Et ça continue de rentrer. Je suppose que Netflix a signé un gros contrat avec une major suédoise ou un cnc.
J’ai regardé Terje Vigen, la force des images de Sjöström est incontestable mais c’est hard quand même sans aucune bande sonore.
Intéressant en tous cas que l’on évoque pour une fois le blocus continental de la part des anglais plutôt que du camp français. Et c’est étrangement de nouveau d’actualité.
Pas le temps de chercher les liens dans le topic. Le Chat blanc me laisse un mauvais souvenir (surtout parce qu'on y tue un chat pour de vrai... certains critiques l'avaient déploré à l'époque... sinon, vague souvenir d'une histoire capillotracté)
Quant à Netflix :
Supfiction a écrit : ↑18 mars 21, 14:19
Et tu vas t’en priver par idéologie ?
Absolument. En fait : rien à branler de Netflix ou de n'importe quelle autre plateforme.
Je ne me suis jamais abonné à Canal+ non plus. Je ne suis abonné à rien.
Tout ça ne me concerne pas. Ce n'est pas ma planète.
Dernière modification par Commissaire Juve le 19 mars 21, 15:09, modifié 7 fois.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Commissaire Juve a écrit : ↑18 mars 21, 18:11
Oh lala ! Bonjour certaines traduc de titres !
(certaines traduc comme "The Strongest" ne me permettent pas de savoir si je connais)
Den starkaste, de Axel Lindblom & Alf Sjöberg (1929)
Commissaire Juve a écrit : ↑18 mars 21, 18:11
Cité joyeuse ??? (il me faudrait le titre original)
Söderkåkar, de Weyler Hildebrand (1932)...
Commissaire Juve a écrit : ↑18 mars 21, 18:11Le devant de la scène ???
Karriär, de Schamyl Bauman (1938)
Ton retour est toujours le bienvenu.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Ah oui, je l'ai celui-là. Je n'en garde pas trop de souvenirs.
Mais j'avais trouvé Signe Hasso charmante.
Pas étonnant. Le film n’est vraiment pas passionnant (l’histoire d’une troupe de théâtre) mais par contre on ne voit qu’elle et ses faux airs de néo Greta Garbo en plus souriante. La réalisation est soignée (photo superbe) mais totalement dénuée de rythme.
A noter qu’elle j’ai eu l’impression que la la censure était passée par là car à un moment Signe Hasso est couchée dans l’herbe et s’apprête à être embrassée par son amoureux et hop fondu au noir!
beb a écrit : ↑27 mars 21, 09:13Quand la nuit tombe (När mörkret faller - 1960) - Arne Mattson
Whodunit sans relief. L'intrigue se passe dans un village suédois avec une dizaine de personnages, un meurtre est commis et l'inspecteur cherche le coupable. C'est du Agatha Christie sans saveur, c'est bavard, long et ennuyeux ...
J'en avais parlé ici de celui-ci... (en deuxième position)
Au premier visionnage, il m'avait bien plu. Le dénouement m'avait laissé sur ma faim.
Au second visionnage (trois ans plus tard), je l'avais "dés-évalué" ( ). Cela dit, j'ai des goûts simples.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
J'y pense : les films sont diffusés en VO ou avec des doublages de telenovela ? (j'ai vu ça 20 secondes sur
L'Esprit s'amuse -- le David Lean -- sur ARTE il y a quelques jours ; une horreur !)
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Commissaire Juve a écrit : ↑27 mars 21, 10:27
J'y pense : les films sont diffusés en VO ou avec des doublages de telenovela ? (j'ai vu ça 20 secondes sur
L'Esprit s'amuse -- le David Lean -- sur ARTE il y a quelques jours ; une horreur !)
au choix, je pense, ou uniquement vost, mais je n'ai vu que de muets pour le moment (intertitres sous-titrés)
Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)