Top 100 DVDClassik | Edition 2022

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Roilo Pintu
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Roilo Pintu »

Découverte également du topic et nouvelle mission pour moi, établir ce Top 100 avant la fin de l'année :roll: :D
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Omael
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Omael »

Je me suis essayé à l'exercice. C'est pas simple :lol:

C'est "en chantier", un premier jet on va dire, y a tout un pan du cinéma que je ne connais pas encore.

Pour le moment ça donne ça :
TOP 100 traditionnel
Spoiler (cliquez pour afficher)
Un petit top 10 en préambule, dans l'ordre, avec quelques unes de mes bafouilles pour chacun des 10 films que j'ai reprises d'ailleurs et un peu remaniées :)

1 . L'Empire contre-attaque - Irvin Kershner ( 1980 )

Difficile d’écrire (peu) à son sujet en essayant d’atteindre la même hauteur que l’affection que je lui porte. Et pourtant, « c’est pas l’envie qui me manque ma p’tite dame », comme dirait l’autre. Parmi mes premiers souvenirs de visionnage, à l’époque lointaine du cathodique et des VHS, ce second opus, c’est juste la brique fondamentale de mon Sésame sur le cinéma (mais pas que). Ce film, comme peu d’autre, j’ai grandi avec lui. Lui aussi a grandi avec moi d’ailleurs. Au fil des âges (pour moi) et des visionnages (pour lui), j’ai pu poser de plus en plus de mots sur ce qu’il m’offrait. Du reste, c’est un peu ce dont me semble parler cette magnifique chanson de geste : l’expression des sentiments, du refoulé, du non-dit, contrainte par la pudeur, par l’ignorance, puis qui finit, enfin, par éclater avec la justesse et l’économie de la maturité. De la glace de Hoth à la tourbe de Dagobah, sans oublier les nuages et l’infini entre les astres, voilà une des raisons pour lesquelles j’aime ce film. Et entre les lettres bleues qui ouvrent ce fabuleux conte jusqu’à celles du générique qui le referment, il y en a mille autres.

2 . Twin Peaks : Fire Walk with Me - David Lynch ( 1992 )

Traumatisme ! Vu jeune, trop, surement... Rideaux de velours pourpres, pétales de soie bleue, masque d'enfant en pâte-à-sel, bague en toc de ducasse au motif étrange, tableau-miroir angoissant, feuilles arrachées à l'intimité, ogre en jean caché sous le lit ... : "Fire Walk With Me", comme une supplique tout droit sortie de l'imaginaire d'une enfant traumatisée, donne son nom à l’œuvre charnière de son génial auteur. Son premier film-âme, monde intérieur, foisonnant et sensible, où l’œuvre et son héroïne ne semble faire qu'Une, en nous emportant dans son sillage fiévreux. Son rire, à la fois espiègle et serein, triste et soulagé, est l'une des plus bouleversantes dernières images de film.

3 . Blade Runner - Ridley Scott ( 1982 )

Crépitement de la bruine, scintillements liquides dansant sur les murs, calligraphies phosphorescentes des néons, projecteurs lacérés par les stores comme le soleil par les folioles d'un palmier, ce L.A. 2019 est une jungle d'immeubles difformes enroulés de tuyaux comme autant de lianes, et battus par une éternelle mousson. Au-dessus de cette canopée urbaine, un monumental temple maya domine des cieux pourpres emplis de voitures-lucioles. Voilà pour le décor, au carrefour des cultures, des âges et des architectures, du plausible et de l'onirisme, et qui devient le plus bel écrin de l'expression d'une tristesse existentielle et de la solitude contemplative. C'est la saudade d'un tueur, qui rêve de licorne accoudé à son piano. Ce sont les poèmes qu'un ange androïde vient déclamer à ceux qui lui ont donné le jour, le regard et l'esprit, ou qui lui ont pris son amour. C'est la dépossession cruelle d'un souvenir d'enfance qui s'anime au sein d'une photo, avant de mourir sous les rires lointains d'une petite fille. Soit autant de mondes intérieurs à la péremption programmée et dont les manifestations nous empoignent le cœur. Sur le podium de mes plus précieux amours de cinéma, celui qui enfant m'a douloureusement éveillé à l'inéluctabilité de la mort, Blade Runner est comme cette araignée au corps orange, un implant dans ma toute jeune mémoire et qui ne cesse de me hanter depuis.

4 . Batman : Le Défi - Tim Burton ( 1992 )

C'est sans doute ce qui me reste comme premier souvenir de salle de cinéma. Précieux du coup. L'enfant qui l'a découvert jadis parlerait de l'ambiance neigeuse de Noël qui redessine la Gotham du premier, de l'excitation ressentie lorsque le Bat-Signal s'allume pour la première fois, sortant Bruce Wayne de sa solitude méditative sur la symphonie impériale de Danny Elfman, de moments inoubliables comme la chute de Selina Kyle dans le vide et sa résurrection par une armée de chats : en trois minutes, deux instants d'anthologie. Il y a 117 autres minutes comme celles-ci. Une sensation étrange aussi, j'en suis sorti désarçonné. Aujourd'hui, je parlerais d'un Burton à son paroxysme, prêtre autrefois génial célébrant ici le miracle d'un mariage parfait entre le graphite le plus imposant et le plus noir avec la ciselure du plus délicat flocon de neige. D'une richesse métaphorique et thématique inouïe, une œuvre bien placée sur mon chevet, tant elle demeure l'une des plus inépuisables pour l'esprit et inaltérables pour ce qu'elle fait au cœur parmi toutes celles que j'ai pu avoir devant mes yeux. Et elle n'a pas le temps d'y prendre la poussière, tant j'y reviens régulièrement. Même si la poussière, c'est riche en fibre. :mrgreen:

5 . Les Aventuriers de l'arche perdue - Steven Spielberg ( 1981 )

Un trait rouge tracé sur le parchemin d'une vieille carte, porté par la marche galvanisante de Williams, et ce sont les notions de voyage et d'aventure qui se matérialisent comme jamais à l'écran. Dans une sorte de mise à jour au sens archéologique du terme, Spielberg dépoussière ces images pourtant déjà bien exploitées, et les sublime à ce point qu'elles nous apparaissent alors comme au premier regard, dans leur expression la plus belle, la plus précieuse aussi. Il faut voir avec quelle élégance racée, quelle intelligence de l'image et quelle intuition géniale le film fait naître la plus inaltérable des magies, à la fois dans l'évocation de mythes aux proportions bibliques, et dans leur concrétisation réelle dans le récit. Et là, c'est la jubilation : dans la salle des maquettes, le médaillon de Marion s’improvise projecteur et vient éclairer de son rayon la demeure de l'Arche, sous le regard d'Indy, aussi émerveillé que le mien. Ou, tout aussi bien, la plus délicieuse terreur : lorsque ces nymphes féériques à la fin me regardait moi, dans les yeux, se changeant en effroyables anges de la mort. Indy l'avait pourtant dit qu'il me fallait fermer les yeux ! Entre temps, j'avais vu la belle et piquante Marion déposer le plus doux des pansements sur le corps endoloris de son ancien amant. A la fois vaillant, vulnérable, et volontiers désinvolte, Harrison Ford, tout en virilité sensible et charme nonchalant, est mon héros pour toujours. Et le sourire mutin de Karen Allen sous le midi du Caire le plus beau des trésors. L'Arche perdue, certes, mais l’aventureux archéologue repartait finalement aux bras de la 7ème merveille du Monde. Et moi avec l'une des 7 merveilles de mon histoire avec le cinéma.

6 . Abyss - James Cameron ( 1989 )

Au fil des ans, Cameron a construit une œuvre sans équivalent : fédératrice, sensible, spectaculaire. Mon préféré : Abyss ! Son imagerie féérique, avec ses anges et ses sirènes, et leur monde là-bas dans la nuit des océans, lumineux comme un soleil des profondeurs. La mer comme une Mère, matrice de la vie, du premier lien, où la voix réconfortante d'une femme au loin apaise et y guide son bien-aimé qui s'engouffre dans le Silence. L'explosion des sentiments humains (le sacrifice, l'amitié, la tolérance, l'amour), dans ce noir glacé, là où tout implose au contraire. Ces images minérales, thermales même, où l'on sentirai presque le froid de l'eau et la chaleur des êtres. Réacteur nucléaire d'un film hors norme, à la fois imposante machinerie d'une redoutable efficacité et délicate étreinte des émotions les plus fragiles et belles : son histoire d'amour fondamentale et son couple de personnages / acteurs font partie à jamais de mon tableau périodique des sentiments.

7 . Sueurs froides - Alfred Hitchcock ( 1958 )

Cet immense poème chante quelque chose du deuil, celui de la magie amoureuse, des illusions du bonheur, de cet élan fortificateur de se sentir protecteur et fort, de toutes ces choses qui jalonnent le chemin qui part de l'observation distante à la rencontre concrète, de ces vibrations qui se déversent en vous et vous remplissent la vie et le cœur lorsqu'on est touché par la grâce, la tristesse, la tragédie d'un être, et son mystère insondable. C'est le vertige des distances compressées, du fantasme à l'intime, et de celles chamboulées, de ce qui est proche mais reste à jamais inaccessible. Hitchcock accède ici à une poigne au cœur, puissante mais muette, lorsqu’il caresse la douleur d'un Scottie desséché, rincé de ces élixirs, et quand il tend le drame entre deux souffrances : celle de son héros dans la quête fatalement déceptive de s'approcher par spires d'un idéal inatteignable, et celle de son héroïne, résignée par amour à se laisser déformer et hanter par lui... Ce film est pour moi la plus désespérée et la plus vertigineuse incarnation de l'expression "tomber amoureux".

8 . La Ligne Rouge - Terrence Malick ( 1998 )

Un visage d'ange qui se dessine dans le noir de la terre, murmurant dans un dernier tutoiement toute l'absurdité de la guerre. Malick ne dira rien de ce qui oppose ces hommes, pas plus que des raisons qui motivent ce chaos qu'ils génèrent, il préfère y apposer un contraste poétique, celui de la nature, son immuabilité sereine sous le tumulte des hommes, sa radieuse clarté sous les artilleries lourdes, sa neutralité cruelle aussi, dans l'agonie arbitraire d'un oisillon, qui répond à l'agonie calculée que s'infligent les armées humaines. Le cinéaste construit un rivage bleu et vert où s'échouent les souvenirs de bien-aimée et les rêves de paradis, où le ressac lancinant des voix intérieures rythment un Pacifique spirituel et chaleureux qui semble baigner toute l'humanité avec autant de lucidité que de bienveillance. Ce traitement aérien, d'un sujet pourtant soumis à la plus grande des pesanteurs, son ingénuité et son absence totale de cynisme, sa paradoxale douceur, La Ligne Rouge exhale d'une humble mais profonde sagesse absolument désarmante.

9 . La Mouche - David Cronenberg ( 1986 )

Là encore, traumatisme ! Je me souviens petit qu'on me disait qu'il ne fallait pas faire de mal à une mouche, qu'elles n'avaient de toute façon qu'une vingtaine de jours à vivre, ce que je trouvais injuste et effroyable ! Pour moi, le film pose son enjeu exactement là : rapetisser l'échelle d'une vie humaine à celle d'une vie d'insecte. En fusionnant avec la mouche, Seth (Goldblum, immense) se retrouve à devoir traverser l’existence d'un homme en quelques jours. L’insouciance naïve de l'enfance, l'éveil adolescent au désir, aux sentiments amoureux, à la virilité, l'impression de puissance qu'acquiert l'adulte, puis le déclin du corps et de l'esprit qu'engendre le vieillissement. Cette accélération des cycles, grisante au début quand elle nous fait l'égal d'un super-héros (où Brundle-fly, dans sa force virile et son animalité nouvelle, se fait semblable à un Peter Parker se découvrant Spider-man), se révèle ensuite douloureuse, cauchemardesque lorsqu'elle nous précipite vers son inéluctable terme. Alors, la lutte de Seth pour garder son cœur d'homme quand son corps entier se dégrade devient le plus beau des barouds d'honneur. Vue à travers les yeux de sa bien-aimée (Geena Davis, poignante), alors restée intacte dans sa temporalité humaine, le délitement physique et psychique de cet amant maudit pris dans la toile du temps-insecte devient pour moi la plus bouleversante des tragédies.

10. Heat - Michael Mann ( 1995 )

Multitudes d'intimités en réseaux formant le circuit collectif d'une tragédie à la fois violente et sereine, connections fascinantes entre corps de métiers, corps des êtres, matières, hasards et décisions - heureux ou malheureux - formant tous la chaîne d'une destinée chorale sans égale au cinéma, deux acteurs immensissimes s'épiant, se croisant, chacun le revers d'une seule pièce, pour finir par se tenir la main dans un des finals les plus doucement poignants, refermant cette fresque mélancolique à la richesse inépuisable, traversée de fulgurants morceaux de bravoures, dans une nuit magnifiée comme jamais avant, jamais après, scintillante de ces étoiles urbaines comme autant de possibles et de rêves inatteignables.
Sinon, la liste complète des 100 films, par ordre alphabétique des titres :

2001 : L'Odyssée de l'espace - Stanley Kubrick ( 1968 )

Abyss - James Cameron ( 1989 )
Akira - Katsuhiro Otomo ( 1988 )
Alien : le 8ème Passager - Ridley Scott ( 1979 )
Aliens : Le Retour - James Cameron ( 1986 )
Apocalypse Now - Francis Ford Coppola ( 1979 )
Aventure intérieure (L') - Joe Dante ( 1987 )
Aventuriers de l'arche perdue (Les) - Steven Spielberg ( 1981 )
Avventura (L') - Michelangelo Antonioni ( 1960 )

Batman - Tim Burton ( 1989 )
Batman : Le Défi - Tim Burton ( 1992 )
Belle et la Bête (La) - Jean Cocteau ( 1946 )
Blade Runner - Ridley Scott ( 1982 )
Blow Out - Brian De Palma ( 1981 )
Blow-Up - Michelangelo Antonioni ( 1966 )
Blue Velvet - David Lynch ( 1986 )
Boulevard du crépuscule - Billy Wilder ( 1950 )

Chinatown - Roman Polanski ( 1974 )
Christine - John Carpenter ( 1983 )
Conversation secrète - Francis Ford Coppola ( 1974 )

Dark Crystal - Jim Henson ( 1982 )
Dents de la mer (Les) - Steven Spielberg ( 1975 )
Deux en un - Bobby et Peter Farrelly ( 2003 )
Dolce Vita (La) - Frederico Fellini ( 1960 )
Donnie Darko - Richard Kelly ( 2001 )
Dracula - Francis Ford Coppola ( 1992 )

E.T. l'extra-terrestre - Steven Spielberg ( 1982 )
Edward aux mains d'argent - Tim Burton ( 1990 )
Elephant - Gus Van Sant ( 2003 )
Elephant Man - David Lynch ( 1980 )
Empire contre-attaque (L') - Irvin Kershner ( 1980 )
Eternal Sunshine of the Spotless Mind - Michel Gondry ( 2004 )
Exorciste (L') - William Friedkin ( 1973 )
Eyes Wide Shut - Stanley Kubrick ( 1999 )

Frantic - Roman Polanski ( 1988 )

Gerry - Gus Van Sant ( 2002 )
Ghost in the Shell - Mamoru Oshii ( 1995 )
Guerre des Etoiles (La) - George Lucas ( 1977 )

Heat - Michael Mann ( 1995 )
Homme qui rétrécit (L') - Jack Arnold ( 1957 )

Il était une fois en Amérique - Sergio Leone ( 1984 )
Impasse (L') - Brian De Palma ( 1993 )
Incassable - M. Night Shyamalan ( 2000 )
Incorruptibles (Les) - Brian De Palma ( 1987 )
Indiana Jones et la Dernière Croisade - Steven Spielberg ( 1989 )
Indiana Jones et le Temple maudit - Steven Spielberg ( 1984 )
Inside Llewyn Davis - Joel et Ethan Coen ( 2013 )
Interstellar - Christopher Nolan ( 2014 )

Jackie Brown - Quentin Tarantino ( 1997 )
Jurassic Park - Steven Spielberg ( 1993 )

Ligne Rouge (La) - Terrence Malick ( 1998 )
Locataire (Le) - Roman Polanski ( 1976 )
Lost Highway - David Lynch ( 1997 )
Lost in Translation - Sofia Coppola ( 2003 )

Mission : Impossible - Brian De Palma ( 1996 )
Mort aux trousses (La) - Alfred Hitchcock ( 1959 )
Mouche (La) - David Cronenberg ( 1986 )
Mud, sur les rives du Mississippi - Jeff Nichols ( 2013 )
Mulholland Drive - David Lynch ( 2001 )

Nouveau Monde (Le) - Terrence Malick ( 2005 )
Nuit des masques (La) - John Carpenter ( 1978 )
Nuit du chasseur (La) - Charles Laughton ( 1955 )

Oiseaux (Les) - Alfred Hitchcock ( 1963 )

Paris, Texas - Wim Wenders ( 1984 )
Parle avec elle - Pedro Almodovar ( 2002 )
Parrain (Le) - Francis Ford Coppola ( 1972 )
Parrain : 2e Partie (Le) - Francis Ford Coppola ( 1974 )
Parrain : 3e Partie (Le) - Francis Ford Coppola ( 1990 )
Piège de cristal - John McTiernan ( 1988 )
Pierrot le fou - Jean-Luc Godard ( 1965 )
Planète sauvage (La) - René Laloux ( 1973 )
Princesse Mononoké - Hayao Miyazaki ( 1997 )

Qui veut la peau de Roger Rabbit ? - Robert Zemeckis ( 1988 )

Rencontres du troisième type - Steven Spielberg ( 1977 )
Retour du Jedi (Le) - Richard Marquand ( 1983 )
Retour vers le futur - Robert Zemeckis ( 1985 )
Roi et l'Oiseau (Le) - Paul Grimault ( 1980 )
Rosemary's Baby - Roman Polanski ( 1968 )
Rusty James - Francis Ford Coppola ( 1983 )

Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'anneau (Le) - Peter Jackson ( 2001 )
Shining - Stanley Kubirck ( 1980 )
Signes - M. Night Shyamalan ( 2002 )
Stalker - Andreï Tarkovski ( 1979 )
Star Wars - Episode 3 : La Revanche des Sith - George Lucas ( 2005 )
Sueurs froides - Alfred Hitchcock ( 1958 )
Sur la route de Madison - Clint Eastwoorf ( 1995 )

Taxi Driver - Martin Scosese ( 1976 )
Terminator - James Cameron ( 1984 )
Thing (The) - John Carpenter ( 1982 )
Tout ce que le ciel permet - Douglas Sirk ( 1955 )
Twin Peaks : Fire Walk with Me - David Lynch ( 1992 )
Two Lovers - James Gray ( 2009 )

Un après-midi de chien - Sydney Lumet ( 1975 )
Un Jour sans fin - Harold Ramis ( 1993 )
Une Histoire vraie - David Lynch ( 1999 )

Voyage au bout de l'enfer - Michael Cimino ( 1978 )
Voyage de Chihiro (Le) - Hayao Miyazaki ( 2001 )
Voyeur (Le) - Michael Powell ( 1960 )

Yeux sans visage (Les) - George Franju ( 1960 )

Zodiac - David Fincher ( 2007 )

TOP 50 alternatif
J'ai essayé de me limiter à un film par réalisateur. :wink:

A bord du Darjeeling Limited - Wes Anderson ( 2007 )
Adventureland, job d'été à éviter - Greg Mottola ( 2009 )
Armée des 12 singes (L') - Terry Gilliam ( 1995 )

Bal des vampires (Le) - Roman Polanski ( 1967 )
Batman contre le fantôme masqué - Eric Radomski, Bruce Timm ( 1993 )
Beaux Gosses (Les) - Riad Sattouf ( 2009 )

Cette sacrée vérité - Leo McCarey ( 1937 )
Charade - Stanley Donen ( 1963 )
Chèvre (La) - Francis Veber ( 1981 )
Cruising - William Friedkin ( 1980 )

Dernière Séance (La) - Peter Bogdanovich ( 1971 )
Dick Tracy - Warren Beatty ( 1990 )

Enfants loups, Ame & Yuki (Les) - Momoru Hosoda ( 2012 )
Epouvantail (L') - Jerry Schatzberg ( 1973 )
Erin Brockovich, seule contre tous - Steven Soderbergh ( 2000 )
Excalibur - John Boorman ( 1981 )

Gremlins - Joe Dante ( 1984 )

Histoire sans fin (L') - Wolfgang Petersen ( 1984 )

Into the Wild - Sean Penn ( 2007 )

Jetée (La) - Chris Marker ( 1962 )

Kramer contre Kramer - Robert Benton ( 1979 )

La La Land - Damien Chazelle ( 2017 )
Là-haut - Pete Docter & Bob Peterson ( 2009 )
Legend - Ridley Scott ( 1985 )
Love & Mercy - Bill Pohlad ( 2015 )

Magicien d'Oz (Le) - Victor Fleming ( 1939 )
Marie-Antoinette - Sofia Coppola ( 2006 )
Myth of the American Sleepover (The) - David Robert Mitchell ( 2010 )

Nausicaä de la vallée du vent - Hayao Miyazaki ( 1984 )
Nom de la rose - Jean-Jacques Annaud ( 1986 )

Perfect Blue - Satoshi Kon ( 1998 )
Planète des singes (La) - Franklin J. Schaffner ( 1968 )
Planète interdite - Fred M. Wilcox ( 1956 )
Predator - John McTiernan ( 1987 )
Premier Contact - Denis Villeneuve ( 2016 )
Projet Blair Witch (Le) - Daniel Myrick & Eduardo Sanchez ( 1999 )

Révélations - Michael Mann ( 1999 )

S.O.S. Fantômes - Ivan Reitman ( 1984 )
Sang des bêtes (Le) - Georges Franju ( 1949 )
Série noire pour une nuit blanche - John Landis ( 1985 )
Serpico - Sidney Lumet ( 1973 )

Titanic - James Cameron ( 1997 )
Trois Jours du Condor (Les) - Sydney Pollack ( 1975 )
Truman Show (The) - Peter Weir ( 1998 )

Velvet Goldmine - Todd Haynes ( 1998 )
Village (Le) - M. Night Shyamalan ( 2004 )
Ving mille lieues sous les mers - Richard Fleischer ( 1954 )

Will Hunting - Gus Van Sant ( 1997 )
Willow - Ron Howard ( 1988 )

Yi Yi - Edward Yang ( 2000 )

Et plein de films écartés, à regret, mais avec les contraintes imposées comme excellente excuse. :mrgreen:
Dernière modification par Omael le 8 sept. 18, 11:05, modifié 1 fois.
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Demi-Lune »

Thaddeus a donc un frère. Bienvenue, Omael. :)
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Thaddeus »

Demi-Lune a écrit :Thaddeus a donc un frère.
Tu n'as pas idée à quel point. Comme j'ai eu l'occasion de le faire remarquer maintes fois à Omael en d'autres lieux, notre cinéphilie s'est forgée dans le même moule.
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Supfiction »

Bravo Omael. Quelques transferts entre le top alternatif et le top 100 sont encore possible hein. :mrgreen:
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Omael »

Demi-Lune a écrit :Thaddeus a donc un frère. Bienvenue, Omael. :)
Merci :D

Oui, on a dû être môme à peu près à la même époque, et être entré dans notre passion du cinéma par les mêmes films, du coup les chemins de films en films qui s'en sont suivis se ressemblent, même si de mon côté je suis surement trop enclin à revenir en arrière, là où Thaddeus continue son chemin. :mrgreen:

C'est toujours étonnant et agréable de le constater en tout cas. :) C'est ce que j'aime bien dans ces tops : ça dessine ces chemins, comme une cartographie, et c'est assez passionnant de les lire pour voir les similitudes mais aussi les divergences, les inconnues. Ça inspire des découvertes à venir (certaines passées ne seraient pas dans ma liste sans avoir lu ce genre de sujet dans d'autres lieux) .:)
Supfiction a écrit :Bravo Omael. Quelques transferts entre le top alternatif et le top 100 sont encore possible hein. :mrgreen:
Merci :D Dans quels sens les transferts ? :mrgreen: Je suis conscient que je vais être seul pour certains films :mrgreen: :wink:
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Message par Supfiction »

Omael a écrit :Dans quels sens les transferts ? :mrgreen: Je suis conscient que je vais être seul pour certains films :mrgreen: :wink:
Cette sacrée véritée, La la land et Titanic par exemple, pour ma part, trouveraient facilement des titres du top 100 à remplacer mais je ne veux pas interférer, c'est ton Top! :P
Je crois que tu es le seul à avoir intégré SW Episode 3, un film que j'aimais bien à sa sortie mais quand je revois certains jeux d'acteur, ça fait trop mal.
Autre originalité bienvenue : Myth of the American Sleepover même si ce n'est que dans ton top alternatif. Un film peut-être amené à intégré les tops à l'avenir.
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Omael
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Omael »

:D

Quelque part, tu ne fais pas si bien dire pour Cette sacré vérité, La La Land, et Titanic.
Cela fait longtemps que cette liste de 100 films est dans mes cartons, dans un autre endroit, sans que je ne la publie, y revenant régulièrement pour sortir ou faire rentrer certains films. Et ces 3 films y étaient à un moment. :wink:
Pour La La Land, bien qu'il m'ait flingué net à sa sortie, il reste un film que je n'ai vu qu'une fois, j'ai préféré faire figurer un autre qui m'accompagne depuis plus longtemps.
Pour Titanic, même si ce n'est pas du tout une question de quota ou d'équité, j'ai préféré mettre en avant un autre film que j'aime tout autant et saluer un autre réal, Cameron étant déjà bien présent parmi mes 100 préférés.
Pour Cette sacré vérité, ben, je n'ai pas d'explication. :mrgreen:

Pour SW3, je me doutais qu'il se serait s'agit notamment de lui. Je comprends. :wink: Je suis bien conscient qu'il ne s'agit pas objectivement d'un des 100 meilleurs film de tous les temps. J'ai un attachement particulier avec cet épisode, je suis toujours transporté et prends chaque fois un immense plaisir à le revoir, c'est purement personnel à ce stade. :wink:

The Myth of the American Sleepover est assez confidentiel encore (perso, je ne l'ai découvert que parce qu'il était en bonus du Bluray de It Follows), c'est un peu dommage car il mérite d'être découvert. :)
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Flol
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Flol »

Omael a écrit :The Myth of the American Sleepover est assez confidentiel encore (perso, je ne l'ai découvert que parce qu'il était en bonus du Bluray de It Follows), c'est un peu dommage car il mérite d'être découvert. :)
Et tu as bien raison, c'est un film magnifique.
Dont on disait déjà le plus grand bien dans son topic dédié.
Et bienvenue sinon !
Max Schreck
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Max Schreck »

Le dernier devait remonter à une dizaine d'années. Quitte à être arbitraire en fixant une limite de 100, j'ai décidé de ne citer qu'un seul film par réalisateur, afin de mettre par la même occasion en lumière le titre que je préfère au sein d'une filmographie, manière aussi de m'aider à choisir. Exercice intéressant, puisque je me suis rendu compte qu'avec les années, j'étais prêt à substituer certains titres à d'autres, que je pouvais juger « objectivement » supérieurs, mais vers lesquels j'ai aujourd'hui moins envie de revenir. Et il y a quand même une poignée de films pour lesquels je reste sur le souvenir d'un unique visionnage, c'est dire leur impact.


25e heure, La (Verneuil, 1967)
2001 : l'odyssée de l'espace (Kubrick, 1968)

Abattoir 5 (Hill, 1972)
À bout de course (Lumet, 1988)
Affiche rouge, L' (Cassenti,1976)
Ailes du désir, Les (Wenders, 1987)
Amants du cercle polaire, Les (Medem, 1998)
Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia (Peckinpah, 1974)
Apprentis, Les (Salvadori, 1995)
Armée des douze singes, L' (Gilliam, 1995)

Bande à part (Godard, 1964)
Bandits à Milan (Lizzani, 1968)
Barabbas (Fleischer, 1962)
Barton Fink (Coen bros., 1991)
Batman, le défi (Burton, 1992)
Beau fixe sur New York (Donen & Kelly, 1955)
Before sunset (Linklater, 2005)
Bienvenue Mr Chance (Ashby, 1979)
Blade runner (Scott, 1982)
Bostella, La (Baer, 1999)
Boulevard du crepuscule (Wilder, 1950)

Casablanca (Curtiz, 1942)
Catch-22 (Nichols, 1970)
Chansons d'amour, Les (Honoré, 2007)
Chasseur blanc cœur noir (Eastwood, 1990)
Chaussons rouges, Les (Powell & Pressburger, 1948)
Citizen Kane (Welles, 1941)
Cinema Paradiso (Tornatore, 1989)
Convoi de la peur, Le / Sorcerer (Friedkin, 1977)
Crash (Cronenberg, 1996)
Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant, Le (Greenaway, 1989)
Cyrano de Bergerac (Rappeneau, 1990)

Demoiselles de Rochefort, Les (Demy, 1967)
Dernière tentation du Christ, La (Scorsese, 1988)
Deuxième souffle, Le (Melville, 1966)
Dodes'kaden (Kurosawa, 1970)
Drame de la jalousie (Scola, 1970)
Drunken master II (Liu & Chan, 1994)

Empire du soleil (Spielberg, 1987)
Enfer du dimanche, L' (Stone, 1999)
En quatrième vitesse (Aldrich, 1955)
Eternal sunshine of the spotless mind (Gondry, 2004)
Étoffe des héros, L' (Kaufman, 1983)

Famille Tenenbaum, La (Anderson, 2001)

Géant (George Stevens, 1956)
Géant de fer, Le (Bird, 1999)
Gerry (Van Sant, 2002)

Hatari ! (Hawks, 1962)
Heat (Mann, 1995)

Il était une fois la révolution (Leone, 1971)
Impasse, L' (De Palma, 1993)
Incassable (Shyamalan, 2000)

Jackie Brown (Tarantino, 1997)
Jin-roh (Okiura, 1999)

Kids return (Kitano, 1996)
Killer, The (Woo, 1989)
King Kong (Schoedsack & Cooper, 1933)

Lawrence d'Arabie (Lean, 1962)
Locataires (Ki-Duk, 2004)
Lumières de la ville, Les (Chaplin, 1931)

Mad Max 2 (Miller, 1981)
Magnolia (Anderson, 1999)
Manhattan (Allen, 1979)
Man on the moon (Forman, 1999)
Mar adentro (Amenabar, 2004)
Mary Poppins (Stevenson, 1964)
Master and commander (Weir, 2003)
Mo' better blues (Lee, 1990)

Nosferatu (Murnau, 1922)
Nuit américaine, La (Truffaut, 1973)
Nuit du loup garou, La (Fisher, 1961)

Pain et chocolat (Brusati, 1973)
Panic sur florida beach (Dante, 1993)
Parrain 2, Le (Coppola, 1974)
Piège de cristal (McTiernan, 1988)
Porco Rosso (Miyazaki, 1992)
Poursuite implacable, La / Revolver (Sollima, 1973)
Proies, Les (Siegel, 1970)
Promenade avec l'amour et la mort (Huston, 1969)

Raisins de la colère, Les (Ford, 1940)
Règle du jeu, La (Renoir, 1939)
Rocky (Avildsen, 1976)
Roi et l'oiseau, Le (Grimault, 1980)
Rois et reine (Desplechin, 2004)

Salaire de la peur, Le (Clouzot, 1953)
Scaramouche (Sidney, 1952)
Soldier of orange (Verhoeven, 1977)
Soleil trompeur (Mikhalkov, 1994)
Sueurs froides (Hitchcock, 1958)

Talentueux Mr Ripley, Le (Minghella, 1999)
Thing, The (Carpenter, 1982)
THX 1138 (Lucas, 1971)
Tokyo godfathers (Kon, 2003)
Touchez pas au grisbi (Becker, 1954)
Tout sur ma mère (Almodovar, 1999)

Une étoile est née (Cukor, 1954)

Victor/Victoria (Edwards, 1982)
Voyage au bout de l'enfer (Cimino, 1978)

West side story (Wise & Robbins, 1961)

Zombie (Romero, 1978)
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
Mes films du mois...
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Major Tom
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Major Tom »

Une affaire de choix hyper compliquée avec de gros sacrifices parfois impardonnables, mais le voilà, in fresh new style, mon Top 100 édition 2019 par ordre de préférence, en vidéo et en (très précisément) 10 minutes, combinant deux passions : le montage & les affiches de cinéma (notamment les "textless posters").
C'est ici :
Par écrit, mais juste par ordre alphabétique :
Spoiler (cliquez pour afficher)
* Top 10

2001 : l'odyssée de l'espace (Kubrick, 1968)

À bout de souffle (Godard, 1960)
Abyss (Cameron, 1989)
After Hours (Scorsese, 1985)
Ailes, Les (Wellman, 1927)
Alien, le huitième passager (Scott, 1979)
Année dernière à Marienbad, L' (Resnais, 1961)
Année du Dragon, L' (Cimino, 1985)
Apocalypse Now (Coppola, 1979)
Arrête-moi si tu peux (Spielberg, 2002)
Ascenseur pour l'échafaud (Malle, 1958)
Aurore, L' (Murnau, 1927)
Aventuriers de l'Arche perdue, Les (Spielberg, 1981)

Bal des vampires, Le (Polanski, 1967)
Bateau, Le (Petersen, 1981)
Blade Runner (Scott, 1982)
Breakfast Club (Hugues, 1985)
Body Double (De Palma, 1984)
Bon, la brute et le truand, Le (Leone, 1966)
Bonne année, La (Lelouch, 1973)
Brazil (Gilliam, 1985)
Bullitt (Yates, 1968)

Canonnière du Yang-Tsé, La (Wise, 1966)
Carrie au bal du Diable (De Palma, 1976)
Chinatown (Polanski, 1974)
Contes de la lune vague après la pluie, Les (Mizoguchi, 1953)

Dersou Ouzala (Kurosawa, 1975)
Dents de la mer, Les (Spielberg, 1975)
Dilwale Dulhania Le Jayenge (Chopra, 1995)
Duellistes, Les (Scott, 1977)
Dune (Lynch, 1984)

Empire contre-attaque, L' (Kershner, 1980)
Eyes Wide Shut (Kubrick, 1999)

Facteur sonne toujours deux fois, Le (Garnett, 1946)
Fantôme de la liberté, Le (Buñuel, 1974)
Féline, La (Tourneur, 1942)
Fille aux jacinthes, La (Ekman, 1950)
Fille de Ryan, La (Lean, 1970)
Fils de l'homme, Les (Cuarón, 2006)
Flèche brisée, La (Daves, 1950)
Forteresse cachée, La (Kurosawa, 1958)

Griffe du passé, La (Tourneur, 1947)
Ghost Writer, The (Polanski, 2010)
Grande illusion, La (Renoir, 1937)
Guet-apens (Peckinpah, 1972)

Heure suprême, L' (Borzage, 1927)
Hot Spot, The (Hopper, 1990)
Huit et demi (Fellini, 1963)
Huit heures de sursis (Reed, 1947)

Impasse, L' (De Palma, 1993)
Inconnu du Nord-Express, L' (Hitchcock, 1951)

Jetée, La (Marker, 1962)

King of New York (Ferrara, 1990)

Locataire, Le (Polanski, 1976)
Loup-garou de Londres, Le (Landis, 1981)
Lost In Translation (Coppola, 2003)

Magnifique, Le (De Broca, 1973)
Ma Nuit chez Maud (Rohmer, 1969)
Master and Commander : De l'autre côté du monde (Weir, 2003)
Match Point (Allen, 2005)
Metropolis (Lang, 1927)
Minority Report (Spielberg, 2002)
M le maudit (Lang, 1931)
Moissons du Ciel, Les (Malick, 1978)
Moonrise Kingdom (Anderson, 2012)
Mort aux trousses, La (Hithcock, 1959)
Mulholland Drive (Lynch, 2001)

Nosferatu : Fantôme de la nuit (Herzog, 1979)

Obsédé, L' (Wyler, 1965)
Oiseau au plumage de cristal, L' (Argento, 1970)

Parrain, Le (Coppola, 1972)
Peau douce, La (Truffaut, 1964)
Player, The (Altman, 1992)
Plein soleil (Clément, 1960)
Police fédérale, Los Angeles (Friedkin, 1985)
Prédateurs, Les (Scott, 1983)
Psychose (Hitchcock, 1960)
Pulp Fiction (Tarantino, 1994)

Quand la ville dort (Huston, 1950)

Ratatouille (Bird, 2007)
Reservoir Dogs (Tarantino, 1992)
Ruée vers l'or, La (Chaplin, 1925)

Samouraï, Le (Melville, 1967)
Scarface (De Palma, 1983)
Seigneur des anneaux : La Communauté de l'anneau, Le (Jackson, 2001)
Shining (Kubrick, 1980)
Sixième sens, Le (Mann, 1986)
Soif du mal, La (Welles, 1958)
Solaris (Tarkovski, 1972)

Temps modernes, Les (Chaplin, 1936)
Thing, The (Carpenter, 1982)
Trainspotting (Boyle, 1996)
Trois jours du Condor, Les (Pollack, 1975)
Trou, Le (Becker, 1960)
Tuer n'est pas jouer (Glen, 1987)
Tueurs, Les (Siodmak, 1946)

Une Certaine rencontre (Mulligan, 1963)
Un Été avec Monika (Bergman, 1953)

Week-end à Zuydcoote (Verneuil, 1964)
Witness (Weir, 1985)
En faisant les comptes...
Spoiler (cliquez pour afficher)
Avec le recul, ma liste est marquée par deux gros blocs regroupant au minimum un film par an : de 1958 à 1970 (24 films, avec un maximum de 4 films pour l'année 1960), puis de 1972 à 1987 (36 films dont 6 pour l'année 1985).
Le retour dans mon top de films tels que Les Aventuriers de l'Arche perdue, L'Empire contre-attaque ou Blade Runner, après une phase de quelques années où je les aimais beaucoup moins suivie de révisions récentes et enthousiastes, y est pour quelque chose.

Sans surprise, les décennies 60, 70 et 80 sont largement représentées avec en moyenne une vingtaine de films chacune.

Pour le reste c'est très dispersé sur une période allant de 1925 à 2012 ; le maximum atteint avec les années 1927 (4 films cités) et 1950 (3 films).

Niveau cinéastes, sans surprise non plus, le Nouvel Hollywood écrase toute concurrence.
Cités 4 fois : De Palma, Polanski et Spielberg. Cités 3 fois : Alfred Hitchcock, Stanley Kubrick et Ridley Scott. Cités 2 fois : Charlie Chaplin, Fritz Lang, Peter Weir, Quentin Tarantino, Jacques Tourneur, David Lynch et Francis Ford Coppola. De grands manquants/disparus faute de place et de choix : Boetticher (d'ailleurs le western est totalement sous-représenté), Sirk, les frères Coen, et surtout Billy Wilder, une absence que je ne me pardonne pas, mais fort à parier qu'ils reviendront en force dans mon édition 2019...
Dernière modification par Major Tom le 5 janv. 19, 05:16, modifié 5 fois.
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Jeremy Fox
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Jeremy Fox »

Beau boulot 8)
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Thaddeus
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Thaddeus »

Major, veux-tu m'épouser ? Si tu es déjà marié, aucun problème : j'accepte d'être concubin de seconde catégorie.

Question que je ne me pardonne pas de poser, mais ça me turlupine : dans quel film (appartenant à la catégorie 11-20 j'imagine) entend-on le Bad Moon Rising des Creedence ? Ça ne me revient pas, là tout de suite...
Spoiler (cliquez pour afficher)
Bien sûr, tu penseras à mettre les pronoms définis à la fin de tes titres pour que ta liste soit prise en compte.
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Flol
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Flol »

Thaddeus a écrit :Question que je ne me pardonne pas de poser, mais ça me turlupine : dans quel film (appartenant à la catégorie 11-20 j'imagine) entend-on le Bad Moon Rising des Creedence ?
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Re: Top 100 DVDClassik | Edition 2018

Message par Flol »

Major Tom a écrit :Une affaire de choix hyper compliquée avec de gros sacrifices parfois impardonnables, mais le voilà, in fresh new style, mon Top 100 édition 2018 par ordre de préférence, en vidéo et en (très précisément) 10 minutes, combinant deux passions : le montage & les affiches de cinéma (notamment les "textless posters").
C'est ici :
Par écrit, mais juste par ordre alphabétique :
Spoiler (cliquez pour afficher)
* Top 10

8 Heures de sursis (Reed, 1947)
8 ½ (Fellini, 1963)
2001 : l'odyssée de l'espace (Kubrick, 1968)

À bout de souffle (Godard, 1960)
Abyss (Cameron, 1989)
After Hours (Scorsese, 1985)
Les Ailes (Wellman, 1927)
Alien, le huitième passager (Scott, 1979)
L'Année dernière à Marienbad (Resnais, 1961)
L'Année du Dragon (Cimino, 1985)
Apocalypse Now (Coppola, 1979)
Arrête-moi si tu peux (Spielberg, 2002)
Ascenseur pour l'échafaud (Malle, 1958)
L'Aurore (Murnau, 1927)
Les Aventuriers de l'Arche perdue (Spielberg, 1981)

Le Bal des vampires (Polanski, 1967)
Blade Runner (Scott, 1982)
Das Boot (Petersen, 1981)
The Breakfast Club (Hugues, 1985)
Body Double (De Palma, 1984)
Le Bon, la brute et le truand (Leone, 1966)
La Bonne année (Lelouch, 1973)
Brazil (Gilliam, 1985)
Bullitt (Yates, 1968)

La Canonnière du Yang-Tsé (Wise, 1966)
Carrie au bal du Diable (De Palma, 1976)
Une Certaine rencontre (Mulligan, 1963)
Chinatown (Polanski, 1974)
Les Contes de la lune vague après la pluie (Mizoguchi, 1953)

Dersou Ouzala (Kurosawa, 1975)
Les Dents de la mer (Spielberg, 1975)
Dilwale Dulhania Le Jayenge (Chopra, 1995)
Les Duellistes (Scott, 1977)
Dune (Lynch, 1984)

L'Empire contre-attaque (Kershner, 1980)
Un Été avec Monika (Bergman, 1953)
Eyes Wide Shut (Kubrick, 1999)

Le Facteur sonne toujours deux fois (Garnett, 1946)
Le Fantôme de la liberté (Buñuel, 1974)
La Féline (Tourneur, 1942)
La Fille aux jacinthes (Ekman, 1950)
La Fille de Ryan (Lean, 1970)
Les Fils de l'homme (Cuarón, 2006)
La Flèche brisée (Daves, 1950)
La Forteresse cachée (Kurosawa, 1958)

La Griffe du passé (Tourneur, 1947)
The Ghost Writer (Polanski, 2010)
La Grande illusion (Renoir, 1937)
Guet-apens (Peckinpah, 1972)

L'Heure suprême (Borzage, 1927)
The Hot Spot (Hopper, 1990)

L'Impasse (De Palma, 1993)
L'Inconnu du Nord-Express (Hitchcock, 1951)

La Jetée (Marker, 1962)

King of New York (Ferrara, 1990)

Le Locataire (Polanski, 1976)
Le Loup-garou de Londres (Landis, 1981)
Lost In Translation (Coppola, 2003)

Le Magnifique (De Broca, 1973)
Master and Commander : De l'autre côté du monde (Weir, 2003)
Match Point (Allen, 2005)
Metropolis (Lang, 1927)
Minority Report (Spielberg, 2002)
M le maudit (Lang, 1931)
Les Moissons du Ciel (Malick, 1978)
Moonrise Kingdom (Anderson, 2012)
La Mort aux trousses (Hithcock, 1959)
Mulholland Drive (Lynch, 2001)

Nosferatu : Fantôme de la nuit (Herzog, 1979)
Ma Nuit chez Maud (Rohmer, 1969)

L'Obsédé (Wyler, 1965)
L'Oiseau au plumage de cristal (Argento, 1970)

Le Parrain (Coppola, 1972)
La Peau douce (Truffaut, 1964)
The Player (Altman, 1992)
Plein soleil (Clément, 1960)
Police fédérale, Los Angeles (Friedkin, 1985)
Les Prédateurs (Scott, 1983)
Psychose (Hitchcock, 1960)
Pulp Fiction (Tarantino, 1994)

Quand la ville dort (Huston, 1950)

Ratatouille (Bird, 2007)
Reservoir Dogs (Tarantino, 1992)
La Ruée vers l'or (Chaplin, 1925)

Le Samouraï (Melville, 1967)
Scarface (De Palma, 1983)
Le Seigneur des anneaux : La Communauté de l'anneau (Jackson, 2001)
Shining (Kubrick, 1980)
Le Sixième sens (Mann, 1986)
La Soif du mal (Welles, 1958)
Solaris (Tarkovski, 1972)

Les Temps modernes (Chaplin, 1936)
The Thing (Carpenter, 1982)
Trainspotting (Boyle, 1996)
Les Trois jours du Condor (Pollack, 1975)
Le Trou (Becker, 1960)
Tuer n'est pas jouer (Glen, 1987)
Les Tueurs (Siodmak, 1946)

Week-end à Zuydcoote (Verneuil, 1964)
Witness (Weir, 1985)
En faisant les comptes...
Spoiler (cliquez pour afficher)
Avec le recul, ma liste est marquée par deux gros blocs regroupant au minimum un film par an : de 1958 à 1970 (24 films, avec un maximum de 4 films pour l'année 1960), puis de 1972 à 1987 (36 films dont 6 pour l'année 1985).
Le retour dans mon top de films tels que Les Aventuriers de l'Arche perdue, L'Empire contre-attaque ou Blade Runner, après une phase de quelques années où je les aimais beaucoup moins suivie de révisions récentes et enthousiastes, y est pour quelque chose.

Sans surprise, les décennies 60, 70 et 80 sont largement représentées avec en moyenne une vingtaine de films chacune.

Pour le reste c'est très dispersé sur une période allant de 1925 à 2012 ; le maximum atteint avec les années 1927 (4 films cités) et 1950 (3 films).

Niveau cinéastes, sans surprise non plus, le Nouvel Hollywood écrase toute concurrence.
Cités 4 fois : De Palma, Polanski et Spielberg. Cités 3 fois : Alfred Hitchcock et Ridley Scott. Cités 2 fois : Charlie Chaplin, Fritz Lang, Peter Weir, Stanley Kubrick, Quentin Tarantino, Jacques Tourneur, David Lynch et Francis Ford Coppola. De grands manquants/disparus faute de place et de choix : Boetticher (d'ailleurs le western est totalement sous-représenté), Sirk, les frères Coen, et surtout Billy Wilder, une absence que je ne me pardonne pas, mais fort à parier qu'ils reviendront en force dans mon édition 2019...
Marrant, j'aurais jamais pensé que ton numéro 1 puisse être celui-là. Je pensais plutôt à un De Palma ou Polanski. Ou Argento.
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