(flemme de chercher un gif de chaton tout triste pour répondre à TheGentlemanBat) (de toute façon, on sait très bien tous les deux que tu regarderas Halloween Kills quand il passera à la télé)
Ce jeudi soir à 21h05 sur Gulli, il y a le film qui enfonce tranquillou tout ce qu'Orson Welles a pu réaliser, plus long et moins génialissime que les génialissimes Wrong Trousers et A Close Shave mais néanmoins le plus grand film de lapin-garou de l'univers de tous les temps : Wallace & Gromit : le mystère du lapin-garou (Nick Park & Steve Box, 2005).
Un condensé de morceaux de bravoure en pâte à modeler :
Si la Hammer produisait un film de Steven Spielberg :
Ce soir, je vais sans doute me laisser tenter par la série Polar Park sur Arte.
J'avais bien aimé Poupoupidou au ciné, et visiblement cette série est dans le même esprit : mêmes lieux, même acteurs, même atmosphère loufoque.
manuma a écrit : ↑25 oct. 23, 11:36
[...]et la lecture de son topic sur le forum, une fois rentré à la maison[...]
Hier soir, j'ai regardé "la ronde du crime" de Don Siegel. Est ce que tu l'as celui là dans ta collection Télé 7 Jours. Je voudrais surtout lire ce qu'ils ont écrit au paragraphe "si vous avez manqué le début".
Je trouve que c'est un bon test pour un entretien d'embauche à un candidat pour un poste de rédacteur à Télé 7 Jours. Ecrivez un "si vous avez manqué le début" du film "la ronde du crime" de Don Siegel.
Dernière modification par murphy le 3 nov. 23, 07:04, modifié 4 fois.
TheGentlemanBat a écrit : ↑2 nov. 23, 19:44
Intrigué par cette nouvelle série donc comme Zelda Zonk, direction Arte ce soir.
Me suis endormi devant, après 30 minutes...
Donc même pas vu un seul épisode.
Pour dire la vérité, ce n'était pas juste la fatigue, ça m'a beaucoup moins plu que prévu, le peu que j'ai vu. L'impression de voir un téléfilm français lambda, sans grande ambition artistique.
Je retenterai peut-être en Replay, mais je suis preneur d'autres avis pour ceux qui sont allé au bout.
Et bien moi au contraire j'ai beaucoup aimé et ai hâte d'être à jeudi prochain pour la dernière salve d'épisodes (l'intégralité de la série est dispo sur Arte.tv et leur chaîne Youtube dédiée, je sais, mais je préfère attendre sagement mon rendez-vous cathodique). Pour en dire quelques mots et essayer de te remotiver, déjà j'ai trouvé la galerie de personnages vraiment savoureuse. Chacun y va de ses petites singularités : l'employée de bibliothèque, championne de Scrabble et chanteuse folk à ses heures perdues se produisant certains soirs dans le Bar des Flocons, nimbée dans une lumière bleutée du plus bel effet (petit clin d'oeil à Twin Peaks, cité également dès les 1ères minutes au détour d'un panneau annonçant l'arrivée de Jean-Paul Rouve dans le village de Mouthe - on pense aussi bien évidemment à Blue Velvet pour le coup de l'oreille coupée retrouvée dans la neige et, cadre oblige justement, la référence à Fargo est immanquable), son collègue légèrement maniaque surnommé "Psycho Hugo", fan de films de vampires et de Brigitte Fontaine qui écrit une thèse intitulée "L'art de poétiser la mort dans la peinture et la sculpture ou les poires putrides sentimentales", la professeure de français fan absolue, limite transie d'amour, du romancier en panne d'inspiration incarné par Rouve qui, dès qu'une occasion se présente, n'hésite pas à endosser l'identité de son héros de détective Magnus Horn pour faire avancer l'enquête, l'hyper cartésien et un peu cul serré adjudant Louvetot (rien que le nom déjà, c'est un régal) ou encore la confrérie de moines pour le moins exotique établie dans le coin, franchement y'a de quoi faire. Quant à l'aspect thriller, il est plutôt bien alimenté je trouve (Gérald Hustache-Mathieu dit s'être inspiré de Se7en, ça se ressent au niveau de la mise en scène stylisée des meurtres) avec des rebondissements à foison qui, couplé au côté farfelu donc des persos, fait mouche et donne envie de connaître la suite. Sachant que la série est le prolongement de Poupoupidou que je n'ai pas vu, je vais m'y intéresser de près d'ici peu, je pense.
Autrement, je continue ce soir mon cycle Friedkin avec le revisionnage de l'excellent To Live and Die in L.A.
Merci pour ce retour.
Je retenterai le coup, via le Replay de Arte. Tu m'as bien vendu les trois premiers épisodes. Je devais être trop fatigué hier soir.
Enfant terrible internationalement apprécié (Titine en France Betty dans les pays anglo-saxon), le personnage de Léontine était tantôt un garçon manqué, un farceur, un mécréant et un anarchiste.
De 1910 à 1912, la société Pathé Frères a produit environ vingt-quatre épisodes de la série Léontine (quinze existent encore dont certains ne sont que des fragments).
Avec ces espiègleries, Léontine se fixe un objet à acquérir ou un objectif à poursuivre et détruit tout ce qui se trouve sur son chemin qui pourrait lui faire obstacle.
Le Bateau de Léontine (1911)
"- Il y avait un noir a Orly, un grand noir avec un loden vert. J'ai préféré un grand blond avec une chaussure noire a un grand noir avec un loden vert
- Dites-moi, mon petit vieux, pour faire de la littérature, attendez la retraite. Bonne appétit."
Après m'être repris une bonne petite claquounette devant To Live and Die in L.A., je redescends d'un bon cran avec la Nurse ce soir qui dans mon souvenir est sympa, sans plus.
Pour moi il y a un monde entre ses deux films ,l'un est bien plus noir que l'autre. L'un est un chef d'oeuvre l'autre non
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
Non pas vraiment. Tu peux tout a fait voir, Batman, le défi (quel titre de merde au passage) sans avoir vu Batman
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
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