Le Samouraï (Jean-Pierre Melville - 1967)
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Le Samouraï (Jean-Pierre Melville - 1967)
Si vous hésitiez encore sur le meilleur DVD du Samouraï, Franck Suzanne fait le point avec vous, à travers un comparatif Zone 1 / Zone 2 poussé et une analyse fouillée du chef d'oeuvre de Melville.
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Aujourd'hui, nous sommes tous d'accord pour accorder au Samouraï ou au Doulos le statut de classiques du cinéma français, et même du cinéma tout court. Mais je me suis toujours demandé si ce cinéma de genre, "le polar à la française" (pourtant si impreigné de son modèle américain), était pris au sérieux à l'époque: comment ça se passait pour Melville, avait-il des difficultés pour monter ses films et quel accueil leur réservait la critique ?
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autant je me suis fait chier devant le cercle rouge, autant le samourai c'est la classeSwan a écrit :Je n'ai pas le temps de développer ce soir, mais en résumé, Melville a été assez vite reconnu comme un auteur à suivre. Toutefois, ses films n'ont jamais fait l'unanimité critique. Pour Le Cercle Rouge, par exemple, c'était du 50/50.
j'ai decouvert le film avec le criterion, ca m' fait tout drole de voir une des scenes principales tournée à la sortie du RER (feu massena) que j'ai pris tous les jours pendant des années

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- David O. Selznick
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J'aime bien ces phrases :
J'ai d'ailleurs toujours trouvé amusant de voir le rôle de François Perier inversé dans les deux films. Flic dans l'un, bandit derrière son comptoir dans l'autre (deux scènes de bar pouvant être vues en miroir).
Il est vrai que Le Samouraï, en tant qu'aboutissement, m'apparaît comme le plus pur de ses films. J'avoue conserver ma préférence pour Le Cercle rouge, sans doute parce que je l'ai vu plus de fois, que le casting me réjouit, en particulier le rôle de Bourvil que je trouve aussi mémorable que bouleversant. Pourtant, Melville "ne fait que" prolonger un système déjà au point avec Le Samouraï. Et c'est bien beau.Jusqu’au Second Souffle, Jean-Pierre Melville réalisait des films. A partir du Samouraï, il produira des films de Melville. Le style jusqu’à présent en gestation parvient enfin à maturité, l’adjectif melvillien fait son entrée dans les dictionnaires de cinéma, et son système se met en place, et tournera jusqu’à s’étouffer lui-même, mais ceci est une autre histoire.
J'ai d'ailleurs toujours trouvé amusant de voir le rôle de François Perier inversé dans les deux films. Flic dans l'un, bandit derrière son comptoir dans l'autre (deux scènes de bar pouvant être vues en miroir).
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noar13 a écrit : autant je me suis fait chier devant le cercle rouge, autant le samourai c'est la classe
devinez-qui sur le meme film il y a moins de deux ans a écrit :c'est chiant, je suis completement passé à côté ...
ca me saoule d'entendre parler de charisme dès qu'un acteur nous balance une performance d'autiste, va z y mon gars serre les dents, mets ton chapeau et ton imper, ha la superbe performance !!
le probleme c'est des qu'il ouvre, heureusement pas souvent, les repliques sont tellement nulles qu'on a presque envie de rigoler ...
ah j'aurais eu trop envie de me rappeller de ses nombreuses repliques, avec notamment celle ou s'adressant a perrier (peut etre le seul acteur juste du film?), vous voulez que je vous dise que jef costello est coupable alors qu'il ne l'est pas
enfin si c'est ca le chef d'oeuvre de melville, je m'arrete là.
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