La Couleur pourpre (Steven Spielberg - 1985)

[Carlito Brigante]

Je déteste la couleur pourpre et shindler par contre j'aime beaucoup Empire du Soleil

Je te rejoins à 100% là-dessus !

[Jihl]

Découverte tardive de ce classique effectivement injustement oublié. C'est pour moi un grand Spilberg, inférieur à AI, Schindler ou au premier Indy, mais juste derrière. C'est un film dur (dès le début la tension créée est très forte), avec un scénario assez complexe (il y a pas mal d'ellipses notamment vers la fin, peut être des coupes au montage ?), des ruptures de ton avec des scènes de comédies inhabituelles pour un mélo. Bref malgré l'énorme savoir-faire de Spielberg, ce n'est pas un film facile et si je me suis fait happer par le film, l'émotion pour moi n'arrive vraiment que dans la deuxième moitié du film (le retour de Sofia, la scène musicale ou la fin bien entendu). Grand film à (re)découvrir. 7.5/10

[Roilo Pintu]

Emission Arrêt sur Images très intéressante d'1h20 pour ce Spielberg trop peu souvent cité et absolument magnifique.
Où l'on peut en savoir un peu plus aussi sur les différences entre le livre et l'adaptation.

https://www.arretsurimages.net/emission ... r-integral

Ce fut un des premiers films au casting quasi-intégralement composé de Noirs. Sorti en France en 1986, La couleur pourpre (color purple), de Steven Spielberg marque incontestablement une date de l'Histoire du cinéma.
Regard d'un homme blanc sur des femmes noires ? La critique fut formulée à l'époque. Et aujourd'hui ? Le film a-t-il pris un coup de vieux ? A la lumière des études de genre, avec notre post-popeuse Delphine Chedaleux et notre post-popeur Rafik Djoumi, qui fait ainsi son grand retour parmi nous, nous cherchons dans cette première émission dans Color purple des traces de "male gaze", ce regard masculin que les féministes sont aujourd'hui habiles à débusquer. Spoil : on a eu du mal à le trouver.
Bienvenue dans POST-POP, l'émission qui relit a POST-eriori les grands classiques de la culture POP-ulaire.

[Max Schreck]

Ce fut un des premiers films au casting quasi-intégralement composé de Noirs.

Tout à fait... si on excepte Hallelujah, Stormy weather, Cabin in the sky, Porgy and Bess, Carmen Jones et la blaxploitation.

[Flol]

Ce fut un des premiers films au casting quasi-intégralement composé de Noirs.

Ce que Djoumi relativise heureusement au bout de 5 minutes.

[AtCloseRange]

Ouf, y a pas de male gaze. L'honneur est sauf.

[Jeremy Fox]

Chronique classikienne par Claude Monnier