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Test blu-ray
Image de la jaquette

Permis de tuer

BLU-RAY - Région B
20th Century Fox
Parution : 26 septembre 2012

Image

Le transfert de Tuer n'est pas jouer était remarquable en tout point, et celui de Permis de tuer peut-être encore légèrement supérieur. La superbe photographie, à la fois chaude et très esthétique, en ressort grandie. Quelles couleurs ! Et quel incroyable sens du détail ! Timothy Dalton y apparait sombre, le visage ombrageux même, grave et surtout terriblement concerné par son personnage. Il est étonnant de constater à quel point le maquillage effectué sur son visage permet d'en faire ressortir les lignes et les cernes, faisant définitivement de lui un héros énervé, fatigué, vivant sur le fil du rasoir. Il s'agit d'un exceptionnel transfert HD, dans l'excellente moyenne de ceux effectués sur la saga James Bond de façon générale, sans aucun souci de compression et avec un grain cinéma régulier, donnant à ressentir l'aspect chimique de la copie d'origine. Bluffant !

Son

La version originale en DTS Master Audio 5.1 est une fois de plus rutilante, parfaitement dosée, sans jamais céder à des effets reconstruits ou adaptés aux modes actuelles. On peut regretter l'absence de la piste stéréo d'origine, mais la qualité de cette version originale est tellement élevée que l'on ne saurait reprocher quoi que ce soit à l'éditeur. La version française montre, tout comme sur le film précédent, un progrès assez significatif concernant sa dynamique. Les voix sont bien mises en avant, sans toutefois rien perdre de l'efficacité de l'ambiance. La VO est largement préférable, artistiquement (la gravité de certains acteurs, Dalton en tête) comme techniquement, mais les amateurs de VF pourront être satisfaits. Du très bon travail !

Suppléments


Commentaire MI6

Commentaire audio de John Glen avec les acteurs
John Cork est le maître d'œuvre de ce commentaire, il a convié Carey Lowell, Robert Davi, Benicio Del Toro, David Hedison et Desmond Llewelyn, enregistrés séparément, qui tous évoquent longuement leur travail sur le film. Plus précis et instructif qu'un making of ne pourra jamais l'être, voici le supplément à écouter pour découvrir en détail et avec nombre d'anecdotes amusantes les coulisses de Permis de tuer.

Commentaire audio avec Michael G. Wilson et l'équipe
Si vous n'en avez pas eu assez avec le premier commentaire, en voici un deuxième, encore bien plus fouillé et documenté. Autour du producteur Michael G. Wilson, John Cork a monté des interventions du chef opérateur Alec Mills, du chef décorateur Peter Lamont, du superviseur des effets visuels John Richardson, du responsable des effets spéciaux Chris Corbould, du régisseur Ron Quelch, de l'assistant décorateur Neil Lamont, du réalisateur de seconde équipe Arthur Wooster, du conseiller marketing Don Smolen, du coordinateur de cascades Paul Weston et des cascadeurs Simon Crane, Jake Lombard et B. J. Worth. Avec ce second commentaire audio plein à craquer d'informations, Permis de tuer n'aura plus aucun secret pour vous...

Les dessous du MI6

En repérage avec Peter Lamont (5 min 16 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 1987/88)
Le chef décorateur Peter Lamont commente en voix off des images vidéo tournées par lui-même (ou ses collaborateurs) lors des repérages en Mexique. On voit surtout son équipe (dont son frère Michael Lamont et le décorateur de plateau Michael Ford, futur oscarisé) arpenter une magnifique demeure, la Villa Arabesque à Acapulco, une maison incroyablement luxueuse appartenant à des amis du couple Broccoli et qui servira de domaine pour le méchant du film. Nous avons également droit à quelques brèves images du tournage datant d'octobre 1988, et à des séquences de la vie quotidienne aux studios Churubusco à Mexico City où logeait Lamont ainsi que quelques uns de ses collègues.

Sur le plateau avec John Glen (9 min 26 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 1988)
Le réalisateur de Permis de tuer commente des images assez brutes du tournage. A Key West, en Floride, on entrevoit des cascades effectuées par Timothy Dalton entre l'hélicoptère et l'avion. Ensuite on assiste à des tests de caméra au ras de l'eau, puis à une attaque de plongeurs. Dalton fait du ski nautique pieds nus, puis on le retrouve aux cotés de cascadeurs pour les sauts en parachute de la séquence du mariage de Felix Leiter. Le plus impressionnant arrive avec le tournage des cascades en camions réalisées par l'équipe de Rémy Julienne près de Mexico City. On observe brièvement les différentes équipes au travail sur la section de route dévolue aux camions et l'implication des acteurs principaux dans les scènes d'action. Ce reportage enchaîne sur le tournage dans la demeure luxueuse du baron di Portanova - ami d'Albert Broccoli - à Acapulco, puis s'achève par des images du tournage dans des fonds marins à Cancun. Le montage de ce court film est sans queue ni tête, néanmoins il reste très intéressant du fait des nombreuses images de tournage inédites qu'il nous propose.


Les cascades aériennes de Corkey Fornof (4 min 45 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 1988)
Le pilote et coordinateur des séquences aériennes Corkey Fornof s'adresse directement à nous pour présenter son travail et son avion modifié en vue des cascades au Mexique. Il en est à son 3ème James Bond. On apprend qu'un mannequin a été utilisé pour Bond dans une scène afin d'alléger l'avion en raison des conditions climatiques extrêmement difficiles. Le pilote détaille ensuite la cascade du jour avec ses contraintes techniques et météorologiques, nous montre quelques commandes de son appareil dévolues au tournage puis aborde la coordination entre les équipes concernées. Fornof nous précise enfin le nombre de véhicules qu'il va piloter dans Permis de tuer pour effecteur des cascades aériennes toujours plus grisantes et spectaculaires.

Bond 89 (11 min 40 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 1988)
Introduit en voix off par le producteur Michael G. Wilson, ce module est un montage de plusieurs d'interviews recueillies sur le plateau de Permis de tuer au Mexique. Ont été interrogés le producteur Albert "Cubby" Broccoli, le coordinateur des cascades Paul Weston, le coordinateur des sauts en parachute B. J. Worth, ainsi que les acteurs Robert Davi, Carey Lowell et Timothy Dalton. Eon Productions aime bien pratiquer cet exercice d'autopromotion durant les tournages des Bond, et les membres de l'équipe s'y prêtent généralement plutôt facilement. Dans ces entretiens croisés, les thèmes abordés par les intervenants sont le personnage de James Bond et le retour à l'esprit des romans et des premiers films, les qualités d'interprétation de Timothy Dalton, les différentes compétences de John Glen, le renouveau de la James Bond girl depuis Tuer n'est pas jouer, la popularité des films, les références issues des romans, le talent d'Ian Fleming dans la caractérisation de Bond, les nombreux tournages de par le monde qui permettant la découverte des cultures et des lieux approchés, les nombreuses cascades, leur préparation et l'implication physique de Dalton, et enfin l'ambiance chaleureuse et familiale régnant au sein du plateau. En dehors de l'aspect strictement professionnel de ce reportage et de quelques commentaires légers, des choses intéressantes sont tout de même dites par des personnalités véritablement concernés par le sujet et par leur travail.

Scènes inédites présentées par John Glen (16/9 - DD mono 2.0 - VOST)
Avant leur visionnage, chacune de ces neuf scènes est présentée par le réalisateur qui nous explique en détail les différentes raisons de leur suppression du montage définitif de Permis de tuer.

- L'arrivée de Sharky (27 s)
Le personnage joué par Frank McRae arrive sur la scène de crime, là où la femme de son grand ami Felix Leiter git assassinée. C'est une scène très courte destinée à mettre en valeur la puissance du personnage de Sharky, choqué par l'événement.

- Bond et Sharky suivent le Yacht (1 min 04)
Les deux personnages naviguent vers le bateau de Milton Krest pour mener une surveillance. Selon John Glen, le chapeau porté par Timothy Dalton aurait été la raison de la suppression de cette scène...

- Bond dans sa chambre d'hôtel (1 min 14)
Devant le casino d'Isthmus City un journaliste de la télévision interviewe le baron de la drogue Franz Sanchez, qui effectue son petit numéro de bonimenteur, alors qu'arrive le convoi du président Lopez. Dans sa chambre d'hôtel, James Bond observe la scène sur son téléviseur en fourbissant ses armes. C'est une scène intéressante, dommage qu'elle ait été coupée.

- Transaction en liquide (40 s)
John Glen a supprimé cette scène au montage en raison de son manque d'intérêt dramatique et de sa redondance avec d'autres séquences. On y voit James Bond sur le port en train d'acheter un bateau avec une grosse liasse de billets.

- Arrivée à Isthmus (1 min 18)
Dans cette séquence tournée à l'aéroport d'Acapulco, nous voyons James Bond et Pam Bouvier observer l'accueil fait à des businessmen asiatiques sur le tarmac de l'aéroport d'Isthmus par les émissaires de Franz Sanchez. Le tout devant les yeux d'un agent secret britannique surveillant les faits et gestes de 007.

- Bienvenidos mis amigos (58 s)
Dans la banque d'Isthmus City, John Glen a préféré couper le bref moment où James Bond frôle Franz Sanchez qui descend l'escalier pour accueillir ses clients asiatiques. Sur un plan dramatique, ce bref passage était tout de même assez intense grâce au jeu de Dalton lors de cette fausse rencontre.

- Bond revient au casino (1 min 08)
Le réalisateur a coupé cette courte scène qu'il jugeait inutile, elle était destinée à présenter à l'arrière-plan des agents chinois de la brigade ses stupéfiants de Hong-Kong lors d'une discussion entre James Bond et Pam Bouvier.

- Bond capturé par les Stups de Hong-Kong (1 min 51)
John Glen a préféré simplifier le transport de James Bond dans la maison, où il doit subir une séance brutale d'interrogatoire, et commencer par le plan où on lui asperge le visage d'eau pour le réveiller. Il est évident que le raccord avec la scène précédente est de cette manière dramatiquement bien plus efficace.

- En bateau (1 min 22)
Cette scène a été coupée selon John Glen pour satisfaire au rythme de la narration, malgré l'implication physique de Timothy Dalton dans la cascade effectuée. En plan rapproché, on y voit James Bond accroché sur le côté du hors-bord de Lupe durant son évasion, fendant l'eau avec son corps, avant que la jeune femme ne le dépose sur la plage.

Les missions 007

Ce qui se présente comme un guide interactif est en fait une sorte d'index compilant des extraits (en VO ou en VF, mais sans sous-titres) qui se veulent significatifs de Permis de tuer. Les sept entrées sont toujours les suivantes :
- 007 (6 extraits) : Le canon / Les génériques (celui du début, avec et sans texte).
- Les femmes : Pam Bouvier (6 extraits) / Lupe Lamora (6 extraits).
- Les alliés : M (2 extraits) / Miss Moneypenny (1 extrait) / Q (3 extraits) / Felix Leiter (6 extraits).
- Les méchants : Franz Sanchez (7 extraits) / Dario (4 extraits).
- Le manuel de combat, 7 extraits : Allons pêcher / Bon appétit / Fuite en barefoot / La bagarre du Barrelhead Bar / Attaque Ninja / Il est mort ! / Vous voulez savoir pourquoi ?
- Le labo de Q, 4 extraits : Le costume de raie Manta / Oncle Q / Le pistolet à signature / Le balai-radio.
- Des lieux de tournage exotiques (3 min 35) : l'actrice Samantha Bond (interprète de Miss Moneypenny dans les quatre James Bond tournés par Pierce Brosnan) commente en voix off un montage d'extraits du film et présente les lieux du tournage situés dans les localités suivantes : Etats-Unis (Les Keys en Floride) et Mexique (Mexico City, Acapulco, Teotihuacan, La Rumorosa).

Les dossiers

Les coulisses de Permis de tuer (32 min 42 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 1999)
Ce documentaire, toujours écrit et réalisé par John Cork et commenté par l'acteur Patrick MacNee, débute par la mise à l'honneur du producteur et coscénariste Michael G. Wilson, du scénariste Richard Maibaum, du réalisateur John Glen et du grand producteur Albert Broccoli, tous maîtres d'œuvre des quatre derniers films de la série James Bond. Sans vraiment l'avouer, ce making of pointe donc la fin d'une époque, car six ans vont bientôt séparer Permis de tuer de Goldeneye et nombreux sont les anciens à tirer leur révérence en 1989. Les personnalités conviées par Cork en interview sont, entre autres, John Glen, Michael G. Wilson, le chef décorateur Peter Lamont, les comédiens Robert Davi, Carey Lowell, David Hedison, Benicio Del Toro et Timothy Dalton (entretien d'époque), le directeur artistique assistant Neil Lamont, le superviseur des effets spéciaux Chris Corbould, le directeur de la photographie Alec Mills, le cascadeur aérien Jake Lombard, le superviseur des effets spéciaux John Richardson, le cascadeur Simon Crane (doubleur de Dalton) et le réalisateur de seconde équipe Arthur Wooster.



Les nombreux thèmes et anecdotes abordés, traités comme habitude sous la forme d'un documentaire mêlant dynamiquement des extraits du film, des images de tournage, des photographies et des entretiens filmés, sont les suivants : l'écriture du script ("le tournant le plus audacieux depuis Docteur No" selon le commentaire) avec l'intérêt manifesté par Timothy Dalton pour faire évoluer son personnage et le rendre plus dur, une séquence tirée du roman Vivre et laisser mourir, des références à des nouvelles écrites par Fleming, une fidélité plus grande aux personnages conçus par l'écrivain et son adaptation au décor mexicain (il avait d'abord été prévu de situer l'action en Chine) ; la grève du syndicat des scénaristes de Hollywood en 1989 qui empêche Maibaum de poursuivre son travail ; le casting à Los Angeles (Robert Davi, David Hedison qui revient jouer Felix Leiter 16 ans après Vivre et laisser mourir, Carey Lowell et Benicio Del Toro) ; le déplacement au Mexique et sa logistique ; les travaux d'aménagement des studios vétustes de Mexico City en collaboration avec les techniciens locaux ; le début du tournage dès juillet 1988 ; l'investissement de Robert Davi pour son personnage ; le tournage à Key West avec ses cascades aériennes (et le dévouement de Timothy Dalton pour en assurer le plus possible), l'arrivée au mariage des acteurs en parachute et la blessure de David Hedison ; le tournage dans les eaux des Keys avec trois équipes ; la découverte du site d'Otomi laissé à l'abandon, qui servira pour le centre de méditation ; la maladie de Broccoli qui l'oblige à être rapatrié en Angleterre pour se faire soigner ; le tournage à Acapulco dans un palace gigantesque et luxueux. Le clou du spectacle reste évidemment le tournage de la course-poursuite en camions à Mexicali, sur la route dangereuse de La Rumoroso avec ses nombreux problèmes logistiques et son accumulation d'accidents (parfois si mystérieux qu'ils ont été attribués aux légendes propres au lieu), la gestion des explosions et l'apparition mystérieuse d'une main sortant des flammes ! Enfin, le making évoque la déception au box-office américain, malgré le succès public mondial, mais aussi la renommée grandissante du film avec les années. John Cork achève son film par un long montage d'extraits spectaculaires de Permis de tuer sur le James Bond Theme de Docteur No pour bien signifier le retour à la dureté du 007 de Fleming, ainsi que probablement la fin d'un cycle. Mais bizarrement, le départ de Timothy Dalton n'est jamais mentionné ni la longue pause de la série qui va s'ensuivre. Une impression fugace de nostalgie se fait donc sentir, alors que la saga James Bond devra bientôt se remettre en question de fond en comble.



Featurette : en coulisses (4 min 54 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 1989)
Il s'agit ici d'un reportage promotionnel produit par Universal pour la télévision l'année de la sortie du film. Quelques images du tournage et des extraits de Permis de tuer sont entrecoupés de très brèves interviews de Timothy Dalton, Robert Davi, John Glen, Talisa Soto et Carey Lowell. Ce module, qui insiste beaucoup sur le spectaculaire, ne représente en fait aucun intérêt, sinon de pouvoir jeter un coup d'œil sur la façon dont on réalisait un mini-documentaire vidéo dans les années 80 en s'amusant avec une console pleine d'effets kitsch complètement dépassés depuis.

Cascades : les camions Kenworth (9 min 15 - 4/3 - DD mono 2.0 - VOST - 1989)
Ce module est entièrement consacré à la fameuse course-poursuites en camions. On y voit interviewés Rémy Julienne avec son accent français à couper au couteau, le réalisateur John Glen, le réalisateur de seconde équipe Arthur Wooster, l'assistant réalisateur de la seconde équipe Terry Madden, le coordinateur des cascades aériennes Corkey Fornoff et surtout Larry Orr, le chef ingénieur de Kenworth. Ce reportage est en effet une belle opération publicitaire pour la marque américaine, d'autant qu'on y insiste beaucoup sur le soutien apporté par Kenworth au tournage du film et sur la qualité des véhicules. Une fois qu'on le sait, on peut tout de même apprécier les quelques informations fournies sur la préparation des cascades audacieuses qui ont été mises en place. Comme la transformation spectaculaire de plusieurs camions afin de les adapter aux nécessités des cascades en utilisant des technologies inédites. L'autre avantage de ce reportage est évidemment les nombreuses images de tournage qui nous sont proposées.


Vidéoclip de Gladys Knight : Licence to Kill (4 min 25 - 2.35 4/3 - DD mono 2.0 - VO - 1989)

Vidéoclip de Patti Labelle : If you asked me (4 min - 4/3 - DD mono 2.0 - VO - 1989)

Le ministère de la propagande

Les archives de cinéma

Cette section comporte 2 films-annonces (2.35 4/3 - DD mono 2.0 - VOST) plutôt spectaculaires et insistant sur le côté hard-boiled de Bond : Combien de fois un homme peut-il vous couper le souffle ? (1 min 15) / Juste les affaires (1 min 50).

La banque d'images

Cette section comporte une galerie de photos divisée en 11 chapitres sur une page (celui sur Mexico est bien fourni) : Les cinéastes / Portraits / Key West / Mexico / Tournage de nuit / Le bureau de Sanchez / Arabesque / Otomi / Mexicali / La campagne publicitaire non utilisée / Permis de tuer autour du monde. Tous les chapitres sont présentés par un texte plus ou moins court (à droite de la première photo). Et comme d'habitude, on se doit de déplorer que les photos ne sont pas présentées en plein écran pour nous permettre une consultation optimale, d'autant qu'ici le record de petitesse a été allègrement battu.

Par Julien Léonard (technique) et Ronny Chester (bonus) - le 23 février 2013