Classement des sorties Cinéma/VOD 2023 [clos]

[HAL 9000]

Hunger Games : la ballade du serpent et de l'oiseau chanteur (Francis Lawrence) 7/10

[Nestor Almendros]

Trenque Lauquen : 6/10

[ShadowOfAngelus]

Gran Turismo : 3.5/10

[-magik-]

Maestro : 6/10

[Rockatansky]

Thanksgiving - Eli Roth - 6/10

[Rockatansky]

Après, si c'est le seul et unique point de ma petite review qui te chagrine, c'est que je m'en tire pas si mal, au final.

Je tique juste parce que j'ai détesté ce film, et qu'en le regardant je me disais que ceux qui l'aimeront davantage que moi allaient forcément qualifier les meurtres d'inventifs.

Et j'en peux plus de cette formule, cet adjectif qu'on ressort à chaque fois qu'une victime se fait tuer avec autre chose que le couteau réglementaire dans un film d'horreur. Le Toxic Avenger avec sa serpillière ou Denzel au rayon bricolage de Equalizer faisaient déjà preuve d'autant d'inventivité, Eli Roth n'a pas inventé l'eau tiède.

Ceci dit, c'est vrai que le gag de la benne à ordures était amusant, brutal, tranchant et efficace. Mais c'est un des rares éclairs de ce film qui m'a surtout rappelé pourquoi je déteste ce réalisateur.

Personnellement je déteste également Eli Roth et la plupart de ses films. J'avoue que j'ai commencé à regarder ce Thanksgiving le couteau entre les dents près à dézinguer, au final le film est du réchauffé mais j'ai trouvé ça plutôt pas mal, même si j'aurais aimé qu'on continue sur le délire du premier quart d'heure.

[Jack Carter]

Blackbird, blackberry (Elene Naveriani) : 7.5
The Survival of kindness (Rolf De Heer) : 7
Un Hiver à Yanji (Anthony Chen) : 6

[Rockatansky]

Sauvetage au sommet - Jun Lee - 3,5/10

[Alibabass]

Blackbird, blackberry (Elene Naveriani) : 7.5

Et il le mérite amplement. Dommage qu'il ne peux pas trouver son public.

[douane eddy]

Perfect days : 2.5/10

[Spongebob]

Je vais faire mon original :

Chien de la casse : 7,5/10

[Jack Carter]

Blackbird, blackberry (Elene Naveriani) : 7.5

Et il le mérite amplement. Dommage qu'il ne peux pas trouver son public.

sorti das une unique salle lyonnaise (Cinem Opera) avec une seance par jour à peu près.

[Flol]

Coucou je suis un kamikaze :
Rebel Moon - Part One : A Child of Fire : 2/10

Spoiler (cliquez pour afficher)

Zack Snyder a donc voulu faire son propre Star Wars (avec aussi une pincée de Magnificent Seven). Et comme on est bien chez Snyder, ça implique forcément du ralenti inséré en mode complètement random (ils n'ont aucun sens ni aucun impact), des accents foireux, des CGI douteux, des boom boom signés Tom Holkenborg juste là pour combler les vides, et des comédiennes et comédiens qui prennent constamment la pose pour rien.

Et alors ce qui est paradoxal, c'est que maintenant que le bonhomme a les coudées franches grâce à la firme au gros N rouge, on a l'impression qu'il sait encore moins mettre en scène qu'avant. Ses films précédents avaient beau être déjà insupportables, ils contenaient minimum une séquence totalement nawak visuellement, qui avaient au moins le mérite de me faire marrer.
Alors qu'ici ? Rien. Le néant. Juste un empilement de séquences d'action fadasses et toutes grisâtres, toutes dénuées de la moindre idée formelle, entrecoupés d'autres séquences encore plus molles où des personnages affublés de balais dans le cul débitent des dialogues cons comme la lune (pun intended).

Mais j'imagine que ça n'empêchera pas le gaillard de venir nous raconter que sa director's cut de 7h52 bientôt disponible sera largement supérieure à cette version PG13 sans le moindre intérêt.
Tout ça me donnerait presque envie de revoir à la hausse Watchmen et Man of Steel (calmez-vous, j'ai dit "presque").
Mais bon, les gros débilos sont évidemment contents donc tout va bien :

[Rockatansky]

Sur Netflix faire une director"'s cut c'est vraiment juste du marketing

[Nestor Almendros]

J'ai envie de dire qu'aujourd'hui un director's cut est toujours une affaire marketing. Certains réalisateurs l'ont bien compris...