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C’est la fête aux griffures dans un master que l’on peut qualifier de passablement cheap. Il n'y a pas de gros problèmes d’encodage et la définition est correcte, respectant les teintes typiques de l’esthétique "cronenberguienne" des années 80. Les passages les plus sombres sont évidemment les plus frustrants (en témoigne la dernière rencontre avec Bianco O’Blivion). Service minimum donc pour un film qui méritait meilleur traitement.
Son
Il n'y a pas de souffle ou de défauts notables sur ces pistes mono d’origine, mais la richesse du sound design aurait là encore permis un rendu d’un autre acabit.
Suppléments
Seule une bande-annonce d’époque est proposée, qui ravira les amateurs du meilleur de l’esthétique eighties, même dans une copie bien abîmée. (Ce compte-rendu n’est évidemment pas le lieu où dire que Videodrome existe en zone 1 chez Criterion dans une belle copie agrémentée de riches suppléments)