Trucage qui se voit ( et que j'adore ).Major Tom a écrit :les matte-paintings ?

Trucage qui se voit pas ( enfin, normalement ).Major Tom a écrit :Parfois les effets les plus simples sont les meilleurs.
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Trucage qui se voit ( et que j'adore ).Major Tom a écrit :les matte-paintings ?
Trucage qui se voit pas ( enfin, normalement ).Major Tom a écrit :Parfois les effets les plus simples sont les meilleurs.
Sherlock Junior. Je me rappelle m'être écarquillé les yeux devant ce plan, puis avoir fait pause, retour en arrière, lecture. Puis encore pause, re-retour en arrière, re-lecture.Watkinssien a écrit :
Quelle version ? Les premières (originale / DC) où la perspective est foiréeMosin-Nagant a écrit :Trucage qui se voit ( et que j'adore ).Major Tom a écrit :les matte-paintings ?
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Comme beaucoup ici, j'adore les Matte Painting, par contre livre coûte un bras!Un ouvrage absolument essentiel pour tous ceux qui s'intéressent à l'art du matte-painting à l'ancienne (pas sur ordinateur) : The Invisible Art: The Legends of Movie Matte Painting, par Mark Cotta Vaz et Craig Barron.
Et Flol peut être rassuré.Roilo Pintu a écrit :Ce topic est passionnant.
En outre, je l'ai toujours trouvé un poil trop incomplet. Il existe tellement d'exemples et ce livre, bien que passionnant, n'en survole qu'une partie.Roilo Pintu a écrit :Comme beaucoup ici, j'adore les Matte Painting, par contre livre coûte un bras!Un ouvrage absolument essentiel pour tous ceux qui s'intéressent à l'art du matte-painting à l'ancienne (pas sur ordinateur) : The Invisible Art: The Legends of Movie Matte Painting, par Mark Cotta Vaz et Craig Barron.
Sur la photo, on voit clairement que c'est l'original / Director's Cut, non?Major Tom a écrit :Quelle version ?
Pas mal ! Et je découvre ainsi l'origine d'une intro d'épisode de la série The Drew Carey Show, scène qui m'avait fasciné :Major Tom a écrit :Tango du cinéaste polonais Zbigniew Rybczyński (*), sorti en 1981 et Oscar du meilleur court métrage d'animation en 1983, est un long plan fixe avec des loops de 36 personnages en incrustation qui se croisent, et se re-croisent:
Effectivement. Du coup, je tiens à m'auto-décerner le prix du meilleur topic de 2019. Félicitations Flol !Major Tom a écrit :Et Flol peut être rassuré.Roilo Pintu a écrit :Ce topic est passionnant.
Du coup, j'y reviens !Demi-Lune a écrit :OK.Major Tom a écrit :On peut déborder sur les matte-paintings ?![]()
Je rendrai alors hommage, pour ma part, au travail de Michael Pangrazio.
Un nom qui n'évoquera probablement pas grand-chose à beaucoup d'entre vous, mais qui se cache pourtant derrière certains des matte-paintings les plus magiques, photoréalistes et emblématiques de la trilogie originale Star Wars (avec Harrison Ellenshaw), mais également de nombreux autres films de la même époque (le plan final dans le hangar des Aventuriers de l'arche perdue, c'est lui). Un des nombreux génies de la team ILM des débuts, mais qui souffre encore aujourd'hui d'un déficit de notoriété à l'inverse des Dykstra, Johnston, Tippett ou Muren.
Il travaille maintenant chez Weta Digital (il avait notamment été rappelé par Spielberg pour le rendu de la direction artistique de Tintin). Un cas finalement exemplaire - qu'on s'en navre ou non - du bouleversement vécu par cet artisanat de peintres, qui ont troqué leurs gouaches contre des logiciels d'ordinateur.
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Un ouvrage absolument essentiel pour tous ceux qui s'intéressent à l'art du matte-painting à l'ancienne (pas sur ordinateur) : The Invisible Art: The Legends of Movie Matte Painting, par Mark Cotta Vaz et Craig Barron.
Si je me souviens bien, c'est filmé en deux fois : d'un le plan-séquence sur Jena Malone qui court, de l'autre le plan sur l'armoire à "miroir", en fait une armoire à pharmacie couverte d'un panneau bleu (ancêtre du fond vert donc). Puis les deux sont raccordés en post-prod. En résumé, hein !Rick Deckard a écrit :C’est filmé dans le miroir depuis le début du plan-séquence ?