Roilo Pintu a écrit : ↑25 avr. 21, 00:12The Father - Florian Zeller (2021) : 8/10
Drame assez percutant sur la maladie, la démence, qui s’appuie solidement sur la performance d’Anthony Hopkins. A l’intérieur de la maladie, nous voyons sa vie se tordre, devenir chaotique, méconnaissable. Effrayant. En face Olivia Colman est superbe, présente pour un homme qu’elle aime mais ne peut plus comprendre. Un film qui fait réfléchir sans avoir de réponses, ça ne rassure pas mais le film m'a touché.
Nomadland – Chloé Zao (2021) : 7,5/10
Beau film qui tout en portant un regard sur la société américaine, repose sur le portrait d’une femme brisée, mais qui reste digne, à l’écoute des autres. Chloé Zao capture toute la beauté du paysage américain, la dureté d’une société, la petite vie de ces gens souvent invisibles qui choisissent ou subissent le nomadisme. Très belle photographie
Minari – Lee Isaac Chung (2021) : 6,5/10
Une belle distribution dans une intrigue sur le rêve américain, les conflits parentaux ou intergénérationnels. Un poil mélodramatique dans sa dernière ligne droite.
Roilo Pintu a écrit : ↑25 avr. 21, 00:12The Father - Florian Zeller (2021) : 8/10
Drame assez percutant sur la maladie, la démence, qui s’appuie solidement sur la performance d’Anthony Hopkins. A l’intérieur de la maladie, nous voyons sa vie se tordre, devenir chaotique, méconnaissable. Effrayant. En face Olivia Colman est superbe, présente pour un homme qu’elle aime mais ne peut plus comprendre. Un film qui fait réfléchir sans avoir de réponses, ça ne rassure pas mais le film m'a touché.
Nomadland – Chloé Zao (2021) : 7,5/10
Beau film qui tout en portant un regard sur la société américaine, repose sur le portrait d’une femme brisée, mais qui reste digne, à l’écoute des autres. Chloé Zao capture toute la beauté du paysage américain, la dureté d’une société, la petite vie de ces gens souvent invisibles qui choisissent ou subissent le nomadisme. Très belle photographie
Minari – Lee Isaac Chung (2021) : 6,5/10
Une belle distribution dans une intrigue sur le rêve américain, les conflits parentaux ou intergénérationnels. Un poil mélodramatique dans sa dernière ligne droite.
Toi, tu prépares pour les Oscars de ce soir.
Oui j'ai un peu ciblé mes derniers visionnages, même si je ne suivrai pas la cérémonie, j'ai totalement perdu l'envie.
Et j'ai enchaîné sur Sound of Metal aujourd'hui, l'accueil timide de Promising Young Woman sur le forum ne me fera pas aller plus loin je pense.
Homunculus (Netflix) 5/10
Takashi Shimizu ne semble pas trop savoir où aller avec son histoire. Il n'y a donc pas grand chose à se mettre sous la dent en dehors de quelques passages fantasmagoriques.
Shadow in the cloud 6/10 Love and monsters 6/10 Nobody 6/10
Locked down 5.5/10 Palm springs 5.5/10
Boss level 5/10
Freaky 4.5/10
--- Promising young woman 4/10 Run hide fight 4/10
La mission (News of the world) 3.5/10 L'un des nôtres (Let him go) 3.5/10 Monster hunter 3.5/10 Le vétéran (The marksman) 3.5/10
I care a lot 3/10 Sorcière (The reckoning) 3/10 Wrong turn 3/10 Sentinelle 3/10 Désigné coupable (The Mauritanian) 3/10 Godzilla vs Kong 3/10
Sacrées sorcières (The witches) 2.5/10 Possessor 2.5/10 Force of nature 2.5/10
Une affaire de détails (The little things) 2/10 The map of tiny perfect things 2/10 Fear of rain 2/10 Chaos walking 2/10 Willy's Wonderland 2/10 Un prince à New York 2 (Coming 2 America) 2/10
Skyfire 0/10 Yes day 0/10 Wonder Woman 1984 0/10 Rogue 0/10 The empty man 0/10 Superintelligence 0/10 À tous les garçons : pour toujours et à jamais (To all the boys always and forever) 0/10 Zone hostile (Outside the wire) 0/10 Cosmic sin 0/10 Thunder force 0/10 Vanquish 0/10
LOVE AND MONSTERS : 6/10
Le concept est plutôt sympathique et bien mené, mais la lassitude m’a vite attrapé et j’ai trouvé ça juste gentillet et vite oublié au final.
Torrente a écrit : ↑26 avr. 21, 03:19Psycho Goreman 0.5/10
Je ne suis pas descendu aussi bas (je crois m'être arrêté à 3 - chui un mec gentil) mais c'est clairement un des pires films visionnés cette année. Vu la hype outre-Atlantique (assez incompréhensible au demeurant) qui entoure ce dernier et ayant trouvé The Void plutôt bien foutu, je me suis laissé appâter et déconfiture totale au bout de même pas un quart d'heure. Je me demande encore comment j'ai pu tenir jusqu'au bout tellement la gamine est insupportable au possible (c'est bien simple, à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche, j'avais envie de la baffer ). Hormis les effets de maquillage et quelques trucs ici & là, y'a vraiment pas grand chose à sauver de cet étron cosmique au scénario ultra limité et à l'humour d'une lourdeur peu commune.
TheGentlemanBat a écrit : ↑26 avr. 21, 17:16
Je me demande encore comment j'ai pu tenir jusqu'au bout tellement la gamine est insupportable au possible (c'est bien simple, à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche, j'avais envie de la baffer ).
Moi, je n'ai pas tenu. Elle joue trop comme une patate, déjà qu'elle n'a pas un physique facile. Et puis ses dialogues sont écrits comme si c'était une star du SNL alors que la pauvre n'a même pas 10 ans. C'est ridicule.
C'est dommage, le croquemitaine m'a fait marrer (même si Wishmaster faisait déjà la même chose - en mieux - il y a 24 ans). Sa première apparition avec les effets qui en découlent m'ont fait espérer mais non...
J'ai vite abandonné, sans regret. Je suis allé jusqu'au bout mais d'un œil (très) distrait et assez contrarié aussi, je dois bien l'avouer.
TheGentlemanBat a écrit : ↑26 avr. 21, 17:16
Je me demande encore comment j'ai pu tenir jusqu'au bout tellement la gamine est insupportable au possible (c'est bien simple, à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche, j'avais envie de la baffer ).
Elle joue trop comme une patate, déjà qu'elle n'a pas un physique facile. Et puis ses dialogues sont écrits comme si c'était une star du SNL alors que la pauvre n'a même pas 10 ans.
Après un prologue pas mal ça se traine en tunnels de dialogues neuneus ("t'es pas une vraie combattante t'es une gonzesse et t'as pas la marque magique du dragon trop puissant") avec un sérieux total ( ponctué de punchlines année "80 qui tombent à plat 9 fois sur 10), de poses façons jeux vidéos avec des "Kano wins", "Sub Zero fight!" "Flawless victory" et l'inévitable "fataaaaaaaaaaaaality"...sinon quelques combats sont sympas si on aime le Bioman bien gore (c'est la seule surprise du film, ça saigne vraiment beaucoup) mais faut vraiment se forcer pour arriver au bout. En bonne position pour le pire film de l'année.
Oui j'ai un peu ciblé mes derniers visionnages, même si je ne suivrai pas la cérémonie, j'ai totalement perdu l'envie.
). Hormis les effets de maquillage et quelques trucs ici & là, y'a vraiment pas grand chose à sauver de cet étron cosmique au scénario ultra limité et à l'humour d'une lourdeur peu commune.
