krasinski aime les montages parallèles apparemment) mais qui est quand même ultra balisé. On se croirait parfois devant une série TV type walking dead. Et beaucoup trop de plans juste là pour "en jeter".
Rêve de singe (Ciao maschio, Marco Ferreri - 1978) 3/10
J'avais été assez intrigué par certains affiches et images du film. Ainsi que son pitch prenant place dans une sorte de New York post-apo. A noter que c'était mon premier Marco Ferreri et que je comprends dorénavant mieux sa réputation de provocateur notamment sur le tout début que j'ai trouvé grotesque. Ensuite, je comprends qu'on puisse y trouver un peu de poésie , avec le singe, un touchant Mastroianni, mais il faut passer outre le reste. Et je me suis quand même pas mal ennuyé.
Mon homme Godfrey (My Man Godfrey, Gregory La Cava - 1936) 8/10
Une excellente screwball comedy, superbement rythmée et incarné (notamment le duo William Powell / Carole Lombard), et qui porte parfaitement son qualificatif de "comédie loufoque" à la vue de la famille Bullock. La première partie m'a pas mal étonné par sa critique sociale assez frontale de la haute bourgeoisie, en l'opposant en plus aux victimes de ce système (surtout dans les années 30). A ce niveau je regrette un peu le "twist" concernant le protagoniste principal, et le final adoucit un peu l'ensemble à mes yeux (même sentiment que devant certains Capra qui finissent par se désamorcer un peu), mais pour les USA et l'époque ça reste quand même très fort.
Cinquième set (Quentin Reynaud - 2020) 6/10
Plutôt une bonne surprise que ce film sur un ancien espoir (fictif) du tennis français qui aura passer tout sa carrière dans le bas du classement, avant un peut être dernier coup d'éclat. Ca fonctionne vraiment bien, entre le film de sport, le drame intimiste, tout est superbement porté par Alex Lutz et une mise en scène qui sait bien alterner ses ambiances et rendre les matchs palpitants.
Charade (Stanley Donen - 1963) 9/10
Gros coup de coeur pour ce film mélangeant habillement la comédie, la romance et le film à suspens. J'ai été totalement sous le charme de son duo Cary Grant / Audrey Hepburn (j'ai d'ailleurs apprécié que la différence d'âge soit ouvertement évoqué), des dialogues ciselés, du scénario qui nous offres de nombreux rebondissements sans jamais nous lasser (à la limite le dernier était le moins nécessaire). Bref une comédie pleine de fraîcheur faite avec une très grande maîtrise, qui n'a pas pris une ride.
Tenue de soirée (Bertrand Blier - 1986) 3/10
Je crois que Blier c'est vraiment pas mal tasse de thé. Le premier tiers est particulièrement pénible, c'est vulgaire et bien lourd. Je vais toujours au bout des films que je commence, mais là j'avais sacrément envie de passer à autre chose. Heureusement ça s'améliorer un peu par la suite mais ça reste un visionnage désagréable voir assez détestable (ça m'étonnerais pas que Blier soit un amateur de L-F Céline, que je trouve tout aussi détestable).
Mourir peut attendre (No Time to Die, Cary Joji Fukunaga - 2021) 5/10
Je ne suis pas spécialement fan de la franchise, je n'ai d'ailleurs toujours pas vu Spectre.
J'étais un peu plus intrigué par celui ci pour CJ Fukunaga dont j'avais bien apprécié Jane Eyre et surtout Sin Nombre (je n'ai pas vu les films fait entre temps mais il me semble avoir plutôt bonne presse).
Pour commencer par du positif et la bonne surprise : Léa Seydoux. Sans être son plus grand détracteur j'ai souvent un peu de mal avec elle et là j'ai été assez conquis, je l'ai trouvé très juste et même touchante, c'est dire ! C'est probablement ce que je retiendrais le plus de ce James Bond.
Ana de Armas bien sûr, même si plus anecdotique vu que c'est une parenthèse sans réel enjeux.
Les décors, naturels ou non sont assez magnifiques, notamment dans la dernière partie, dommage que la photo soit un peu peu fade.
La mise en scène de l'action est réussi, même si parfois ridicule vu le nombre de balles qui semble passer à travers 007 (ça m'a encore plus marqué que d'habitude, sa chance monstrueuse).
La scène d'intro est sympa, avec une ambiance horrifique enneigé mais elle reprend hélas un peu tous les poncifs du genre donc est ultra prévisible.
J'ai longtemps cru que je ne bitais rien au scénario du fait de ne pas avoir vu Spectre. Alors ça n'a pas du aidé mais finalement je crois que c'est simplement mal écrit et très confus, surtout autour de Safin et de ce qui entoure Héracles.
Et pour le dénouement de l'ère Craig la fin est un peu mouais. Je la trouve pas raté, mais un peu facile.
Ah et Lashana Lynch c'est une catastrophe...
Malgré tout ça les 2h40 passent pas trop mal, mais plus en mode vignette qui te font voyager à travers le monde. Car je n'ai jamais ressenti les enjeux et la tension. Dommage car le sujet pouvait donner des choses intéressantes, j'ai même eu un petit espoir quand ça parle de mise en quarantaine pour certains etc. Mais l'écriture, en plus d'être confuse, est bourré de facilité scénaristique (bien pratique ce ciblage ADN).
Diamants sur canapé (Breakfast at Tiffany’s, Blake Edwards - 1961) 8/10
Malgré un Mickey Rooney très gênant, le film conserve une très belle fraicheur teinté de mélancolie par les deux personnages principaux dont la relation est fort bien écrite, jusqu'à ce superbe final.
Bac Nord (Cédric Jimenez - 2020) 5/10
Tout ce bruit pour ça ? C'est pas trop mal fait, sans rien révolutionné non plus. Après je comprends que le film suscite le débat. Je ne doute pas qu'il montre une part de vérité, mais la manière de la montrer, sans trop de contexte, évidemment ça dit des choses. Et n'ayant jamais considéré aucun art comme étant au dessus du reste (il reste le produit de leur société, et en retour ils ont un impact sur celle ci, même minime), je trouve ça problématique, mais je m'attendais à pire. En fait le plus gênant c'est à mes yeux la dernière partie (la moins passionnante aussi).
OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire (Nicolas Bedos - 2021) 4/10
Tout fait plus lourd, plus poussif dans cet opus. Même Dujardin semble avoir parfois moins de recul dans l'incarnation de son personnage. Ca donne un résultat assez grossier, rien de très étonnant venant de Bedos.
Sonate d'automne (Höstsonaten, Ingmar Bergman - 1978) 6/10
Sentiments partagés, c'est un beau film, un beau portrait de femme, mais c'est aussi une nouvelle fois très théorique et surtout ça tourne finalement à un empilement de drames un peu forcé. Je ne me suis pas ennuyé mais je n'ai jamais été embarqué émotionnellement avec les personnages.
Le septième sceau (Det sjunde inseglet, Ingmar Bergman - 1957) 8/10
Visuellement sublime, le film m'a laissé un petit peu sur ma fin. Comme avec les 3 autres Bergman que j'ai vu, il y a de belles choses, des réflexions très intéressantes, mais je reste spectateur, ça fait très théorique et j'arrive pas à m'impliquer totalement dans le film. Celui ci est peut être celui où j'y suis le plus parvenu, mais pas intermittence, certaines séquences me sortant en partie du film. J'ai néanmoins l'impression qu'il vieillit bien dans mon esprit.
Le Secret de la pyramide (Young Sherlock Holmes, Barry Levinson - 1985) 6/10
Sympathique film où on s'amuse, surtout dans la première partie, des nombreuses ressemblances avec l'univers d'Harry Potter. Hélas le film ne décolle jamais vraiment, ça reste gentillet tout en tirant un peu en longueur. Et le personnage féminin est totalement sous exploité, c'est dommage. En revanche le score de Bruce Broughton est une merveille.
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
Je découvre
Je revois
Je redécouvre ou Je réévalue
Films :
Le Grand Silence (1968) / Sergio Corbucci _ 7
Le Bel Antonio (1960) / Mauro Bolognini _ 6
Swimming with Sharks (1994) / George Huang _ 6
Rock-o-Rico (1991) / Don Bluth _ 4
Contes du hasard et autres fantaisies (2021) / Ryusuke Hamaguchi _ 6
Dark Water (2002) / Hideo Nakata _ 5
Pleasure (2021) / Ninja Thyberg _ 4
High Fidelity (2000) / Stephen Frears _ 5
Deliver Us From Evil (2020) / Hong Won-chan _ 6
First Cow (2019) / Kelly Reichardt _ 7
Les Chasseurs de scalps (1968) / Sydney Pollack _ 6
Retrospective Fabrice Du Welz :
1•
2• Alléluia (2014) / Fabrice Du Welz _ 7
3• Inexorable (2021) / Fabrice Du Welz _ 7
4• Message from the King (2016) / Fabrice Du Welz _ 7
5• Calvaire (2005) / Fabrice Du Welz _ 6
6• Colt 45 (2014) / Fabrice Du Welz _ 6
7• Adoration (2019) / Fabrice Du Welz _ 5
8• Quand on est amoureux, c'est merveilleux (1999) / Fabrice Du Welz _ 4
Séries :
Friends Saison 1 (1994) / David Crane et Marta Kauffman _ 9
œuvre(s) du mois :
Je revois
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Le Grand Silence (1968) / Sergio Corbucci _ 7
Le Bel Antonio (1960) / Mauro Bolognini _ 6
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Retrospective Fabrice Du Welz :
1•
2• Alléluia (2014) / Fabrice Du Welz _ 7
3• Inexorable (2021) / Fabrice Du Welz _ 7
4• Message from the King (2016) / Fabrice Du Welz _ 7
5• Calvaire (2005) / Fabrice Du Welz _ 6
6• Colt 45 (2014) / Fabrice Du Welz _ 6
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
Par ordre de préférence :
Tendresse (George Stevens, 1948) ***** FILM DU MOIS
Le lâche (Satyajit Ray, 1965) ****
L’extravagant Mr Ruggles (Leo McCarey, 1935) ****
Othello (George Cukor, 1947) ****
Illusions perdues (Xavier Giannoli, 2021) ****
Les trois visages de la peur (Mario Bava, 1963) ****
Apollo 10 ½ - Les fusées de mon enfance (Richard Linklater, 2022) ****
Au Bonheur des Dames (Julien Duvivier, 1930) ****
Les quatre filles du docteur March (George Cukor, 1933) ****
Les aventures des Pieds nickelés (Émile Cohl, 1917-18, c.m.) ****
Jeanne d’Arc (Georges Méliès, 1900, c.m.) ***
Le repas (Mikio Naruse, 1951) ***
Peaux de vaches (Patricia Mazuy, 1989) ***
Locataires (Kim Ki-duk, 2004) ***
Les chasseurs de scalps (Sydney Pollack, 1968) ***
Sans laisser d'adresse (Jean-Paul Le Chanois, 1951) ***
The Batman (Matt Reeves, 2022) ***
L’engrenage (Louis Feuillade, 1919) ***
L'apiculteur (Theo Angelopoulos, 1986) ***
Pipicacadodo (Marco Ferreri, 1979) ***
La pensionnaire (Alberto Lattuada, 1954) **
La meilleure bobonne (Marc Allégret, 1931, c.m.) **
La peau (Liliana Cavani, 1981) **
Judith Therpauve (Patrice Chéreau, 1978) **
Au diable la misère (Gennaro Righelli, 1945) **
Belfast (Kenneth Branagh, 2021) **
Les 13 fiancées de Fu Manchu (Don Sharp, 1966) **
Dernière danse (Bruce Beresford, 1996) **
Un certain monsieur… (Yves Ciampi, 1950) **
Le masque de Fu Manchu (Don Sharp, 1965) **
Le jardinier d’Argenteuil (Jean-Paul Le Chanois, 1966) *
Zorba le Grec (Michael Cacoyannis, 1964) *
Une robe noire pour un tueur (José Giovanni, 1981) *
Jamais entre amis (Leslye Headland, 2015) *
Grabuge (Jean-Pierre Mocky, 2005) *
RE-VISIONS
La lettre du Kremlin (John Huston, 1970) *** →
La guerre est finie (Alain Resnais, 1966) *** →
La gifle (Claude Pinoteau) *** →
Tendresse (George Stevens, 1948) ***** FILM DU MOIS
Le lâche (Satyajit Ray, 1965) ****
L’extravagant Mr Ruggles (Leo McCarey, 1935) ****
Othello (George Cukor, 1947) ****
Illusions perdues (Xavier Giannoli, 2021) ****
Les trois visages de la peur (Mario Bava, 1963) ****
Apollo 10 ½ - Les fusées de mon enfance (Richard Linklater, 2022) ****
Au Bonheur des Dames (Julien Duvivier, 1930) ****
Les quatre filles du docteur March (George Cukor, 1933) ****
Les aventures des Pieds nickelés (Émile Cohl, 1917-18, c.m.) ****
Jeanne d’Arc (Georges Méliès, 1900, c.m.) ***
Le repas (Mikio Naruse, 1951) ***
Peaux de vaches (Patricia Mazuy, 1989) ***
Locataires (Kim Ki-duk, 2004) ***
Les chasseurs de scalps (Sydney Pollack, 1968) ***
Sans laisser d'adresse (Jean-Paul Le Chanois, 1951) ***
The Batman (Matt Reeves, 2022) ***
L’engrenage (Louis Feuillade, 1919) ***
L'apiculteur (Theo Angelopoulos, 1986) ***
Pipicacadodo (Marco Ferreri, 1979) ***
La pensionnaire (Alberto Lattuada, 1954) **
La meilleure bobonne (Marc Allégret, 1931, c.m.) **
La peau (Liliana Cavani, 1981) **
Judith Therpauve (Patrice Chéreau, 1978) **
Au diable la misère (Gennaro Righelli, 1945) **
Belfast (Kenneth Branagh, 2021) **
Les 13 fiancées de Fu Manchu (Don Sharp, 1966) **
Dernière danse (Bruce Beresford, 1996) **
Un certain monsieur… (Yves Ciampi, 1950) **
Le masque de Fu Manchu (Don Sharp, 1965) **
Le jardinier d’Argenteuil (Jean-Paul Le Chanois, 1966) *
Zorba le Grec (Michael Cacoyannis, 1964) *
Une robe noire pour un tueur (José Giovanni, 1981) *
Jamais entre amis (Leslye Headland, 2015) *
Grabuge (Jean-Pierre Mocky, 2005) *
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La lettre du Kremlin (John Huston, 1970) *** →
La guerre est finie (Alain Resnais, 1966) *** →
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top 10, top de tous les temps, films ***** par année
top film par année
actrices, acteurs de l'année
mucho, mucho, mucho nullos
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Re: Votre film du mois d'Avril 2022
Film du mois
Sorties 2022
Mort sur le Nil (4/10)
Apollo 10 1/2 (Netflix) (8/10)
Moonfall (4/10)
The Contractor (Amazon Prime) (5,5/10)
Le Couteau par la lame (Amazon Prime) (5/10)
Freaks out (6,5/10)
Cyrano (5,5/10)
Découvertes
Oranges sanguines (6/10)
La pièce rapportée (4,5/10)
Les magnétiques (7/10)
On est fait pour s'entendre (6,5/10)
Le milieu de l'horizon (4,5/10)
La déesse des mouches à feu (6/10)
Petite soeur (6,5/10)
Où est Anne Frank ! (6/10)
L'affaire collective (7/10)
Il est trop bien (Netflix) (3/10)
Février (4,5/10)
Le Père de Nafi (5/10)
The Last Hillbilly (6/10)
Détour Mortel : La Fondation (Wrong turn)(VOD) (5,5/10)
143 Rue du Désert (5/10)
De son vivant (6/10)
Great white (VOD) (3,5/10)
Meurtrie (VOD) (5,5/10)
Les Tuche 4 (2,5/10)
Une femme du monde (6/10)
La nuit des rois (4/10)
La panthère des neiges : (5,5/10)
Caveat (VOD) (4/10)
Pleasure (6/10)
Haut et fort (4,5/10)
The stylist (VOD) (4/10)
Madeleine Collins (5/10)
Les choses humaines (6,5/10)
La fièvre de Petrov (5/10)
l n’y aura plus de nuit (6/10)
Freda (5/10)
Chère Léa (5/10)
Prisoners of ghostland (3,5/10)
Le test (5,5/10)
Aya et la sorcière (4/10)
Séries TV
Sorties 2022
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Le Couteau par la lame (Amazon Prime) (5/10)
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Le milieu de l'horizon (4,5/10)
La déesse des mouches à feu (6/10)
Petite soeur (6,5/10)
Où est Anne Frank ! (6/10)
L'affaire collective (7/10)
Il est trop bien (Netflix) (3/10)
Février (4,5/10)
Le Père de Nafi (5/10)
The Last Hillbilly (6/10)
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Une femme du monde (6/10)
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La panthère des neiges : (5,5/10)
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La fièvre de Petrov (5/10)
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Freda (5/10)
Chère Léa (5/10)
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