C’est peu de le dire.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
C’est peu de le dire.
Globalement d'accord avec ce qu'il dit des films noirs. Oui pour les "chefs d’œuvre " ou les meilleurs films de certains cinéastes :Alexandre Angel a écrit : ↑20 sept. 20, 03:58https://www.tavernier.blog.sacd.fr/une- ... lms-noirs/
Pas que sur les nôtres car je viens de faire une recherche assez poussée et RIEN. Si ... L'afficheChip a écrit : ↑20 sept. 20, 09:15 Pas vu les films de John H. Auer dont il est question ici. Par contre je garde un souvenir ému, mais vague, d'un film du réalisateur vu à la télé, dans les années 60 " Le mousquetaire de la vengeance"( the avengers)(1950) film de cape et d'épée se déroulant en Amérique latine, John Carroll incarnait un aventurier surnommé Don Careless amoureux de la fille d'un gouverneur, jouée par Adele Mara. Le film marquait les débuts de Fernando Lamas. Film rare, qui à ma connaissance, n'est jamais repassé sur nos petits écrans.
Très bons exemples que Le privé et Chinatown, puisqu'ils réussissent très exactement là où les films de Winner et Richards échouent, à savoir mêler l'hommage et pousser l'enveloppe de la modernité tout en respectant les codes. L'esprit plus libertaire des 70s, le ton, la plus grande tolérance dans ce que l'on peut montrer, ce sont des choses qu'il faut doser avec précision pour que la sauce prenne si l'on veut s'inscrire dans une filiation et se mettre au diapason. En l'occurence Le grand sommeil et Adieu, ma jolie ne font que surfer sur les succès précédents en offrant des variations très cadenassées, corsetées. D'où la sensation de films un peu rances malgré leur époque de production.kiemavel a écrit : ↑20 sept. 20, 03:31 Oui, dans le cas d' Altman, le film a été critiqué -et encore aujourd'hui je pense- pour ce que disait El Dadal : la liberté de ton très 70th - post Hippies - aussi pour la trop grande coolitude de Gould et pour l'ironie d'Altman pour les "matériaux d'origine". Je ne sais pas ce que lui même disait de ses intentions mais en tant que spectateur, j'ai l'impression que même si dans ce film il rend parfois des hommages décalés, il a aimé le polar à papa. En ce qui me concerne, aux dernières nouvelles, en tant que fan dur du genre dans son classicisme, j'adorais ce film et je pense que c'est irrémédiable.
Quant à celui de Polanski, il doit être dans mon top 100 ou pas loin.
Les Flamands ça n'est pas causant.
Causants ou pas, ils sont les bienvenus quand même, les flamants, à condition qu'ils maitrisent suffisamment la langue française
Si c'est pour dire ce que je dis mais en mieux je me demande si finalement c'était une si bonne idée que cela que de solliciter des interventionsEl Dadal a écrit : ↑20 sept. 20, 13:07Très bons exemples que Le privé et Chinatown, puisqu'ils réussissent très exactement là où les films de Winner et Richards échouent, à savoir mêler l'hommage et pousser l'enveloppe de la modernité tout en respectant les codes. L'esprit plus libertaire des 70s, le ton, la plus grande tolérance dans ce que l'on peut montrer, ce sont des choses qu'il faut doser avec précision pour que la sauce prenne si l'on veut s'inscrire dans une filiation et se mettre au diapason. En l'occurence Le grand sommeil et Adieu, ma jolie ne font que surfer sur les succès précédents en offrant des variations très cadenassées, corsetées. D'où la sensation de films un peu rances malgré leur époque de production.kiemavel a écrit : ↑20 sept. 20, 03:31 Oui, dans le cas d' Altman, le film a été critiqué -et encore aujourd'hui je pense- pour ce que disait El Dadal : la liberté de ton très 70th - post Hippies - aussi pour la trop grande coolitude de Gould et pour l'ironie d'Altman pour les "matériaux d'origine". Je ne sais pas ce que lui même disait de ses intentions mais en tant que spectateur, j'ai l'impression que même si dans ce film il rend parfois des hommages décalés, il a aimé le polar à papa. En ce qui me concerne, aux dernières nouvelles, en tant que fan dur du genre dans son classicisme, j'adorais ce film et je pense que c'est irrémédiable.
Quant à celui de Polanski, il doit être dans mon top 100 ou pas loin.
Il faut dire aussi qu'il a un nom tue-l'amour... le pauvre