Le cinéma britannique
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Le cinéma britannique
Bafta : récompenses du cinéma britannique
Le secret de Brokeback Mountain (Brokeback Mountain), le film américain d'Ang Lee favori des Oscars, a été dimanche le grand vainqueur de la cérémonie des Baftas 2006, les récompenses annuelles du cinéma britannique, avec quatre prix, dont celui de meilleur film.
Il a également remporté les Baftas du meilleur réalisateur, meilleur second rôle masculin pour l'acteur américain Jake Gyllenhaal, et meilleure adaptation cinématographique.
A quelques jours des Oscars, c'est le cinéma américain qui a été distingué dimanche à Londres, avec l'actrice américaine Reese Witherspoon qui a remporté la récompense du meilleur rôle féminin pour sa performance dans "Walk the Line", et l'acteur américain Philip Seymour Hoffman qui a été désigné meilleur acteur masculin pour "Truman Capote".
Les deux autres vainqueurs de la soirée sont "Mémoires d'une geisha" ("Memoirs of a Geisha"), avec trois Baftas, dont meilleure musique, et "Collision" (Crash), deux Baftas, dont meilleur scénario original.
Le film britannique "La constance du jardinier" (The Constant Gardener), qui faisait figure de favori, n'a pas répondu aux espérances. L'oeuvre tirée du roman de John Le Carré était pourtant nommée dans dix catégories, dont celles du meilleur film, du meilleur acteur, de la meilleure actrice et du meilleur réalisateur. Il n'a eu qu'un Bafta, celui du meilleur montage.
"De battre mon coeur s'est arrêté", de Jacques Audiard, a remporté le Bafta du meilleur film dans une autre langue que l'anglais. Il a battu "Le Grand Voyage" d'Ismael Ferroukhi et "Joyeux Noël" de Christian Carion.
Les Baftas sont décernés par l'Académie britannique du cinéma et de la télévision (British Film and Television Academy). A l'instar des Golden Globes américains, ils sont de plus en plus perçus, chaque année, comme une indication du choix à venir de l'académie des Oscars.
Le palmarès des Baftas 2006, les récompenses britanniques du cinéma:
Meilleur film: "Le secret de Brokeback Mountain"
Meilleur acteur: Philip Seymour Hoffman dans "Truman Capote"
Meilleure actrice: Reese Witherspoon dans "Walk the Line"
Meilleur réalisateur: Ang Lee, "Le secret de Brokeback Mountain"
Meilleur second rôle masculin: Jake Gyllenhaal, "Le secret de Brokeback Mountain"
Meilleur second rôle féminin: Thandie Newton, "Crash"
Meilleur scénario original: "Collision" (Crash)
Meilleur adaptation cinématographique: "Le secret de Brokeback Mountain"
Meilleur film dans une autre langue que l'anglais: "De battre mon coeur s'est arrêté", de Jacques Audiard (France)
Le secret de Brokeback Mountain (Brokeback Mountain), le film américain d'Ang Lee favori des Oscars, a été dimanche le grand vainqueur de la cérémonie des Baftas 2006, les récompenses annuelles du cinéma britannique, avec quatre prix, dont celui de meilleur film.
Il a également remporté les Baftas du meilleur réalisateur, meilleur second rôle masculin pour l'acteur américain Jake Gyllenhaal, et meilleure adaptation cinématographique.
A quelques jours des Oscars, c'est le cinéma américain qui a été distingué dimanche à Londres, avec l'actrice américaine Reese Witherspoon qui a remporté la récompense du meilleur rôle féminin pour sa performance dans "Walk the Line", et l'acteur américain Philip Seymour Hoffman qui a été désigné meilleur acteur masculin pour "Truman Capote".
Les deux autres vainqueurs de la soirée sont "Mémoires d'une geisha" ("Memoirs of a Geisha"), avec trois Baftas, dont meilleure musique, et "Collision" (Crash), deux Baftas, dont meilleur scénario original.
Le film britannique "La constance du jardinier" (The Constant Gardener), qui faisait figure de favori, n'a pas répondu aux espérances. L'oeuvre tirée du roman de John Le Carré était pourtant nommée dans dix catégories, dont celles du meilleur film, du meilleur acteur, de la meilleure actrice et du meilleur réalisateur. Il n'a eu qu'un Bafta, celui du meilleur montage.
"De battre mon coeur s'est arrêté", de Jacques Audiard, a remporté le Bafta du meilleur film dans une autre langue que l'anglais. Il a battu "Le Grand Voyage" d'Ismael Ferroukhi et "Joyeux Noël" de Christian Carion.
Les Baftas sont décernés par l'Académie britannique du cinéma et de la télévision (British Film and Television Academy). A l'instar des Golden Globes américains, ils sont de plus en plus perçus, chaque année, comme une indication du choix à venir de l'académie des Oscars.
Le palmarès des Baftas 2006, les récompenses britanniques du cinéma:
Meilleur film: "Le secret de Brokeback Mountain"
Meilleur acteur: Philip Seymour Hoffman dans "Truman Capote"
Meilleure actrice: Reese Witherspoon dans "Walk the Line"
Meilleur réalisateur: Ang Lee, "Le secret de Brokeback Mountain"
Meilleur second rôle masculin: Jake Gyllenhaal, "Le secret de Brokeback Mountain"
Meilleur second rôle féminin: Thandie Newton, "Crash"
Meilleur scénario original: "Collision" (Crash)
Meilleur adaptation cinématographique: "Le secret de Brokeback Mountain"
Meilleur film dans une autre langue que l'anglais: "De battre mon coeur s'est arrêté", de Jacques Audiard (France)
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Re: Le cinéma britannique
Vendredi anglais, aujourd’hui Justin nous parle de Dreamchild de Gavin Millar.
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Re: Le cinéma britannique
L'Heure du cochon de Leslie Megahey (1993)

Un terrible et mystérieux meurtre est commis dans la France du Moyen-Age. Richard Courtois, jeune avocat parisien se rend dans une bourgade de province où il se trouve confronté au monde des superstitions rurales, aux peurs et aux désillusions.
The Hour of the Pig est un film historique très original qui nous plonge en plein Moyen-Age obscurantiste et brutal. Nous y suivons Richard Courtois (Colin Firth), jeune avocat idéaliste ayant fuit Paris pour une petite ville de campagne où il compte mettre ses talents au service des petites gens. Le personnage est librement inspiré de Barthélemy de Chasseneuz, célèbre avocat et juriste du Moyen-Age qui laissa de nombreuses traces écrites des affaires sur lesquelles il plaida et des réformes qu’il contribua à mener et qui servent de base au film. Ces précisions sont nécessaires pour le néophyte de certaines mœurs du Moyen-Age et qui ne manquera pas d’être surpris dès la scène d’ouverture. Nous y voyons un homme condamné au gibet pour hérésie, et plus précisément pour avoir eu des relations « contre-nature » avec son âne qui trône à ses côtés pour subir la même exécution. Finalement l’animal sera épargné car considéré comme « non consentant » aux supposés outrages subit. L’absurde nous frappe ainsi d’emblée et témoigne de la réalité selon laquelle les animaux pouvaient effectivement être jugés et condamnés, et donc considérés comme responsables d’actes hérétiques.
Nous découvrons donc à travers le regard ébahi de Richard les mœurs barbares de ce monde rural régit par ses propres lois. La scène d’introduction nous en avait averti, et le film surprend par son équilibre surprenant entre drame et comédie noire pour signifier les écarts d’une époque. Le jugement des animaux dissimule en fait un prétexte bien pratique pour par extension faire disparaitre arbitrairement les démunis vulnérables ou à l’inverse protéger les puissants. La piété n’est qu’une façade hypocrite servant les mœurs dissolues l’abbé local (Ia Holm truculent), nourrir les vengeances sournoises de querelles de voisinage. Le rire domine dans un premier temps par l’envers paillard et grotesque du contexte, que ce soit dans les scènes de procès ou du quotidien. Notre héros s’en amuse à son avantage pour ses plaisirs (les scènes de sexe et la nudité sont particulièrement décomplexés tout au long du film) mais aussi pour remporter quelques affaires mineures où le témoignage de certains témoins « cruciaux » tels que des rats s’avère impossible. Cependant la loi locale soumise au bon vouloir du seigneur Jean d'Auferre (Nicol Williamson) a tôt fait d’orienter les sentences à son avantage et l’hilarité s’estompe sèchement lorsqu’une malheureuse est exécutée pour sorcellerie.
Richard va ainsi se confronter à cette mascarade lorsqu’il devra défendre un cochon jugé responsable de la mort d’un enfant. D’abord réticent, il comprend que l’affaire revêt un enjeu plus vaste, le cochon appartenant à un groupe d’égyptien que la communauté cherche à expulser de la ville. Sous le charme de la belle Samira (Amina Annabi), Richard enquête et découvre toutes les strates sous-terraine de pouvoir qui régissent la ville sous couvert de croyance. L’atmosphère est réellement captivante, à la fois pour les ruptures de ton entre tragicomique, sensualité moite et barbarie. La mise en scène de Leslie Megahey parvient avec un égal brio à poser l’imagerie réaliste d’un Moyen-Age fangeux (les rats, les odeurs et la crasse sont palpables comme rarement), et à user de ses décors naturels (tournage en France dans lé région Rhône-Alpes) comme de studio pour traduire par l’image les échelles de pouvoir et de domination. L’échappée à ce carcan se fait par un onirisme envoutant où façon Twin Peaks médiéval, certains indices essentiels parviennent à Richard à travers des songes et hallucinations particulièrement inventifs.
Plus le récit avance, plus le mariage entre la tonalité grotesque et la trame plus sérieuse forment un tout cohérent témoignant du grand mensonge de l’inquisition - notamment cette scène de banquet fellinienne. Les pauvres sont une chair tout aussi sacrifiables que cet innocent cochon, destinés à endosser les travers des dominants comme nous le comprendront. Récit social, romance, comédie noire, toutes ces directions sont brillamment menées et portées par une interprétation de premier plan : Donald Pleasence en procureur glacial, Ian Holm en abbé malicieux, Nicol Williamson tout en décontraction calculatrice. C’est cependant le couple Colin Firth/Amina Annabi qui emporte l’adhésion et apporte un souffle romantique et charnel bienvenu dans ce cadre sinistre. Une belle curiosité méconnue à vraiment découvrir donc. 5/6 Pour les curieux c'est disponible sur Amazon Prime

Un terrible et mystérieux meurtre est commis dans la France du Moyen-Age. Richard Courtois, jeune avocat parisien se rend dans une bourgade de province où il se trouve confronté au monde des superstitions rurales, aux peurs et aux désillusions.
The Hour of the Pig est un film historique très original qui nous plonge en plein Moyen-Age obscurantiste et brutal. Nous y suivons Richard Courtois (Colin Firth), jeune avocat idéaliste ayant fuit Paris pour une petite ville de campagne où il compte mettre ses talents au service des petites gens. Le personnage est librement inspiré de Barthélemy de Chasseneuz, célèbre avocat et juriste du Moyen-Age qui laissa de nombreuses traces écrites des affaires sur lesquelles il plaida et des réformes qu’il contribua à mener et qui servent de base au film. Ces précisions sont nécessaires pour le néophyte de certaines mœurs du Moyen-Age et qui ne manquera pas d’être surpris dès la scène d’ouverture. Nous y voyons un homme condamné au gibet pour hérésie, et plus précisément pour avoir eu des relations « contre-nature » avec son âne qui trône à ses côtés pour subir la même exécution. Finalement l’animal sera épargné car considéré comme « non consentant » aux supposés outrages subit. L’absurde nous frappe ainsi d’emblée et témoigne de la réalité selon laquelle les animaux pouvaient effectivement être jugés et condamnés, et donc considérés comme responsables d’actes hérétiques.
Nous découvrons donc à travers le regard ébahi de Richard les mœurs barbares de ce monde rural régit par ses propres lois. La scène d’introduction nous en avait averti, et le film surprend par son équilibre surprenant entre drame et comédie noire pour signifier les écarts d’une époque. Le jugement des animaux dissimule en fait un prétexte bien pratique pour par extension faire disparaitre arbitrairement les démunis vulnérables ou à l’inverse protéger les puissants. La piété n’est qu’une façade hypocrite servant les mœurs dissolues l’abbé local (Ia Holm truculent), nourrir les vengeances sournoises de querelles de voisinage. Le rire domine dans un premier temps par l’envers paillard et grotesque du contexte, que ce soit dans les scènes de procès ou du quotidien. Notre héros s’en amuse à son avantage pour ses plaisirs (les scènes de sexe et la nudité sont particulièrement décomplexés tout au long du film) mais aussi pour remporter quelques affaires mineures où le témoignage de certains témoins « cruciaux » tels que des rats s’avère impossible. Cependant la loi locale soumise au bon vouloir du seigneur Jean d'Auferre (Nicol Williamson) a tôt fait d’orienter les sentences à son avantage et l’hilarité s’estompe sèchement lorsqu’une malheureuse est exécutée pour sorcellerie.
Richard va ainsi se confronter à cette mascarade lorsqu’il devra défendre un cochon jugé responsable de la mort d’un enfant. D’abord réticent, il comprend que l’affaire revêt un enjeu plus vaste, le cochon appartenant à un groupe d’égyptien que la communauté cherche à expulser de la ville. Sous le charme de la belle Samira (Amina Annabi), Richard enquête et découvre toutes les strates sous-terraine de pouvoir qui régissent la ville sous couvert de croyance. L’atmosphère est réellement captivante, à la fois pour les ruptures de ton entre tragicomique, sensualité moite et barbarie. La mise en scène de Leslie Megahey parvient avec un égal brio à poser l’imagerie réaliste d’un Moyen-Age fangeux (les rats, les odeurs et la crasse sont palpables comme rarement), et à user de ses décors naturels (tournage en France dans lé région Rhône-Alpes) comme de studio pour traduire par l’image les échelles de pouvoir et de domination. L’échappée à ce carcan se fait par un onirisme envoutant où façon Twin Peaks médiéval, certains indices essentiels parviennent à Richard à travers des songes et hallucinations particulièrement inventifs.
Plus le récit avance, plus le mariage entre la tonalité grotesque et la trame plus sérieuse forment un tout cohérent témoignant du grand mensonge de l’inquisition - notamment cette scène de banquet fellinienne. Les pauvres sont une chair tout aussi sacrifiables que cet innocent cochon, destinés à endosser les travers des dominants comme nous le comprendront. Récit social, romance, comédie noire, toutes ces directions sont brillamment menées et portées par une interprétation de premier plan : Donald Pleasence en procureur glacial, Ian Holm en abbé malicieux, Nicol Williamson tout en décontraction calculatrice. C’est cependant le couple Colin Firth/Amina Annabi qui emporte l’adhésion et apporte un souffle romantique et charnel bienvenu dans ce cadre sinistre. Une belle curiosité méconnue à vraiment découvrir donc. 5/6 Pour les curieux c'est disponible sur Amazon Prime
- Jeremy Fox
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Re: Le cinéma britannique
Wish you were Here de David Leland, c'est le film anglais présenté ce vendredi par Justin Kwedi
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Re: Le cinéma britannique
Découverte sur Netflix du très très sympa (et soigné) Cemetery Junction. Convenu également mais le plaisir est là.


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Re: Le cinéma britannique
Convenu oui, c'est bien le mot. Très très très convenu, même.
Impossible d'y retrouver la patte Gervais/Merchant, il n'en reste qu'un truc lisse, hyper prévisible et bourré de clichés. À un tel point que ça pourrait être du Richard Curtis.
Impossible d'y retrouver la patte Gervais/Merchant, il n'en reste qu'un truc lisse, hyper prévisible et bourré de clichés. À un tel point que ça pourrait être du Richard Curtis.
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Re: Le cinéma britannique
Gervais n’est pas qu’incisif. Il a aussi une face mélancolique et nostalgique que l’on peut voir dans After Life ou déjà ici. Il aime ses personnages même les plus ploucs et ça se ressent.
Dernière modification par Supfiction le 20 sept. 21, 15:57, modifié 1 fois.
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Re: Le cinéma britannique
Je sais bien. Et c'est justement cet aspect de lui que j'aime le moins. C'est trop gentil, trop niaiseux. Ça lui va pas.Supfiction a écrit : ↑20 sept. 21, 14:39 Gervais n’est pas qu’incisif. Il a aussi une face mélancolique et nostalgique que l’on peut voir dans After Life ou déjà ici.
Heureusement, il est toujours aussi méchant sur scène.
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Re: Le cinéma britannique
Vendredi British : Justin Kwedi nous parle aujourd'hui de Gregory's Girl de Bill Forsyth
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Re: Le cinéma britannique
Excellent petit film, que j'ai pu découvrir grâce à...Justin.Jeremy Fox a écrit : ↑29 oct. 21, 08:06 Vendredi British : Justin Kwedi nous parle aujourd'hui de Gregory's Girl de Bill Forsyth

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Re: Le cinéma britannique
On revient à nos vendredis british avec Justin Kwedi qui nous parle aujourd'hui de Un mois à la campagne de Pat O'Connor.
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Re: Le cinéma britannique
Le film anglais du vendredi proposé par Justin : Le Dossier Rachel de Damian Harris.