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Critiques de films

Dieu est mort de John Ford

Critique de film

Dieu est mort de John Ford

Par Xavier Jamet -

La junte militaire fait régner la terreur dans un pays d’Amérique Centrale : asservissement de la population, massacre des prêtres catholiques, prises d’otages, corruption des élites… Poursuivi par la police et menacé de mort, un jeune prêtre, idéaliste…

Marathon Man de John Schlesinger

Critique de film

Marathon Man de John Schlesinger

Par Xavier Jamet -

Traumatisé par la chasse aux sorcières qui eut raison de son père dans les années 50, Thomas Babington Levy - alias Babe - est un jeune étudiant juif new-yorkais, solitaire introverti qui oublie les blessures du passé dans les études et la course à pied.…

Le Convoi des braves de John Ford

Critique de film

Le Convoi des braves de John Ford

Par Erick Maurel -

Dans les années 1870, deux jeunes maquignons, Travis Blue (Ben Johnson) et Sandy Owens (Harry Carey Jr.) acceptent de convoyer un convoi de Mormons vers la vallée de San Juan dans l’Utah. Chassés d'un peu partout en raison de leur religion, c’est vers…

Une vie de chien de Charles Chaplin

Critique de film

Une vie de chien de Charles Chaplin

Par François-Olivier Lefèvre -

A Dog’s Life est l’occasion pour Chaplin de mettre en parallèle le destin du vagabond avec celui d’un petit chien errant. Le "Vagabond" vole de la nourriture pour assouvir sa faim, dort sur un chantier et se bat avec des chômeurs qui le bousculent dans…

Charlot soldat de Charles Chaplin

Critique de film

Charlot soldat de Charles Chaplin

Par François-Olivier Lefèvre -

De tous les courts métrages réalisés au sein de la First Nationa, Charlot soldat est certainement le plus drôle, le plus impertinent, bref le meilleur ! Dans cette aventure, qui devait en premier lieu prendre la forme d’un long métrage, le vagabond a…

Une journée de plaisir de Charles Chaplin

Critique de film

Une journée de plaisir de Charles Chaplin

Par François-Olivier Lefèvre -

A la différence de Charlot Soldat ou d'Une vie de Chien, ce métrage ne se présente pas comme une satire sociale, mais plutôt comme un terrain de jeu pour Chaplin et ses gags. On retrouve ici le Charlot de la période Essanay : pendant une quarantaine…