Commentaires à propos de votre film du mois

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky

Avatar de l’utilisateur
Profondo Rosso
Howard Hughes
Messages : 18479
Inscription : 13 avr. 06, 14:56

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Profondo Rosso »

Film du mois

1 Promenade avec l'amour et la mort de John Huston

Image

2 La Femme de Seisaku de Yasuzo Masumura

Image

3 Une leçon d'amour d'Ingmar Bergman

Image

4 Atlantic City de Louis Malle

Image

5 Okko et les fantômes de Kitaro Kosaka

Image

6 Les Frères Sisters de Jacques Audiard

Image
Avatar de l’utilisateur
AntonChigurh
Assistant opérateur
Messages : 2352
Inscription : 30 sept. 17, 11:58

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par AntonChigurh »

21 films vus pour ma part dont 13 découverts.
Voici mon Top 9 :) :

Before Sunrise-Richard Linklater
Image

The Deer Hunter-Michael Cimino
Image

Winchester 73-Anthony Mann
Image

Out of Sight-Steven Soderbergh
Image

Sur mes lèvres-Jacques Audiard
Image

Les lois de l'attraction-Roger Avary
Image

Zodiac-David Fincher
Image

Comme un chien enragé-James Foley
Image

Sicario-Denis Villeneuve
Image
Dernière modification par AntonChigurh le 1 oct. 18, 15:31, modifié 2 fois.
Avatar de l’utilisateur
Flol
smells like pee spirit
Messages : 54566
Inscription : 14 avr. 03, 11:21
Contact :

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Flol »

Max Schreck a écrit :Image
2. Gaspard va au mariage (Cordier), Coup de cœur. Dommage que le titre mette en avant un personnage en particulier
C'est pas juste une référence au (mauvais) film de Baumbach, Margot at the Wedding ?
Avatar de l’utilisateur
Alexandre Angel
Une couille cache l'autre
Messages : 13959
Inscription : 18 mars 14, 08:41

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Alexandre Angel »

hellrick a écrit :Tremblement de terre = 8/10 (revu, blu ray)
Voilà l'exemple d'un film qui a pris une patine fort plaisante.(ça doit flasher en BR)
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Avatar de l’utilisateur
hellrick
David O. Selznick
Messages : 13823
Inscription : 14 mai 08, 16:24
Liste DVD
Localisation : Sweet Transylvania, Galaxie Transexuelle
Contact :

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par hellrick »

Alexandre Angel a écrit :
hellrick a écrit :Tremblement de terre = 8/10 (revu, blu ray)
Voilà l'exemple d'un film qui a pris une patine fort plaisante.(ça doit flasher en BR)
Oui ça donne bien, je l'ai acheté sur amazon Uk pour pas cher (avec pistes françaises), il était dans une promo mais même ainsi il est sous les 10 euros alors que le même sur amazon.fr est à 40 euros :?:
Critiques ciné bis http://bis.cinemaland.net et asiatiques http://asia.cinemaland.net

Image
Avatar de l’utilisateur
Thaddeus
Ewok on the wild side
Messages : 6142
Inscription : 16 févr. 07, 22:49
Localisation : 1612 Havenhurst

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Thaddeus »

Film du mois de septembre


1. Les Frères Sisters (Jacques Audiard 2018)


Image


2. Shéhérazade (Jean-Bernard Marlin, 2018)


Image


3. L'Ivresse du Pouvoir (Claude Chabrol, 2006)


Image

Mes découvertes en détail :
Spoiler (cliquez pour afficher)
Si loin, si proche ! (Wim Wenders, 1993)
En réalisant une suite aux Ailes du Désir, quatre ans après la chute du mur de Berlin, Wenders dresse un nouvel état des lieux de l’Europe contemporaine et spécule sur les contradictions goethéennes de l’Heimat retrouvé. Mais ses anges ont pris du plomb dans les plumes, l’évocation de l’Histoire allemande et des pouvoirs nocifs de la pornographie assimilée au trafic d’armes se noie dans une complexité affectée, et le message simpliste au ton sentencieux frise parfois le cocktail à l’ammoniaque. Cette naïveté s’inscrit cependant dans la perspective plus large d’une réflexion sur le regard, suscitant de réels moments de beauté lorsque le cinéaste sollicite la toujours divine Nastassja, le ténébreux Willem, le facétieux Peter, ou lorsqu’il retrouve l’invention du muet authentique, du serial et des origines foraines. 4/6

La grande guerre (Mario Monicelli, 1959)
Le titre du film a une valeur ironique puisque ce sont les aventures tragi-comiques de deux tire-aux-flanc quelconques, essayant d’échapper au sort commun, qui en constituent le véritable sujet. L’ampleur des moyens et le réalisme de la reconstitution de la défaite de Caporetto ne prennent jamais le pas sur la drôlerie désespérée des situations : le conseil de révision où entrent des hommes et d’où sortent des matricules, l’exécution de l’espion à laquelle on assiste en passant, le père de famille qui gagne quelques sous en prenant la place de ceux envoyés en mission dangereuse, le soldat allemand surpris par les compères ne pouvant se résoudre à le tuer constituent autant de séquences amères ou touchantes, qui participent d’une volonté de dénonciation et nourrissent l’épaisseur d’une matière abondante. 4/6

Star Trek, le film (Robert Wise, 1979)
1977, la NASA envoie les sondes Voyager aux confins du système solaire. Deux ans plus tard, la première transposition de la série sur grand écran intègre ce programme spatial comme moteur d’une captivante réflexion matérialiste sur le rapport de l’homme (toujours au centre de la morale et de l’action) au savoir et à la technologie. Car si celle-ci se développe à une vitesse telle qu’elle ne permet plus de comprendre des procédés anciens, le cerveau et la mémoire humaine pallient ses défaillances. Attentif à l’équilibre interne du film, Wise offre un spectacle adulte et intelligent qui s’impose également, par la qualité de ses décors et effets spéciaux, comme une très belle réussite plastique. L’empire du cinéma est ainsi maintenu pleinement dans le domaine de l’imaginaire, et l’aventure plus que jamais possible. 5/6

Le mystère de la chambre jaune (Bruno Podalydès, 2003)
Au commencement était le jeu, multiple et mutin : jeu du factice revendiqué (le bonheur est dans le pré-générique), des chromos assumés (le lieu du crime a tout de Moulinsart), de l’excentricité azimutée (la victime est la fille d’un savant Cosinus, le nez dans ses inventions farfelues), jeu du premier degré aussi (les acteurs font fuser les répliques comme des gourmets de la langue) ou furieusement outré des hôtes, folâtrant dans le boulevard policier. En adaptant un roman parmi les plus excitants de la littérature populaire, Podalydès trouve la juste formule entre l’immobilisme potentiel du pastiche "petit illustré" et la folie des personnages et des situations, entre la stylisation des archétypes et la fantaisie rocambolesque d’un puzzle criminel fleurant l’hommage émerveillé. L’ensemble est assez savoureux. 4/6

Papillon (Franklin J. Schaffner, 1973)
Du récit (faussement ?) autobiographique d’Henri Charrière sur son expérience de l’enfer de Cayenne, le réalisateur tire une œuvre spectaculaire mais d’une rigoureuse âpreté, procédant d’un esprit qui tend à mettre en relief une signification primordiale. Le script est serré, tendu, sans digression ni prêche d’aucune sorte, et la mise en scène en respecte la lettre : sèche, précise, préservée de toute malhonnêteté, d’une brièveté incisive qui empêchent le film d’être un récit réaliste ou une fiction romanesque, très synthétique au niveau de chaque scène où priment la clarté, la justesse, la maîtrise des éléments répartis dans le plan. D’où la pérennité de cette belle histoire d’amitié, de cette aventure individuelle à portée générale qui magnifie la soif de liberté, la détermination et la volonté de résistance. 5/6

Mademoiselle de Joncquières (Emmanuel Mouret, 2018)
Robert Bresson avait tiré du récit de Diderot un mélodrame à sa manière, implacable et épuré. Adaptant aux intrigues assassines son plumage de dandy lunaire, Mouret détaille quant à lui les étapes menant chacun des personnages sur la voie de sa perte ou de son salut. À condition d’accepter les conventions d’un cinéma très consciemment littéraire, tiré aux quatre épingles des toilettes, corolles et autres ombrelles, on goûte sans peine à la délicatesse de ces jeux de manipulation amoureuse, qui interroge les désirs et les usages en les mettant à l’épreuve de la parole, qui vogue entre nature et culture, sentiment et libertinage, cruauté et sensibilité, et qui, plutôt que de juger la perfidie d’un être blessé agissant par détresse, prône la bienveillance du pardon et la touchante sincérité des mouvements du cœur. 4/6

Délits flagrants (Raymond Depardon, 1994)
Si, dans l’expression "flagrant délit", le langage a un pouvoir déterminant dans la mesure où elle désigne un fait en tant que tel, la situation du "délit flagrant" signifie une matérialité à juger, qui ricoche contre le mur de la loi. Le rapport du mot à la réalité constitue l’enjeu central de cet étonnant documentaire, accréditant une parole menacée de partialité, soulignant la fébrilité, la mauvaise foi, l’inquiétude, la détresse des uns, quand il dénote la maîtrise, la fermeté, la compréhension, la pondération des autres. De ces entrevues pleines de vérité, souvent poignantes, parfois drôles ou chaleureuses (l’échange entre Muriel et son avocat, qui l’exhorte à une subjectivité sincère), se dégagent ainsi une étrange intimité, un sentiment que tout un chacun devrait inspirer à son semblable : la compassion. 4/6

Les frères Sisters (Jacques Audiard, 2018)
En se confrontant à la mythologie américaine entre toutes du western, le réalisateur met très brillamment en pratique sa vision d’un cinéma conçu comme un grand artisanat. La facilité à investir les codes du genre en leur insufflant une énergie nouvelle, l’aisance à dégraisser la matière narrative sans verser dans l’épure, la précision d’un récit qui happe de sa main ferme mais coulante, tout témoigne d’un bonheur constamment inspiré et préserve la richesse thématique autant que l’estampille populaire. À l’image de l’or scintillant dans le lit de la rivière, le film est une pépite s’offrant sans coup de force, une épopée intime et initiatique qui, loin de se draper de moralisation, dresse le constat clair de l’impasse de la violence et quête l’avènement de cette civilisation humaniste dont John Ford s’était fait le chantre. 5/6

Culloden (Peter Watkins, 1964)
La bataille de Culloden, en 1746, fut l’ultime tentative des jacobites écossais pour restaurer sur le trône d’Angleterre la dynastie des Stuart. Sous prétexte de sauver le royaume, les clans, la culture et le mode de vie des Highlands furent anéantis. En matière de reconstitutions historiques, il y a le style "Veillée des chaumières", le style "Musée Grévin", le style "Image d’Épinal". Et puis il y a la méthode Watkins, novatrice, subversive, qui supprime l’anachronisme avec un mélange d’objectivité implacable et de distanciation sarcastique et recrée l’évènement comme les grands reporters vivent les tragédies de notre temps. Troublant l’eau calme des idées reçues, elle dépasse la valeur du document pour atteindre à la prise de conscience d’une vérité essentielle : l’horreur et les conséquences de toutes les guerres. 4/6

L’ivresse du pouvoir (Claude Chabrol, 2006)
Fluidité parfaite du récit, rythme chausson modèle sport, approvisionnement au puits intarissable de la médiocrité humaine et des rapports de classe : s’inspirant étroitement de la fameuse affaire Elf et retraçant l’odyssée d’une juge d’instruction raide comme une porte de freezer, l’auteur atteste au gré d’une humeur débonnaire de la solidité de ses procédés et de la vigueur leur exécution. Ses décisions de mise en scène s’appuient sur une double logique de calculs et d’énigmes, sur la permanence d’un style qui enveloppe la contingence des situations, mais aussi sur quelques séquences récréatives auxquelles les acteurs apportent toute leur truculence. Et cette savoureuse étude de mœurs, en n’enregistrant rien d’autre qu’une nouvelle défaite, de poursuivre une micro-histoire du mal social français. 5/6

Dieu vomit les tièdes (Robert Guédiguian, 1991)
Ils étaient quatre enfants qui voulaient changer le monde, pas exactement un club, plutôt une tribu. Les années ont passé et leurs idéaux ont grise mine, la cote des valeurs de gauche est tombée au plus bas. En exprimant la mélancolie de cette génération désenchantée, l’auteur observe le déclin d’une certaine tradition ouvrière, d’une mouvance pas seulement communiste, de la mémoire des luttes passées à la posture suicidaire qui leur a succédé. Il signe un film obsédé par la perte et la trahison, réfutant le pittoresque du Sud (le soleil, l’accent, la légèreté) pour privilégier une forme d’amertume contemplative. Mais desservi par une narration erratique et approximative qui ne fixe jamais ses points d’impact, il échoue à insuffler aux personnages et à leur histoire l’émotion qu’ils auraient pu transmettre. 3/6

Trois places pour le 26 (Jacques Demy, 1988)
Il n’y a que Demy pour peindre les murs d’un appartement en bleu nuit ou faire manger de la confiture de roses à ses héroïnes. En retraçant la vie d’Yves Montand à travers le principe classique de la fabrication d’un show, du spectacle mis en abyme, le réalisateur se place dans la lignée d’un Minnelli. Pas tant à cause des numéros dansés, semblant droit sortis de Tous en Scène, que de cette humanité provocante, parfois ambigüe (l’enjeu incestueux est dédramatisé comme une broutille) qui s’affiche et se mêle à la légèreté traditionnelle de la comédie musicale. Bercé d’amour heureux, de sérénité romantique, de couleurs acidulées, son dernier long-métrage travaille sur l’artifice pour atteindre le vrai par l’accumulation du faux, joue avec la convention pour se jouer d’elle. Et Mathilda May y crève l’écran. 4/6



Et aussi :

Guy (Alex Lutz, 2018) - 4/6
Shéhérazade (Jean-Bernard Marlin, 2018) - 5/6
Première année (Thomas Lilti, 2018) - 4/6
Climax (Gaspar Noé, 2018) - 3/6
Leave no trace (Debra Granik, 2018) - 5/6
Image
Films des mois précédents :
Spoiler (cliquez pour afficher)
Août 2018 - Silent voice (Naoko Yamada, 2016)
Juillet 2018L'homme qui voulait savoir (George Sluizer, 1988)
Juin 2018Sans un bruit (John Krasinski, 2018)
Mai 2018Riches et célèbres (George Cukor, 1981)
Avril 2018Séduite et abandonnée (Pietro Germi, 1964)
Mars 2018Mektoub my love : canto uno (Abdellatif Kechiche, 2017)
Février 2018Phantom thread (Paul Thomas Anderson, 2017)
Janvier 2018Pentagon papers (Steven Spielberg, 2017)
Décembre 2017Lettre de Sibérie (Chris Marker, 1958)
Novembre 2017L’argent de la vieille (Luigi Comencini, 1972)
Octobre 2017Une vie difficile (Dino Risi, 1961)
Septembre 2017Casanova, un adolescent à Venise (Luigi Comencini, 1969)
Août 2017La bonne année (Claude Lelouch, 1973)
Juillet 2017 - La fille à la valise (Valerio Zurlini, 1961)
Juin 2017Désirs humains (Fritz Lang, 1954)
Mai 2017Les cloches de Sainte-Marie (Leo McCarey, 1945)
Avril 2017Maria’s lovers (Andreï Kontchalovski, 1984)
Mars 2017À la recherche de Mr Goodbar (Richard Brooks, 1977)
Février 2017Raphaël ou le débauché (Michel Deville, 1971)
Janvier 2017La la land (Damien Chazelle, 2016)
Décembre 2016Alice (Jan Švankmajer, 1987)
Novembre 2016 - Dernières nouvelles du cosmos (Julie Bertuccelli, 2016)
Octobre 2016 - Showgirls (Paul Verhoeven, 1995)
Septembre 2016 - Aquarius (Kleber Mendonça Filho, 2016)
Août 2016 - Le flambeur (Karel Reisz, 1974)
Juillet 2016 - A touch of zen (King Hu, 1971)
Juin 2016 - The witch (Robert Eggers, 2015)
Mai 2016 - Elle (Paul Verhoeven, 2016)
Avril 2016 - La pyramide humaine (Jean Rouch, 1961)
Mars 2016 - The assassin (Hou Hsiao-hsien, 2015)
Février 2016Le démon des femmes (Robert Aldrich, 1968)
Janvier 2016La Commune (Paris 1871) (Peter Watkins, 2000)
Décembre 2015Mia madre (Nanni Moretti, 2015)
Novembre 2015Avril ou le monde truqué (Franck Ekinci & Christian Desmares, 2015)
Octobre 2015Voyage à deux (Stanley Donen, 1967)
Septembre 2015Une histoire simple (Claude Sautet, 1978)
Août 2015La Marseillaise (Jean Renoir, 1938)
Juillet 2015Lumière silencieuse (Carlos Reygadas, 2007)
Juin 2015Vice-versa (Pete Docter & Ronaldo Del Carmen, 2015) Top 100
Mai 2015Deep end (Jerzy Skolimowski, 1970)
Avril 2015Blue collar (Paul Schrader, 1978)
Mars 2015Pandora (Albert Lewin, 1951)
Février 2015La femme modèle (Vincente Minnelli, 1957)
Janvier 2015Aventures en Birmanie (Raoul Walsh, 1945)
Décembre 2014Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (Elio Petri, 1970)
Novembre 2014Lifeboat (Alfred Hitchcock, 1944)
Octobre 2014Zardoz (Sean Connery, 1974)
Septembre 2014Un, deux, trois (Billy Wilder, 1961)
Août 2014Le prix d’un homme (Lindsay Anderson, 1963)
Juillet 2014Le soleil brille pour tout le monde (John Ford, 1953)
Juin 2014Bird people (Pascale Ferran, 2014)
Mai 2014Léon Morin, prêtre (Jean-Pierre Melville, 1961) Top 100
Avril 2014L’homme d’Aran (Robert Flaherty, 1934)
Mars 2014Terre en transe (Glauber Rocha, 1967)
Février 2014Minnie et Moskowitz (John Cassavetes, 1971)
Janvier 201412 years a slave (Steve McQueen, 2013)
Décembre 2013La jalousie (Philippe Garrel, 2013)
Novembre 2013Elle et lui (Leo McCarey, 1957)
Octobre 2013L’arbre aux sabots (Ermanno Olmi, 1978)
Septembre 2013Blue Jasmine (Woody Allen, 2013)
Août 2013La randonnée (Nicolas Roeg, 1971)
Juillet 2013Le monde d’Apu (Satyajit Ray, 1959)
Juin 2013Choses secrètes (Jean-Claude Brisseau, 2002)
Mai 2013Mud (Jeff Nichols, 2012)
Avril 2013Les espions (Fritz Lang, 1928)
Mars 2013Chronique d’un été (Jean Rouch & Edgar Morin, 1961)
Février 2013 – Le salon de musique (Satyajit Ray, 1958)
Janvier 2013L’heure suprême (Frank Borzage, 1927) Top 100
Décembre 2012 – Tabou (Miguel Gomes, 2012)
Novembre 2012 – Mark Dixon, détective (Otto Preminger, 1950)
Octobre 2012 – Point limite (Sidney Lumet, 1964)
Septembre 2012 – Scènes de la vie conjugale (Ingmar Bergman, 1973)
Août 2012 – Barberousse (Akira Kurosawa, 1965) Top 100
Juillet 2012 – Que le spectacle commence ! (Bob Fosse, 1979)
Juin 2012 – Pique-nique à Hanging Rock (Peter Weir, 1975)
Mai 2012 – Moonrise kingdom (Wes Anderson, 2012)
Avril 2012 – Seuls les anges ont des ailes (Howard Hawks, 1939) Top 100
Mars 2012 – L'intendant Sansho (Kenji Mizoguchi, 1954)
Février 2012 – L'ombre d'un doute (Alfred Hitchcock, 1943)
Janvier 2012 – Brève rencontre (David Lean, 1945)
Décembre 2011 – Je t'aime, je t'aime (Alain Resnais, 1968)
Novembre 2011 – L'homme à la caméra (Dziga Vertov, 1929) Top 100 & L'incompris (Luigi Comencini, 1967) Top 100
Octobre 2011 – Georgia (Arthur Penn, 1981)
Septembre 2011 – Voyage à Tokyo (Yasujiro Ozu, 1953)
Août 2011 – Super 8 (J.J. Abrams, 2011)
Juillet 2011 – L'ami de mon amie (Éric Rohmer, 1987)
Dernière modification par Thaddeus le 1 oct. 18, 18:40, modifié 3 fois.
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99431
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Jeremy Fox »

AntonChigurh a écrit :21 films vus pour ma part dont 13 découverts.
Voici mon Top 9 :) :
Spoiler (cliquez pour afficher)
Before Sunrise-Richard Linklater
Image

The Deer Hunter-Michael Cimino
Image

Winchester 73-Anthony Mann
Image

Out of Sight-Steven Soderbergh
Image

Sur mes lèvres-Jacques Audiard
Image

Les lois de l'attraction-Roger Avary
Image

Zodiac-David Fincher
Image

Comme un chien enragé-James Foley
Image

Sicario-Denis Villeneuve
Image

J'adore 8 des 9 films sauf que le 9ème (le Avary) je ne l'ai jamais vu : du coup ça attise ma curiosité :wink:
Avatar de l’utilisateur
Flol
smells like pee spirit
Messages : 54566
Inscription : 14 avr. 03, 11:21
Contact :

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Flol »

1.
Image
The Quiet Earth - Geoff Murphy

2.
Image
Burning - Lee Chang-dong

3.
Image
Je suis vivant ! - Aldo Lado

4.
Image
Nos batailles - Guillaume Senez

5.
Image
La Marque du Tueur - Seijun Suzuki
Avatar de l’utilisateur
John Holden
Monteur
Messages : 4856
Inscription : 1 sept. 14, 21:41
Contact :

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par John Holden »

37 films en Septembre en attendant l'orgie d'Octobre, en partie dû au Festival Lumière mais aussi à une actualité DVD/BR de haute volée !

1. Le Poirier sauvage Nuri Bilge Ceylan

Image

2. La Provinciale Mario Soldati

Image

3. César et Rosalie Claude Sautet

Image

4. It Happened Here...Kevin Brownlow/Andrew Mollo

Image

5. Cronache di poveri amanti Carlo Lizzani

Image
Image
Avatar de l’utilisateur
Arn
Décorateur
Messages : 3741
Inscription : 19 oct. 17, 16:32

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Arn »

Mon podium du mois :

Image
Cronos, de Guillermo Del Toro
Les thèmes, l'ambiance, petit coup de coeur.

Image
Thunder Road, de Jim Cummings
Rire ou pleurer ? Souvent à la frontière, mais j'ai versé ma larme à la fin.

Image
The Blues Brothers, de John Landis
Ça donne une de ces patate !

La totalité des 16 films vu :
Spoiler (cliquez pour afficher)
Films (re)découverts :

CRONOS (Guillermo Del Toro, 1993) - 8/10
THUNDER ROAD (Jim Cummings, 2018) - 8/10 **
LES BLUES BROTHERS (The Blues Brothers, John Landis, 1980) - 8/10
A LA POURSUITE DE DEMAIN (Tomorrowland, Brad Bird, 2015) - 7/10
POLICE STORY (Ging chaat goo si, Jackie Chan & Chi-Hwa Chen, 1985) - 7/10
LE CHOC DES TITANS (Clash of the Titans, Desmond Davis, 1981) - 7/10
COBRA (George P. Cosmatos, 1086) - 7/10
AU POSTE! (Quentin Dupieux, 2018) - 6/10 **
BURNING (Beoning, Lee Chang-dong, 2018) - 6/10 **
QUELQUES MINUTES AVANT MINUIT (A Monster Calls, J.A. Bayona, 2016) - 6/10
MISSION: IMPOSSIBLE - FALLOUT (Christopher McQuarrie, 2018) - 6/10 **
THE CIRCLE (James Ponsoldt, 2017) - 2/10


Films revus :

ALIEN - LE 8EME PASSAGER (Alien, Ridley Scott, 1979) - 10/10
BLADE RUNNER (Ridley Scott, 1982) - 10/10
STEAK (Quentin Dupieux, 2007) - 7/10
SNOWPIERCER : LE TRANSPERCENEIGE (Snowpiercer, Bong Joon-ho, 2013) - 6/10
Avatar de l’utilisateur
cinephage
C'est du harfang
Messages : 23863
Inscription : 13 oct. 05, 17:50

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par cinephage »

Petit mois (31films) - en octobre on repart sur un rythme un peu plus soutenu

Mon film du mois vu le dernier jour du mois...

Image
Fanny et Alexandre, d'Ingmar Bergman (1982)

Aux coté d'un formidable western muet, The Covered Wagon, de James Cruze (1923).

Image

En troisième position, probablement le plus sirkien des films de Fassbinder, Martha (1974)

Image
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99431
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Jeremy Fox »

Tu as vu le Cruze par quel biais ?
Avatar de l’utilisateur
John Holden
Monteur
Messages : 4856
Inscription : 1 sept. 14, 21:41
Contact :

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par John Holden »

Il a été édité en BR chez Kino au début de l'année. :wink:
Image
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99431
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par Jeremy Fox »

OK merci :wink:
Avatar de l’utilisateur
cinephage
C'est du harfang
Messages : 23863
Inscription : 13 oct. 05, 17:50

Re: Commentaires à propos de votre film du mois

Message par cinephage »

Jeremy Fox a écrit :OK merci :wink:
Et je dois dire que ce Bluray américain offre une image magnifique à ce film, qui justement repose pas mal sur le spectaculaire (les chariots, les paysages, la traversée du fleuve, les indiens...). On croirait voir un recueil de photos d'époque, à certains moment car Cruze prend le temps de montrer ses colons, leurs moeurs, leur équipement, ça participe du plaisir à voir le film...
Si tu l'as vu dans une version moins belle, ça pourrait être l'occasion d'une réhabilitation (après, le BR est zoné, malheureusement).
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Répondre