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Test blu-ray
Image de la jaquette

Tuer n'est pas jouer

BLU-RAY - Région B
20th Century Fox
Parution : 26 septembre 2012

Image

Parmi les opus bondiens produits durant les années 80, la période Timothy Dalton est peut-être la mieux lotie. Le bond en avant depuis le DVD est gigantesque, on n'avait pas été aussi étonnés depuis le transfert HD de L'Espion qui m'aimait. En dehors d'un bon grain cinéma typique des années 1980, le film gagne énormément en contrastes et en précision... Il en ressort des couleurs très travaillées, beaucoup plus que sur DVD. Le jaune orangé du désert afghan est plus prononcé, un peu plus rafraichi aussi (nous sommes bien entendu dans des nuances un peu plus froides que durant les années 1970). Le visage abrupt de Dalton est bien plus probant, laissant à voir un grain de peau et des cernes parfois bien marquées. Pas de doute, le Blu-ray donne à l'acteur un air plus sombre encore, plus viril aussi. C'est aussi l'occasion de se rendre compte à quel point la réalisation de John Glen est élégante et bien pensée, avec ses focales intéressantes et sa profondeur de champ variable désormais très visibles. Chapeau, Tuer n'est pas jouer n'a jamais été aussi beau, et de très loin !

Son

Au niveau sonore, la version originale ne démérite pas. Une piste DTS-HD Master Audio 5.1 de grande classe, très dynamique (y compris et surtout concernant la partie explosive en Afghanistan, très impressionnante) et sans aucun effet superficiel ajouté. La version française progresse quelque peu comparée aux précédentes pistes françaises de la saga. Les voix paraissent légèrement moins étouffées et mieux s'inscrire au sein de l'ambiance générale. On est encore à dix bonnes coudées en-dessous de la version originale, mais c'est une amélioration à noter. Préférez la VO toutefois, comme d'habitude, afin de profiter en ces lieux de la voix si caractéristique de Timothy Dalton, à la fois ample et profonde.

Suppléments


COMMENTAIRE MI6

A venir.

LES DESSOUS DU MI6

Scènes inédites présentées par le réalisateur John Glen

- Le tapis volant (1 min 38 - 16/9 - DD mono 2.0 - VOST - 1986)
Dans le marché de Tanger, James Bond utilise un tapis comme l'un des nombreux modes de locomotion à sa disposition afin d'échapper à ses poursuivants. C'est une idée que le réalisateur avait eue durant la préparation du film et dont la mise en œuvre l'a finalement déçu en raison de problèmes techniques et de par son manque de dynamisme. La vision de cette séquence se révèle néanmoins assez amusante avec cet effet "tapis volant" sur lequel circule tranquillement un Bond très serein au milieu d'une population aux yeux écarquillés.

- Le labo de Q - scène rallongée (49 s - 16/9 - DD mono 2.0 - VOST - 1986)
Il s'agit d'une simple prise alternative - et un peu plus longue - à la séquence du film que l'on connaît.

Scènes supprimées de la course-poursuite sur glace (8 min - 16/9 - DD mono 2.0 - VOST - 1986)
John Glen commente les images (qui sont des rushes montés de plans tournés sous des angles différents) de la séquence de course-poursuite entre James Bond et la police d'Allemagne de l'Est filmée par Arthur Wooster, réalisateur de la seconde équipe, avec qui il avait mis au point les story-boards. La réalisateur parle de leur longue collaboration à distance et de ses volontés précises qui pouvait aboutir à un retournage de certains plans, ainsi que de la difficulté et des gros risques inhérents à un tournage sur un lac gelé. Glen insiste également sur la confiance qu'il témoigne envers Wooster quand celui-ci se met à improviser des plans susceptibles d'enrichir la scène.


Joyeux anniversaire, 007 (47 min 48 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 1987)
Ce documentaire américain produit par la département télévision de MGM/UA est consacré aux 25 ans de James Bond au cinéma. Pour fêter cet anniversaire, Roger Moore s'est prêté au jeu et c'est lui-même qui nous accueille et qui est ensuite chargé par les auteurs du film (le producteur et réalisateur Mel Stuart et le scénariste Richard Schickel, le célèbre critique et historien du cinéma) de nous faire voyager dans les aventures de l'agent 007 à l'écran grâce à une série de petites saynètes amusantes tournées pour l'occasion. On se rendra vite compte que ce documentaire n'est pas à prendre véritablement au sérieux, et qu'il se destine surtout à divertir les fans de la saga en montrant de très nombreux extraits des films (même si recadrés et aux couleurs pas toujours conformes aux originales) - de Dr. No jusqu'à Dangereusement vôtre - suivant un schéma correspondant à quelques thèmes choisis propres. Introduits par notre hôte Roger Moore, toujours aussi à l'aise dans l'humour et les sous-entendus de toutes sortes, on aborde ici les super-méchants racés et cruels, leurs repaires grandioses et extravagants, leurs stratagèmes meurtriers extraordinaires visant à tuer 007 et bien sûr leur élimination par Bond, les inventions innombrables de Q, la culture précise et diversifiée de l'agent secret, le Bond séducteur à la main de fer dans un gant de velours et ses diverses conquêtes féminines (amicales, traîtresses ou ennemies), le Bond coriace, menaçant et combattif avec une habileté et une ruse à toute épreuve face à ses adversaires ainsi que les aptitudes exceptionnelles de 007 pour skier et piloter tous types de véhicules. Ce documentaire plaisant s'achève sur la présentation de Timothy Dalton pour ses débuts dans Tuer n'est pas jouer avec deux courts extraits d'interview de Dalton et quelques images du tournage.


Featurettes des 25 ans de James Bond
Ces quatre petits reportages promotionnels (soit des featurettes en anglais) mettent chacun l'accent sur un sujet précis en nous offrant rapidement quelques images du tournage du film. A l'occasion des 25 ans de James Bond au cinéma et de la sortie de Tuer n'est pas jouer avec un nouveau visage pour l'agent secret 007, le premier reportage met à l'honneur le célèbre producteur Cubby Broccoli (1 min 28 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST) qui défend avec conviction son choix pour Timothy Dalton ; Maryam d'Abo (1 min 15 - DD mono 2.0 - VOST) nous présente la nouvelle James Bond girl, ancienne mannequin, et la met en perspective avec ses sculpturales aînées ; Autour du monde avec 007 (1 min 31 - DD mono 2.0 - VOST) donne un court aperçu des différents lieux parcourus par cette nouvelle aventure (Afghanistan, les Alpes, Bratislava, Tanger, Gibraltar) dans la grande tradition des films de James Bond ; et enfin, dans La nouvelle voiture de Bond (1 min 58 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST), le comédien Desmond Llewelyn (Q) nous parle de la fameuse Aston Martin DB 25 de Goldfinger avant que l'on nous présente le nouveau véhicule du héros, l'Aston Martin Volante, avec ses gadgets embarqués et sa conduite plutôt sportive.

Timothy Dalton : le nouveau James Bond/conférence de presse de Vienne (4 min 22 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 1987)
Dans ce bref extrait de conférence de presse, Timothy Dalton, Albert Broccoli, John Glen, Jeroen Krabbe et Maryam d'Abo parlent du personnage du Bond, de la touche personnelle nécessaire apportée par le nouveau comédien, de leur plaisir à jouer dans le film ainsi que de l'importance culturelle de cette franchise pour le cinéma britannique.

Interview de Dalton et d'Abo (5 min 25 - 16/9 - DD mono 2.0 - VOST - 1987)
Ce module est présenté sous la forme d'une interview croisée des deux comédiens principaux qui s'expriment sur l'importance de la saga James Bond et du personnage dans la culture britannique, sur les différentes qualités qu'ils trouvent aux films, sur leur expérience personnelle dans Tuer n'est pas jouer et sur la future réception du film par le public.

Timothy Dalton parle du métier d'acteur (6 min 54 - 16/9 - DD mono 2.0 - VOST - 1987)
Le comédien britannique parle de sa vocation, de ses tout débuts dans Le Lion en hiver avec ses premiers jours de tournage et la générosité de Katharine Hepburn. On le sent principalement attaché à l'honnêteté dans son travail et à l'énergie qu'il lui associe. Il aborde ensuite son statut d'acteur à une certaine période de sa carrière, le dernier film de Mae West en 1976 qui comportait un casting impressionnant, et enfin le besoin qu'il a éprouvé d'étudier la saga James Bond. Il est dommage de n'avoir accès qu'à quelques extraits d'une longue interview qui semble plutôt intéressante et dans laquelle se dévoile Timothy Dalton, un acteur que l'on connaît finalement assez peu.

Les missions 007

Ce qui se présente comme un guide interactif est en fait une sorte d'index compilant des extraits (en VO ou en VF, mais sans sous-titres) qui se veulent significatifs de Tuer n'est pas jouer. Les sept entrées habituelles sont les suivantes :
- 007 (6 extraits) : Le canon / Les génériques (celui du début, avec et sans texte) / Le nouveau 007 (2 extraits : Un premier aperçu de 007, Bond, James Bond).
- Les femmes : Linda (1 extrait) / Kara Milovy (7 extraits).
- Les alliés : M (4 extraits) / Miss Moneypenny (2 extraits) / Q (3 extraits) / Saunders (7 extraits).
- Les méchants : Georgi Koskov (7 extraits) / Necros (5 extraits) / Brad Whitaker (3 extraits).
- Le manuel de combat, 6 extraits : Tuer l'imposteur / Quelques options / La fuite par le toit / Evasion afghane / Lutte dans les airs/ La confrontation finale avec Whitaker.
- Le labo de Q, 5 extraits : L'éclate-ghetto / Le détecteur d'armes / Le porte-clés siffleur (4 extraits) / L'Aston Martin Volante / Les jumelles.
- Des lieux de tournage exotiques (4 min) : l'actrice Samantha Bond (interprète de Miss Moneypenny dans les quatre James Bond tournés par Pierce Brosnan) commente en voix off un montage d'extraits du film et présente les lieux du tournage situés dans les localités suivantes : le rocher de Gibraltar, Etats-Unis, Angleterre (Henley-On-Thames), Autriche (Vienne, le lac Weissensee) et Maroc (Tanger, Ouarzazate).

Les dossiers

Les coulisses de tuer n'est pas jouer (33 min 32 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 2000)
Le visage de James Bond change mais pas la forme du making of, toujours habilement conçu par l'équipe John Cork / Bruce Scivally / David Naylor et commenté par l'acteur Patrick MacNee. On continue ainsi d'explorer la formidable machine bondienne grâce au concours d'images d'archives et de tournage toujours aussi éloquentes, d'interviews croisées, d'extraits du film et de très nombreuses photographies. Le montage de ce documentaire s'avère comme de coutume très vivant et intelligemment construit, et l'on en ressort gavé d'informations (parfois certains intervenants ne servent à rien, comme l'actrice principale avec ses propos insignifiants, mais c'est heureusement plutôt rare). Les personnalités invitées à s'exprimer sur Tuer n'est pas jouer sont : Dana Broccoli, le producteur et coscénariste Michael G Wilson, le réalisateur John Glen, le directeur de production Anthony Waye, le directeur de la photographie Alec Mills, Timothy Dalton (entretien d'époque), les comédiens Jeroen Krabbe, Andreas Wisnewski, Joe Don Baker et Maryam d'Abo, le superviseur des effets spéciaux John  Richardson, le chef décorateur Peter Lamont, le réalisateur de seconde équipe Arthur Wooster, le superviseur des cascades Paul Weston, les cascadeurs Simon Crane et Vic Armstrong, les cascadeurs aériens Jake Lombard et B.J. Worth, le monteur John Grover, le directeur de marketing Charles Juroe et le spécialiste des effets spéciaux Chris Corbould.



Parmi les sujets abordés et les anecdotes évoquées, on trouve : la nouvelle incarnation de James Bond en ce milieu des années 80 avec le besoin d'évoluer avec son temps (nouvelle époque, nouvelles mœurs) ; l'écriture du script à l'aveugle (avant de connaître le nouveau visage de 007) à partir de la nouvelle de Ian Fleming ; l'adaptation du script au comédien avec le retour d'un Bond rude et humain ; le casting de Bond, avec l'essai de Sam Neill qui tient la corde sauf pour Broccoli qui voulait Timothy Dalton (déjà approché pour Au service secret de Sa Majesté) ; le test de Pierce Brosnan qui devait avoir le rôle avant d'être bloqué à la télévision ; le choix de Maryam d'Abo qui effectuait un test avec un candidat masculin ; le casting des autres comédiens ; le tournage à Gibraltar avec les cascades en parachute du pré-générique et celles effectuées par l'acteur principal ; la présentation à la presse de Timothy Dalton à Vienne ; le tournage au Prater, où John Glen avait débuté sur Le Troisième homme ; la cascade du combat sur le filet à l'arrière de l'avion-cargo ouvert (tournée aux Etats-Unis) ; le tournage à Tanger, avec le choix de la demeure du millionnaire Malcom Forbes et son imposante collection de soldats de plomb ; le tournage avec des maquettes à Ouarzazate et la cascade de la jeep grandeur nature ; l'abandon de la scène du "tapis volant" ; le tournage de la bataille à l'aéroport de Ouarzazate ; la construction de la maquette du pont (une maquette de premier plan extraordinaire) et sa réplique au studio de Pinewood pour son explosion ; l'hôpital de campagne destiné à assurer la sécurité de l'équipe de production ; la visite du Prince Charles et de Lady Diana sur le plateau de Pinewood ; le tournage de la scène de combat dans l'avion recréé en studio ; le tournage sur le lac gelé en Autriche avec la nouvelle Aston Martin ; l'étui à violoncelle servant de luge avec ses risques pour les comédiens ; la publicité pour le nouveau James Bond.



Ian Fleming : le créateur de 007 (43 min - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 2000)
Il a fallu attendre le retour au cinéma d'un Bond plus conforme au personnage du roman pour que l'édition vidéo du film correspondant (Tuer n'est pas jouer) propose un sujet sur le créateur du personnage. C'est peu dire que l'on attendait ce documentaire au sein de cette superbe collection consacrée à 007, et l'on n'est pas déçu par le résultat. Ecrit et réalisé par John Cork, donc suivant toujours la même méthodologie (un montage dynamique et didactique d'interviews croisées, d'extraits de films, d'images d'archives et de photographies), ce film lève le voile sur un personnage fascinant et mystérieux. De plus, Cork a l'intelligence de ne pas vraiment insister sur l'adaptation sur grand écran de ce mythe parmi les plus populaires du 20ème siècle ; ce qui l'intéresse avant tout, ce qu'il nous fait partager, c'est la personnalité de l'écrivain (son imagination débordante, son humour, sa débrouillardise, son goût du secret) et son parcours incroyable (Ian Fleming, s'il aurait voulu avoir 1 000 vies - il les connaîtra justement à travers les aventures de James Bond - a connu tout de même un destin hors du commun). C'est pourquoi quasiment toutes les personnalités interviewées (en 2000 ou lors d'un film daté de 1969) sont issues de son entourage proche (la famille, des amis, des compagnons de route, des collègues, des liaisons professionnelles) : ses nièces, sa belle-fille, son beau-fils, ses amis (hommes et femmes), son frère Peter, son cousin Christopher Lee, ses nombreux camarades de guerre (dont l'acteur Patrick MacNee), l'ex-directeur de l'intelligence navale, deux biographes (Andrew Lycett et John Pearson), des amis écrivains (Cyril Connoly et Noel Coward), son agent littéraire, trois éditeurs, son conseiller littéraire, le directeur de Playboy Hugh Heffner, le président de la Fondation Ian Fleming Michael Van Blaricum, et bien sûr Ian Fleming lui-même.



Construit sur un mode chronologique, ce documentaire évoque les origines familiales de l'écrivain (son père est mort à la Guerre 14-18), sa jeunesse avec la pression pour la réussite, son goût du sport, son tempérament rebelle (il est passé par plusieurs établissements scolaires), sa découverte de l'Autriche où il s'adonne au ski, au courses de voitures et à la séduction, son intérêt pour la littérature et l'écriture, ses débuts comme journaliste à l'agence Reuters, sa vie de playboy, sa collection de livres rares, son entrée au service de renseignements de la marine (il assiste à la débâcle française de 1940, joue au casino au Portugal contre des agents allemands de l'Abwehr - ce qui sera la source de Casino Royale), entraîne des commandos et organise leurs missions), la perte de son frère au début de la Guerre 39-45, son amitié avec Noel Coward, sa découverte de la Jamaïque où il finira par acheter une propriété (nommée Goldeneye), sa pratique de la plongée sous-marine. Comme un fil rouge nous est contée sa romance compliquée avec Lady Rothermere à travers de longues années, jusqu'à un mariage et la naissance d'un enfant en 1952. Un couple qui finira par se déchirer (son épouse mène une vie de grande dame en société alors que Fleming fuit les réceptions mondaines et littéraires) et la Jamaïque servira de refuge 3 mois par an pour l'écrivain. Enfin, le film aborde logiquement par le processus d'écriture d'un roman d'action et d'espionnage mettant en scène un personnage dont le nom est emprunté à un ornithologue : la création de James Bond prolonge ainsi en rêve l'amour d'Ian Fleming pour l'aventure et pour la liberté. Le succès critique est immédiat, James Bond paraît même sous la forme d'une bande dessinée, la publication se fait dans le monde entier (aux USA, Playboy publie sa première nouvelle), John Fitzgerald Kennedy apparaît publiquement avec un roman de Bond (Fleming rencontrera même le futur président par la suite). Le romancier est ravi du choix de Sean Connery pour incarner son héros, et le succès de Dr. No est tel que les ventes de ses romans explosent. Le documentaire s'achève par l'héritage de James Bond à travers les aspects des romans et du héros, alors que Ian Fleming, malade et ne cessant de mener une hygiène de vie imprudente, finit par s'éteindre prématurément le 12 août 1964.



Vidéoclip de A-HA : The Living Daylights (4 min 20 - 4/3 - DD mono 2.0 - VO - 1987)
Réalisé à nouveau par Steve Barron (le célèbre clip de Take on Me, le film Electric Dreams en 1984), ce vidéoclip de la chanson titre du 15ème James Bond mêle avec réussite (et parfois avec un kitsch assumé) les extraits du film aux idées bien typiques du réalisateur qui firent - brièvement - sa gloire dans les années 80. De son côté, le groupe A-Ha (qui se produit sur le 007 Stage) était alors à son sommet en terme artistique comme commercial, et les nostalgiques pourront se repasser ce court métrage à satiété compte tenu du fait que cette chanson fait partie de la crème des titres pop de la saga James Bond.

Le tournage du vidéoclip de "The Living Daylights (3 min 52 - 4/3 - DD mono 2.0 - VO - 1987)
Comme dernière curiosité de cette section, nous avons même droit au - très court - making of du clip de A-Ha. Les membres du groupe sont interrogés sur leur intérêt pour James Bond et leur implication dans ce film, et l'on aperçoit même l'immense John Barry s'exprimer également sur leur collaboration fructueuse. Enfin, quelques images de tournage nous sont proposées.

Le ministère de la propagande

Les archives de cinéma

Cette section comporte trois films-annonces (DD mono 2.0 - VOST) : Accroche nord-américaine (1 min 20 - 2.35 16/9) / Accroche britannique (1 min 38 - 1.66 4/3) / Bande-annonce de sortie (2 min 44 - 2.35 16/9).

La banque d'images

Cette section comporte une galerie de photos conséquente divisée en 13 chapitres sur deux pages et introduite par un très court texte de présentation : Timothy Dalton / Maryam d'Abo / La présentation du nouveau 007 / Les méchants / Les alliés / Gibraltar / Tchèque et mat, Gambit à Vienne / Mort aux espions / Afghanistan / Hercule / Les coulisses / Beauté exotique / Marketing. Tous les chapitres sont présentés par un texte plus ou moins court (à droite de la première photo). Et comme d'habitude, on se doit de déplorer que les photographies ne sont pas présentées en plein écran pour nous permettre une consultation optimale...

Par Julien Léonard (technique) et Ronny Chester (bonus) - le 16 février 2013