Paris vu par...

La restauration rend justice au travail sur la lumière des différents chef-opérateurs (d'Almendros à Maysles), autant dans les teintes froides de Rouch, Rohmer et Godard que chaudes de Pollet ou Douchet. Au rang des scories : une rognure regrettable du côté gauche de l'écran sur une partie du segment Place de l'Etoile et un ralentissement inopportun de l'image sur un plan de La Muette.

Mono respecté. Si l'architecture sonore (diverse et sophistiquée) du film est bien rendue, des souffles épars sont à relever.

Il n'y a aucun supplément sur cette édition.