Embrasse-moi, idiot !
A la fin de l’année 1964, la sortie d’Embrasse-moi, idiot fut précédée d’un déferlement exceptionnel d’animosité, tant de la part de la critique que de la censure : la Legion of Decency, relative au Vatican, parla d’une « pièce tout à fait sordide, aussi esthétiquement que moralement répugnante » et attribua au film sa première condamnation depuis 1956 (et Baby Doll d’Elia Kazan). Une fois sorti,…