Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

[Alibabass]

Premiere entree en matiere dans l'univers du plasticien Clement Cogitore ce soir avec Goutte D'or, et ses courts-metrages ensuite sur MK2 Curiosity.

[Addis-Abeba]

[Telmo]

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Dans sa dernière restauration,,jamais vu ceci-dit

Question marvelleries, il y a bien pire de nos jours.

[Addis-Abeba]

Conforme à mon vieux souvenir, ce n'est pas un Giallo, mais un policier-thriller assez terne,fade,que ce soit dans sa réalisation ou son intrigue, histoire d'ailleurs mâtinée d'une étude de mœurs bien peu consistante et dont on se contrefout, ce n'est pas de toute façon ce que l'on veut voir sur ce genre de film.
Je retiendrai juste un générique de début original et la sympathique BO de Gianni Ferrio, dans la bonne moyenne de ce genre de film, sans être non plus extraordinaire.

[patrouilleur loubard]

La soirée sera épique ou ne sera pas : El Cid de Anthony Mann.

pat'

[Spongebob]

Ce soir je me jette dans l'océan avec The Whale.

[manuma]

Très certainement ça, ce soir :

[Alibabass]

Ce soir je me jette dans l'océan avec The Whale.

Bon courage. Mais, en restant positif (soit l'anti-thèse du film) il y a une très belle photographie hors des murs de la maison à la Douglas Sirk (porte ouverte) qui donne l'illusion d'être dans un mélodrame. C'est peux-être le cas, mais alors c'est plus un cas pathologique que autre chose.

[cinephage]

Ce soir, je boucle La Flor. Avec presque 11 heures de film, je trouve l'ensemble assez inégal. Il y a beaucoup de moments excellents, mais rien ne justifie cette durée, et il en résulte un coté "challenge rigolo" un peu potache, qui dessert l'ambition du film.
Par ailleurs, l'absence de lien entre les récit donne l'impression d'une accumulation de genres et d'idées un peu sans raison, un peu gratuite. Certains moments sont réussis, d'autres bien rasoirs, et les enjeux paraissent plus anecdotique que sérieux...
Troisième remarque, liée à la première, on sent parfois que la longueur de certains plans participe de cette "envie de faire long". On est loin d'un Satantango où il est impossible de faire plus court sans trahir l'oeuvre. Ici, j'ai l'impression qu'on aurait pu faire un film moitié moins long sans aucun dommage.

Reste que Mariano Llinas est un sacré conteur, et que dans ses meilleurs moments il tutoie les sommets. Il lui faudrait juste un peu plus de rigueur et de moyens ou d'ambition formelle (le film manque de moyens par moments, ça se voit malgré le foisonnement d'idées).

[Jack Carter]

Meme le generique de fin est anormalement long

[Flol]

Probablement rien.
Et même pas de bière ni de charcuterie.

[Dunn]

Après un peu de Charcuterie et des épinards ce sera le nouvel épisode du mandalorian.

[cinephage]

Meme le generique de fin est anormalement long

Mais chacune des 6 histoires a déja son propre générique !!! Il en remet un à la fin ? C'est vraiment un truc pour rallonger le film...

[Jack Carter]

Meme le generique de fin est anormalement long

Mais chacune des 6 histoires a déja son propre générique !!! Il en remet un à la fin ? C'est vraiment un truc pour rallonger le film...

je ne sais plus exactement , mais il y a un generique de 35 minutes environ à la fin de la 4eme partie (à la fin des 6 histoires)

[Alibabass]

Ce soir, je boucle La Flor. Avec presque 11 heures de film, je trouve l'ensemble assez inégal. Il y a beaucoup de moments excellents, mais rien ne justifie cette durée, et il en résulte un coté "challenge rigolo" un peu potache, qui dessert l'ambition du film.
Par ailleurs, l'absence de lien entre les récit donne l'impression d'une accumulation de genres et d'idées un peu sans raison, un peu gratuite. Certains moments sont réussis, d'autres bien rasoirs, et les enjeux paraissent plus anecdotique que sérieux...
Troisième remarque, liée à la première, on sent parfois que la longueur de certains plans participe de cette "envie de faire long". On est loin d'un Satantango où il est impossible de faire plus court sans trahir l'oeuvre. Ici, j'ai l'impression qu'on aurait pu faire un film moitié moins long sans aucun dommage.

Reste que Mariano Llinas est un sacré conteur, et que dans ses meilleurs moments il tutoie les sommets. Il lui faudrait juste un peu plus de rigueur et de moyens ou d'ambition formelle (le film manque de moyens par moments, ça se voit malgré le foisonnement d'idées).

Le film s'est réalisé sur 10 années, souvent via les tournées du collectif de théâtre de Mariano Llinas et de ses actrices. SI le collectif avait du temps, hop, quelques plans, un puzzle, et puis on avise cela en post-prod. Il y a quelques d'assez bluffant dans tout cela. En tout cas, sur les trois séances que je me suis faite au moment de sa sortie, j'avais une patate de ouf : pas d'explication, juste un foisonnement d'idées dans les récits et une vision primaire de faire du cinéma ... de pirate. Et en effet, le générique est déglingo, juste pour le geste, ça m'a fait triper.

SInon, j'aurais voulu voir A Pas Aveugles, le documentaire de Christophe Cognet sur son travail sur la création clandestine au sein des camps nazis en portant cette fois son attention sur les photographes clandestins qui ont réussi à produire des clichés depuis l’intérieur du système concentrationnaire (dixit Serge Kaganski), mais très peu de salle, et pour l'instant pas d'idée de ciné-débat. Même pendant la fête du cinéma, je me sent pas très chaud de faire 80 bornes pour aller le voir ... quoique ...

Sinon, si vous êtes sur Orleans, journée de dingue mardi 21 aux Carnes pendant la fête du cinéma : Je t'aime Je t'aime ; Solo ; Le fond de l'air est rouge ; la venue du créateur de Marin MK2 Karmiz ; Le Lauréat ; Le Mandat d'OUSMANE SEMBENE.