John Holden a écrit : ↑7 janv. 22, 09:13 Rétrospective à la cinémathèque depuis hier jusqu'au 7 Février.
Hâte de découvrir The intimate stranger lundi soir.
Joseph Losey (1909-1984)
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
Le messager, il est sorti ou pas, j'arrive pas a savoir.
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
En salles ?la_vie_en_blueray a écrit : ↑7 janv. 22, 11:55 Le messager, il est sorti ou pas, j'arrive pas a savoir.
oui
en bluray ?
oui aussi
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
Il est en vente qq part ?
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
Avant de lire le texte de Philippe, une première remarque sur la sorte d'événement que représente la restauration du film même si, du fait des parutions précédentes en zone 1 et des diffusions récentes sur le câble (il me semble), on y était préparés.
C'est que personnellement, je ne connais ce film que d'une copie dégueulasse avec un son pourri qui passait à une époque. Je l'avais enregistrée au CDM ou sur Paris Première je ne sais plus. Mais c'était la seule, pendant longtemps, qui était disponible.
Vive le progrès.
C'est que personnellement, je ne connais ce film que d'une copie dégueulasse avec un son pourri qui passait à une époque. Je l'avais enregistrée au CDM ou sur Paris Première je ne sais plus. Mais c'était la seule, pendant longtemps, qui était disponible.
Vive le progrès.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
Les Damnés, c'est le film anglais du vendredi proposé par Justin.
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
Le British du vendredi n'est pas signé Justin mais Philippe Paul avec Les Criminels que l'on peut trouver dans ce Blu-ray Make my Day
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
Tiens merci pour la remontée de topic, ça va me permettre de parler un peu de Figures in a Landscape que j'ai découvert en début de mois :
Il va peut-être falloir que je m'y habitue : Joseph Losey est un grand formaliste.
C'est typiquement le genre de cinéaste dont j'ai vu quelques films, je les ai tous aimés, mais il ne fait jamais partie de ces cinéastes que je me plais à citer parmi ceux que j'aime bien.
Alors qu'à chaque fois que je me fais un de ses films, me vient la même réflexion : "Waouh la mise en scène !".
Ce Figures in a Landscape est tout d'abord un objet formel absolument sidérant. Entre la musique bruitiste et atonale de Richard Rodney Bennett, les mouvements de caméra complexes, les jeux sur les focales, sur les arrière-plans, c'est vraiment un festival de tous les instants à ce niveau-là. C'en est presque expérimental et métaphysique sur certains moments, d'où ce titre purement théorique.
Et puis comment ne pas citer le duo à l'affiche, tout en contraste avec un Malcolm McDowell (faussement) frêle et effacé, et un Robert Shaw qui fait...du Robert Shaw : gouailleur, méchamment charismatique et doté d'un accent difficilement identifiable (soit à peu près la prestation qu'il fera 5 ans plus tard dans un certain film de Spielberg un peu connu.
Lorsque l'on voit ces deux gaillards (dont on ne saura jamais pour quelles raisons ils étaient emprisonnés) arpenter des paysages désolés (d'un pays qu'on ne nommera jamais, même si l'on peut penser qu'on est en Amérique du Sud), sous la menace d'un hélicoptère noir et implacable, il est difficile de ne pas être impressionné par ce que l'on voit...et il est difficile aussi de ne pas penser au Capricorn One de Peter Hyams (non ?).
Conclusion : Losey, c'est vraiment vachement bien.
#VraiCinéphile
Il va peut-être falloir que je m'y habitue : Joseph Losey est un grand formaliste.
C'est typiquement le genre de cinéaste dont j'ai vu quelques films, je les ai tous aimés, mais il ne fait jamais partie de ces cinéastes que je me plais à citer parmi ceux que j'aime bien.
Alors qu'à chaque fois que je me fais un de ses films, me vient la même réflexion : "Waouh la mise en scène !".
Ce Figures in a Landscape est tout d'abord un objet formel absolument sidérant. Entre la musique bruitiste et atonale de Richard Rodney Bennett, les mouvements de caméra complexes, les jeux sur les focales, sur les arrière-plans, c'est vraiment un festival de tous les instants à ce niveau-là. C'en est presque expérimental et métaphysique sur certains moments, d'où ce titre purement théorique.
Et puis comment ne pas citer le duo à l'affiche, tout en contraste avec un Malcolm McDowell (faussement) frêle et effacé, et un Robert Shaw qui fait...du Robert Shaw : gouailleur, méchamment charismatique et doté d'un accent difficilement identifiable (soit à peu près la prestation qu'il fera 5 ans plus tard dans un certain film de Spielberg un peu connu.
Lorsque l'on voit ces deux gaillards (dont on ne saura jamais pour quelles raisons ils étaient emprisonnés) arpenter des paysages désolés (d'un pays qu'on ne nommera jamais, même si l'on peut penser qu'on est en Amérique du Sud), sous la menace d'un hélicoptère noir et implacable, il est difficile de ne pas être impressionné par ce que l'on voit...et il est difficile aussi de ne pas penser au Capricorn One de Peter Hyams (non ?).
Conclusion : Losey, c'est vraiment vachement bien.
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
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Re: Joseph Losey (1909-1984)
Je me le programme en Vod. La chronique plus Jacqueline "Guendalina" Sassard : tout ceci est bien alléchant.