Jeremy Fox a écrit :Le cycle se poursuit avec Un, deux, trois
Beaucoup aimé ! De la dynamite ce film avec un James Cagney qui tourne à 300 à l'heure. Jubilatoire !
A part quelques rares bons moments et une belle photo, je l'avais pour ma part trouvé extrêmement lourdingue, limite atterré de voir que Wilder avait tourné ça juste après la sublime Garçonnière...
Pour rire avec la Guerre Froide, je préfère en rester à Dr Folamour, même si c'est pas toujours super finaud non plus (mais Kubrick aura coupé une homérique - et inutile ? - bataille de tarte à la crème finale qu'auraient certainement laissée Edwards ou Wilder).
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
Frances a écrit :
Beaucoup aimé ! De la dynamite ce film avec un James Cagney qui tourne à 300 à l'heure. Jubilatoire !
A part quelques rares bons moments et une belle photo, je l'avais pour ma part trouvé extrêmement lourdingue, limite atterré de voir que Wilder avait tourné ça juste après la sublime Garçonnière...
Pour rire avec la Guerre Froide, je préfère en rester à Dr Folamour, même si c'est pas toujours super finaud non plus (mais Kubrick aura coupé une homérique - et inutile ? - bataille de tarte à la crème finale qu'auraient certainement laissée Edwards ou Wilder).
C'est cousu à très gros points et tout est dans l'excès...volontaire. Perso j'ai marché et ce film m'a donné une patate pas possible. Cela dit je comprends fort bien qu'on adhère pas. Quant à la garçonnière encore un de mes films fétiches
"Il faut vouloir saisir plus qu'on ne peut étreindre." Robert Browning.
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
Mains Rouges.
On a parfois pu lire qu’Un, deux, trois était une œuvre hystérique, épuisante ou assommante – et c’était d’ailleurs plus ou moins notre premier avis sur le film. A la révision, probablement parce que d’une part on savait à quoi s’en tenir, et d’autre part parce que certaines prouesses d’écriture passées inaperçues la première fois s’y sont révélées, nous modulerions notre avis : si l’expérience « physique » du film est en effet assez analogue à celle consistant à passer un peu moins de deux heures dans le tambour d’une machine à laver réglée en mode de rotation optimale, la maestria narrative du film, son incomparable insolence, et l’efficacité totale de la science comique du duo Wilder-Diamond méritent véritablement toutes nos louanges.
Jeremy Fox a écrit :On termine le cycle avec Irma la douce
Achat obligatoire pour moi et encore plus après avoir lu la critique : un Shirley McLaine que je n'ai pas. Hop, dans le panier.
De quel achat parles-tu ? Du vieux dvd ?
Après cette sortie cinéma, j'espère qu'un blu ray est programmé pour une sortie France. Avec ces couleurs pétantes jusqu'aux bas de Shirley, c'est typiquement le genre de film qui devrait valoir l'upgrade.
J'aime beaucoup ce film. J'imagine que parmi les amateurs de ce film on trouve surtout des admirateurs de Shirley .. Car elle y est effectivement magnifique.