John Ford (1894-1973)
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Re: John Ford (1894-1973)
Parmi les rares diffusions évoquées dans l'analyse du blu-ray, on peut aussi ajouter qu'il a été diffusé sur TCM.....
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Re: John Ford (1894-1973)
Je viens de le découvrir, et c'est une excellente surprise, avec un Spencer Tracy impérial, un maire comme on en rêverait .
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Re: John Ford (1894-1973)
Grand Ford tardif.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: John Ford (1894-1973)
Dans Domicile Conjugal, on peut voir l’affiche des Cheyennes en grand avec la mention « Le plus grand film de John Ford » qui fait bien sourire. A part les paysages et Caroll Baker, il n’y a rien à sauver dans ce film qui est un hommage totalement raté et misérabiliste aux indiens.
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Re: John Ford (1894-1973)
Supfiction a écrit : ↑28 déc. 20, 15:11 Dans Domicile Conjugal, on peut voir l’affiche des Cheyennes en grand avec la mention « Le plus grand film de John Ford » qui fait bien sourire. A part les paysages et Caroll Baker, il n’y a rien à sauver dans ce film qui est un hommage totalement raté et misérabiliste aux indiens.
Le dernier très grand film de Ford, en ce qui me concerne.
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Re: John Ford (1894-1973)
Pareil pour moi, crépusculaire et sublime.Watkinssien a écrit : ↑28 déc. 20, 15:41Supfiction a écrit : ↑28 déc. 20, 15:11 Dans Domicile Conjugal, on peut voir l’affiche des Cheyennes en grand avec la mention « Le plus grand film de John Ford » qui fait bien sourire. A part les paysages et Caroll Baker, il n’y a rien à sauver dans ce film qui est un hommage totalement raté et misérabiliste aux indiens.
Le dernier très grand film de Ford, en ce qui me concerne.
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Re: John Ford (1894-1973)
Je trouve que tout est caricatural dans ce film. Impossible de ne pas penser en comparaison au traitement fait des indiens par Costner dans Danse avec les loups qui, lui, avait réussi à émouvoir sur leur sort sans jamais les faire passer pour de quasi-enfants un brin ridicules et sans défense.
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Re: John Ford (1894-1973)
Pour terminer l'année, une réflexion émouvante sur le cinéma de John Ford par Claude Monnier. Ca donne envie de s'y replonger sans plus attendre.
Bon réveillon à tous et nous serons là dès lundi pour une nouvelle publication.
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Re: John Ford (1894-1973)
Texte d'une sensibilité rare en effet ! J'éprouve exactement le même attachement fantasmé aux films "pastoraux", ayant même une préférence pour les plaines et plateaux verdoyants des films d'Anthony Mann ou d'Henry King.
Revoir les films de John Ford et terminer le beau livre de Joseph McBride, voilà un joli programme de début d'année !
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Re: John Ford (1894-1973)
Ca faisait une éternité que j’avais pas vu un film de Ford. En cherchant bien ce devait etre une revue en famille d’un de mes Ford préférés : le convoi des braves.
Les hasards des emprunts a la bibliotheque ont amené à découvrir hier « La derniere fanfare ».
Tres chouette decouverte qui rappelle si necessaire que Ford est un sacré metteur en scene (la marche de Tracy dans le parc) et un conteur d’une grande finesse.
Difficile en effet de définir sommairement ce personnage de maire qui prepare sa reelection. Charmeur, sympathique, homme de conviction, il est aussi populiste, un brin manipulateur, n’hesitant pas à recourir au chantage pour faire avancer ses bonnes causes, … quant aux finances publiques on ne saura jamais le fond de l’affaire. C’est cette bete politique, campée par un remarquable Spencer Tracy que nous allons suivre pendant 2 heures, sorte de dinosaure dans un monde en transition.
Bien sur, c’est le double de Ford lui même.
Meme si j’ai des reserves sur la fin du film :
Tres beau scope n&b.
Chaudement recommandé.
Les hasards des emprunts a la bibliotheque ont amené à découvrir hier « La derniere fanfare ».
Tres chouette decouverte qui rappelle si necessaire que Ford est un sacré metteur en scene (la marche de Tracy dans le parc) et un conteur d’une grande finesse.
Difficile en effet de définir sommairement ce personnage de maire qui prepare sa reelection. Charmeur, sympathique, homme de conviction, il est aussi populiste, un brin manipulateur, n’hesitant pas à recourir au chantage pour faire avancer ses bonnes causes, … quant aux finances publiques on ne saura jamais le fond de l’affaire. C’est cette bete politique, campée par un remarquable Spencer Tracy que nous allons suivre pendant 2 heures, sorte de dinosaure dans un monde en transition.
Bien sur, c’est le double de Ford lui même.
Meme si j’ai des reserves sur la fin du film :
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Tres beau scope n&b.
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- Alexandre Angel
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Re: John Ford (1894-1973)
Pas scope
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: John Ford (1894-1973)
Je suis nul dans les formats : pour moi, quand c’est pas 4/3 c’est du scope…
- Alexandre Angel
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Re: John Ford (1894-1973)
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: John Ford (1894-1973)
Très belle copie rectangulaire également sur Mycanal.
Je crois que je confonds souvent La dernière fanfare avec L’enjeu de Capra avec également Spencer Tracy. Par conséquent je n’ai peut-être jamais vu le Ford. Je vais en profiter pour vérifier.
Je crois que je confonds souvent La dernière fanfare avec L’enjeu de Capra avec également Spencer Tracy. Par conséquent je n’ai peut-être jamais vu le Ford. Je vais en profiter pour vérifier.