King Vidor (1894-1982)
Publié : 3 nov. 03, 08:57
EDIT DE LA MODERATION:
N'hésitez pas à consulter les différents topcis consacrés aux films du réalisateur
Texas Rangers (1936) et sa Chronique Classik
Duel au soleil (1946)
Le rebelle (1949) et sa Chronique Classik
L'homme qui n'a pas d'étoile (1955)
la Chronique Classik de Guerre et paix (1956)
le chronique classik de Le Grand passage
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VHS Geoffrey Firmin
Duel au soleil de King Vidor
Non décidément ce film n'arrive pas à me plaire. Vidor n'est pas le maitre d'oeuvre de ce film, c'est l'ombre de Selznick qui pèse assez lourdement dessus. Cette outrance du jeu (Jennifer Jones, je n'adhère pas ce coup ci), ce scénario "roman de gare", ce film mal rythmé comprenant pas mal de longueurs et une mise en scène finalement assez sage à l'arrivée font de ce film un grand moment d'ennui en ce qui me concerne.
Bien sur on trouve ici et là des éclairs de génie, des plans somptueux ou étonnant et un final superbe mais l'ensemble me laisse assez froid et puis Dimitri Tiomkin nous livre l'une de ses partitions les plus insupportables je trouve qui phagocyte trop souvent le film et pourtant le lyrisme au cinéma j'adhère en principe mais pas ici
N'hésitez pas à consulter les différents topcis consacrés aux films du réalisateur
Texas Rangers (1936) et sa Chronique Classik
Duel au soleil (1946)
Le rebelle (1949) et sa Chronique Classik
L'homme qui n'a pas d'étoile (1955)
la Chronique Classik de Guerre et paix (1956)
le chronique classik de Le Grand passage
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VHS Geoffrey Firmin
Duel au soleil de King Vidor
Non décidément ce film n'arrive pas à me plaire. Vidor n'est pas le maitre d'oeuvre de ce film, c'est l'ombre de Selznick qui pèse assez lourdement dessus. Cette outrance du jeu (Jennifer Jones, je n'adhère pas ce coup ci), ce scénario "roman de gare", ce film mal rythmé comprenant pas mal de longueurs et une mise en scène finalement assez sage à l'arrivée font de ce film un grand moment d'ennui en ce qui me concerne.
Bien sur on trouve ici et là des éclairs de génie, des plans somptueux ou étonnant et un final superbe mais l'ensemble me laisse assez froid et puis Dimitri Tiomkin nous livre l'une de ses partitions les plus insupportables je trouve qui phagocyte trop souvent le film et pourtant le lyrisme au cinéma j'adhère en principe mais pas ici