Joshua Baskin a écrit : ↑24 févr. 23, 18:45Tu veux parler de Koulossaoua ?The Eye Of Doom a écrit : ↑24 févr. 23, 18:37 il y avait Kurosawa mais c'était vraiment pour les cinéphiles" - le 23/02/23 par un expert en expertise.
J’ai bien rigolé. Kurosawa, c’etait vraiment le mec qui faisait des « films de festivals » et encore pour les festivals de cinephiles!
Le cinéma japonais
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Re: Le cinéma japonais
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Re: Le cinéma japonais
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Re: Le cinéma japonais
Ce qui est fou, c’est qu’il y a quand même Thierry Jousse sur le plateau, pas supposé être le dernier des cinéphiles. Mais même lui se met au niveau des autres et cite n’importe comment « Fukusaku ».
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Re: Le cinéma japonais
J'ai découvert "Poem" le premier film de la trilogie bouddhiste de Jissoji. Absolument superbe.
Quand il eut passé le pont, des fantômes vinrent à sa rencontre.
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Re: Le cinéma japonais
Les deux volets suivants de la trilogie bouddhiste sont très en deçà mais celui-ci est effectivement magnifique
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Re: Le cinéma japonais
Merci de me le signaler. J'en attendais beaucoup.
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Re: Le cinéma japonais
Les Femmes naissent deux fois de Yuzo Kawashima par Jean Gavril Sluka
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Re: Le cinéma japonais
"C’est là le destin en demi-teinte de qui prépare par son propre travail la voie à des cadets aussi turbulents mais dès lors moins contraints. Kawashima aura contribué avec d’autres à un climat de travail propice à de tels cinéastes (on peut dans l’absolu considérer Masumura comme un cinéaste lui étant supérieur) et influencera directement des cadets contestataires."Jeremy Fox a écrit : ↑6 mars 23, 06:00 Les Femmes naissent deux fois de Yuzo Kawashima par Jean Gavril Sluka
Cette hiérarchie des talents affirmée ainsi de facto m'apparaît (un peu) péremptoire. Je peux l'entendre, car après tout je ne connais pas leurs œuvres respectives. Mais pour que cette assertion soit réellement recevable il faudrait l'étayer un peu. D'autant qu'à en croire Raugier ou Meiresonne, Kawasjima suscite aujourd'hui au Japon plus d'exégèses que son cadet (il n'y aurait que les trois que l'on sait à être plus analysés). Et que certains de ses films figurent plus haut que ceux de Masumura dans les classements les plus en vue de la cinéphilie japonaise. Comment expliquer ce décalage s'il est avéré ou implicitement admis que Masumura est un cinéaste plus important ou d'une classe supérieure ?
Donc rien de bien grave vraiment, mais je trouve que Jean Gavril Sluka aurait pu faire l'économie de ce commentaire selon moi très subjectif, surtout appliqué à un cinéaste dans l'ensemble encore très méconnu.
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Re: Le cinéma japonais
Ce petit passage m'a aussi un peu surpris.
Pour le reste je rejoins la critique. J'ai beaucoup apprécié cette découverte de Yûzô Kawashima. Un peu décontenancé au départ par la narration très "hâché", pas mal d'ellipses entre les différentes séquences. Mais cela colle finalement bien à ce portrait de femme protéiforme, qui se dilue dans cette société très mouvante de l'époque. Mais c'est aussi autant de "tranche de vie" qui vont la forger peu à peu.
Si le ton est assez dur, amplifié encore par la mise en scène qui joue très habilement avec la place de Koen et des hommes dans le cadre, le film n'en est pas moins très fin dans son portrait de femme, abordant assez concrètement l'aliénation dans une société où tout se consomme, y compris les relations humaines.
Il y a quand même quelques beaux moment, des respirations, quand bien même la plupart tournent mal, je n'en suis pas non plus sorti plombé. Il faut dire que Ayako Wakao illumine le film, et j'ai beaucoup aimé aussi le personnage de Frankie Sakai (le cuistot).
Pour le reste je rejoins la critique. J'ai beaucoup apprécié cette découverte de Yûzô Kawashima. Un peu décontenancé au départ par la narration très "hâché", pas mal d'ellipses entre les différentes séquences. Mais cela colle finalement bien à ce portrait de femme protéiforme, qui se dilue dans cette société très mouvante de l'époque. Mais c'est aussi autant de "tranche de vie" qui vont la forger peu à peu.
Si le ton est assez dur, amplifié encore par la mise en scène qui joue très habilement avec la place de Koen et des hommes dans le cadre, le film n'en est pas moins très fin dans son portrait de femme, abordant assez concrètement l'aliénation dans une société où tout se consomme, y compris les relations humaines.
Il y a quand même quelques beaux moment, des respirations, quand bien même la plupart tournent mal, je n'en suis pas non plus sorti plombé. Il faut dire que Ayako Wakao illumine le film, et j'ai beaucoup aimé aussi le personnage de Frankie Sakai (le cuistot).
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Re: Le cinéma japonais
Auriez-vous un ou deux titres à me conseiller de Susumu Hani ?
Quand il eut passé le pont, des fantômes vinrent à sa rencontre.
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Re: Le cinéma japonais
Est-ce qu'on ne devrait pas fusionner avec ce topic plus fourni sur le cinéma japonais naphta ? viewtopic.php?t=10281&hilit=sato&start=2115
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Re: Le cinéma japonais
Je viens de comprendre que le temps de lire ce post, la fusion a été faite.Profondo Rosso a écrit : ↑6 mars 23, 13:51 Est-ce qu'on ne devrait pas fusionner avec ce topic plus fourni sur le cinéma japonais naphta ? viewtopic.php?t=10281&hilit=sato&start=2115
Merci
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Re: Le cinéma japonais
The Eye Of Doom a écrit : ↑6 mars 23, 13:58Je viens de comprendre que le temps de lire ce post, la fusion a été faite.Profondo Rosso a écrit : ↑6 mars 23, 13:51 Est-ce qu'on ne devrait pas fusionner avec ce topic plus fourni sur le cinéma japonais naphta ? viewtopic.php?t=10281&hilit=sato&start=2115
Merci
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Re: Le cinéma japonais
Merci beaucoup. Je suis tentée par "Premier amour" et "Elle et lui".
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