Jeudi 16 mars à 20h00 sera présenté à la Cinémathèque française un film japonais rare et passionnant : Ombres en plein jour. L'occasion pour Anthony Plu d'évoquer l'oeuvre de son réalisateur, Tadashi Imai, grand oublié des cinéastes japonais. Dans le cadre de l'Exposition L'Ecran japonais Projection du film le Jeudi 16 mars 2017, 20h00 - Salle Jean Epstein (123 min)
L'expression "cirque médiatique" pourrait avoir été inventée pour le carnaval voyeuriste que Billy Wilder met en scène dans Le Gouffre aux Chimères (qui ressort en salles sur initiative de Swasbuckler Films). Kirk Douglas en journaleux prêt à vendre sa mère pour un scoop y trouve l'un de ses meilleurs rôles, son Chuck Tatum exploitant la situation d'un travailleur coincé dans des décombres rocheux,…
Vivre sa Vie (qui ressort ce mercredi en salles, distribué par Solaris) est un titre de la filmographie de JLG que les non-godardiens parfois lui concèdent (n'essayez pas avec eux Passion ou Nouvelle Vague, ou plutôt si : tentez pour voir). En douze tableaux annoncés par son sous-titre, Godard filme l'aimée, Anna Karina, en prostituée parisienne, sur la base de recherches faites auprès de filles du…
Les vacances scolaires sont l'occasion pour le jeune public de découvrir la plus fidèle et réussie des adaptations du classique de Rudyard Kipling. Le Livre de la jungle est l'illustration parfaite de la féérie et de l'inventivité des grandes productions d'évasion d'Alexander Korda. Faste des décors, couleurs flamboyantes, révélation de l'attachant enfant-acteur Sabu : Le Livre de la jungle déploie…
On retiendra tout d’abord de Du silence et des ombres (qui ressort en salles ce mercredi chez Lost Films) un générique d’ouverture plaçant son drame citoyen sous des signes de l’enfance. Adaptation du prix Pulitzer, partiellement autobiographique, de Harper Lee (To Kill a Mockingbird) sur un avocat, Atticus Finch (Gregory Peck), défendant un Noir (Brock Peters) accusé - à tort - d’un viol, basé sur…
Splendor Films ressort cette semaine un classique encore trop méconnu du cinéma d’animation avec Brisby et le Secret de NIMH. Il s’agit de l’œuvre la plus accomplie et personnelle de Don Bluth, enfant de Disney qui, à la manière de Tim Burton quelques années plus tard, claque la porte du studio qui vit alors l'une de ses périodes créatives les plus pauvres. La magie, les valeurs positives et l’inventivité…