BUG - William Friedkin (2006)

THE SEVENTH VICTIM - Mark Robson (1943)

LE DIABLE AU CORPS - Claude Autant-Lara (1947)

LE COUREUR - Amir Naderi (1984)

LA VIE EST UN MIRACLE - Emir Kusturica (2004)

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Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Ton choix et note du film dans ta liste du mois m’a fait penser à la façon dont on aborde les films et comment on les juge (donc comment on les note). Pour “Les algues vertes”, personnellement le sujet m’a vraiment intéressé et parlé (en plus ça se passe pas loin d’un lieu familial), ce qui aurait pu me le faire très bien noter. Mais la mise en scène inexistante et le jeu approximatif des acteurs (donc l’approche cinématographique du film) m’ont tellement déçu et déplu que j’y aurais mis la pire note. Je l’ai vu il y a quelques mois et j’ai été incapable de le noter pour cette raison, coincé entre le sujet et la forme.
Jeremy Fox il a l'âme d'un formalisteJeremy Fox a écrit : ↑1 juil. 24, 20:14 Quine, Walsh, Eustache, Mann. Quel panel de chef d'œuvres Tom !
Le Jolivet, je ne le trouve évidemment pas raté. Pour moi une de ses plus plus belles réussites.
Je ne peux pas le prendre mal vu que je n'y comprend rien.Alibabass a écrit : ↑2 juil. 24, 20:59Jeremy Fox il a l'âme d'un formalisteJeremy Fox a écrit : ↑1 juil. 24, 20:14 Quine, Walsh, Eustache, Mann. Quel panel de chef d'œuvres Tom !
Le Jolivet, je ne le trouve évidemment pas raté. Pour moi une de ses plus plus belles réussites.![]()
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C'est comme dire, par exemple, que mon film du mois c'est :
Mais comme c'est un film flou, ou un film de peinture flou, c'est difficile de mettre une note. Et en plus, je suis myope.
Je te taquine J.Fox hein ^^
Oui, ce sont des redécouvertes.
Comme quoi les beaux sentiments peuvent aussi nourrir de grands films fébriles. C'est probablement la plus grosse claque cinématographique reçue depuis le Naked Ambition de Ikehiro l'automne dernier et ma plus belle (vraie) découverte de l'année à mi-parcours, haut la main. Entre celui-là et le Nomad de Patrick Tam, on est à la fête en réédition HK grâce à Carlotta.
Je m'étais fait une petite rétro Mad Max durant la nuit précédant la séance. Pour constater avec dépit que l'esthétique Fury Road et son côté montagnes russes m'étaient finalement assez pénibles. Malgré ses coutures scénaristiques trop voyantes et déficientes, Furiosa m'a réconcilié avec l'univers de Miller. L'appréciation du film se mesure aussi à l'aune de la déception à la revoyure de l'opus précédent. Mais le film témoigne d'une ampleur et d'une générosité qui font plaisir à voir dans le cadre de la salle. Et toute la première partie est de mon point de vue éblouissante : maîtrise parfaite de la narration, conduite posée de l'action sans sacrifier au spectaculaire à tous crins, impressionnante gestion de l'immensité et de la nudité de l'espace des affrontements.
Exactement le même ressenti que toi, BeuleBeule a écrit : ↑3 juil. 24, 13:40Je m'étais fait une petite rétro Mad Max durant la nuit précédant la séance. Pour constater avec dépit que l'esthétique Fury Road et son côté montagnes russes m'étaient finalement assez pénibles. Malgré ses coutures scénaristiques trop voyantes et déficientes, Furiosa m'a réconcilié avec l'univers de Miller. L'appréciation du film se mesure aussi à l'aune de la déception à la revoyure de l'opus précédent. Mais le film témoigne d'une ampleur et d'une générosité qui font plaisir à voir dans le cadre de la salle. Et toute la première partie est de mon point de vue éblouissante : maîtrise parfaite de la narration, conduite posée de l'action sans sacrifier au spectaculaire à tous crins, impressionnante gestion de l'immensité et de la nudité de l'espace des affrontements.
Nonobstant mon amour indéfectible pour Fury Road, ça se rapproche assez de mon ressenti : cette magnifique séquence d'ouverture est clairement ce que je retiens de positif ici. Au-delà d'un scénario mal branlé (euphémisme), de personnages secondaires plus ou intéressants (ou bien écrits) et de deux longues séquences d'action spectaculaires et fort réussies, je crois que mon problème est plus conceptuel que cinématographique : comme je crois t'en avoir déjà parlé, un des grand plaisir de la série (pour moi, en tout cas) jusqu'à présent était le refus de continuité d'un épisode à l'autre, comment Miller réutilisait et recontextalisait des éléments iconiques des opus précédants dans une nouvelle intrigue et une nouvelle version de l'univers et du parcours redempteur de Max (ex : Road Warrior est une radicalisation de la formidable première moitié de Mad Max, le mal-aimé Thunderdome est une relecture parodique bienvenue des premiers films en plus d'ajouter une dimension biblique au personnage, Fury Road reprend la quasi totalité des éléments de Thunderdome (hormis le fameux dome) avec ton radicalement différent, ...). C'est, à ma connaissance, quasi unique.Beule a écrit : ↑3 juil. 24, 13:40 Je m'étais fait une petite rétro Mad Max durant la nuit précédant la séance. Pour constater avec dépit que l'esthétique Fury Road et son côté montagnes russes m'étaient finalement assez pénibles. Malgré ses coutures scénaristiques trop voyantes et déficientes, Furiosa m'a réconcilié avec l'univers de Miller. L'appréciation du film se mesure aussi à l'aune de la déception à la revoyure de l'opus précédent. Mais le film témoigne d'une ampleur et d'une générosité qui font plaisir à voir dans le cadre de la salle. Et toute la première partie est de mon point de vue éblouissante : maîtrise parfaite de la narration, conduite posée de l'action sans sacrifier au spectaculaire à tous crins, impressionnante gestion de l'immensité et de la nudité de l'espace des affrontements.
biopic du celebre classikien ?