Je t'envie!

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Beaucoup aimé. J'espère qu'il te siéra aussi.Boubakar a écrit : ↑18 mars 22, 10:43 Pour ce soir, un film méconnu de Stephen Frears, Dirty pretty things, dont cette critique m'a convaincu d'y jeter un oeil :
Dirty Pretty Things (Frears) : simple, beau, touchant, voilà un film qui sait parfaitement éviter tout misérabilisme gonflant. A ce titre, la fin est très belle et reste d'une sobriété exemplaire.
Tautou est très crédible en jeune turque paumée, et Chiwetel Ejiofor est extraordinaire.
Chou blanc... encore.
Up pour ce soirJeremy Fox a écrit : ↑18 mars 22, 11:00 Ce soir retour aux choix de madame avec Comme un torrent de Minnelli. Si j'ai le temps j’enchaînerais avec La Trahison du Capitaine Porter de De Toth.
Oui, c'est normal de se prendre une claque devant un tel film.
Bilan moins négatif qu'anticipé :
Merci (et de rien)candygirl a écrit : ↑19 mars 22, 13:19 Ma soirée d'hier fut consacrée à la découverte de deux films conseillés par des Classikiens.
Tout d'abord, le bien nommé Make-Out with Violence (retitré Zombie Lover pour sa distribution française) réalisé par les Deagol Brothers et que nous conseille pertinemment Torrente dans le topic dédié à Joe Dante.
Un film dont je n'avais jamais entendu parler jusqu'ici et qui m'a touchée en plein cœur de par sa justesse et son audacieuse intelligence à narrer l'été d'une poignée d'adolescents (dont 3 frères) confrontée à vivre un éprouvant deuil suite à la disparition d'une de leurs amies, aimée de tous.
Malgré de faibles moyens et des acteurs sensiblement inexpérimentés, le métrage transpire l'amour du cinéma sur chaque plan et raconte une histoire aussi belle que crépusculaire, aussi romantique que putride, perpétuellement juste et sincère.
J'ai parfois pensé à Twin Peaks (l'adolescente de 17 ans décédée mais cependant omniprésente dans les esprits), voire d'autres fois à American Graffiti qui serait remaké par une Sofia Coppola en grande forme au rythme de chansons indie-pop en lieu et place des standards 60's.
Le film fut visiblement vendu à sa sortie comme un énième zombie movie (ce qu'il n'est absolument pas, la "zombie girl" n'étant ici qu'un prétexte narratif sous forme d'allégorie) et s'est donc vu détesté par ceux qui s'attendaient à un pique-nique sanguinolent. Make-Out with Violence n'est rien d'autre qu'une fascinante et sépulcrale chronique adolescente que je vais consciencieusement conserver dans ma BRthèque. Merci Torrente![]()
7.5/10
Tu vends du rêve ! Truands était tellement nullissime... Faudrait peut-être que je le vois avec des potes pour le fun !Torrente a écrit : ↑19 mars 22, 14:45 - Confirmation qu'Agents secrets du fils Schoendoerffer est raté mais cette fois-ci, j'ai tenu au delà de la 30ème minute. Prouesse physique s'il en est !
Par contre, que c'est mal filmé... mes aïeux... ce corps à corps... Nolan et Ratner ne font pas pire. Et je ne parle même pas des dialogues, rendant presque tous les acteurs mauvais.