Ce soir, je tente un classique du cinéma suédois...
La fille aux jacinthes, de Hasse Ekman (1950)
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
LeRationaliste a écrit : ↑22 août 23, 10:01
J'avais espéré tenir jusqu'au bout, malgré une lecture tantôt captivante, tantôt laborieuse (on pourrait virer facile un tiers des pages). J'ai craqué aux trois quart du livre et sauté directement à la fin. Fin qui au passage peut être vu comme du "Tout ça pour ça ?".
J'en reste à Synecdoque New York, pour l'instant.
L.R
C'est tellement différent le talent pour écrire les scénarios et le talent pour la littérature. Une autre preuve est Bret Easton Ellis, dont les scénarios sont moyens par rapport à ses livres. D'ailleurs, je suis en pleine lecture de son dernier, qui est génial et que je vois pour l'instant comme un de ses meilleurs.
Onoda, 10 000 nuits dans la jungle avait été mon film de l'année 2021. Donc exceptionnellement je ne ferai pas le malin.
Pour les retardataires, diffusion ce mercredi soir à 20h55 sur Arte et disponible en replay jusqu'au 29 août.
Flop injuste mais prévisible en salle à sa sortie pour ce film de 2h43, d'une ambition et d'une originalité peu courantes dans le paysage cinématographique français. (Oui, 2h43. Ce n'est pas un film à picorer par tranches, calez-vous le temps nécessaire et soyez disponible, bon sang.)
Et oui, Arthur Harari est le compagnon de Justine Triet et le co-scénariste de Sibyl et Anatomie d'une chute de cette dernière.
Et oui encore, c'est lui qui avait tenu ce discours en recevant un César :
La photographie est magnifique, c'est assez plaisant de voir du numérique de ce genre, assez onirique, mais jamais poussive.
Nicolas Anthomé, le producteur du film (et qui a eu les épaules très solides pour chercher dignement des financeurs européens pour produire un film unique dans le paysage européen) est à la tête de Bathyspère, une société de production qui a produit Louloute ; Keeping Mum, le prochain film d'Emilie Brisavoine ; l'Ete Nucléaire de Gael Lepingle ; Makala ; les films de Guillaume Brac)
Et pour ma part, ça sera Kasaba, le premier long-métrage de Nuri Bilge Ceylan ... mais j'aurais pas la force de faire un mémoire sur le cinéaste après cela ^^.
tchi-tcha a écrit : ↑23 août 23, 02:08Onoda, 10 000 nuits dans la jungle avait été mon film de l'année 2021. Donc exceptionnellement je ne ferai pas le malin.
Pour les retardataires, diffusion ce mercredi soir à 20h55 sur Arte et disponible
Ton message tombe super bien. J'ignorais qu'il passait sur Arte et je pensais justement à le rattraper ces derniers jours.
Pour ce soir, je suis toujours un peu malade, donc pas de sortie cinoche, je vais sans doute regarder un film de Christian-Jacque, les bonnes causes (1963). Je me demande ce que ça donne, Bourvil qui sert du Henri Janson...
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Pour ce soir, je suis toujours un peu malade, donc pas de sortie cinoche, je vais sans doute regarder un film de Christian-Jacque, les bonnes causes (1963). Je me demande ce que ça donne, Bourvil qui sert du Henri Janson...
Pour ce soir, je suis toujours un peu malade, donc pas de sortie cinoche, je vais sans doute regarder un film de Christian-Jacque, les bonnes causes (1963). Je me demande ce que ça donne, Bourvil qui sert du Henri Janson...
Il est sur Netflix ? La Cinetek ?
Sur vimeo, avec des sous-titres anglais...
En plus, la copie est assez médiocre, mais je me jetterai dessus le jour où sort un bluray correct.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Alibabass a écrit : ↑23 août 23, 11:47
Ah zut, bon bah raté.
Ma vie d'explorateur de films rares est jonchée de buissons de ronces... Mais je persiste et signe (et puis j'ai quelques beaux blurays aussi, quand même, pour me réconforter, en attendant qu'halford vienne m'installer la UHD).
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell