Don Coscarelli
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Re: Top Don Coscarelli
Un peu de promo avant la sortie US la semaine prochaine sur 3000 copies:
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Re: Top Don Coscarelli
PHANTASM - RaVager
Initiée par Don Coscarelli, la saga PHANTASM s’imposa rapidement auprès des amateurs par son mélange inédit de fantastique onirique, d’épouvante morbide, de science-fiction, d’humour noir et de drame. Le premier film devint rapidement culte et Coscarelli, après l’échec du pourtant plaisant DAR L’INVINCIBLE, lui donna une suite en 1987. Tournée avec un budget plus conséquent, cette séquelle, à l’instar d’EVIL DEAD 2, se situait entre la suite et le remake en jouant la carte de la surenchère spectaculaire, des effets spéciaux et d’une horreur à la fois sanglante et humoristique. Après deux épisodes moins réussis, bricolés avec les (faibles) moyens du bord, on pensait la franchise terminée en dépit de divers rumeurs lancées dès le début des années 2000 : un ultime volet réalisé par Roger Avary, un reboot ou une nouvelle trilogie. Finalement, le long-métrage devient réalité sous la direction de l’inconnu David Hartman qui le tourne quasi secrètement en 2012. Baptisé PHANTASM RAVAGER, le long-métrage est complété deux ans plus tard et, après divers délais (entrainés notamment par la restauration en 4K de l’original), est finalement disponible aux Etats-Unis en vidéo à la demande depuis octobre 2016.
Si l’intrigue reste dans la lignée des précédents volets et semble faire du surplace dans sa première partie (Mike demande d’ailleurs à Reggie de lui « raconter l’histoire encore une fois »), la seconde moitié se révèle plus enlevée et originale. Cette fois, comme annoncé depuis le troisième opus, le Tall Man est parvenu à ses fins et règne sur une Terre transformée en véritable « monde des morts ». Reggie, pour sa part, continue d’affronter le croque-mitaine. Après avoir effectué un bout de chemin avec une jeune automobiliste, il se retrouve dans un hospice où Mike lui apprend qu’il souffre de démence. Aurait-il tout imaginé ? Pendant ce temps, dans une autre réalité, Mike et Reggie combattent l’Homme en Noir qui impose sa loi à la planète entière.
Ressemblant souvent à un fan-film, cet ultime (?) volet s’apparente à un patchwork de scènes éparses assemblées à la manière d’un film à sketches volontairement confus. Il ne faudra par conséquent guère espéré une narration limpide mais plutôt se plonger dans le dédale fantasmatique proposé, traversé de fulgurance (les destructions massives orchestrées par des sphères géantes, la multiplication du Tall Man), de moment d’émotion (le final retrouve, en partie, la délicatesse de BUBBA HO TEP) et, malheureusement, de passages redondants voire embarrassants, notamment à cause d’effets visuels datés et souvent ratés. L’alchimie entre les différents protagonistes qui reprennent leurs rôles pour un dernier tour de piste (notamment Angus Scrimm, décédé peu après le tournage, mais aussi les inévitables Reggie Bannister, A. Michael Baldwin et Bill Thornbury) fonctionne toutefois merveilleusement et aident à digérer les nombreux défauts. De même, quelques touches d’humour et la générosité du spectacle (le long-métrage n’est guère avare en scène d’action et en jaillissement gore) rendent l’entreprise des plus sympathiques, bien aidée par une durée restreinte à 80 minutes et un thème musical emblématique produisant toujours son petit effet. Comme toujours, Coscarelli (ici scénariste) se refuse aux explications, chaque réponse apportant de nouvelles questions, et conclut une fois de plus cet épisode par une fin ouverte que l’on jugera intéressante ou facile.
Essentiellement destiné aux fans (qui se sentiront en terrain connu par de nombreux appels du pied aux précédents volets), très cheap (mais n’est-ce pas une caractéristique de la saga), pas toujours maitrisé (la réalisation manque vraiment d’ampleur) mais indéniablement sympathique et ponctué de passages originaux et créatifs, PHANTASM RAVAGER s’avère une conclusion aussi imparfaite qu’estimable (on est même en droit de le préférer aux deux précédents épisodes) à la franchise.
Si l’intrigue reste dans la lignée des précédents volets et semble faire du surplace dans sa première partie (Mike demande d’ailleurs à Reggie de lui « raconter l’histoire encore une fois »), la seconde moitié se révèle plus enlevée et originale. Cette fois, comme annoncé depuis le troisième opus, le Tall Man est parvenu à ses fins et règne sur une Terre transformée en véritable « monde des morts ». Reggie, pour sa part, continue d’affronter le croque-mitaine. Après avoir effectué un bout de chemin avec une jeune automobiliste, il se retrouve dans un hospice où Mike lui apprend qu’il souffre de démence. Aurait-il tout imaginé ? Pendant ce temps, dans une autre réalité, Mike et Reggie combattent l’Homme en Noir qui impose sa loi à la planète entière.
Ressemblant souvent à un fan-film, cet ultime (?) volet s’apparente à un patchwork de scènes éparses assemblées à la manière d’un film à sketches volontairement confus. Il ne faudra par conséquent guère espéré une narration limpide mais plutôt se plonger dans le dédale fantasmatique proposé, traversé de fulgurance (les destructions massives orchestrées par des sphères géantes, la multiplication du Tall Man), de moment d’émotion (le final retrouve, en partie, la délicatesse de BUBBA HO TEP) et, malheureusement, de passages redondants voire embarrassants, notamment à cause d’effets visuels datés et souvent ratés. L’alchimie entre les différents protagonistes qui reprennent leurs rôles pour un dernier tour de piste (notamment Angus Scrimm, décédé peu après le tournage, mais aussi les inévitables Reggie Bannister, A. Michael Baldwin et Bill Thornbury) fonctionne toutefois merveilleusement et aident à digérer les nombreux défauts. De même, quelques touches d’humour et la générosité du spectacle (le long-métrage n’est guère avare en scène d’action et en jaillissement gore) rendent l’entreprise des plus sympathiques, bien aidée par une durée restreinte à 80 minutes et un thème musical emblématique produisant toujours son petit effet. Comme toujours, Coscarelli (ici scénariste) se refuse aux explications, chaque réponse apportant de nouvelles questions, et conclut une fois de plus cet épisode par une fin ouverte que l’on jugera intéressante ou facile.
Essentiellement destiné aux fans (qui se sentiront en terrain connu par de nombreux appels du pied aux précédents volets), très cheap (mais n’est-ce pas une caractéristique de la saga), pas toujours maitrisé (la réalisation manque vraiment d’ampleur) mais indéniablement sympathique et ponctué de passages originaux et créatifs, PHANTASM RAVAGER s’avère une conclusion aussi imparfaite qu’estimable (on est même en droit de le préférer aux deux précédents épisodes) à la franchise.
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Re: Top Don Coscarelli
Je veux pas balancer mais, apparemment, 7swans a beaucoup aimé lui aussi...
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Re: Don Coscarelli
C’est une vraie catastrophe, oui.
Ça a les moyens techniques et les rouages narratifs d’une websérie…
Le principal problème étant quand même le total amateurisme de l’ensemble. Des VFX ultra cheap (t'es revenu en 1993, à se croire dans Myst sur PC) qui bouffent l’écran, un visuel général d’une laideur abyssal (la photo semble rongée par des filtres photoshop) et une histoire inutilement compliquée qui ne déploie jamais son mystère.
Il y avait dans les précédents un réel savoir-faire, et un "génie de l’artisanat".
Par exemple, en jouant sur le mystique, et se dérobant du "tout action", le 4° épisode, pas dénué de défauts, trouvait son équilibre entre manque de moyen et ambition narrative, en utilisant à la perfection son casting déjà vieillissant, des ellipses mystérieuses et les scènes coupées/alternatives du premier. Le petit budget en devenait presque un outil créatif.
Mais que ce dernier (on en vient à l’espérer) épisode est embarrassant…
Je vais avoir du mal à oublier toutes ses sphères en template After Effects qui ne produisent plus aucun effet et ce bon vieux (VIEUX) Reggie (71.ans. SOIXANTE.ET.ONZE.ANS) courant maladroitement comme un Rambo avec son fusil trop lourd, sans jamais apporter une touche de second degré. Il y avait pourtant quelque chose à faire à ce sujet, reprendre un peu de la mélancolie (et de l’humour !) de Bubba Ho-Tep, et penser à passer la main (à Michael, pourquoi pas ?)
Quand on a 14€ de budget et l’équivalent masculin du casting des Craquantes, on n’essaye pas de faire THE BIGGEST ACTION MOVIE EVER.
Cet épisode est une honte. Il n'existe pas.
Ça a les moyens techniques et les rouages narratifs d’une websérie…
Le principal problème étant quand même le total amateurisme de l’ensemble. Des VFX ultra cheap (t'es revenu en 1993, à se croire dans Myst sur PC) qui bouffent l’écran, un visuel général d’une laideur abyssal (la photo semble rongée par des filtres photoshop) et une histoire inutilement compliquée qui ne déploie jamais son mystère.
Il y avait dans les précédents un réel savoir-faire, et un "génie de l’artisanat".
Par exemple, en jouant sur le mystique, et se dérobant du "tout action", le 4° épisode, pas dénué de défauts, trouvait son équilibre entre manque de moyen et ambition narrative, en utilisant à la perfection son casting déjà vieillissant, des ellipses mystérieuses et les scènes coupées/alternatives du premier. Le petit budget en devenait presque un outil créatif.
Mais que ce dernier (on en vient à l’espérer) épisode est embarrassant…
Je vais avoir du mal à oublier toutes ses sphères en template After Effects qui ne produisent plus aucun effet et ce bon vieux (VIEUX) Reggie (71.ans. SOIXANTE.ET.ONZE.ANS) courant maladroitement comme un Rambo avec son fusil trop lourd, sans jamais apporter une touche de second degré. Il y avait pourtant quelque chose à faire à ce sujet, reprendre un peu de la mélancolie (et de l’humour !) de Bubba Ho-Tep, et penser à passer la main (à Michael, pourquoi pas ?)
Quand on a 14€ de budget et l’équivalent masculin du casting des Craquantes, on n’essaye pas de faire THE BIGGEST ACTION MOVIE EVER.
Cet épisode est une honte. Il n'existe pas.
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Re: Don Coscarelli
Coscarelli aurait dû le réaliser apparemment ...
En attendant de découvrir cet opus 5 le plus faible de la série pour moi et de loin reste le 3ème.
je le verrai quand même, mais bon...peut-être au Max Linder en Décembre?hellrick a écrit :une conclusion aussi imparfaite qu’estimable (on est même en droit de le préférer aux deux précédents épisodes) à la franchise.[/justify]
Le 4 malgré son côté bancal avec son étrange montage nostalgique et mélancolique aurait pu faire une jolie conclusion énigmatique à la série oui...mais le premier se suffisait à lui-même vraiment, il reste pour moi l'un des films (fantastiques) phare des 70's.7swans a écrit :Il y avait dans les précédents un réel savoir-faire, et un "génie de l’artisanat".
Par exemple, en jouant sur le mystique, et se dérobant du "tout action", le 4° épisode, pas dénué de défauts, trouvait son équilibre entre manque de moyen et ambition narrative, en utilisant à la perfection son casting déjà vieillissant, des ellipses mystérieuses et les scènes coupées/alternatives du premier. Le petit budget en devenait presque un outil créatif.
En attendant de découvrir cet opus 5 le plus faible de la série pour moi et de loin reste le 3ème.
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Re: Don Coscarelli
John dies at the end
Je crois que je n'ai rien compris mais j'ai beaucoup aimé quand même et je l'ai trouvé assez marrant par moment (la fin notamment). Une espèce de mix entre les délires de la Sf parano à la K. Dick et de la Sf "philo n'importe quoi" à la Van Vogt.
Je le reverrais bien stoned ça serait surement encore meilleur
Je crois que je n'ai rien compris mais j'ai beaucoup aimé quand même et je l'ai trouvé assez marrant par moment (la fin notamment). Une espèce de mix entre les délires de la Sf parano à la K. Dick et de la Sf "philo n'importe quoi" à la Van Vogt.
Je le reverrais bien stoned ça serait surement encore meilleur
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Re: Don Coscarelli
Idem . J'y croyais (un peu) pendant le premier quart d'heure avec ce côté "eastwoodien" intrigant mais plus le film avance, plus j'avais mal pour lui...embarrassant et indigent mais bon, ouf, Coscarelli ne l'a pas réalisé.7swans a écrit :C’est une vraie catastrophe, oui.
Ça a les moyens techniques et les rouages narratifs d’une websérie…
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Par exemple, en jouant sur le mystique, et se dérobant du "tout action", le 4° épisode, pas dénué de défauts, trouvait son équilibre entre manque de moyen et ambition narrative, en utilisant à la perfection son casting déjà vieillissant, des ellipses mystérieuses et les scènes coupées/alternatives du premier. Le petit budget en devenait presque un outil créatif.
Mais que ce dernier (on en vient à l’espérer) épisode est embarrassant…
Je vais avoir du mal à oublier toutes ses sphères en template After Effects qui ne produisent plus aucun effet et ce bon vieux (VIEUX) Reggie (71.ans. SOIXANTE.ET.ONZE.ANS) courant maladroitement comme un Rambo avec son fusil trop lourd, sans jamais apporter une touche de second degré.
Quand on a 14€ de budget et l’équivalent masculin du casting des Craquantes, on n’essaye pas de faire THE BIGGEST ACTION MOVIE EVER.
Cet épisode est une honte. Il n'existe pas.
Voilà c'est encore plus rageant parce qu'il y avait une petite idée derrière, ce côté "bubba ho tep" au début...quel gâchis.7swans a écrit :Il y avait pourtant quelque chose à faire à ce sujet, reprendre un peu de la mélancolie (et de l’humour !) de Bubba Ho-Tep, et penser à passer la main (à Michael, pourquoi pas ?)
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Re: Don Coscarelli
Je n'ai absolument rien compris non plus et le film m'est apparu très vite assommant par son non-sens et son humour très, très inégal.hellrick a écrit :John dies at the end
Je crois que je n'ai rien compris mais j'ai beaucoup aimé quand même et je l'ai trouvé assez marrant par moment (la fin notamment). Une espèce de mix entre les délires de la Sf parano à la K. Dick et de la Sf "philo n'importe quoi" à la Van Vogt.
Je le reverrais bien stoned ça serait surement encore meilleur
Cela part dans tous les sens, ça se veut un cauchemar marrant éveillé, qui passe d'un genre à l'autre, mais c'est au final brouillon.
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Re: Don Coscarelli
La chronique de Phantasm de Florian Bezaud et le test du Bluray par Stéphane Beauchet.
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Re: Don Coscarelli
Autobiographie de Don Coscarelli disponible chez St Martin's press
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Re: Don Coscarelli
Acheté à sa sortie, pas encore commencé.
D'ailleurs, je conseille de prendre la version Hardcover pour jeter au plus vite cette couverture absolument immonde.
J'ai lu celui là l'année dernière, je commence à être rodé niveau Coscarelli :
D'ailleurs, je conseille de prendre la version Hardcover pour jeter au plus vite cette couverture absolument immonde.
J'ai lu celui là l'année dernière, je commence à être rodé niveau Coscarelli :
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Re: Don Coscarelli
Le réalisateur revient sur sa carrière:
Et bientôt un reboot de "Dar l'invincible"?
https://bloody-disgusting.com/movie/362 ... ASJST39254
Et bientôt un reboot de "Dar l'invincible"?
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Re: Don Coscarelli
Je viens de decouvrir John meurt a la fin emprunté par le plus grand des hazard a ls bibliotheque.
Peu familier de ce registre de film (enfin plus depuis la fin des annees 80...), j’ai trouvé ca pas si mal.
C’est bien delirant, assez foutraque, et sans reelle fin mais la photo est pas mal, le casting correct, et ce se laisse voir. Je craignais un redoutable navet et j’ai ete agréablement surpris. Bref, c’est pas indispensable bien sur mais pas honteux.
Peu familier de ce registre de film (enfin plus depuis la fin des annees 80...), j’ai trouvé ca pas si mal.
C’est bien delirant, assez foutraque, et sans reelle fin mais la photo est pas mal, le casting correct, et ce se laisse voir. Je craignais un redoutable navet et j’ai ete agréablement surpris. Bref, c’est pas indispensable bien sur mais pas honteux.
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Re: Top Don Coscarelli
7swans a écrit : ↑19 mars 12, 12:21En une scène on comprend ce qui peut lier les deux personnages, sans une ligne de dialogue.AtCloseRange a écrit :Quelqu'un peut m'expiquer la scène où ils font un petit boeuf sur le porche dans Phantasm?
Dans ce cas précis, on peut penser que la musique est le révélateur et le liant de leur relation (du coup on passe sur leur différence d'age), puisque *de mémoire* on n'en sait pas plus (sur comment ils se sont rencontrés, depuis quand, etc...).
Je trouve ça évident, et très fort.
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Re: Don Coscarelli
Quelqu'un a t'il remarqué ce drop vidéo bien voyant (surtout en vidéoprojection) un peu en dessous de la bande haute du 1.85:1 sur Phantasm II ?
Des infos sur un éventuel échange ?
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