Commentaires à propos de votre film du mois

[Jeremy Fox]

Il faut croire que 2015 est l'année de l'Italie pour moi. Grosse impression laissée par César doit mourir des frères Taviani.

Moi qui aime beaucoup leur cinéma n'en avait pas entendu parler. Merci de l'avoir remis en avant

[Rick Blaine]

Je me réjouit pour le Melville et je note le Taviani. Je ne connaissais pas mais le pitch donne envie.

[Joshua Baskin]

Comme pas mal d'entre vous ces derniers temps j'ai découvert Mort d'un pourri hier soir via l'excellent bluray Pathé.
On a là un des sommets de la filmographie de Lautner et selon moi la quintessence du polar français made in 70s : Ambiance feutrée, musique jazzy de Sarde accompagnée de Stan Getz et une liste d'acteurs qui représentent à eux seuls la quasi totalité de la production 5 étoiles de l'époque : Delon bien sûr, mais aussi Julien Guiomar, Maurice Ronet, Jean Bouise, Stéphane Audran, Daniel Ceccaldi, Michel Aumont, Ornella Mutti, Mireille Darc et Klaus Kinski ( ).
Le scénario captive pendant 2 heures, sans aucun temps mort, on avance petit à petit avec Delon dans une partie d'échecs.
Et puis comme souvent, quel plaisir de voir le Paris et sa proche banlieue des années 70.
Un de mes plus grands coup de coeur de cette année, on est selon moi pas loin du chef-d'oeuvre.

[Jeremy Fox]

Comme pas mal d'entre vous ces derniers temps j'ai découvert Mort d'un pourri hier soir via l'excellent bluray Pathé.
On a là un des sommets de la filmographie de Lautner et la selon moi quintessence du polar français made in 70s : Ambiance feutrée, musique jazzy de Sarde accompagnée de Stan Getz et une liste d'acteurs qui représentent à eux seuls la quasi totalité de la production 5 étoiles de l'époque : Delon bien sûr, mais aussi Julien Guiomar, Maurice Ronet, Jean Bouise, Stéphane Audran, Daniel Ceccaldi, Michel Aumont, Ornella Mutti, Mireille Darc et Klaus Kinski ( ).
Le scénario captive pendant 2 heures, sans aucun temps mort, on avance petit à petit avec Delon dans une partie d'échecs.
Et puis comme souvent, quel plaisir de voir le Paris et sa proche banlieue des années 70.
Un de mes plus grands coup de coeur de cette année, on est selon moi pas loin du chef-d'oeuvre.

Pareil ; ça restera l'une de mes plus belles découvertes naphtas de cette année.

[hellrick]

Comme pas mal d'entre vous ces derniers temps j'ai découvert Mort d'un pourri hier soir via l'excellent bluray Pathé.

Hier soir aussi mais juste avec le dvd (un stock de Delon est arrivé dans mon Cash Converter )

[Max Schreck]

J'avais trouvé que Cube et Splice se tenaient de bout en bout, surtout pour des films aussi conceptuels. Haunter, j'ai ça en stock, vous me donnez envie de m'y mettre.
Celui qui me manque, c'est Cypher. À quand un blu?

En tout cas, il est sur Netflix quelque part.
Dans sa filmo, il y a aussi Nothing (que je n'ai pas vu).

Pas aimé du tout son Haunter. C'est pas dénué d'idée mais le film tourne un peu trop vite court, et visuellement c'est rempli d'effets au point d'en être pénible. Nothing est loin d'être parfait, mais pour le coup j'en garde un souvenir sympathique.

[Anorya]

Le Samourai, de Jean-Pierre Melville.

Bien parti pour être en haut du podium.

Ne touche plus à rien, ne vois plus rien d'autre.

[Colqhoun]

Ne touche plus à rien, ne vois plus rien d'autre.

Bah si, j'ai envie de voir les autres Melville.

[origan42]

Je me réjouit pour le Melville et je note le Taviani. Je ne connaissais pas mais le pitch donne envie.

C'est bien, mais n'en attendez pas trop non plus.

[Jeremy Fox]

J'avais du mal à me décider entre David O'Russell, Michael Winterbottom et David Robert Mitchell. Je n'ai plus à me triturer la tête puisque Sandrine Veysset vient de passer par là et m'a autant touché que lors de la découverte de son film voici 20 ans.

[Rick Blaine]

Autre candidat possible ce mois-ci, Le Bandit de Lattuada. Ce sera à la lutte avec Tandem pour le titre.

[Flol]

Premier gros gros candidat :


Une partie de campagne - Jean Renoir

Petit chef-d'oeuvre bucolique, dans lequel Renoir parvient à évoquer à la fois les plaisirs de la vie, ses regrets, ses instants de bonheur éphémère...le tout en à peine 40mn.
Ça fait beaucoup de bien de se plonger dans ce type de films, en ce moment.

[Jeremy Fox]

Comme quoi nous sommes loin d'être toujours en désaccords. Mon Renoir préféré avec Le Fleuve

[Rick Blaine]

Comme quoi nous sommes loin d'être toujours en désaccords.

Comme quoi nous sommes loin d'être toujours en accord.

[Jack Carter]

c'est quoi ce clone merdique de Jeremy ?