Boubakar a écrit : ↑6 mars 22, 16:17
Pour ce soir, c'est Le Parrain, deuxième partie au cinéma. Étant donné que c'est mon film préféré, je suis très impatient .
Je l'ai enfin vu en salles, présenté dans sa sublime copie 4k, mais où les sous-titres anglais sont toujours incrustés sur les passages en italien. Mais en sortant du film, j'ai eu comme un coup de mou, car je viens finalement de voir mon numéro 1, un sommet dans ma cinéphilie, comme si j'avais atteint un objectif dans ma vie. Du coup, le prochain film en salles va être soigneusement choisi (et ça ne sera malheureusement pas Le parrain).
Hier, j'ai poursuivi mon petit cycle Joe Dante avec Hurlements qui fait partie de ces films dont le 1er quart d'heure est si intense que le métrage ne peut que s'affaiblir en suivant. Sauf qu'ici, la direction photo liée à la mise en scène rehausse considérablement un script un peu mou du genou avant que ce dernier nous guide de surprises en surprises. Une belle redécouverte.
7/10
J'ai enchaîné avec La Quatrième Dimension : Le Film, œuvre à sketchs coréalisée par Landis, Spielberg, Dante et Miller où le meilleur côtoie le pire (les bons sentiments de Spielberg en mode Peter Pan sous forme de leçon de vie dans une maison de retraite sont tout de même insupportables de niaiserie).
5/10
Ce soir je me replonge dans deux films de Dante découverts lorsque j'étais enfant et que je n'ai pas revus depuis. Gremlins et Gremlins 2 : La Nouvelle Génération.
candygirl a écrit : ↑7 mars 22, 12:20
J'ai enchaîné avec La Quatrième Dimension : Le Film, œuvre à sketchs coréalisée par Landis, Spielberg, Dante et Miller où le meilleur côtoie le pire (les bons sentiments de Spielberg en mode Peter Pan sous forme de leçon de vie dans une maison de retraite sont tout de même insupportables de niaiserie).
5/10
Ce que Spielberg a fait de pire, à mon avis. Le sketch de Miller est la grande réussite du film.
Boubakar a écrit : ↑6 mars 22, 16:17
Pour ce soir, c'est Le Parrain, deuxième partie au cinéma. Étant donné que c'est mon film préféré, je suis très impatient .
Je l'ai enfin vu en salles, présenté dans sa sublime copie 4k, mais où les sous-titres anglais sont toujours incrustés sur les passages en italien. Mais en sortant du film, j'ai eu comme un coup de mou, car je viens finalement de voir mon numéro 1, un sommet dans ma cinéphilie, comme si j'avais atteint un objectif dans ma vie. Du coup, le prochain film en salles va être soigneusement choisi (et ça ne sera malheureusement pas Le parrain).
J'y étais hier soir et je continue de penser que le III, même si il est magnifique par bien des aspects, a tout de même perdu un petit quelque chose au terme de ces 15 années d'écart cinématographique : à savoir la retenue minutieuse des deux précédents.
C'est incroyable à quel point Coppola, pourtant jeune réalisateur, impose une sorte de calme formel à sa réalisation qui tranche avec n'importe quel film américain tourné au même moment. Ce sens de la gestuelle millimétrée, avec ses pointes de commedia del arte (Fanucci qui pose son chapeau sur le fric que lui apporte Robert De Niro) n'en finit plus de me fasciner.
Normalement, ce soir, je continue mon cycle "One Soderbergh a day, makes all your troubles go away" avec :
- The informant! (2009)
J'espère une réévaluation à la hausse. Le sujet risque de me toucher (et de m'intéresser) un peu plus qu'à sa sortie, suite à certains événements survenus dans ma vie privée depuis mon premier visionnage.
Je me souviens surtout d'une BO extraordinaire.
ou bien :
- The good german (2006)
Dont je n'ai aucun souvenir... il se peut même que je le confonde avec Good night and good luck et que je ne l'aie donc jamais vu.
Torrente a écrit : ↑7 mars 22, 14:14
- The good german (2006)
Dont je n'ai aucun souvenir... il se peut même que je le confonde avec Good night and good luck et que je ne l'aie donc jamais vu.
Pas trop mal comme film, un peu dans l'esprit formel de son Kafka. Tobey Maguire y affichait ce je-ne-sais quoi d'inquiétant déjà perceptible dans les Spider-Man.
Après une escale à Rio de Janeiro plutôt mouvementée, cap sur la Chine et le Yang-Tsé-Kiang avec The sand pebbles de Robert Wise.
Purée, ça fait un sacré bail... Plus revu depuis les années 80 en V2000 ou en VHS, même topo pour L'homme de rio d'ailleurs
pat'
Dernière modification par patrouilleur loubard le 11 mars 22, 12:07, modifié 1 fois.
Mon premier est en noir et blanc ou en couleurs, mon deuxième est muet ou parlant, mon troisième est argentique ou numérique, mon quatrième est sur grand écran, mon cinquième est intemporel, mon sixième est universel, mon septième est un Art.
J'ai également la chance d'avoir besoin de peu de sommeil. Le plus souvent, 5h me suffisent pour être en forme. Je vis également seule, sans homme, ni enfants (on verra plus tard si l'occasion se présente). Ça me laisse donc du temps pour enrichir ma cinéphilie sans aucune forme de dopage
Bienvenue au club Pareil, 5-6 heures me suffisent, et même si j'ai plus de travail ces derniers temps à cause de la fin des restrictions Covid, j'ai toujours beaucoup de temps pour mater des films.
Poursuite normalement du visionnage de la série Archive 81 qui à l'issue de son 1er épisode hier soir m'a très mollement donner envie de me ruer sur les 7 restants (ça va peut-être s'arranger mais vu les bases franchement pas béton du show j'ai quelques doutes sur les qualités de ce dernier, présenté comme le dernier phénomène qui fout trop la trouille #cteblague).
Ce soir, La Route des indes, pas revu depuis l'adolescence et son premier passage sur Canal, c'est dire que ce serra une tatale redecouverte 35 ans plus tard..
Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
Jack Carter a écrit : ↑7 mars 22, 19:17
Ce soir, La Route des indes, pas revu depuis l'adolescence et son premier passage sur Canal, c'est dire que ce serra une tatale redecouverte 35 ans plus tard..
Hâte de voir ta note. Je crois qu'il s'agit du Lean qui a ma préférence désormais.