Dennis Quaid

[Supfiction]

C'est parce que tu n'es pas cycliste. Film pour les amoureux de la petite reine

Dans le genre, la référence reste pour moi Le prix de l’exploit avec Costner (même si ça ne se passe pas sur le tour).

[murphy]

Dans le genre, la référence reste pour moi Le prix de l’exploit avec Costner (même si ça ne se passe pas sur le tour).

Mais ça passe la page. Félicitations.

[tchi-tcha]

Excusez-moi, mais des interventions comme celles-ci, moi, je m'en passe

Je ne visais pas la qualité du contenu, je visais la page 5. Pour un acteur de second plan qui a besoin d'être très cadré et dirigé, cinq pages c'est énorme.

[AtCloseRange]

C'est parce que tu n'es pas cycliste. Film pour les amoureux de la petite reine

Dans le genre, la référence reste pour moi Le prix de l’exploit avec Costner (même si ça ne se passe pas sur le tour).

Même scénariste.

[tchi-tcha]

Timothée a tourné avec Martin Scorcese.
Timothée incarne le héros messianique de Dune Part Twou.
Hier, Dennis Quaid a passé une heure à chercher ses lunettes sur son bureau.
(alors qu'il était assis dessus)
CQFD

Excusez-moi, mais des interventions comme celles-ci, moi, je m'en passe

Argh, le fourbe ! C'était un piège grossier pour m'attirer vers la page 5 !

En recensent tous les films dans lesquels Dennis Quaid est nul depuis vingt ans, ce topic arriverait facilement à dix pages sans user de tels subterfuges.

[manuma]

Dans le genre, la référence reste pour moi Le prix de l’exploit avec Costner (même si ça ne se passe pas sur le tour).

Même scénariste.

On va dire que ce sont les 2 meilleurs sur le sujet, côté US. Et les 2 seuls également...

J'ai toujours regretté que Cimino n'ait pas mené à bien son projet de film sur le Tour de France, avec Dustin Hoffman (Cimino ou Jerry Schatzberg d'ailleurs ?).

Et, pour éviter le hors sujet, rapatriement de l'avis de Max Schrek sur Great ball of fire :

Après Breathless, je me suis revu (malheureusement en VF plein écran) :

Great balls of fire, du même Jim McBride, 1989



Marrant de constater à quel point les deux films sont proches. Jerry Lee Lewis était déjà une figure centrale de Breathless (le morceau-titre y joue une place importante). Le personnage de Richard Gere n'y cessait de l'idolatrer, et son interprétation tournait quasiment à l'imitation. Dans Great balls, le jeu de Dennis Quaid (génial) est aussi survolté que celui de Gere, véritablement bigger than life. Il est de plus très crédible derrière son piano, jouant comme un dangereux psychopathe, montant dessus, y foutant le feu, etc. Le film est bien évidemment rempli à ras-bord de musique, et souvent brillant dans sa mise en scène, dans une approche très modeste du mythe. Lewis est présenté comme un gamin pas très futé mais joyeux, qui ne renie pas son éducation religieuse et sa foi mais lui préfère le rock n'roll, cette musique du diable.

Adapté de la biographie de l'une des femmes de Lewis, ici interprétée par l'exquise Winona Ryder, le film met forcément l'accent sur le scandale de son mariage avec cette gamine de 13 ans. Un petit film, d'une certaine manière assez typique des biopics hollywoodiens mais fait avec talent et fraîcheur.

[Jack Carter]

Timothée a tourné avec Martin Scorcese.
Timothée incarne le héros messianique de Dune Part Twou.
Hier, Dennis Quaid a passé une heure à chercher ses lunettes sur son bureau.
(alors qu'il était assis dessus)
CQFD

Excusez-moi, mais des interventions comme celles-ci, moi, je m'en passe

surtout quand on n'est pas capable d'ecrire Scorsese correctement...

[murphy]

surtout quand on n'est pas capable d'ecrire Scorsese correctement...

Bien envoyé !

[tchi-tcha]

Ben quoi ? Je l'écris comme Murphy pourtant...
(Non, vous n'atteindrez jamais la page 6)

...et sinon :



Sympathique, mais c'est pas du Scossese non plus.

[manuma]

Bien envoyé !

Clair. Ca fait mal !


Sinon, je rappelle qu'en son temps, Joshua Baskin avait fortement apprécié In good company. Pour preuve :

En bonne compagnie - Paul Weitz (2004)



Excellente surprise. Je m'attendais à une grosse comédie un peu lourdingue et je me retrouve avec une excellente comédie douce amère, sans véritable happy end. J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver Dennis Quaid dans un vrai bon rôle. Quant à Scarlett, elle est lumineuse.

Timothy, nous voila !

[Supfiction]

Sinon, je rappelle qu'en son temps, Joshua Baskin avait fortement apprécié In good company. Pour preuve :

En bonne compagnie - Paul Weitz (2004)



Excellente surprise. Je m'attendais à une grosse comédie un peu lourdingue et je me retrouve avec une excellente comédie douce amère, sans véritable happy end. J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver Dennis Quaid dans un vrai bon rôle. Quant à Scarlett, elle est lumineuse.

Excellente (et intelligente) comédie. Dans mon top 100 alternatif d’ailleurs.

[tchi-tcha]

surtout quand on n'est pas capable d'ecrire Scorsese correctement...

Que dire quand on n'est pas capable d'écrire "écrire" correctement...

(et vlan)

Courage, manuma ! Plus que trois messages pour voir le bout du tunnel de la page 5
Pour un comédien dont les meilleures interprétations sont souvent des seconds rôles, six pages c'est énorme.

[tchi-tcha]

En espérant un retour dans le topic dédié sur ce film qui a du chien, assurément :

J'étais parti sur L'astragale version Jobert, mais, finalement, je crois que je vais me laisser tenter par ça :

(j'arrête avant qu'un modo comprenne que je trolle juste pour atteindre la page 6 [insérer ici un smiley ninja])

[manuma]

A DOG'S JOURNEY (2019)



Suite d'un film que je ne verrai probablement jamais, A dog's journey reprend le concept du Look who's talking d'Amy Heckerling et ses suites (pour ceux qui s'en souviennent). Sauf que le nourrisson jacasseur est ici remplacé par un chien pro de la punchline et ses multiples réincarnations, et que l'ensemble tend davantage vers le mélodrame, saupoudré d'une pincée de mysticisme surnaturel, que la pantalonnade. Un peu facile pour moi de taper sur ce titre, car je ne suis clairement pas son public cible, mais, si je lui concède un rythme certain et une interprétation décente, cela reste quand même, à mon gout, un produit aseptisé à l'extrême, complètement téléphoné dans ses moindres rebondissements et pas franchement bidonnant. A noter, pour ses nombreux fans ici, que Dennis Quaid n'y tient qu'un rôle secondaire (mais néanmoins important).


Putain, on va pas y arriver !

[Supfiction]

Putain, on va pas y arriver !

Peut-être avec un petit sujet polémique ?

J'ai revu Great balls of fire récemment et je trouve toujours le film très sympa, plein d'énergie et de légèreté. Je me rappelle qu'après l'avoir vu dans les années 80 avec des copains, tous disaient un truc du genre "ah c'qu'ils sont puritains ces américains!". 35 ans après, le film n'est évidemment pas perçu de la même manière dans un pays qui a bien changé.