Notez les films naphtalinés de janvier 2005
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Konga (1961)
Petit chimpanzé deviendra grand....très grand.....TRES GRAND!
Les Américains eurent Vincent Price, les sujets britanniques, eux, pouvaient compter sur Michael Gough, acteur génial qui habita de sa personnalité hors du commun une série de films fantastiques souvent eux-mêmes à la médiocrité hors du commun.
Et ici il a fort à faire.
Petit chimpanzé deviendra grand....très grand.....TRES GRAND!
Les Américains eurent Vincent Price, les sujets britanniques, eux, pouvaient compter sur Michael Gough, acteur génial qui habita de sa personnalité hors du commun une série de films fantastiques souvent eux-mêmes à la médiocrité hors du commun.
Et ici il a fort à faire.

- Jeremy Fox
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Le rôle qui convient le mieux à Stewart Granger. J'aime énormément ce film pour ma part et la fin est très émouvante.bruce randylan a écrit :
Le beau Brummel de Curtis Bernhardt
Stewart Granger est encore d'un charisme impérial ( et royal ). Si ton partenaire de joute est Peter Ustinov, c'est encore mieux.
Brummel fonctionne ( et emeut ) donc bien plus dans son histoire d'amitié que dans son histoire d'amour où Taylor fait un peu décoration.
La réalisation assez classique à l'intelligence de se pas se perdre dans la mise en scène pompeuse du film en costume pour mettre la richesse visuelle des décors et des costumes et préfère se focaliser sur les héros. je ne m'en plaindrais pas.
Bref à part un certain academisme et quelques longeurs, je suis plutot bon client.
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- Cathy
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Le Massacre de Fort Apache
Le western de John Ford avec ses personnages truculents comme Victor McLaglen ou Pedro Armendariz, le rigoureux et sec Henry Fonda qui ne se libèrere que quelques secondes dans la scène du bal des sous officiers. Shirley Temple est parfaite en Phil, et j'aime beaucoup la manière dont l'histoire se termine avec la vision idéalisée des journalistes de la bataille de Little Big Horn. Il faudrait maintenant que je revois they died with their boots on pour mieux comparer les deux westerns qui ont en réalité la même histoire. J'aime beaucoup les films de cavalerie de John Ford, sans doute un petit faible devant She wore a Yellow Ribbon
Mais du grand cinéma. Le DVD est parfait, avec de beaux contrastes, une belle bande son remasterisée en 5.1 pour l'occasion, que le western est beau quand il est signé John Ford !
http://www.dvdclassik.com/Critiques/dvd ... apache.htm
Le western de John Ford avec ses personnages truculents comme Victor McLaglen ou Pedro Armendariz, le rigoureux et sec Henry Fonda qui ne se libèrere que quelques secondes dans la scène du bal des sous officiers. Shirley Temple est parfaite en Phil, et j'aime beaucoup la manière dont l'histoire se termine avec la vision idéalisée des journalistes de la bataille de Little Big Horn. Il faudrait maintenant que je revois they died with their boots on pour mieux comparer les deux westerns qui ont en réalité la même histoire. J'aime beaucoup les films de cavalerie de John Ford, sans doute un petit faible devant She wore a Yellow Ribbon
Mais du grand cinéma. Le DVD est parfait, avec de beaux contrastes, une belle bande son remasterisée en 5.1 pour l'occasion, que le western est beau quand il est signé John Ford !
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Muriel ou Le Temps d'un retour, Alain Resnais (1962)
Impossible de noter, parce que, à vrai dire, je n'ai pas compris où veut en venir Resnais et son film. J'ai été obligé de faire une coupure pour voir le film en entier... J'ai trouvé ça insupportable, et ça m'énerve parce que j'aime beaucoup Resnais.
Impossible de noter, parce que, à vrai dire, je n'ai pas compris où veut en venir Resnais et son film. J'ai été obligé de faire une coupure pour voir le film en entier... J'ai trouvé ça insupportable, et ça m'énerve parce que j'aime beaucoup Resnais.
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Paradoxalement, j'en ai un souvenir aussi embrumé que fort. Avec un apparent détachement, Resnais commence par donner l'impression qu'il ne se passe rien, s'attarde étrangement sur la banalité, et on finit bien par se douter que quelque chose se dit en creux. Et lorsque s'exprime enfin la douleur et la vérité (les horreurs de la guerre d'Algérie), cela prend soudain une force assez inouïe, je trouve.-Kaonashi Yupa- a écrit :Muriel ou Le Temps d'un retour, Alain Resnais (1962)
Impossible de noter, parce que, à vrai dire, je n'ai pas compris où veut en venir Resnais et son film. J'ai été obligé de faire une coupure pour voir le film en entier... J'ai trouvé ça insupportable, et ça m'énerve parce que j'aime beaucoup Resnais.
Il faudrait vraiment que je le revoie avec les idées claires, mais la démonstration m'avait semblée assez extraordinaire.
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
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- Le Démon des armes. Deux scènes magnifiques dans ce road movie criminel du meilleur accabit : un braquage vécu depuis une voiture et une poursuite dans des marécages plongés dans la brume.
- Illusions perdues. C'est loin d'être dans le haut du panier de Lubitsch, mais je reste très preneur de ses joutes verbales et surtout du personnage joué par Burgess Meredith.
- Yojimbo. Enfin vu l'un des chefs d'oeuvre de Kurosawa. Récit d'une incroyable efficacité, totalement prenant. Mifune est immense comme à son habitude, du cynisme à l'humanité qui l'habite au final. On sent constamment les influences du Western et du roman noir sur Kurosawa. Il est vraiment passionnant d'ailleurs de voir les constant échanges entre l'Asie et l'Amérique. Du Western au Chambara, du Chambara au Western Spaghetti, du Western Spaghetti au Wu Xia Pian des Shaw Brothers, du Wu Xia Pian au cinéma de Tarantino...
- La Femme au portrait. Le thème favori de Fritz Lang brillamment mis en scène dans un des meilleurs film du réalisateur. Si ce n'est SPOILER un final qui me déçoit toujours autant, que je n'arrive pas à comprendre, le reste est prodigieux de maîtrise.
- Illusions perdues. C'est loin d'être dans le haut du panier de Lubitsch, mais je reste très preneur de ses joutes verbales et surtout du personnage joué par Burgess Meredith.
- Yojimbo. Enfin vu l'un des chefs d'oeuvre de Kurosawa. Récit d'une incroyable efficacité, totalement prenant. Mifune est immense comme à son habitude, du cynisme à l'humanité qui l'habite au final. On sent constamment les influences du Western et du roman noir sur Kurosawa. Il est vraiment passionnant d'ailleurs de voir les constant échanges entre l'Asie et l'Amérique. Du Western au Chambara, du Chambara au Western Spaghetti, du Western Spaghetti au Wu Xia Pian des Shaw Brothers, du Wu Xia Pian au cinéma de Tarantino...
- La Femme au portrait. Le thème favori de Fritz Lang brillamment mis en scène dans un des meilleurs film du réalisateur. Si ce n'est SPOILER un final qui me déçoit toujours autant, que je n'arrive pas à comprendre, le reste est prodigieux de maîtrise.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
- Cathy
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Rio Grande
J'ai continué ma trilogie cavalerie par ce film. Si j'ai adoré Fort Apache, je dois dire que Rio Grande est plus ennuyeux, j'ai même réussi, oui, oui à m'endormir
! Je pense que le fils Yorke est trop lisse, pourtant on retrouve le thème cher à Ford, avec les mêmes personnages, les mêmes noms, ici John Wayne devient Yorke, après avoir été York
! Thiry apparaît, il sera un des personnages clés das She wore a Yellow Ribbon, même si ce n'est sans doute pas le même acteur qui le joue ! On retrouve quand même le côté truculent de Victor McLaglen et toujours cette caméra magique dans les scènes de bataille, de chevauchée. Par contre quand on voit les deux à la suite de l'autre, on se rend compte à quel point c'est vraiment toujours tourné dans les mêmes paysages
! Enfin, c'est quand même un bon film, la scène des enfants dans l'église est tournée avec drôlerie et tendresse, notamment la petite fille. Il ne me reste plus que She wore a yellow ribbon à voir, mais je le connais par coeur
!
J'ai continué ma trilogie cavalerie par ce film. Si j'ai adoré Fort Apache, je dois dire que Rio Grande est plus ennuyeux, j'ai même réussi, oui, oui à m'endormir




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la maitresse de fer de Gordon Douglas.
Un excellent sens de l'espace ( trés beau jeu entre le 1er-2ème plan ), une scène de duel dans l'obscurité qui s'impose comme un pure chef d'oeuvre du genre.
Dommages que les personnages manquent cruellement d'épaisseur ( et Alan Ladd me semble un peu fade ).
Un film reposant sur son unique mise en scène et qui mérite emplement son visionnage.
ps :
pour le coup du caillou de l'espace.
Un excellent sens de l'espace ( trés beau jeu entre le 1er-2ème plan ), une scène de duel dans l'obscurité qui s'impose comme un pure chef d'oeuvre du genre.
Dommages que les personnages manquent cruellement d'épaisseur ( et Alan Ladd me semble un peu fade ).
Un film reposant sur son unique mise en scène et qui mérite emplement son visionnage.
ps :

"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
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L'un des dix films préférés de tous les temps de Jamel...Bob Harris a écrit :J'ai essayé de voir Ocean's Eleven (l'original, hein) mais j'ai arreté au bout de 10 minutes car j'ai eu un gros coup de fatigue... Le générique de Saul Bass est sympa, mais les premières scènes m'ont fait craindre le pire.

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Générique de Saul Bass, je croyais que c'était Casino le dernier..Fanning a écrit :L'un des dix films préférés de tous les temps de Jamel...Bob Harris a écrit :J'ai essayé de voir Ocean's Eleven (l'original, hein) mais j'ai arreté au bout de 10 minutes car j'ai eu un gros coup de fatigue... Le générique de Saul Bass est sympa, mais les premières scènes m'ont fait craindre le pire.
(ok, tu parles du Milestone...


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Comme signalé entre parenthèses Bob parle de l'original de 1960Abronsius a écrit :Générique de Saul Bass, je croyais que c'était Casino le dernier..Fanning a écrit :
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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