Vos découvertes contemporaines 2021

[Kevin95]

* Les Misérables : Claude Lelouch 1995 : 7/10

35 Les misérables, de Claude Lelouch (1995) 8/10

Je note celui-là de mon côté (je crois que Kevin lui avait également mis une note très honorable récemment)

Yeap (note plombée par deux trois séquences ridicules, inévitables chez le Lelouch post 70s).

[Torrente]

Peu de découvertes fondamentales de films sortis entre 1981 et 2010, cette année, que j'ai plus axée sur le cinéma contemporain récent.
Mais de belles découvertes naphta (de grosses déceptions naphta, aussi), des révisions inattendues et tout de même de quoi constituer un Top de films contemporains emballants...




Top 4 :




1/ FrankƐn5tƐ1n (Bernard Rose, 2015)
2/ Soul (Pete Docter & Kemp Powers, 2020)
3/ Le Mans '66 (James Mangold, 2019)
4/ Swallow (Carlo Mirabella-Davis, 2020)




2 mentions spéciales :





- Le diable en robe bleue (The devil in a blue dress) (Carl Franklin, 1995)
- et le très inattendu (vu la charge critique) D'après une histoire vraie (Roman Polanski, 2017)




LA redécouverte la plus marquante :





- Les nuits de la pleine lune (Éric Rohmer, 1984)




3 cinéastes à suivre :





- Ivan Sen pour Mystery road (2013) et Goldstone (2016)

- Alice Winocour pour Maryland (2015)

- Max Winkler pour Flower (2017)




3 confirmations :




- Sean Ellis avec Opération Anthropoid (2016)

- Patrick Brice avec Nuit blanche entre amis (2015), Corporate animals (2019) et Killer game (2021)

- Harmony Korine avec Beach bum (2021)




Si je devais ne retenir qu'1 visage :





... ce serait celui de Jun Ji-Hyun dans Assassination (2015), The agent (2013) et Les braqueurs (2012), tous les 3 découverts en début d'année.




8 espoirs féminins à suivre (en vrac) :





Vanessa Kirby, Haley Bennett, Noémie Merlant, Lola Le Lann, Oulaya Amamra, Gaia Weiss, Marie Narbonne et Cailee Spaeny.




1 espoir masculin, aussi :





Barry Keoghan




En " points bonus Nanarland ", je retiendrais :





- la prestation de Wesley Snipes dans Un prince à New York 2 (hilarant, dans l'une des suites les plus atroces de ce début de siècle)
- celle de Travis Fimmel dans Zone 414 (extraordinaire)
- ainsi que le duo Laurel et Hardy-esque formé par Mark Dacascos et Matthias Hues dans l'exécrable Maximum impact (du sucre de canne sur un coulis de framboise)

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Les découvertes naphtas de 2021

L'année en détail :

- Janvier 2021
- Février 2021
- Mars 2021
- Avril 2021
- Mai 2021
- Juin 2021
- Juillet 2021
- Août 2021
- Septembre 2021
- Octobre 2021
- Novembre 2021

[Flol]

- Max Winkler pour Flower (2017)

Fils de ?
Oui je pourrais facilement vérifier, mais si je me base uniquement sur le physique, ça me semble assez évident.

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[El Dadal]

2 mentions spéciales :



- et le très inattendu (vu la charge critique) D'après une histoire vraie (Roman Polanski, 2017)

Je vais faire mon ACR n'ayant toujours pas vu le film, mais pourquoi ne suis-je pas surpris. Torrente be Torrente

En " points bonus Nanarland ", je retiendrais :



- la prestation de Wesley Snipes dans Un prince à New York 2 (hilarant, dans l'une des suites les plus atroces de ce début de siècle)
- celle de Travis Fimmel dans Zone 414 (extraordinaire)
- ainsi que le duo Laurel et Hardy-esque formé par Mark Dacascos et Matthias Hues dans l'exécrable Maximum impact (du sucre de canne sur un coulis de framboise)

J'avoue, je vais faire mon Jack Carter.

[Jack Carter]

Pour le H.S ?

[El Dadal]

Pour le petit carnet

[Jack Carter]

Pour le petit carnet

oui, bien sur, je suis bete

[Torrente]

Max Winkler

Fils de ?

Oui.

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- et le très inattendu (vu la charge critique) D'après une histoire vraie (Roman Polanski, 2017)

Je vais faire mon ACR n'ayant toujours pas vu le film, mais pourquoi ne suis-je pas surpris. Torrente be Torrente

Je plaide le cas typique du "mais ils sont tarés, qu'est ce qui leur a pris à tous de défoncer ce film ?".
Peut-être que si je l'avais vu à sa sortie, vierge d'avis dessus, mon ressenti ne serait pas le même... aucune idée.

Par contre là où j'assume le "Torrente be Torrente" : si je faisais le bilan en cherchant des acteurs ou actrices marquantes de mon année de visionnage et qu'on me demandait une liste... je citerais Eva Green dans D'après une histoire vraie et Léa Seydoux dans Mourir peut attendre et France. Et même pas par esprit de contradiction. En toute sincérité.

- la prestation de Wesley Snipes dans Un prince à New York 2 (hilarant, dans l'une des suites les plus atroces de ce début de siècle)
- celle de Travis Fimmel dans Zone 414 (extraordinaire)
- ainsi que le duo Laurel et Hardy-esque formé par Mark Dacascos et Matthias Hues dans l'exécrable Maximum impact (du sucre de canne sur un coulis de framboise)

J'avoue, je vais faire mon Jack Carter.

Je pourrais défendre Zone 414. Je lui trouve des qualités qu'apparemment, je suis le seul à trouver.
Pour les 2 autres : bon courage !
Mais si tu tiens, pour les 3 apparitions de Wesley, il y a moyen de te marrer. Au delà des rires, je le trouve mortel dans ce rôle, totalement habité, criant de vérité dans sa caricature (intonations, mimiques, bruits de bouches caractéristiques... sans oublier le look imparable). Franchement je ne pensais pas qu'il avait encore ça en lui, je le voyais en mode Bruce Willis ou Steven Seagal sur pilote automatique mais non, si on lui fait confiance, avec un vrai rôle à interpréter, il semble encore être capable de pouvoir faire des miracles... parce que le film est un carnage, sinon.
Pour le dernier, par contre, il faut le vouloir et être atteint d'une certaine forme de masochisme. Cela dit, pour affiner ma comparaison (les puristes s'en rappelleront), ce n'est pas tant à Laurel & Hardy que j'ai pensé mais au binôme de méchants débiles de Bioman, Monster et Jouoh :

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[Paroju]

Je tente un top 10 : le titre se joue entre les deux premiers. Allen complète le podium. Après c'est plus dur à classer.

1- Ad astra (Gray, 2019) ***
2- Le temps de l'innocence (Scorsese, 1993) ***
3- Un jour de pluie à New-York (Allen, 2019) ***

Mon oncle d'Amérique (Resnais, 1980) ***
Grave Ducourneau (2017) ***
The revenant (2016) Inarritu ***
Ex Machina (Garland, 2015) ***
Le dernier métro (Truffaut, 1980) ***
The grandmaster (Wong, 2013) **
Zero Dark Thirty (Bigelow, 2013) **

Les redécouvertes :
1- Paris, Texas (Wenders, 1984) ****
2- Gremlins (Dante, 1984) **
3- Reservoir dogs (Tarantino, 1992) **


Lien découvertes naphta 2021

[cinephage]

2 Peking Opera Blues / Do ma daan, de Tsui Hark (1986) 10/10

Tiens, je pourrais bien me le tenter un de ces soirs, mais Tsui, ya pas, j'y vais toujours un peu à reculons... Je ne me rappelle plus ce que tu avais pu en dire dans tes petites notules mensuelles. On est ici plutôt dans la veine un peu bordélique mais haute en couleurs de Shanghai Blues ? (C'est à peu près le seul que j'ai apprécié jusqu'ici)

Il y a toujours une touche de folie et de chaos dans le cinéma de Tsui Hark, surtout dans ses films des années 80, et celui-ci n'y fait pas exception. Mais il y a aussi une brochette d'héroïnes très attachantes, et un chassé-croisé dans un théâtre qui m'a vraiment charmé.

[Vic Vega]

Tiens, je pourrais bien me le tenter un de ces soirs, mais Tsui, ya pas, j'y vais toujours un peu à reculons... Je ne me rappelle plus ce que tu avais pu en dire dans tes petites notules mensuelles. On est ici plutôt dans la veine un peu bordélique mais haute en couleurs de Shanghai Blues ? (C'est à peu près le seul que j'ai apprécié jusqu'ici)

Il y a toujours une touche de folie et de chaos dans le cinéma de Tsui Hark, surtout dans ses films des années 80, et celui-ci n'y fait pas exception. Mais il y a aussi une brochette d'héroïnes très attachantes, et un chassé-croisé dans un théâtre qui m'a vraiment charmé.

Le film forme avec Shanghaï Blues et le dispensable Love in the time of twilight une trilogie.

[Beule]

Il y a toujours une touche de folie et de chaos dans le cinéma de Tsui Hark, surtout dans ses films des années 80, et celui-ci n'y fait pas exception. Mais il y a aussi une brochette d'héroïnes très attachantes, et un chassé-croisé dans un théâtre qui m'a vraiment charmé.

C'est tout aussi haut en couleur mais bien moins chaotique et barré que la comédie (musicale) à laquelle je l'associais naturellement en raison de leurs titres anglais respectifs. En jouant sur les mots je pourrais même dire que c'est ici barré de main de maître (de bord) pour mettre le cap sur un spectacle de très grande classe. Pas du tout ce à quoi je m'attendais en fait, mais un blockbuster aussi chatoyant que virevoltant, qui dynamite son intrigue de BD un peu nébuleuse par la musicalité étourdissante de son montage et la netteté de scènes d'action ébouriffantes, ici filmées et découpées sans esbroufe et qui n'ont de cesse de relancer et fluidifier la mécanique du récit. L'action, et le spectateur avec elle, sont comme emportés par un tourbillon de pur entertainment qui déborde naturellement de la scène et de ses représentations bigarrées et chamarrées (elles sont un régal pour les yeux) pour se propager allègrement aux alcôves, aux rues et aux toits, bricolés à l'ancienne avec un goût infini dans l'irréalisme. Direction artistique et photo splendides ; plaisir de filmer contagieux: le spectacle est partout, total, galvanisant sans presque jamais céder aux sirènes de l'ostensible tour de force. Je ne saurais expliquer pourquoi l'on s'y sent si bien dans ce Tsui Hark. Parce que rien n'est plus difficile que de cerner et d''expliquer le charme. Mais de charme, ce film en regorge à l'image de son emballant trio d'héroïnes. Ça a sans doute à voir avec une forme de décontraction et de modestie géniale - qui bien entendu n'est qu'une patine en trompe-l'œil - mais qui fait tout le prix d'une poignée de films qui s'imposent, mais à certains seulement, comme de petits joyaux inestimables (dans mon cas, je pense à Sea Devils ou dans une moindre mesure au remake de Thomas Crown par McTiernan). Ce Peking Opera Blues intègre ce club de quelques élus.

Quoi qu'il en soit, à mes yeux quelque chose comme le film idéal pour les fêtes de fin d'année et assurément parmi ce que j'ai vu de meilleur dans le cinéma de pur divertissement.

Donc, merci cinéphage

Le film forme avec Shanghaï Blues et le dispensable Love in the time of twilight une trilogie.

Ah oui ? Je dois reconnaître que les passerelles ou même simples accointances entre les deux films ne me sautent pas aux yeux.
Bon, et bien, vu ce que m'ont inspiré les deux premiers, j'essaierai quand même de voir le 3e volet dispensable de cette trilogie. Merci pour l'info.

[Wile E.]

FILM DE L'ANNEE

Center Stage (1991) / Stanley Kwan _ 9




SUIVENT (par ordre alphabétique)

Air Doll (2009) / Hirokazu Kore-eda _ 8
An Elephant Sitting Still (2019) / Hu Bo _ 8
La Chasse (2012) / Thomas Vinterberg _ 8
Ema (2019) / Pablo Larraín _ 8
The Green Knight (2021) / David Lowery _ 8
Malcolm & Marie (2021) / Sam Levinson _ 8
Pluie noire (1989) / Shôhei Imamura _ 8
So Long, My Son (2019) / Wang Xiaoshuai _ 8
Soul (2020) / Pete Docter et Kemp Powers _ 8
Tel père, tel fils (2013) / Hirokazu Kore-eda _ 8
West Side Story (2021) / Steven Spielberg _ 8








Affliction (1997) / Paul Schrader _ 7
All the King's men (1983) / King Hu _ 7
Antoinette dans les Cévennes (2020) / Caroline Vignal _ 7
BAC Nord (2020) / Cédric Jimenez _ 7
La Baule-les-pins (1990) / Diane Kurys _ 7
Le Bras armé de la Loi (1984) / Johnny Mak _ 7
The Commitments (1991) / Alan Parker _ 7
The Crimson Permanent Assurance (1983) / Terry Gilliam _ 7
Dark Waters (2020) / Todd Haynes _ 7
Le Dernier duel (2021) / Ridley Scott _ 7
Drunk (2020) / Thomas Vinterberg _ 7
Eighteen Springs (1997) / Ann Hui _ 7
En guerre (2018) / Stéphane Brizé _ 7
Expect the Unexpected (1998) / Patrick Yau _ 7
Histoires de fantômes chinois 3 (1991) / Ching Siu-tung et Tsui Hark _ 7
Last Night in Soho (2021) / Edgar Wright _ 7
La Mission (2021) / Paul Greengrass _ 7
My heart is that eternal rose (1989) / Patrick Tam Kar-ming _ 7
Nine Days (2020) / Edson Oda _ 7
Nobody Knows (2004) / Hirokazu Kore-eda _ 7
Notre petite sœur (2015) / Hirokazu Kore-eda _ 7
Pieces of a woman (2021) / Kornél Mundruczó _ 7
Les Pirates ! Bons à rien, mauvais en tout (2012) / Peter Lord _ 7
Pixote (1980) / Héctor Babenco _ 7
Séjour dans les monts Fuchun (2020) / Gu Xiaogang _ 7
Shadow (2018) / Zhāng Yì-Móu _ 7
Suprêmes (2021) / Audrey Estrougo _ 7
Taipei Story (1985) / Edward Yang _ 7
La Vie de Brian (1979) / Terry Jones _ 7

[cinéfile]

#1 : On connait la chanson (Resnais, 1997)

Puis par ordre chronologique de découverte,

Groupe de tête :
Rosetta (Dardenne, 1999)
L’Amie de mon amie (Rohmer, 1987)
La Chair et le sang (Verhoeven, 1985)
La Chambre du fils (Moretti, 2001)

Poursuivants :
Las Hijas de Abril (Franco, 2017)
Tetro (Coppola, 2009)
La Fin d’une liaison (Jordan, 2000)
Le Retour de Martin Guerre (Vigne, 1981)
La Femme de l’Aviateur (Rohmer, 1981)
Etrange Séduction (Schrader, 1990)
La Main sur le Berceau (Hanson, 1991)
Tricheurs (Schroeder, 1984)
Place Vendôme (Garcia, 1998)

[Boubakar]

Mon topic est mis à jour ; https://dvdclassik.com/forum/viewtopic. ... 0#p2940420