Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

[shubby]

Total respect pour Torrente. Ca sent le nettoyage de printemps d'une vieille pile de dvd de la honte. M'enfin, d'habitude ceux qui font ça sont payés pour ^^

[tchi-tcha]

Vous m'avez donné envie de revoir Un homme est passé (qu'on peut aussi considérer comme un grand western de Sturges - et là je ne trolle pas), c'est malin.

Mais ce ne sera pas pour ce soir. Il faudrait déjà retrouver le DVD, et de toute façon il y a le très wellsien Godzilla II: Roi des Monstres sur TMC (là oui je trolle, mais j'avais bien aimé le spectacle au cinéma ).

[Arn]

Silence, de Masahiro Shinoda pour moi ce soir.
Le Scorsese ne m'a pas laissé beaucoup de souvenirs.

[Watkinssien]

Mais ce ne sera pas pour ce soir. Il faudrait déjà retrouver le DVD, et de toute façon il y a le très wellsien Godzilla II: Roi des Monstres sur TMC (là oui je trolle, mais j'avais bien aimé le spectacle au cinéma ).

Ah mais quand tu écris "wellsien", en fait tu parles de H.G. Wells...

[beb]

…

[beb]

…

[Telmo]

Rocky

Pas vu depuis une éternité.

[Arn]

Silence, de Masahiro Shinoda pour moi ce soir.
Le Scorsese ne m'a pas laissé beaucoup de souvenirs.

Exactement pareil.
Pas vu le Shinoda, j'aimerais bien avoir un avis dessus

A voir d'ici quelques semaines / mois mais je pense être plus durablement marqué par la version du Shinoda.
Le film est évidemment assez austère et le visionnage pas toujours passionnant. En revanche j'ai été assez enthousiaste devant l'approche de Shinoda qui utilise ce récit de persécution religieuse pour porter une charge contre le Japon féodal, et en profitent pour filmer les souffrances du peuple qui se retrouve finalement un peu coincé entre l'enclume et le marteau.
Et la photo est superbe.

[tchi-tcha]

Anthony Hopkins n'en a clairement plus rien à foutre de rien (mais ça fait quarante ans que sa carrière est une imposture, alors il n'en a plus rien à faire si ça se voit),

Il y a eu The Father récemment pour contredire ça ou même Westworld. Ou plus loin encore, pendant ces 40 dernières années, il y a The Silence of the Lambs, Howards End ou Les vestiges du jour.

Tout compte fait, j'ai suivi ton conseil puisque Le Silence des Agneaux repassait sur Arte après le Sturges.
(et parce que je n'ai pas retrouvé Un Homme Est Passé dans mes quelques piles de films rangés alphabétiquement, donc je le reverrai si je tombe dessus)

Révision légèrement à la baisse, c'était à craindre.
Rien à redire sur Jodie Foster qui passe la totalité du film à se confronter au regard des hommes (un regard qui dit en gros "je lui mettrais bien une cartouche à la p'tite" sans même essayer de s'en cacher ou d'y mettre les formes), elle est toujours aussi formidable ici.
Davantage à redire sur la mécanique du récit, hyper efficace et terrifiante, mais dont l'efficacité est justement tellement voyante qu'elle ne laisse ni zone d'ombre ni respiration. Une mécanique trop ouvertement mécanique, pour un plaisir qui s'émousse au fil des révisions.
Quant à Anthony Hopkins, son numéro d'équilibriste glisse trop souvent dangereusement du côté d'un grand-guignol cabot. La musique d'Howard Shore sauve les meubles, mais son Hannibal fait davantage sourire que peur.
Pas fan non plus de Ted Levine en tueur couturier (décidément, l'incarnation des figures maléfiques est ce qui fonctionne le moins sur moi dans ce film), mais ultra fan du capitaine Stottlemeyer, donc je n'en dirai rien.

Et en cherchant ce qu'écrivaient Tavernier et Coursodon je relève cette phrase :
À défaut d'en nier l'impact (...) on peut en questionner le sens, ou plutôt la très curieuse absence de sens.
(...) celui-ci, malgré sa fin ouverte, ne suscite aucune seconde lecture morale, sociale ou métaphysique.
En somme ils disent la même chose que moi (ce qui me rassure), mais ils le disent beaucoup mieux et avec beaucoup plus d'intelligence. Vivement la publication de 100 ans de cinéma américain.

[Flol]

Après m'être vu 2 fadasseries made in Netflix hier soir, j'ai décidé de continuer de vider ma liste ce soir en tentant ce Black Crab dont j'ai été surpris de lire du bien dans le dernier Mad Movies.
Même si pour être honnête, je table plutôt sur un 4/10 final.

Il y a de l'idée (tout ce qui a trait à cette grande étendue glacée arpentée en patins, notamment cette nuée de cadavres pris dans la glace) et une introduction intrigante (attentats ? guerre civile ? guerre nucléaire ?), mais globalement on est quand même face à du classique de chez classique. Alors qu'il y avait pourtant le matos pour en faire quelque chose de vraiment tendu et intense à la Sorcerer (les soldats devant transporter un mystérieux et dangereux chargement d'un point A jusqu'à un point B en milieu hostile).
Ça reste honnête et on sent que le réalisateur à la barre a du talent pour mettre en valeur ses décors, à travers quelques plans larges pas mal impressionnants ; mais ça ne vaut pas non plus beaucoup plus que la moyenne.
On est donc en plein dans la moyenne Netflix : 5/10.

[beb]

…

[Invité1]

Hier soir, j'avais très envie de continuer mon petit cycle découverte Orson Welles mais l'amollissement de la fin de journée n'aidant pas, j'ai opté pour plus léger avec Démons et Démons 2 (Lamberto Bava - 1985 & 1986) édités en HD chez Carlotta.

Cultissime film gore pour toute une génération ayant vécu l'époque (dite bénie) des vidéoclubs, le 1er Démons est tout de même loin d'être un chef-d'œuvre du genre bien que Dario Argento affirme le contraire dans les suppléments du BR. Cependant, il faut avouer que la magie fonctionne malgré la médiocrité de l'interprétation générale et des dialogues. Une forme de fascination s'instaure au fur et à mesure que le métrage défile et ça reste fun dans son ensemble, ajouté au petit plaisir de retrouver Nicoletta Elmi et Michele Soavi au générique.
6/10

Démons 2 est un (petit) peu mieux écrit que le précédent opus et ose surtout des scènes totalement délirantes en mode gros nawak bien gore. Asia Argento, du haut de ses 11 ans, est déjà magnétique et David Edwin Knight (qui n'a visiblement pas fait une grande carrière cinématographique) est plutôt beau gosse, ce qui est toujours attrayant lorsque l'on est face à ce type de film. Quoi qu'il en soit, Démons 2 vaut nettement mieux que sa pitoyable réputation d'indécrottable nanar et j'ai passé un chouette moment.
6/10

Ce soir, je repasse aux choses sérieuses avec La Dame De Shanghai (Orson Welles - 1947) et Le Troisième Homme (Carol Reed - 1949).

Tu passeras le bonjour à ton papa de ma part !

Je n'y manquerai pas

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Elle semble carrément géniale, cette émission... Je surkiffe la présentation.

[Jeremy Fox]

Après Pillow Talk hier soir, je continue à visionner le coffret Bluray Doris Day/Rock Hudson avec Lover come Back... normalement.

[Flol]

Pour ce soir (encore une fois si mes gosses me le permettent) je vais continuer l'exploration de ma liste Netflix avec :


Stowaway - Joe Penna

Et j'avoue partir assez confiant parce que :
1. j'aime bien le casting
2. j'avais pas mal apprécié le précédent film de survie de Joe Penna (Arctic avec Mads Mikkelsen)

[Torrente]

où j'ai entrevu ce qu'Alex devait ressentir sous la torture du conditionnement psychologique.

Je te prie de bien vouloir me laisser en dehors de tout ça.

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Elle semble carrément géniale, cette émission... Je surkiffe la présentation.

Oui, moi aussi.

- La jeune génération doit arrêter de faire des films d'horreur instamment. Prevenge, c'est non, non et re-non !

Suis trop fier, je connais enfin un film dont tu parles ! En effet c'est mauvais. Voilà c'est tout, de rien.

j'avoue partir assez confiant

Abandonne tout espoir.

(non, en fait, ça passe, il y a bien pire)