Menu
Test dvd
Image de la jaquette

Le Virginien saison.8 / vol.3

DVD - Région All
Elephant Films
Parution : 30 septembre 2020

Image

Ce troisième volume de cette 8ème et avant-dernière saison contient 4 DVD sur lesquels on trouve 8 épisodes de 72 à 75 minutes chacun. Sur ce tiers de saison, aucun épisode ne bénéficie de la version française.

  • 8.17 - Holocaust réalisé par Jeannot Szwarc : 4/10
  • 8.18 - Train of Darkness réalisé par James Sheldon : 8/10
  • 8.19 - A Time of Terror réalisé par Joseph Pevney : 4/10
  • 8.20 - No War for the Warrior réalisé par Michael Caffey : 7.5/10
  • 8.21 - A King's Ransom réalisé par Joseph Pevney : 4/10
  • 8.22 - The Sins of the Father réalisé par Walter Doniger : 8.5/10
  • 8.23 - Rich Man, Poor Man réalisé par Anton Leader : 8/10
  • 8.24 - The Gift réalisé par Seymour Robbie : .3.5/10
     

Pour la 24ème fois nous sommes heureux de féliciter à nouveau l'éditeur pour cette série westernienne éditée avec le plus grand soin. Pour faire rapide, les masters récupérés sont presque flambant neufs, on ne peut pas dire que la définition laisse à désirer, le travail de compression est quasiment invisible et le travail de sous-titrage fut certainement considérable d'où notre indulgence pour quelques fautes orthographiques et grammaticales assez choquantes. On peut désormais l'affirmer, avant de voir ce qu'il en sera pour l'ultime saison, le travail de restauration de la série aura été constamment remarquable même si pour cette huitième saison un peu en-deçà sans que le résultat ne soit aucunement rédhibitoire, bien au contraire toujours assez remarquable pour une série "vintage". Alors que j'écris ce test sur ce coffret, est annoncée pour avril 2021 la première partie de la dernière saison intitulée The Men from Shiloh ; l'éditeur aura donc bien été jusqu'au bout même si nous n'en doutions pas vraiment. Toujours donc avec la même assiduité et le même professionnalisme, Elephant Films nous propose une fois encore un formidable travail au niveau de l'image, les copies ayant été très bien restaurées par NBC-Universal ; à signaler cependant que la colorimétrie est un peu plus froide que lors des précédentes saisons, les dérives vers le bleu étant peut-être dues à une volonté du chef opérateur sans que je sois à nouveau capable de le confirmer. Hormis les génériques et de multiples stock-shots aux couleurs passées, ainsi que quelques séquences plus abimées et/ou plus floues que d'autres, l'ensemble se révèle une fois encore très propre, solidement contrasté et parfaitement bien défini. Autant dire qu'il s'agit d'un confort de visionnage plus que satisfaisant pour une série de plus de 50 ans, d'autant que le travail de numérisation s'avère encore une fois plus qu'honorable, quasi invisible, tandis que le grain d'origine n'a jamais été atténué. Pour s'en rendre compte, il suffit d'aller jeter un rapide coup d'œil dans la galerie de captures à raison de 8 captures par épisode.

Son

La saison 8 n’ayant jamais été télédiffusée, inédite tout du moins en France, la totalité des épisodes ne nous est proposée qu’en seule VOST. Ces pistes sonores sont formidablement bien conservées, à part un léger souffle qui se fait parfois entendre. Du bon travail de restauration une fois encore. A signaler pour les anglophiles qu’ils ont la possibilité de se passer des sous-titres, et remercions l’éditeur pour ce formidable travail de sous-titrage même si d'énormes fautes orthographiques, d'inattention ou et grammaticales feront réagir certains (notamment pour l'épisode No War for the Warrior qui en contient vraiment beaucoup).

Suppléments

Comme suppléments, nous trouvons uniquement les bandes-annonces des séries Le Cheval de fer, Sur la piste des Cheyennes, Mike Hammer, Banacek ainsi que Matt Helm. Une nouvelle fois aucune raison de se plaindre de l'absence d’autre bonus puisque tout a déjà été dit dans ceux inclus au sein des coffrets des premières saisons, d'autant que nous sommes déjà ravis de pouvoir bénéficier de la série dans un tel état de conservation. Un bravo à nouveau renouvelé à l'éditeur !

Par Erick Maurel - le 1 mars 2021