Commentaires à propos de votre film du mois

[Arn]

Un premier gros candidat :


Les Trois Samouraïs hors-la-loi (Hideo Gosha, 1964)

[Rick Blaine]

Un premier gros candidat :


Les Trois Samouraïs hors-la-loi (Hideo Gosha, 1964)

Évidemment, chef d'œuvre.

[Jack Carter]

Un premier gros candidat :


Les Trois Samouraïs hors-la-loi (Hideo Gosha, 1964)

Évidemment, chef d'œuvre.

Evidemment

[Rick Blaine]

Arn, si tu n'as pas vu d'autres Gosha, je ne peux que t'encourager à le faire, et notamment à passer par l'inévitable Goyokin.

[Arn]

En effet c'était mon premier. J'ai prévu de m'en faire quelques autres dans les prochains jours et Goyokin est de la partie Avec le Sang de la bête et Bandit contre samouraï.

[Jack Carter]

En effet c'était mon premier. J'ai prévu de m'en faire quelques autres dans les prochains jours et Goyokin est de la partie Avec le Sang de la bête et Bandit contre samouraï.

Le Sang du damné ?

[Vic Vega]

En effet c'était mon premier. J'ai prévu de m'en faire quelques autres dans les prochains jours et Goyokin est de la partie Avec le Sang de la bête et Bandit contre samouraï.

Le Sang du damné ?

Ou Le Sabre de la bête?

[Arn]

Oups , je voulais dire Le sang du damné en effet

[Jeremy Fox]

Premier prétendant avec ce beau film noir élégamment mis en scène, porté par une excellente BO et un Vincent Macaigne habité.

[Rick Blaine]

J'ai trouvé pour ma part également Macaigne excellent, pour la première fois, le film plutôt inspiré visuellement, mais... le côté noir ne fonctionne pas. On ne sent jamais de tension, de suspense.
Et c'est dommage car il y a vraiment de l'idée, au scénario comme à la mise en scène. Au final, c'est plaisant mais ça ne décolle pas.

[Boubakar]

Premier candidat, le très beau film de Joseph Losey, Le messager.

[vic]

octobre 2021

dévotion ardente / shûen (koreyoshi kurahara, 1964)


autres films remarquables :
taking off (milos forman, 1971)


les pirates de capri / i pirati di Capri (edgar g. ulmer & giuseppe maria scotese, 1949)



redécouverte du mois :
la mère /okaasan (mikio naruse, 1952)

Spoiler (cliquez pour afficher)

(re) le goût du saké / sanma no aji (yasujirō ozu, 1962) 8.5/10
les pirates de capri / i pirati di Capri (edgar g. ulmer & giuseppe maria scotese, 1949) 7.5/10
(re) la mort en ce jardin (luis buñuel, 1956) 7.5/10
(re) breakdown (jonathan mostow, 1997) 7/10
(re) dernier caprice /kohayagawa-ke no aki (yasujirō ozu, 1961) 9/10
(re) la mère /okaasan (mikio naruse, 1952) 8.5/10
(re) fleurs d'équinoxe / higanbana (yasujirō ozu, 1958) 8/10
(re) série noire (alain corneau, 1979) 8/10
(re) total recall (paul verhoeven, 1990) 7.5/10
(re) hollow man (paul verhoeven, 2000) 5/10
(re) basic instinct (paul verhoeven, 1992) 8/10
(re) turkish délices / turks fruit (paul verhoeven, 1973) 9/10
(re) time after time (nicholas meyer, 1979) 6.5/10
dévotion ardente / shûen (koreyoshi kurahara, 1964) 8.5/10
fragment of fear (richard sarafian, 1970) 5/10
au feu, les pompiers / hoří, má panenko (milos forman, 1967) 6/10
taking off (milos forman, 1971) 8/10

[Flol]

Premier gros prétendant du mois :


Le Cousin Jules - Dominique Benicheti

Ce film est un miracle. Un véritable tour de force.
Ça avait pourtant tout pour être aride et chiant, et c'est finalement tout l'inverse qui se passe. C'est proprement fascinant du début à la fin, et j'ai rarement eu l'impression de voir 92mn défiler aussi vite.
Tourné sur 5 ans, et avec un dispositif particulièrement riche en terme de cadres, de sons et de mouvements de caméra, ce documentaire déploie un ensemble de gestes aussi répétitifs que précis, chargés du quotidien, pour mieux dépeindre ce qu'était la vie rurale au début des années 70 (qui, 50 ans plus tard, ne doit pas avoir beaucoup changé).
Et accessoirement, ça m'a rappelé ma famille vivant en Alsace dans des conditions à peu près similaires, ce qui ne m'a jamais empêché d'en garder de précieux souvenirs de vacances passées les pieds dans la boue et les mains dans la paille.
Et accessoirement (bis), ce film fera plaisir aux amateurs de vidéos ASMR - aaahhh ce moment où le Jules se prépare minutieusement des légumes avec son couteau sans âge qui semble avoir tout vécu...

[Flavia]

Premier candidat

J'accuse de Roman Polanski

[Arn]

Arn, si tu n'as pas vu d'autres Gosha, je ne peux que t'encourager à le faire, et notamment à passer par l'inévitable Goyokin.

J'aurais peut être du étaler mes visionnages sur plusieurs mois on est le 7 et j'ai déjà 3 gros prétendants. Après 3 samouraïs hors la loi j'ajoute en effet le splendide Goyokin (1969) de Gosha également, dont le souffle épique et la résonnance avec Le grand silence de Corbucci m'a scotché.


Mais aussi vu ce soir Le sabre du mal de Kihachi Okamoto (1966), à la limite du nihilisme, concentré avant tout sur la décomposition d'un homme en parallèle de tout un pan de la société japonaise à un moment clef de son histoire, mais avec un fond le personnage de Mifune qui apparait comme le phare dans la tempête, le sage pour ne pas sombrer dans la folie (auto)destructrice.


3 classiques du films de sabre japonais qui ne m'auront pas déçu.