Julien Duvivier (1896-1967)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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kiemavel
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par kiemavel »

Erich a écrit : 29 nov. 20, 19:49 Une curiosité à signaler, diffusée dans Les Nuits de France Culture et disponible en podcast : une émission de 1950, Les Rois de la nuit, consacrée à Julien Duvivier. Sa carrière y est résumée par Jean Gabin, illustrée par de (longs !) extraits de Poil de Carotte, La bandera, Carnet de bal et Panique. Duvivier intervient et évoque quelques-uns de ses projets non réalisés (Six hommes et l'enfer, Sang et volupté à Bali, Le mariage de Loti, etc.). On ne peut pas dire que ce soit une émission extraordinaire, mais les interviews de Duvivier sont suffisamment rares pour que ceux qui s'intéressent à son œuvre jettent une oreille sur cette rareté.
https://podcast-radio.com/fr/podcast/le ... 62918651f#
Merci pour le lien.
Dans Les nuits de France Culture, 2 entretiens d'une heure entre René Jeanne, Charles Ford et Duvivier ont été diffusés et sont dispo en réécoute. C'est passionnant

https://www.franceculture.fr/emissions/ ... t-17011995
https://www.franceculture.fr/emissions/ ... sion-18-et
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par Ikebukuro »

Profondo Rosso a écrit : 12 juil. 20, 03:33 L'Affaire Maurizius (1954)

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Merci de m'avoir fait découvrir ce film de Duvivier que je ne connaissais pas.

J'ai bien aimé ce film se passant en Suisse, dans les années 30 et 50, dans un monde disparu, avec un vocabulaire châtié et les bonnes manières de l'époque.
Charles Vanel y est bon dans son rôle fétiche, le vieux patriarche acariâtre sur de lui, vaniteux, Gélin est aussi égal à lui même (c'est d'ailleurs un acteur que j'apprécie de plus en plus).

Deux gros gros point noir pourtant :
- la post-synchronisation qui est souvent calamiteuse, que ce soit avec Daniel Gélin ou Charles Vanel; mais bon, c'est une coproduction franco-italienne, avec des aléas techniques...
- des rebondissements incongrus dans l'intrigue, notamment à la fin où, désolé, mais je ne crois plus à ces multiples révélations

Si vous aimez les films de procès, d'enquête policière dans un univers à la Simenon, je vous le conseille.
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par The Eye Of Doom »

kiemavel a écrit : 29 nov. 20, 20:18 Dans Les nuits de France Culture, 2 entretiens d'une heure entre René Jeanne, Charles Ford et Duvivier ont été diffusés et sont dispo en réécoute. C'est passionnant

https://www.franceculture.fr/emissions/ ... t-17011995
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Merci pour les liens.
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Duvivier, passionné par le theatre, voila qui est curieux.
Mais on regrette que l’on reste dans le recit d’anecdotes. On reverrais d’avoir l’auteur fasse a un vrai critique qui l’interroge sur sa mise en scene, ses influences, son travail a Hollywood,...
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par ed »

The Eye Of Doom a écrit : 20 déc. 20, 09:40 Duvivier, passionné par le theatre, voila qui est curieux.
Peut-être que la phrase était ironique, mais au cas où elle ne l'était pas : le théâtre était le premier amour de Duvivier, qui a fait ses premières armes auprès d'André Antoine. La fin du jour, peut-être un de ses films les plus personnels, s'inspire d'ailleurs de quelques unes de ses propres mésaventures scéniques.
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par The Eye Of Doom »

ed a écrit : 20 déc. 20, 09:48
The Eye Of Doom a écrit : 20 déc. 20, 09:40 Duvivier, passionné par le theatre, voila qui est curieux.
Peut-être que la phrase était ironique, mais au cas où elle ne l'était pas : le théâtre était le premier amour de Duvivier, qui a fait ses premières armes auprès d'André Antoine. La fin du jour, peut-être un de ses films les plus personnels, s'inspire d'ailleurs de quelques unes de ses propres mésaventures scéniques.
Ce n’etait ironique.Mais rien (ou si peu) dans sa filmo laisse devinet cette passion pour le theatre. En tout cas, pour moi, c’est une « revelation ».
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par kiemavel »

Ikebukuro a écrit : 8 déc. 20, 21:57 Charles Vanel y est bon dans son rôle fétiche, le vieux patriarche acariâtre sur de lui, vaniteux
Il a certes joué ça longtemps et assez précocement mais je ne sais pas si vraiment c'était son rôle fétiche. Il était formidable dans tout. Qu'il soit d'un milieu populaire : plutôt rustaud (Daïnah la métisse, Le grand jeu), plutôt faible (La belle équipe, Le salaire de la peur) ou plutôt sensible (Les croix de bois, Le ciel est à nous). Notable ... Il pouvait faire aussi bien un très crédible : banquier, industriel, hommes d'affaires, hommes de loi ... Un Flic, retors (Favert dans la meilleure adaptation des miz ....) ou pas (Les diaboliques, la main au collet, Les suspects). Un truand (Symphonie pour un massacre, Rafles sur la ville ...) ... et un extraordinaire paysan : La ferme du pendu, dans lequel il compose un paysan comme je n'en ai jamais vu de plus juste dans le cinéma français (à part chez Rouquier :mrgreen: ... et encore :) ). Bref, un géant et un acteur plus fin que Gabin (pour s'attaquer à du dur). Par contre, Vanel n'atteignait pas les sommets que Gabin pouvaient atteindre et " lâcher-prise " comme lui dans Le jour se lève par exemple. Et bien sûr, Gabin pouvait, lui, piquer tout à fait le boulot de Pierre-Richard Willm ou de Jean-Pierre Aumont tandis que Vanel n'a jamais dû être un jeune premier (à part dans ses très jeunes années, au temps du muet ?).
Et puis, même si c'est loin d'être son meilleur, finir une carrière pareille à plus de 90 balais, chez Mocky, ça a de la gueule !
Accessoirement, j'aimerais bien voir le film qu'il a réalisé.
The Eye Of Doom a écrit : 20 déc. 20, 09:40 Merci pour les liens.
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Duvivier, passionné par le theatre, voila qui est curieux.
Mais on regrette que l’on reste dans le recit d’anecdotes. On reverrais d’avoir l’auteur fasse a un vrai critique qui l’interroge sur sa mise en scene, ses influences, son travail a Hollywood,...
Ses interlocuteurs n'étaient quand même pas des mauvais mais certes c'étaient surtout des historiens du cinéma et on a effectivement l'impression d'écouter une conversation entre amis (où manque quand même le son des verres qui s'entrechoquent). Après, si on lui avait envoyé des critiques " sérieux ", il se serait peut-être fermé façon John Ford, intimidé par les questions intelligentes :wink: de ses interlocuteurs.
En ce qui concerne son travail à Hollywood, ils survolent effectivement (de mémoire) et c'est d'autant plus étonnant que ses interlocuteurs étaient des spécialistes du cinéma américain et Charles Ford avait dû être un des premiers journalistes français à se rendre là-bas, derrière Robert Florey il me semble qui lui a dû s'y rendre au début des années 20. Il connaissait donc parfaitement Hollywood ... mais n'y était peut-être pas pendant le guerre
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par The Eye Of Doom »

Grace à Arte, revu ce soir La tete d’un homme dans une copie superbe, que j’espere bientot en bluray.
Toujours aussi incroyable au niveau de la mise en scene. Au dela du travelling qui pars de dessous la table de Maigret pour aller cerner l’assassin, plan que Welles a du envier, il y a chez Duvivier une intensité incroyable dans sa faculté a etre au plus pres des corps.
Tellement bien résumée par l’expression du critique américain dans le coffret Criterion: la camera de Duvivier rode sur le plateau comme une panthère aux aguets.
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Message par Supfiction »

The Eye Of Doom a écrit : 2 févr. 21, 00:32 Grace à Arte, revu ce soir La tete d’un homme dans une copie superbe, que j’espere bientot en bluray.
Toujours aussi incroyable au niveau de la mise en scene. Au dela du travelling qui pars de dessous la table de Maigret pour aller cerner l’assassin, plan que Welles a du envier, il y a chez Duvivier une intensité incroyable dans sa faculté a etre au plus pres des corps.
Tellement bien résumée par l’expression du critique américain dans le coffret Criterion: la camera de Duvivier rode sur le plateau comme une panthère aux aguets.
Je ne sait quoi dire de plus....
Belle mise en scène oui (cadrages, transitions « à la Lucas », etc) mais dernier tiers interminable (il faut même se taper la truculente Damia) surtout pour une intrigue aussi simple. Les scènes traînent en longueur et les acteurs jouent de façon grossière. A l’inverse, Harry Baur est en retrait et finalement décevant.
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par John Holden »

Supfiction a écrit : 2 févr. 21, 21:04
The Eye Of Doom a écrit : 2 févr. 21, 00:32 Grace à Arte, revu ce soir La tete d’un homme dans une copie superbe, que j’espere bientot en bluray.
Toujours aussi incroyable au niveau de la mise en scene. Au dela du travelling qui pars de dessous la table de Maigret pour aller cerner l’assassin, plan que Welles a du envier, il y a chez Duvivier une intensité incroyable dans sa faculté a etre au plus pres des corps.
Tellement bien résumée par l’expression du critique américain dans le coffret Criterion: la camera de Duvivier rode sur le plateau comme une panthère aux aguets.
Je ne sait quoi dire de plus....
Belle mise en scène oui (cadrages, transitions « à la Lucas », etc) mais dernier tiers interminable (il faut même se taper la truculente Damia) surtout pour une intrigue aussi simple. Les scènes traînent en longueur et les acteurs jouent de façon grossière. A l’inverse, Harry Baur est en retrait et finalement décevant.
:shock: On n'a pas vu le même film. Ou alors tu n'étais pas disposé.
Je trouve au contraire le jeu retenu d'Harry Baur plein d'à propos, préfigurant d'une certaine façon le Maigret incarné par Gabin. Face à lui Valery Inkijinoff campe une fripouille qu'on croirait sortie d'un Fritz Lang. Enfin, il pèse sur ce film une atmosphère pesante, moite et prenante qui ne laisse pas indemne.
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par Jack Carter »

c'est quoi une transition "à la Lucas" ? :oops:
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Message par Supfiction »

Oui Valery Inkijinoff est impressionnant et particulièrement malsain. Bien vu pour le rapprochement avec le Lang (que je n’apprécie pas plus que ça non plus d’ailleurs, ceci expliquant peut-être cela). Par contre, plusieurs seconds rôles jouent de façon très empesée et laborieuse, très à l’ancienne. Et le fait que les scènes tirent en longueur accentue cette impression.
Je ne connais pas le terme technique pour les transitions d’où cette facilité de langage anachronique pour parler de balayages latéraux. Mais ce n’est qu’un élément parmi d’autres des qualités indéniables de mise en scène de Duvivier. C’est la direction d’acteurs qui pêche pour moi et peut-être le rythme. Harry Baur est trop en retrait à mon goût, comparé aux futurs Maigret plus attachants et plus en rondeur (Gabin et Kremer en tête).
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par The Eye Of Doom »

Supfiction a écrit : 2 févr. 21, 21:56 Oui Valery Inkijinoff est impressionnant et particulièrement malsain. Bien vu pour le rapprochement avec le Lang (que je n’apprécie pas plus que ça non plus d’ailleurs, ceci expliquant peut-être cela). Par contre, plusieurs seconds rôles jouent de façon très empesée et laborieuse, très à l’ancienne. Et le fait que les scènes tirent en longueur accentue cette impression.
Je ne connais pas le terme technique pour les transitions d’où cette facilité de langage anachronique pour parler de balayages latéraux. Mais ce n’est qu’un élément parmi d’autres des qualités indéniables de mise en scène de Duvivier. C’est la direction d’acteurs qui pêche pour moi et peut-être le rythme. Harry Baur est trop en retrait à mon goût, comparé aux futurs Maigret plus attachants et plus en rondeur (Gabin et Kremer en tête).
La seule scene qui est un peu longue est celle ou Radek rends visite aux Ferriere. Et encore, c’est ici que la folie du personne eclate, que le coté autodestructeur apparaît et que se signe son destin. Alors oui, c’est laborieux, penible mais c’est coherent de ce moment particulier. La scene en boite de nuit et la suite est tres reussie. Jusqu’à la course finale, typique du muet, et les derniers plans assez choquant du gars écrasé sous la voiture.
Au milieu du film, j’ai beaucoup aimé le passage avec la prostituée. Ici comme dans le reste du film, il y a une attention particulière donnée aux corps, aux physiques,... qui structure le film. Ce n’est pas pour rien que le film s'ouvre sur un travelling sur les chaussures.
Duvivier mixte une science fine des lieux, des espaces, le café, la salle du quai des orfevres, le garnis miteux, le comissariat, et une rendus des corps, des presences physiques,... D’un coup je pense au Kurosawa du chien enragé.
J’ai dit dans les pages precedentes pourquoi la scene avec Damia m’a marqué : ce coté « vecu » de la « fete » avachie, désœuvrée et alcoolisée,... avec ces couples improbables, saisis, regroupés et non receuillis autour de la chanteuse vautrée sur un lit.

Je ne trouve pas que c’est mal joué ou que la direction d’acteur soit faible. Il y a des codes d’epoque, des postures sociales, des physiques, ...

Quand j’ai decouvert les romans de Maigret ce qui m’a frappé est finalement le fait que Maigret ne fait rien ou si peu, sa presence suffit comme catalyseur d’une situation, provoque reactions et denouement. Je trouve que Harry Baur par son physique et son jeu rends admirablement cet aspect du personnage de Simenon.

Un dernier detail qui m’a emu: le jeune inspecteur qui dort sur l’epaule de Ferriere dans la boite de nuit
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par John Holden »

The Eye Of Doom a écrit : 2 févr. 21, 23:14
Quand j’ai decouvert les romans de Maigret ce qui m’a frappé est finalement le fait que Maigret ne fait rien ou si peu, sa presence suffit comme catalyseur d’une situation, provoque reactions et denouement. Je trouve que Harry Baur par son physique et son jeu rends admirablement cet aspect du personnage de Simenon.

Un dernier detail qui m’a emu: le jeune inspecteur qui dort sur l’epaule de Ferriere dans la boite de nuit
Absolument d'accord avec ce constat. J'ai rarement vu un Maigret à l'écran avec autant de vraisemblance dans l'attitude, à la frontière de l'effacement, jusque dans sa façon singulière, presque déroutante de mener le fil de son enquête. On pourrait presque croire que certaines des caractéristiques du Maigret de Simenon sont nées de l'interprétation d'Harry Baur...
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par ed »

The Eye Of Doom a écrit : 2 févr. 21, 23:14
J’ai dit dans les pages precedentes pourquoi la scene avec Damia m’a marqué : ce coté « vecu » de la « fete » avachie, désœuvrée et alcoolisée,... avec ces couples improbables, saisis, regroupés et non receuillis autour de la chanteuse vautrée sur un lit.
Je suis d'accord avec le reste, mais je trouve que cette scène, en particulier, trahit l'héritage théâtral (notamment l'influence naturaliste d'André Antoine) de Duvivier : cette composition, avec la chanteuse placée au centre, les autres comédiens qui se figent littéralement pour la regarder, et la concentration des lumières et du mouvement de caméra vers Damia, ça compose un joli "tableau", qu'on imagine très bien sur une scène, mais ça fonctionne un peu moins bien cinématographiquement parlant. La fuite d'Inkijinoff qui suit, ça, c'est du beau cinéma !
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Re: Julien Duvivier (1896-1967)

Message par Flol »

Jack Carter a écrit : 2 févr. 21, 21:20 c'est quoi une transition "à la Lucas" ? :oops:
Il doit vouloir parler de ça :

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Mais aucun souvenir de C-3PO chez Duvivier, par contre.
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