*Suite et (presque) fin de mon exploration des catas industrielles de 2024*
Bon ça y est, je commence à rentrer dans le dur là. Je sens que ma santé mentale commence à être endommagée, puisque j’en viens à trouver Madame Web finalement pas si pire. Voilà ce qui arrive quand on se bouffe à la suite le dernier Venom, et donc ce Borderlands qui pue la défaite et dont les gros problèmes de production se voient comme le nez au milieu du visage de Gégé Depardieu,
Une sorte de non-film, un monumental gâchis d'argent et de talents (et là, je ne parle pas forcément de Eli Roth hein...), au climax rushé comme c'est pas permis, qui tente de poser son univers à la Mad Max dans son premier acte. Avant de très vite devenir un bête actioner sans intérêt ni la moindre idée de mise en scène, où Jack Black parvient à en faire des caisses et à devenir littéralement insupportable simplement en doublant un robot pas drôle.
Je tenais donc par moi-même à vérifier l'étendue des dégâts. Eh bien maintenant je sais : c'est bel et bien une catastrophe industrielle (et j'ai la sensation d'avoir perdu 25 points de QI au passage).
Il est temps que ma mini-thématique volontairement infligée (qu'est-ce qui m'a pris ?..) se finisse.
*Fin (enfin !) de mon exploration des catas industrielles de 2024*
Bon eh bien : c'était nul. Je ne porte pas l'original de Proyas aux nues (revenge movie très efficace mais très (trop ?) ancré dans son époque), mais celui-ci avait au moins le mérite d'exsuder la rage, la tristesse et la colère.
Rien de tout ça dans ce remake terriblement mal construit (pendant quasi 40 minutes, il ne se passe RIEN), qui ressemble à n'importe quel revenge movie lambda à tendance surnaturelle, et dont on se demande bien pour quelles raisons il s'appelle The Crow, en fait.
Puisque j'ai surtout eu l'impression de voir un punk à chien à tatouages immondes s'énerver parce que sa nana, avec sa serpillère sur la tête et son regard de poisson mort, a été tuée parce que...elle avait une vidéo sur son téléphone ?
Bref, les enjeux n'ont pas grand intérêt, c'est globalement assez laid, mais c'est bien plus gore que ce à quoi je m'attendais (même si le sang est à majorité numérique, la séquence à l'opéra m'a plutôt amusé).
Par contre, encore un film où le climax semble atrocement rushé, ce qui donne une nouvelle fois le sentiment que ça a dû être un bordel pas possible en post prod.
* Et il est donc désormais temps de se remettre à voir de vrais films...*
*Fin (enfin !) de mon exploration des catas industrielles de 2024*
Bon eh bien : c'était nul. Je ne porte pas l'original de Proyas aux nues (revenge movie très efficace mais très (trop ?) ancré dans son époque), mais celui-ci avait au moins le mérite d'exsuder la rage, la tristesse et la colère.
Rien de tout ça dans ce remake terriblement mal construit (pendant quasi 40 minutes, il ne se passe RIEN), qui ressemble à n'importe quel revenge movie lambda à tendance surnaturelle, et dont on se demande bien pour quelles raisons il s'appelle The Crow, en fait.
Puisque j'ai surtout eu l'impression de voir un punk à chien à tatouages immondes s'énerver parce que sa nana, avec sa serpillère sur la tête et son regard de poisson mort, a été tuée parce que...elle avait une vidéo sur son téléphone ?
Bref, les enjeux n'ont pas grand intérêt, c'est globalement assez laid, mais c'est bien plus gore que ce à quoi je m'attendais (même si le sang est à majorité numérique, la séquence à l'opéra m'a plutôt amusé).
Par contre, encore un film où le climax semble atrocement rushé, ce qui donne une nouvelle fois le sentiment que ça a dû être un bordel pas possible en post prod.
* Et il est donc désormais temps de se remettre à voir de vrais films...*
*Fin (enfin !) de mon exploration des catas industrielles de 2024*
Bon eh bien : c'était nul. Je ne porte pas l'original de Proyas aux nues (revenge movie très efficace mais très (trop ?) ancré dans son époque), mais celui-ci avait au moins le mérite d'exsuder la rage, la tristesse et la colère.
Rien de tout ça dans ce remake terriblement mal construit (pendant quasi 40 minutes, il ne se passe RIEN), qui ressemble à n'importe quel revenge movie lambda à tendance surnaturelle, et dont on se demande bien pour quelles raisons il s'appelle The Crow, en fait.
Puisque j'ai surtout eu l'impression de voir un punk à chien à tatouages immondes s'énerver parce que sa nana, avec sa serpillère sur la tête et son regard de poisson mort, a été tuée parce que...elle avait une vidéo sur son téléphone ?
Bref, les enjeux n'ont pas grand intérêt, c'est globalement assez laid, mais c'est bien plus gore que ce à quoi je m'attendais (même si le sang est à majorité numérique, la séquence à l'opéra m'a plutôt amusé).
Par contre, encore un film où le climax semble atrocement rushé, ce qui donne une nouvelle fois le sentiment que ça a dû être un bordel pas possible en post prod.
* Et il est donc désormais temps de se remettre à voir de vrais films...*
Et Le Salaire de la Peur, nouvelle version?
Ah oui il est bien naze aussi celui la. Sinon ya Atlas avec J-Lo, Sous la Seine et la deuxième partie de Rebel Moon, le Star Wars de Zach Snyder
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
Je pense qu’il l’a deja vu ce grand film 2024 d’un grand cineaste plein d’idées.
L'élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense, donc tu suis. » Pierre Desproges Ma Collection - Mon Planning Achats
nunu a écrit : ↑8 janv. 25, 19:45
Ah oui il est bien naze aussi celui la. Sinon ya Atlas avec J-Lo, Sous la Seine et la deuxième partie de Rebel Moon, le Star Wars de Zach Snyder
nunu a écrit : ↑8 janv. 25, 19:45
Ah oui il est bien naze aussi celui la. Sinon ya Atlas avec J-Lo, Sous la Seine et la deuxième partie de Rebel Moon, le Star Wars de Zach Snyder
Il y a Largo Winch qui manque de notes....
J'ai prévu de le regarder ces prochains jours
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
*Suite de mon exploration des grosses catas industrielles de 2024*
Fallait le faire avec Addis et moi quand on a fait 2 semaines d'horreur au sens propre comme au figuré
Bon lui continue car il a un problème psychiatrique maintenant
Dis donc je n'avais pas lu, je m'insurge, un oui Flol nous a copié et deux j'ai vu depuis dans le genre des trucs soit disant pénibles, mais qui au contraire sont au minimum intéressants, voir carrément très bons: Devils,Raging grace,love me deadly,Cold july,the spine of night,good boy,vanishing waves,freaks of nature,crazy house,deadstream,Wyrmood apocalypse,The nightingale,summer of 84...