Splendor Films ressort en cette période de Halloween Carrie, classique du cinéma fantastique signé Brian de Palma. Carrie - incarnée par une Sissy Spacek fascinante - est une jeune fille introvertie et rejetée par les autres adolescents. Elle subit également la religiosité fanatique d'une mère psychotique et castratrice. Partant de ce portrait terrible de l'adolescence et de la vision d'une Amérique…
Chronique d'une petite ville sous l'Occupation, récit initiatique,comédie de mœurs, drame.... l'adaptation par Melville du roman de Béatrix Beck est tout celà à la fois. Léon Morin, film passionnant et d'une grande richesse est loin d'être un accident de parcours comme on a pu le lire ça et là, mais fait pleinement partie d'une œuvre d'une rare cohérence. Pour s'en convaincre, rendez-vous dans les…
Solaris conclut son passionnant cycle de ressortie autour du Free Cinema avec ce beau Un goût de miel. Les angry young men qui peuplent les films du mouvement ne doivent pas laisser croire que le mal-être et la rébellion de la jeunesse anglaise se résumaient à la gent masculine. Tony Richardson nous le prouve avec ce film mélancolique et rieur à l’image du tempérament de son héroïne, fausse désabusée…
Théâtre du Temple ressort cette semaine un des films les plus précieux de King Vidor avec Notre pain quotidien. C’est une œuvre fondamentale du réalisateur, qui y marie les préoccupations sociales et collectives de ses œuvres les plus intimes - La Grande parade (1925), La Foule (1928), Street Scene (1931) - avec les grandes épopées individuelles - Un romance américaine (1944), Duel au soleil (1947),…
La Cinémathèque de Toulouse vient de démarrer un cycle consacré à Derek Jarman qui fait suite à la réédition de quatre de ses films par Malavida en juin dernier. Nous avions alors publié les chroniques de Sebastiane et Jubilee et nous vous proposons à cette nouvelle occasion celle de The Last of England qui sera programmé demain à 19h00 à la Cinémathèque. Distributeur : Malavida / Date de sortie :…
Solaris poursuit ses ressorties autour du Free Cinema anglais avec l'un des films fondateur du mouvement. Ode à l’individualisme face à la morne normalité, le film dépasse le cadre social de sa période de production en annonçant tous les héros obsessionnels et indomptables de Karel Reisz. Albert Finney en lads rigolard est inoubliable et fait une entrée fracassante dans la cour des grands dans un…